Séjour En Tanzanie

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --



Nous sommes de retour d’un séjour en Tanzanie, riche en souvenir, en image et en évènements. Et si je pense que mon mari continuera le récit de nos aventures, totalement réelles. je prends la plume pour vous en raconter une qui m’a marqué.
Il était prévu que nous partions, accompagné de notre guide, à une sortie d’un groupe de Massai, sortie qui avait pour but de simuler la chasse au lion, ce qui leur est maintenant interdite. Après deux heures de piste, nous arrivons dans ce village de brousse, fait de cases spartiates, car c’est camp itinérant.
Le chef du clan nous accueille et me fait savoir très clairement que je ne peux suivre le groupe, mais que par contre, il me confie à ses femmes pour me faire découvrir leur mode de vie ; un peu déçue, je vois Jean partir et deux femmes me prennent par la main et se dirigent vers le centre qui le l’apprendrai plus tard est un lieu de partage entre elles. Difficile de se comprendre, mais par geste, elles veulent que je revête leur tenue.me faisant assoir devant elle, elles commencent par me peindre le visage, puis me retirent mes vêtements, un à un ; je me retrouve nue, avant qu’elle ne me d d’une tenue ; me passant un large collier traditionnel, elles m’entrainent ensuite dans une dance au son de cornes et de percussions sur une peau tendue ; rapidement , je suis extenuée et en sueur ; une boisson à base de lait mais très poivrée me désaltère ,me prenant par la main, la plus âgée se dirige vers une case et me fait pénétrer ; un foyer , rouge de braise, quelques ustensiles de cuisine, et un lit, constitué de peaux posée sur un cade rudimentaire en bois.
Me faisant assoir sur le rebord, elle me montre un pot contenant un liquide blanc et me fait comprendre que c’est pour le corps, et sans attendre, elle écarte les pans de ma tunique ; je ne peux retenir un mouvement de recul, mais elle insiste et étend le liquide sur les parties découvertes ; ses gestes sont doux et le contact avec le produit est très agréable ; finalement je me laisse faire ; elle a compris mon abandon et c’est sur tout le corps qu’elle étend son baume.

J’ai l’impression de flotter et je me demande de quoi était faite la boisson tout à l’heure ; mon corps est parcouru de frissons et mon ventre est chaud.
Soudain un homme franchit l’entrée de la case ; c’est le chef ; j’essaie de me couvrir mais la femme m’en empêche et me maintient les épaules collées sur les peaux ; c’est alors qu’il sort une longue et large queue de sa tunique et en mauvais français il me dit :
« tu vas devenir ma cinquième femme » et sans autre préambule il se couche sur moi et essaie de me pénétrer ; j’ai beau me débattre, mais il est costaud et maintenue par la femme je dois céder et d’une seule poussée il me pénètre la chatte, s’enfonçant jusqu’aux couilles, son bassin butant sur le mien ; je ne peux retenir un cri,tant la possesion a été brutale, mais je n’ai plus envie de lutter, bien au contraire, mon ventre réclame la saillie et j’écarte les cuisses le plus possible, m’offrant à cet homme. Un ordre et la femme sort, me laissant seul avec cet amant possessif ; se débarrassant de son vêtement, il reprend sa chevauchée ; son sexe me comble complétement, tant sur le plan physique que sur le plan plaisir ; mon ventre réclame, ma cyprine s’écoule sur le pieu qui me transperce et je ne peux retenir mes cris de jouissance ; il est loin de mes amants prévenants ; bien au contraire, c’est une véritable saillie pour son plaisir et pour démontrer sa puissance ; pour lui , je ne suis qu’une chose qu’il possède et de plus pour son orgueil et sa domination, posséder une blanche doit l’enchanter. Mais tout cela ne compte pas pour moi, il me démonte, il me meurtrie la chatte mais seule compte maintenant ^pour moi, la possession, la domination qu’il exerce sur moi. Il a compris que je lui appartiens, que je suis devenue sa femme et son regard est fier ; ses yeux me dévorent comme sa queue me possède ; il sait qu’il m’a à sa disposition, même s’il ne comprend pas mes paroles, il sait que je suis sa femelle et il en profite ; sa bite me perfore à chaque poussée et je feule sous les coups de butoirs, réclamant plus, toujours plus ; soudain il se cabre et sa semence vient frapper mon vagin, ses jets sont chauds, nombreux, il ne jouit pas, il me féconde et pour moi c’est soudain le grand vide.
Quand je reprends conscience, il est toujours là, le sexe toujours bandé.
Quatre fois, il reprendra sa saillie, toujours aussi puissante et performante ; quatre fois, je me suis offerte, ouvrant au possible mes cuisses pour lui ; quatre fois il me fera jouir, quatre fois, il me fécondera.
A son retour, mon mari et le guide ont découvert une femme endormie, épuisée et le sexe dégoulinant de sperme ; et un homme massai, fier, lui faisant comprendre que sa femme lui avait appartenu et qu’elle s’était offerte à lui, qu’elle était sa femme à jamais.

Le trajet de retour fut silencieux pour moi ; difficile aussi de soutenir le regard du guide, appréhendant le contact avec mon homme. La suite de voyage en fut modifiée, pas pour le parcours, mais pour les relations entre nous ; mais je laisse le soin à jean de le raconter



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