Séjour En Charente

Vers le mois de Mai, Marie et Michel me proposent de partir une semaine en vacances avec eux en Charentes début juillet. J’accepte avec plaisir, d’autant que Michel nous assure qu’il va nous préparer une soirée sexe. Il fait quelques photos de nous en petite tenue pour passer une annonce sur un site internet, et nous n’en entendons plus parler jusqu’au moment du départ. Il a réservé deux chambres hôtel à Cognac, et nous passons les premiers jours à visiter la région. Michel nous annonce que la soirée est prévue pour le jeudi soir dans un club échangiste à Saint Jean d’Angély.
Nous ne fréquentons pas trop les boîtes échangistes habituellement car c’est impossible sur Toulouse, Marie et Michel surtout ne voulant pas risquer de croiser des gens qu’ils connaissent, des employés par exemple, qui ne seraient pas au courant de leur libertinage.
Le jeudi soir, nous arrivons à la boîte, dont le nom est un jeu de mot amusant. Comme il fait assez chaud, Marie et moi ne portons qu’une robe courte et sexy sans rien dessous. Dès l’entrée nous sommes accueillis par Christian, le patron, et nous nous installons au bar. A part un couple enlacé sur un canapé au fond de la salle, peu de monde est présent et nous nous installons au bar. Michel connaît le patron pour avoir préparé la soirée avec lui par téléphone. Il nous explique qu’il limite le nombre d’hommes seuls à l’entrée en fonction du nombre de femmes ou de couples présents. Sauf ce soir où il a convié certains habitués, sur la demande de Michel. Michel grâce à l’annonce passée sur internet a aussi certains contacts qui doivent venir et se présenter à l’entrée avec un mot de passe pour pouvoir rentrer. Christian nous fait visiter l’établissement, il nous fait remarquer que la plus grande pièce, équipée de deux grands lits collés l’un à l’autre nous est réservée. Après la coupe de champagne offerte par Christian, Michel demande une bouteille qui nous est servie dans la salle, confortablement installés sur un vaste canapé.


Le monde commence à arriver, beaucoup d’hommes et deux ou trois couples. J’observe les nouveaux arrivants en me demandant lesquels viennent spécialement pour nous baiser. Au bout d’un moment deux couples se mettent à danser sur la piste et Marie me propose d’y aller avec elle. Michel nous dit que quand nous voulons aller dans la chambre, cela déclenchera les hostilités. Nous dansons un slow en nous embrassant et en nous pelotant, histoire de montrer « le matériel » aux hommes présents. Au bout de quelques minutes, je me dis que si tous les hommes présents sont là pour nous, la nuit va être longue. Puis Marie me propose d’aller dans la chambre. Je la suis, et sans me retourner, je sens que nous sommes suivies. Nous nous enlaçons devant les lits, chacune dégrafe la robe de l’autre sous le regard de quelques hommes qui se caressent à travers leurs pantalons. Puis nous nous allongeons chacune sur un lit, sur le dos, les cuisses ouvertes en position d’attente.
L’invitation à bien été comprises et plusieurs mâles commencent à se jeter sur nous et commencent à nous caresser. Le désir commence à me tenailler le ventre, et je m’abandonne. Des bites se présentent devant ma bouche et je commence à m’appliquer pour les satisfaire, les unes après les autres. Rapidement, j’entends le bruit des emballages de capotes, puis un premier mâle se couche entre mes cuisses et commence à me baiser à un rythme effréné. Mon premier orgasme arrive en quelques secondes. Dès que le gars se retire de mon ventre, un autre prend immédiatement sa place, puis un autre. Je sens une première éjaculation dans ma gorge, que j’avale avec délectation.
Puis on commence à me changer de position, la première sodomie est assez violente et me fait crier de douleur et de plaisir mélangés. Dès que le plaisir remplace la douleur, un autre rampe sous mon ventre et me baise en même temps. Ma bouche est sans cesse sollicitée. Je suis remplie de toutes parts. Les orgasmes s’enchaînent et je commence à crier plus fort à chaque fois.
A côté de moi, je n’arrive plus à voir Marie qui est elle aussi couverte de mâles et qui crie très fort. J’aperçois parfois Michel qui regarde debout au fond de la chambre. Je n’arrive pas à savoir combien d’hommes attendent leur tour, mais ils sont nombreux. Par moment je dois me contorsionner pour échapper à toutes ces mains et attr une bouteille d’eau. Mon corps commence à sentir la sueur et le sperme, et cette odeur m’excite encore plus. Je m’offre et je m’ouvre à tous ceux qui le veulent sans rechigner. Au fond de moi je me mets au défi de vider tous ceux qui le veulent, de ne pas en refuser un seul, et surtout d’aller au bout de moi-même pour ne pas capituler avant eux. Je ne suis plus qu’une poupée entre les mains de tous ces hommes. A un moment les rapports deviennent un peu plus douloureux, mais ils restent supportables. J’en arrive à ne plus savoir dans quel orifice je suis prise, il est vrai qu’entre deux sodomies, mon anus n’arrive plus à se refermer.
A un moment, un garçon un peu plus monté que les autres me sodomise d’un coup et me fait grimacer de douleur. Il s’en aperçoit et me demande si ça va. Je lui demande de continuer doucement, un autre vient jouir sur mon visage. Puis je suis retournée et à nouveau sodomisée en levrette par un autre. Deux mâles sont allongés et me tètent les seins. Un couple est assis sur le bord du lit et j’entends la femme commenter la scène. Elle refuse que d’autres hommes la touche.
Puis à un moment, toujours prise par un gars, je vois Marie à mes côtés, allongée sur le dos, qui repousse les hommes qui se présentent. Je me sens fière de ne pas céder avant elle. Je suis encore prise deux ou trois fois, dont une sodomie douloureuse, puis plus personne. Je m’affale à mon tour sur le lit, couverte de sperme, la housse du lit est trempée de sueur et de sperme. Mes cheveux sont collés et gluants. Marie et moi n’arrivons même pas à bouger ou à parler durant de longues minutes. Puis Michel arrive, nous demande si tout va bien, et nous dit qu’il est 4h00, que la boîte vient de fermer, et que nous pouvons nous doucher.
Marie se lève la première, mais elle ne tient pas debout et s’effondre sur le lit, provoquant un éclat de rire général. Christian vient nous voir et dit que nous avons le temps, la boîte est fermée, mais lui à au moins deux heures de boulot avant de partir.
Nous finissons par arriver à nous lever, toutes courbaturées, et à prendre une douche. Nous finissons par quitter la boîte vers 5h30, et je m’endors dans la voiture avant même de quitter le village. Le matin, Michel nous réveille vers 11h00 car nous avons prévu d’aller visiter La Rochelle. Le réveil est difficile et autant Marie que moi-même sommes encore courbatues de notre folle nuit. Le sexe et l’anus me brûlent en marchant. Malgré la pommade sensée me soulager, je vais avoir du mal à marcher pendant toute la journée. Nous sommes toutes les deux incapables de dire combien de gars nous ont baisées. Même Michel ne sait pas, mais il affirme qu’au moins une vingtaine chacune nous ont prises. Je crois qu’à ce jour cela reste encore notre record. Le séjour se termina le samedi et nous étions rentrés à Toulouse en début de soirée. Je ne m’étais pas encore remise de la soirée et le lendemain j’étais invitée chez Greg à déjeuner. Je savais à quoi était prévue l’après-midi et je redoutais de ne pas en être capable.
En arrivant chez Greg, je constate que ce dernier a aussi invité un de ses potes, avec qui j’avais déjà couché lors d’une précédente soirée. Bien sûr après le repas, je me retrouve au lit avec ces deux amants. Je suis copieusement baisée et enculée une bonne partie de l’après-midi, mais malgré toute ma bonne volonté je crie grâce avant que ces deux gaillards aient terminés leur affaire. Je leur promets une séance plus sympa une autre fois, et je suis dans mon lit très tôt ce soir-là, et juste pour dormir.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!