Semaine &Quot;Vide-Couille&Quot; Au Cap

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
-- Nous rappelons que le port du préservatif protège de nombreuses MST --

Fin juin 2013, Michel nous annonce qu’avec Laure et Edouard, ils ont convenu d’une semaine « vide-couilles », ce sont ses termes exacts, pour Marie et moi. Après s’être assuré que nous sommes toujours partantes, il confirme pour la semaine du 14 juillet. Marie et moi sommes pressées d’y être, et nous passons de longues soirées à faire l’amour toutes les deux, en parlant de ce séjour.

Le week-end qui précède, nous sommes chez Greg le samedi soir et après une petite partie carrée, ils nous parlent de la semaine au Cap. Michel nous explique qu’ils ont mis plusieurs mois à nous préparer une semaine sexe. Greg poursuit en disant qu’il n’a pas été facile de réunir suffisamment d’hommes pour que nous soyons prises plusieurs fois par jour pendant une semaine. Laure a mobilisé tous ses réseaux, mais Greg aussi, et Michel continue :

- « Vous allez en chier les filles ! Vous allez être traitées comme des putes pendant sept jours. Vous serez à disposition de tous les hommes qui passerons chez Laure et Edouard, mais on vous amènera aussi vous faire sauter dans la nature, ou ailleurs… Je ne vais pas tout vous dire maintenant pour qu’il y ait aussi des surprises. »

Greg continue :

- « Par contre, Amélie, impossible de trouver assez de mecs pour te prendre sans capote tout le temps.
Mais les habitués de Laure auront deux soirées pour vous remplir. »

Bien sûr je comprends la difficulté qu’il peut y avoir et je l’accepte. Michel reprend la parole :

- « Pour vos bagages, vous prenez juste des robes ou des jupes, ce que vous avez de plus sexy, inutile de prévoir de sous-vêtements. »

Marie et moi validons leur projet, plutôt excitées par ce qui nous attend. Nous espérons juste que nous serons à la hauteur pour réaliser tout ce qu’ils ont prévu de nous faire subir.



Durant toute la semaine Michel nous laisse dormir toutes les deux sans nous prendre une seule fois, contrairement à ses habitudes, afin de nous laisser en manque. Le vendredi matin il nous annonce que nous partons en camping-car. Nous préparons nos bagages selon les instructions qu’ils nous ont
données. Nous avons fait un peu de shopping durant la semaine pour compléter notre garde-robe, nous avons aussi fait le plein de gel lubrifiant. Je prends une vingtaine de robes et de jupes car je présume qu’il faudra se changer plusieurs fois par jour. Après déjeuner nous partons pour la semaine la plus folle de notre vie, du moins à ce jour.

Nous arrivons chez Laure et Edouard vers 18h00. Je suis étonnée qu’ils ne soient que tous les deux à nous accueillir, moi qui m’attendais à passer à la casserole dès notre arrivée. Laure nous emmène dans ce qui sera notre chambre durant le séjour, je reconnais de suite la pièce où j’ai été partouzée lors de ma venue avec Greg. Par contre, un deuxième lit a été rajouté dans la pièce qui paraît du coup plus petite.
Deux lits en 160 collés l’un à l’autre ça laisse assez de place pour s’amuser à plusieurs. Laure nous demande si nous sommes en forme, elle rajoute que ce soir nous dinons dans un restaurant en ville et qu’il faut nous préparer. Elle choisit elle-même ce que nous devrons porter. Pour ma part ce sera la jupe la plus courte que j’ai, bustier très fin et talons aiguilles. La tenue de Marie est similaire. Je me rends vite compte qu’en marchant la jupe dévoile le bas de mes fesses, et mes tétons durcis déforment le tissus du bustier. Comme il en est de même pour Marie, je me dis que le but est de nous exhiber, et j’avoue que ça ne me déplaît pas.

Nous dinons dans un restaurant près du port, puis nous partons à pied vers le quartier de Port Nature.
Marie et moi nous amusons de voir tous les hommes se retourner sur notre passage. Nous ne sommes d’ailleurs pas les seules à être très court vêtues.
Nous arrivons devant la porte d’un immeuble et Laure nous dit :

- « Les filles, vous montez toutes les deux au premier étage, porte de droite en haut de l’escalier et vous vous présentez comme les deux putes envoyées par Edouard et moi. Edouard montera vous rejoindre dans cinq minutes et vous ramènera quand vous aurez fini. »

Michel nous ouvre la porte de l’immeuble, et bien que très surprises par la soudaineté des ordres nous rentrons seules dans le bâtiment. Nous nous arrêtons, hésitantes, sur le palier intermédiaire, mais un bref échange de nos impressions nous permet de réaliser que la situation est excitante et que de toute manière nous avons voulu ce séjour. Marie frappe à la porte de droite, un homme nous ouvre et elle dit :
« Bonjour Monsieur, nous sommes Amélie et Marie, les deux putes envoyées par Laure et Edouard ». Le gars éclate de rire et nous invite à rentrer en disant : « Les gars, nos putes sont arrivées ! » Il laisse la porte entrouverte et j’entrevoie Edouard qui arrive sur le palier.

Rassurée par sa présence, nous nous laissons conduire vers le salon. Il y a une dizaine d’hommes en train de boire du champagne, je remarque trois grands blacks, un maghrébin et les autres sont blancs. Je reconnais un des blacks qui était déjà présent chez Laure la dernière fois. L’homme qui nous a ouvert dit : « Allez les pétasses, foutez-vous à poil qu’on voit le matos ! » Nous nous exécutons sans rien dire.

Edouard est installé sur un fauteuil près de la fenêtre et il filme la scène avec un petit caméscope. Les gars nous détaillent et commentent nos courbes sans nous toucher en nous demandant de prendre des poses obscènes pour présenter nos orifices. La situation est extrêmement honteuse, mais j’aime cette honte qui m’excite terriblement. Le fait d’être filmées par Edouard, surement pour que Michel et Greg puissent savoir ce qui s’est passé, rajoute à mon excitation.

Un des blacks me saisit par les cheveux pour me faire agenouiller et il présente son sexe devant ma bouche : « Suces pouffiasse ! » Je m’exécute pendant que des mains s’emparent de mes seins et de mes fesses.
Les bites se succèdent dans ma bouche pendant plusieurs minutes. J’entends déjà Marie crier, mais je ne parviens à voir que ses pieds en l’air, elle est allongée sur un matelas à même le sol et son corps est couvert par plusieurs hommes. Je me retrouve à mon tour allongée sur un matelas, la bouche toujours pleine, j’entends le bruit des emballages de capotes qui se déchirent, et je me retrouve les jambes en l’air.

Les gars se succèdent dans mon ventre et dans ma bouche. On me change de position à volonté et je subis, comme j’aime, la volonté de tous les gars présents. Je suis copieusement sodomisée, puis prise en double. J’entends les commentaires salaces qui fusent de partout sans savoir s’ils s’adressent à moi ou à Marie. J’ai même droit à mon premier double vaginal qui me donne l’impression que mon vagin va exploser. Plusieurs éjaculations dans ma bouche se succèdent, j’ai du mal à tout avaler, mais je sens des doigts ramasser ce qui coule à côté et venir se faire nettoyer par ma langue. Nos amants sont très violents en paroles, mais je suis manipulée avec beaucoup d’attention de leur part, aucune violence physique.

La partie dure ainsi plusieurs heures avant que tous aient pris leur plaisir, j’ai pour ma part eu pas mal d’orgasmes dont certains très forts. Quand tous les gars sont définitivement satisfaits nous buvons une coupe de champagne avec eux. Edouard à remballé son caméscope et nous discutons un peu tous ensembles en plaisantant. Un des gars nous propose de prendre une douche, puis après une dernière coupe nous repartons avec Edouard. Il est deux heures du matin lorsque nous arrivons, tout le monde est déjà couché. Marie et moi nous couchons à notre tour dans les bras l’une de l’autre et nous nous endormons très vite, satisfaites de notre début de séjour.

Le lendemain matin nous nous réveillons assez tôt car nous avons oublié de fermer les volets et le soleil tape au travers des carreaux. Nous traînons un peu au lit en nous caressant et en discutant de la partie de la veille.
Nous ne manquons pas de nous interroger sur ce qui nous attend en ce second jour, mais nous renonçons vite à essayer de deviner. Nous passons ensembles sous la douche et nous choisissons de rester nues pour rejoindre les autres que nous entendons discuter sur la terrasse. Laure et Michel sont tous les deux en train de déjeuner et ce dernier s’écrie :

- « Voilà nos petites putes, ça va les filles ?
- Super » réponds Marie.

Greg et Edouard arrivent à leur tour et nous déjeunons tous ensembles avant de piquer une tête dans la piscine. Vers midi, nous mangeons tous six, Marie et moi sommes toujours nues alors que tous sont habillés. A la fin du repas, Michel nous demande d’aller passer une robe, et de prévoir une serviette pour aller à la plage. Je lui fais remarquer que nous n’avons pas de maillot, et Greg me répond en riant :

- « Vous n’en avez pas besoin, on va à la baie des cochons ! »

Marie m’explique qu’il s’agit d’une plage naturiste, et que ce n’est sûrement pas pour se baigner qu’il nous emmène là-bas. Nous enfilons rapidement une robe de plage qui ne cache pas grand-chose de notre anatomie. Nous partons avec Greg et Michel en camping-car, Edouard et Laure nous suivent en voiture. Une fois arrivés sur le parking, nous nous déshabillons tous, vu que c’est une zone naturiste, et direction la plage. Marie et moi nous installons sur nos serviettes, à la demande de Michel, il met en place des parasols pour que nous soyons à l’ombre. Greg nous ordonne :

- « Commencez à vous gouiner, ça va faire venir des voyeurs ! »

Marie commence à me caresser et à m’embrasser en se collant contre moi, Michel lui demande de se mettre au-dessus de moi tête bêche, et il nous demande de nous lécher. Marie écarte mes cuisses pour bien m’ouvrir et pose son sexe sur ma bouche. Nous en venons rapidement à gémir toutes les deux. A un moment j’entrouvre les yeux et je vois pas mal de monde en cercle autour de nous, surtout des hommes dont certains se masturbent en nous regardant. J’entends Greg parler à certains sans comprendre ce qu’ils se disent.

Au bout d’un assez long moment, Marie jouit sur ma bouche en poussant un long râle, elle écrase son sexe sur ma bouche ouverte pour que j’aspire la mouille abondante. Puis elle s’allonge à côté de moi alors que je dois me masturber violemment pour jouir à mon tour. Elle se blottit contre moi en s’excusant d’avoir joui aussi vite. A peine elle me touche les seins que je crie de plaisir à mon tour. Nous restons ainsi, blotties dans les bras l’une de l’autre, j’entends vaguement que certains voyeurs applaudissent, d’autres lancent quelques termes salaces. Puis J’entends la voix de Michel qui dit :

- « Bon, messieurs, le spectacle est fini. Début de l’abattage à 18h00 à l’endroit prévu pour ceux qui veulent. »

Je ne saisis pas ce qu’il veut dire sur le moment, mais Marie me glisse à l’oreille :

- « On va prendre cher je crois ».

Quand nous avons repris nos esprits, Laure nous sert un coca bien frais et s’assois près de nous. Les trois garçons nous rejoignent à leur tour et se servent une bière dans la glacière amenée par Edouard. Nous restons un moment sur la plage, après nous être baignés une petite demi-heure. Vers 17h00, Laure dit qu’il est l’heure d’y aller et nous regagnons le parking. Nous nous habillons et Edouard dit à Michel de le suivre avec le camping-car. Nous roulons 30 à 40 minutes, jusqu’à prendre un chemin de terre qui s’enfonce dans les bois. Je suis étonnée de voir qu’il y a pas mal de voitures stationnées sur le bord de ce chemin. J’essaie d’interroger Marie, mais elle semble plongée dans ses pensées et ne pas m’avoir entendu. Michel quitte le chemin et s’enfonce dans une petite clairière, puis s’arrête. Avant de descendre du véhicule il nous lance :

- « Foutez-vous à poil et attendez que je vienne vous chercher ».

On s’exécute et on attend un bon ¼ d’heure, le coffre latéral du camping-car claque violemment. Je devine que les hommes sont en train de mettre en place l’auvent léger sur le côté du véhicule. Comme les rideaux sont baissés, nous ne parvenons pas à voir ce qui se passe dehors, mais vu le brouhaha il doit y avoir pas mal de monde. Je vois Marie prendre un tube de lubrifiant dans son sac et préparer son entrejambe et son anus avec, puis elle me tend le tube en me conseillant de faire de même :

- « Prépares-toi maintenant, après je ne suis pas sûre qu’on ait le temps. On voulait du nombre et je crois que là on va être servies. »

À peine sa phrase terminée, la porte s’ouvre, Greg et Michel nous prennent chacune par le bras et nous entraînent dehors. Nous nous retrouvons face à un nombre de gens dont je n’arrive pas à déterminer le nombre, une bonne cinquantaine au moins. Il y a une majorité d’hommes, mais aussi des couples. Dès que nous sommes face à eux, j’entends un brouhaha de satisfaction parcourir cette foule. Edouard crie en demandant le silence puis il se met à parler à destination des gens présents :

- « Messieurs, comme prévu nous allons mettre ces deux putains à votre disposition pour une séance d’abattage, je vous donne les quelques règles de base pour que tout se passe bien. Elles ne sont pas là pour prendre du plaisir, mais pour en donner, donc pas de perte de temps en câlins. Vous pouvez les baiser et les enculer à volonté, mais capote de rigueur. Elles sucent à cru et en gorge profonde toutes les deux et elles adorent se gaver de foutre. Bien entendu tout doit se passer avec respect et courtoisie, pas de violence, et quand on dit stop, c’est stop. En cas de problème quel qu’il soit on met un terme au jeu. Je vous souhaite bonne bourre ! »

Je suis verte de honte au fur et à mesure qu’il parle et je n’ose pas regarder autre chose que mes pieds. J’ai le sentiment d’être un vulgaire objet, et je subis la pire humiliation de ma vie. Malgré ça je sens mon entrecuisse s’humidifier. Le discours d’Edouard est salué par une salve d’applaudissement, et nous voilà traînées vers l’autre côté du camping-car.

Sous l’auvent, il y a deux grands matelas épais posés à même le sol sur lesquels nous sommes poussées sans ménagement. Un cercle se forme immédiatement autour de moi et je suis mise à quatre pattes par deux gars, et plusieurs sexes cognent de sur mes lèvres pour que je les suce. Je sens des mains me toucher de partout, m’ouvrir fermement. J'ai la bouche pleine, un sexe dans chaque main que je masturbe et un gars se place derrière moi pour me sodomiser d’entrée. Il y a tellement de monde autour de moi que je ne vois même pas Marie, mais j’imagine qu’elle est dans la même situation que moi. J’entends des bribes de phrases, parfois des ordres :

- « suce pouffiasse ! Elle est bonne ! Son cul est un boulevard…. »

Les gars se succèdent sans répit dans tous mes orifices, parfois je suis prise en double. Quelques-uns éjaculent sur mon corps, dans ma gorge, je sens aussi des capotes qu’on vide sur mon corps. Parfois j’entends la vois de Greg ou de Michel qui semblent réguler le « trafic ». Plusieurs fois j’ai des orgasmes,
j’entends parfois Marie crier sans la voir.

À un moment je dois crier pour dire que j’ai besoin d’aller aux toilettes. Greg fait reculer tout le monde, et me tend mes espadrilles. Comme je veux rentrer dans le camping-car, il me dit :

- « Non les putes ça pisse dehors devant tout le monde. »

Et il m’entraîne à quelques mètres puis me fait accroupir face à tout le monde. La situation est si humiliante qu’il me faut au moins cinq minutes avant d’y arriver. Puis je suis ramenée sur le matelas et le balai reprend de plus belle. Au bout d’un certain temps, les rapports deviennent douloureux et Greg, toujours vigilant annonce la fin du jeu. Il demande à tous ceux qui sont en train de se masturber au-dessus de moi de m’arroser copieusement. Marie s’allonge à mes côtés et nous nous retrouvons sur le dos avec un cercle d’hommes en train de se masturber au-dessus de nos corps épuisés. Les giclées se suivent et nous recouvrent, certains s’accroupissent pour nous jouir dans la bouche. Je distingue deux ou trois femmes dans le groupe qui nous regardent. Puis au fur et à mesure qu’ils se sont vidés, les gars s’en vont et le cercle diminue jusqu’à ce qu’il n’y ait plus personne. Nous restons un long moment allongées, couverte de sperme qui nous coule partout.

Laure s’approche de nous et nous demande si ça va, suivi de nos trois hommes. Tous nous félicitent et nous remercient du spectacle que nous avons donné. Michel nous propose de prendre une douche dans le camping-car pendant qu’ils rangent l’auvent. Ils doivent me porter car je n’arrive pas tenir debout sur mes jambes. Après une courte douche, je m’allonge sur le lit à l’arrière, et alors que je commence à sommeiller, épuisée, Marie se blottit contre moi, son corps nu contre le mien. J’entrevois Michel poser une couette sur nous et en moins de deux minutes nous dormons profondément.

Lorsque je me réveille le lendemain matin, nous sommes toujours dans le camping-car et Marie dors encore. Je remonte légèrement le rideau et je vois qu’il fait déjà soleil. Les volets de la maison sont encore fermés, ils n’ont pas du oser nous réveiller en rentrant. Je referme le rideau et je me blottis contre Marie en la caressant. Elle se réveille doucement et se serre un peu plus contre moi tout en s’ouvrant à mes caresses. Nous nous embrassons tendrement et nous nous masturbons mutuellement tout en douceur. Marie jouit la première sous mes doigts, puis me fait crier à mon tour. Nous parlons longuement de la soirée de la veille, elle a aimé tout comme moi. Aucune de nous deux ne sait combien d’hommes l’ont prise. Pour ma part j’ai mal à l’anus, et Marie m’applique délicatement la crème apaisante qu’elle a dans son sac à main. Puis je lui fais de même et nous finissons par nous rendormir.

Il est près de dix heures quand nous rejoignons les autres pour le petit déjeuner au bord de la piscine.
Tous sont aux petits soins pour nous, et s’empressent de demander dans quel état nous sommes. Je les sens rassurés de savoir que nous sommes en pleine forme, ravies de la soirée de la veille et surtout bien décidée à poursuivre l’aventure. Nous restons ainsi toute la journée à bronzer et à profiter de la piscine. Seuls Greg et Michel partent une petite heure faire quelques courses. Pour le soir ils nous annoncent une soirée restaurant, suivie d’un plan sexe surprise, mais moins intense que la veille afin de nous laisser un peu récupérer.

En début de soirée, Michel nous demande de nous préparer et de nous habiller en tenue sexy bien sûr. Puis nous partons pour le restaurant dans un village proche d’Agde. Je suis un peu surprise car il s’agit d’un restaurant routier vu le nombre de camions garés sur le parking. En rentrant dans la salle je vois que tous les hommes présents se retournent sur notre passage, surtout Marie et moi qui sommes détaillées de la tête aux pieds. A peine installés à table, on nous sert le premier l’entrée. Le reste du repas se passe très vite, pas le choix, on mange ce qu’on nous sert.

Au moment où nous finissons le café, Edouard se lève et va saluer deux maghrébins qu’il semble connaître à une table voisine. Ils sont grands, plutôt costauds, une quarantaine d’années et on voit bien à leur dégaine que ce sont des routiers. En revenant à la table, Edouard glisse un mot à l’oreille de Michel et se rassoit. Puis les deux gars viennent à notre table, et l’un deux dit :

- « C’est combien pour tirer un de vos deux putes ? »

Il dit ça en désignant Marie et moi ! Je sens comme un haut le cœur me serrer le ventre. Michel répond :

- « Bah des putes comme elles c’est un euro pour une heure.
- Ok, mon pote et moi on prend les deux alors » puis il pose une pièce de 2 euros sur la table.

Michel lui dit :

- « Affaire conclue, elles sont à vous pour 1 heure. »

Celui qui a payé me saisit par le bras, et l’autre saisit Marie et ils nous entraînent dehors. Je le suis sans rien dire mais je ne suis pas rassurée. Il ouvre la porte de son camion et me fait monter dans la cabine en me pelotant les fesses quand je suis sur le marchepied. Je vois Marie dans le camion garé face à face du mien, elle subit la même chose. Puis il me fait monter dans la cabine, et me pousse directement derrière le rideau, sur ce qui doit être son lit. Je passe sur les détails car ce ne sera pas pour moi un souvenir impérissable. Le gars me baise et me sodomise pendant une heure qui me parait une éternité. Il est brutal, me fait mal plusieurs fois. Je prends sur moi, je pousse quelques gémissements de complaisance pendant qu’il me pistonne. Quand il a terminé son affaire il me demande de vider sa capote dans ma bouche, je le fais mais je suis à la limite de l’écœurement. Quand il me jette littéralement de son camion je suis soulagée.

J’entends Marie qui crie de plaisir dans le camion d’en face et j’en suis un peu jalouse. Je rejoins les autres qui attendent à quelques mètres de là autour de la voiture. Nous devons attendre une bonne demi-heure avant que Marie nous rejoigne. Une fois rentrés, elle et moi discutons de l’expérience, elle a adoré. Son amant a été également un peu brutal avec elle, mais je sais qu’elle ça, un peu plus que moi en tout cas. Il nous reste, du coup, suffisamment d’énergie pour faire longuement l’amour toutes les deux.
Nous aimerions bien que Greg et Michel viennent nous rejoindre, mais ils sont accaparés par Laure qui profite d’eux cette semaine. Nous nous endormons en nous demandant ce que nos hommes ont prévus pour nous le lendemain.

Les deux jours qui suivent sont plutôt banals, nous sommes offertes une fois dans un sex-shop à quatre hommes qui se révèlent peu imaginatifs et le lendemain nous sommes baisées dans une boîte échangiste.
Mais nous avons affaire surtout à des couples dont les femmes regardent leurs maris nous prendre. Certes la soirée nous offre quelques amants corrects, mais rien d’exceptionnel.

Laure nous annonce que les quatre jours qui restent se passeront à la villa. Ses amis black à qui j’avais eu à faire lors de mon précédent séjour venaient passer quelques jours pour s’occuper de nous à temps plein. Certains passeront plusieurs jours sur place, d’autres passeront ponctuellement… Elle nous prévient que nous passerons ces quatre jours à disposition de ses amis.

Le lendemain matin, il est à peine 8h00 quand nous nous levons, il y a un peu de vent dehors et il fait plus frais que la veille. Je décide donc d’enfiler une robe, Marie se contente d’un grand paréo qu’elle noue au-dessus de sa poitrine. Seul Edouard est déjà debout et a préparé le petit déjeuner. Vers 9h00 Greg, Michel et Laure nous rejoignent au moment où les deux premiers invités arrivent. Ils prennent un café avec nous et je me retrouve assise sur les genoux de l’un d’eux. Ses mains caressent déjà mes cuisses nues, il m’embrasse et me dis qu’il a envie de me prendre. Je pars vers la chambre en le tirent par la main. Le second nous suit avec Marie, et ils nous demandent de commencer à nous « gouiner » devant eux.

Marie se colle à moi et nous nous caressons pendant qu’ils se masturbent devant nous, en nous caressant de temps en temps. Marie se met en position de 69 au-dessus de moi, chacune de nous se met à gémir en titillant le clitoris de l’autre du bout de la langue. Un des deux garçons me caresse les seins en frottant son sexe contre la chatte de Marie, puis il la pénètre d’un coup. Il me demande de continuer à la lécher pendant qu’il la baise doucement. Le second prend sa bouche en me glissant deux doigts dans la chatte. Puis il lève mes jambes à l’équerre, se couche en travers du lit et prend, Marie enfouit sa tête entre mes jambes et commence à me titiller le clitoris avec sa langue. Celui qui la baise décide de changer d’entrée et la sodomise d’un coup, alors que je continue à la masturber avec ma langue. Nous jouissons presque en même temps tous les deux. Je suis encore en plein orgasme quand le gars sort de son cul et s’enfonce dans ma gorge pour y lâcher sa semence Je parviens à tout avaler, et pendant qu’il me fait nettoyer son sexe, le second jouit dans mon ventre à son tour. Les deux garçons se rhabillent et nous laissent allongées côte à côte en train de reprendre notre souffle. Nous nous regardons en riant, la journée commence bien !

Vers 11h00, quatre garçons de plus arrivent, je les reconnais de suite comme étant de ceux qui m’ont déjà prise. J’en parle avec Laure, qui me dit que tous ceux qui seront là durant ces quelques jours m’ont déjà prise lors de ma dernière visite. Plus quatre ou cinq que je ne connais pas. Elle m’explique avoir dû faire une sélection dans tous les hommes qu’elle connaît pour ne retenir que ceux qui pourraient nous baiser sans préservatif, comme demandé par Michel et Greg. Nous discutons tous ensembles en buvant l’apéritif, et j’apprends que les quatre qui viennent d’arriver sont de Carcassonne. Ils seraient très intéressés d’avoir nos coordonnées sur Toulouse où ils viennent souvent. Nous échangeons nos numéros de téléphone. L’un d’eux m’entraîne derrière le local de la piscine pour que je le suce, ce que je fais avec délectation. Marie et moi sommes là pour satisfaire ces messieurs et nous sommes sollicitées très souvent, une grande partie de la journée et de la soirée nous la passons au lit. Certains arrivent, d’autres ne font que passer, mais ils reviendront le lendemain ou le surlendemain. Pour ma part, je finis la journée vers minuit, remplie de sperme et épuisée. Après une bonne douche, je me couche et je m’endors très vite, alors que Marie est encore en train de crier de plaisir avec son partenaire dans le lit d’à côté.

Le lendemain matin, je suis réveillée par deux nouveaux arrivants qui souhaitent que je m’occupe d’eux rapidement. Ils m’ont apporté le petit déjeuner au lit, et j’ai encore un croissant à la main pendant que je suis prise en levrette. Les orgasmes s’enchaînent jusqu’à 13h00 et je finis par arriver à me lever pour manger. Marie est aussi en train de se faire prendre sur le bord de la piscine. J’ai à peine le temps de manger que je retourne au lit.

Tout le reste de la semaine se passe ainsi et je ne vois que la piscine, le coin repas, mon lit et ma salle d’eau. Je suis en main la plupart de la journée. Nous repartons le dimanche midi, épuisées mais comblées. Pendant plusieurs jours, ni Marie ni moi n’envisageons de faire l’amour avec Michel… Nous avons surtout besoin de récupérer, seules toutes les deux. Le reste de l’été se passe sans rien d’extraordinaire, boulot, baise avec Michel ou Greg et bien sûr plaisirs sans cesse renouvelés avec Marie.
Je descends juste un fois en Août à Carcassonne retrouver les quatre garçons rencontrés chez Laure. Je passe un merveilleux week-end au lit avec les quatre. Bien évidemment ces quatre-là deviennent pour moi des amants réguliers. Ils sont blacks comme j’aime, ils me font jouir comme une folle et ils me prennent sans capote. Je peux donc m’adonner à ce que j’aime, me faire remplir de sperme.

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