Vide-Couilles

Mon histoire se passe a Paris J'avais environ 25 ans.il y avait un cinéma porno (le Beverly) dans lequel j'ai connu mes premières expériences entre hommes.
Lors des premières fois dans cette salle je ne faisais que regarder. Sur l'écran un film porno hétéro et dans la pénombre de la séance, des corps d'hommes qui se frôlent. Un jour à quelques rangs de moi se trouvaient deux hommes, pantalons baissés, la queue de l'un dans la main de l'autre. Je regardais cette scène bien plus excitante que les images sur l'écran. Je sortais ma bite déjà bien raide et me branlais discrètement en regardant un des deux hommes sucer son voisin. Les gémissements du spectateur se faisant tailler une pipe provoquaient en moi un désir grandissant. Ma main sur mon sexe provoqua l'inévitable : une éjaculation pleine de bon foutre chaud. Je léchais rapidement ma main (j’adore le sperme) mon voisin m’avait vu et me fit un petit signe de connivence. Un peu gêné je remonte mon pantalon et je sors en me disant que je reviendrai pour goûter plus profondément à ces plaisirs entre hommes.
Durant une séance suivante, j'entrais dans la salle et allais me placé sur une rangée située au fond.
Au bout de quelques instants, un homme d'environ 60 ans vint s'asseoir à 2 sièges de moi. Prenant mon courage a deux mains mais un peu anxieux malgré tout, je sortis ma queue en le regardant discrètement. Il me regardait aussi. Je ne pouvais plus reculer, il fallait oser .je baissais pantalon et slip sur mes chevilles et me laissait glisser sur le siège pour bien montrer que je branlais mon sexe. Puis je le fixais dans les yeux .il vint s’asseoir a mes cotés, sur de lui, d’une main il saisi ma queue et de l’autre il prit ma main et la plaça sur la bosse de son pantalon. J’étais heureux qu’il soit directif et prenne l’initiative Hum, la taille du paquet de mon voisin était engageante. Il me demanda d'ouvrir sa braguette. Ce que je fis sur le champ. Une fois son pantalon baissé, son sexe libéré se tendait fièrement.

Il me demanda de le branler lentement. Je m'appliquais à lui donner du plaisir, ca me plu tout de suite d’obéir, je ne pensais plus , je me laissait guider . Tout en me caressant de l'autre main, mon voisin très excité, me releva la tête et me dit « tu es bien obéissante » .en réponse je lui murmurai «je suis débutant mais je veux vraiment faire des progrès »alors il me roula une grosse pelle bien baveuse. Il pressait ma bouche contre la sienne et faisait tourner sa langue avec force autour de la mienne. Son baiser était dominateur, je me sentais de plus en plus soumis et découvrait que ce statut me comblait de bonheur .quand j’obéissais des ondes de chaleur envahissaient tout mon corps
Il détacha sa bouche de la mienne et poussa fermement ma bouche vers son sexe afin que je le suce .je compris vite que je devrais obeir a ses gestes comme une bonne chienne docile Ma bouche s'ouvrit et aspira lentement son gland. Je m'appliquais à lui procurer du plaisir. C'était ma première fellation. Après son gland, j'absorbais son manche tout en lui caressant les couilles. Mon voisin appréciait, ses gémissements me récompensaient de mes efforts
J'augmentais le nombre de va et vient sur sa bite, jouant avec ma langue et mes lèvres, lui, maintenant ma tête sur sa queue et laissant s'échapper des petits râles de plaisir. Après quelques minutes de ce traitement il bloqua ma bouche sur sa bite gonflée et prête a exploser et dit à haute voix « avale tout ma salope ! ». Je n'avais pas le choix. Je me rappelle encore de la vigueur de ce premier jet chaud et puissant et des secousses suivantes qui me remplirent la bouche de son sperme. Je n'ai pas avalé tout de suite et le sentant, mon homme me redit « avale tout ma salope ! ». J'obéis et avalai tout son foutre ! J'ai aimé. Relevant enfin la tête je vis que plusieurs hommes avaient profité du spectacle et caressaient doucement leurs bites
Cinq beaux membres bien rigides se présentaient autour de moi. En les regardant et selon les désirs de mon nouveau maitre, je me branlais rapidement et éjaculai dans ma main.
Alors mon voisin me demanda de lécher mon propre foutre. Très excité j'exécutais sa requête et rendis ma main aussi propre qu'avant l'éjaculation.
Il me fit alors m’agenouiller et il me fit avancer entre ses jambes, il passa ses jambes de chaque cote de mon corps et m’enserra entre ses cuisses .il dirigea mes mains vers deux queues de voyeurs et me demanda de les branler. Puis il me dit « suce une bite », j’attirai donc un voyeur au plus prés de ma bouche et suçai son gland. J’étais aux anges je branlais une queue et suçait une autre, mon fantasme se réalisait et je me sentais bien chienne.
Il mit une main derrière ma tète et me poussa vers la queue en me disant « avale la complète » et rajouta « tire la langue cette queue ira plus profond » puis regardant le voyeur il lui demanda de me tenir la tète et de me baiser la bouche
Ce dernier ne se fit pas prier et me tenant la tête a deux mains commença a me bourrer la bouche, enfonçant sa tige au fond de la gorge, j’avais des hauts le cœur tellement il allait profond. Mais en bonne soumise j’étais heureux d’obéir surtout que tout se passait a quelques centimètres des yeux de mon maitre (enfin moi, je considérais déjà comme tel)
Il dit alors au voyeur « vas y crache lui tout au fond de la gorge. » donc le voyeur me tint fermement la tête et me planta toute sa bite dans la bouche, je sentais sa bite tressauter contre mon palais, et il cracha de longues giclées de sperme, j’avais la bouche pleine, j’étouffais, j’avalai tout ce que je pouvais, mais j’adorais, je me sentais vraiment salope, pute.
Il se retira, je me délectais du foutre que j’avais en bouche et en essayant de reprendre ma respiration je léchais sa bite pour la nettoyer et profiter des dernières gouttes.
Il recula et aussitôt un autre voyeur vint introduire sa queue dans ma bouche, il me bourra vigoureusement sa bite et déchargea a son tour tout son jus. Pendant ce temps mon maitre me triturait la bite, la tordait et a chaque jouissance de voyeur il saisissait mes couilles, les comprimait et tirait dessus fermement et longuement.
J’eu a peine le temps d’avaler que les bites se succédèrent, je n’étais plus qu’un buveur de foutre, et ca me plaisait de plus en plus, j’avais la bouche pleine, gluante et du foutre coulait au coin de mes lèvres
Je ressentais joie, bonheur et fierté, a chaque éjaculation, c’étais moi qui leur tirais leur jus , mais la douleur sur mes couilles et mon sexe venait se mêler au plaisir . Toutes ces sensations se mélangeaient dans ma tête pour en final n être que du bonheur et de la volupté.
C’est la que je commençais a comprendre que la douleur et la sensualité pouvaient amener a la félicité des sens, c’était l’exacerbation maximum de tous nos sensations dans le même instant , qu’une éjaculation n’est pas forcement nécessaire pour atteindre le nirvana et que l’exécution réussie d’un ordre peut amener la plénitude du plaisir
Les six voyeurs se vidèrent en moi, j’étais repu et je mis un long moment a reprendre mes esprits et ma respiration
Je me tournai alors vers mon maitre et lui dit « merci maitre »
Il me répondit « tu es une bonne chienne, un bon vide- couilles, ca te plairait que je continue ton éducation »
-Oh oui maitre
- Alors promets-moi d’obéir à tous mes ordres et de vouloir devenir une vraie salope
Je promis


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