Une Belle-Mère Formidable

Comme chaque année, nous nous rendons chez les parents de ma femme, qui habitent en banlieue de Paris.
J’ai 30 ans et ma femme aussi. Nous sommes mariés depuis 4 ans et nous avons deux s.
Ma belle-mère a cinquante-deux ans. Grande toujours mince, avec une superbe poitrine que je devine sous son pull moulant, les yeux verts, une bouche pulpeuse, je trouve vraiment que mon beau-père a de la chance de s’envoyer ce morceau de choix.
Après les retrouvailles habituelles, et le déjeuner traditionnel, mon beau-père qui est très heureux de retrouver sa fille, lui propose de faire un tour avec les s, comme il le faisait avec elle quand elle était petite. Ma femme accepte volontiers et dit à sa mère :
- Pendant ce temps-là, maman, tu pourrais faire l’ourlet du pantalon de mon petit mari.
- Avec plaisir ma chérie, tu sais comme j’aime la couture
Nous restons seuls, ma belle-mère et moi à table, à finir de boire le café, moi dans le canapé et elle en face de moi sur dans un fauteuil.
Je commence à la trouver très sexy la belle-maman, qui me raconte leur voyage à Venise en croisant et décroisant les jambes ce qui me permet de repérer de temps en temps la vision du triangle blanc de sa petite culotte.
- Si vous alliez enfiler votre pantalon neuf, que je voie ce que je peux faire pour vous, me dit-elle.
- Avec plaisir, vous verrez il est très beau, léger, très agréable à porter pour cet été.
Je passe dans la chambre où j’espère faire disparaître mon début d’érection, pour ne pas effaroucher belle-maman. J’arrive dans le salon, où elle a sorti sa boîte à ouvrage :
- Venez, ici devant moi, je ne vous fais pas peur tout de même ? Attendez, que je regarde la ceinture … c’est bon, passons à l’ourlet …
Elle se met à genoux devant moi, son décolleté est juste sous mes yeux, le pull baille et je peux voir ses deux magnifiques nichons !
- Ne bougez-pas je mets les épingles, vous pourriez vous piquer ! Bon ce n’est pas mal mais il tombe mal à gauche.


Je suis un peu gêné car si le pantalon tombe mal, c’est que mon érection m’a repris et que cela tend le pantalon, ment !
- Je vais voir avec un peu de recul, dit-elle en s’asseyant en face de moi. Oui, c’est la ceinture qui tombe mal, je vais y remédier.
Elle se prosterne à nouveau devant moi, mais là pour évaluer le travail à faire elle me met la main sur la braguette et me soupèse carrément le paquet.
- Vous portez de quel côté ? me demande-t-elle.
- A gauche, je pense !
- Il faut en être sûrs, pour ne pas faire de bêtise, enlevez le pantalon, nous allons vérifier.
Très gêné mais un peu excité par ma belle-mère, je quitte mon pantalon et me retrouve en slip devant elle.
- C’est vrai qu’il y en a un beau paquet à caser, c’est pour ça que le pantalon tombe mal. Vous permettez, dit-elle en me mettant la main carrément sous les couilles pour les soupeser.
Le slip est bien tendu et ma queue est en train de passer par- dessus l’élastique et tout à coup je disjoncte.
- Tu voulais la voir ma queue, cochonne eh bien la voilà, elle te plaît !
- Mais enfin, que vous arrive-t-il vous devenez fou !
- Tu voulais de la queue tu vas en avoir, déshabille toi tout de suite …
- Non, vous êtes fou je vais le dire à votre femme et mon mari.
- Déshabille-toi vite, ou je te donne une paire de claques.
Aussitôt elle enlève son pull dénudant une poitrine, puis fait glisser sa jupe et se retrouve en soutien-gorge et string.
- Et maintenant dit-elle ?
- A genoux, tu vas me montrer comment tu pompes ton mari ! Suce-moi !!!
Attirée par cette situation elle se met à genoux devant moi et att ma queue qu’elle se colle aussitôt dans la bouche et commence à me sucer. De l’autre main elle me caresse les couilles. De temps en temps elle sort toute la queue de la bouche pour passer sa langue et jouer avec le gland. Elle me regarde puis se recule en me disant :
- C’est bon mon salaud, j’en avais envie depuis longtemps de ta grosse queue.

- Oui alors, continue tu vas me sucer à fond, je veux que tu avales tout mon foutre comme une cochonne que tu es, tu entends sale chienne !
- Oui, insulte moi, j’adore ça, je suis ta chienne.
Au bout de quelques minutes de fellation, je retire ma queue de sa bouche, en la tenant de ma main droite, pendant que de la gauche je lui att les cheveux et lui tire la tête en arrière. Un flot de sperme sort de ma queue et lui arrive sur le visage, elle se passe la main sur le visage pour récupérer le reste et le remet dans la bouche pour le savourer.
Quelques instants après, ayant repris notre souffle, nous gisons par terre, moi nu et elle en sous-vêtements affriolants, les cuisses écartées, prête à recevoir d’autres offrandes.
- Il faut faire attention, ils vont bientôt revenir, dis-je à belle maman, il faut se rhabiller.
- On a encore au moins trois-quarts d’heure, j’ai vraiment envie que tu me baises maintenant, tu m’as échauffée, j’ai la chatte en feu !
- Assieds-toi sur le fauteuil et branle-toi, lui dis-je excite moi pour que je redurcisse, parce que tu m’as vraiment pompé les couilles.
- Elle s’assied sans se faire prier et met une jambe sur chaque accoudoir du fauteuil. Sa chatte est luisante de mouille et ses grandes-lèvres dépassent de chaque côté du string. Elle se met les doigts dans la bouche pour les mouiller et aussitôt se met à se les enfoncer dans la chatte avec délectation.
- Regarde mon chéri, comme ta vieille belle-mère est une grosse salope, vas-y durcis, que tu puisses me l’enfoncer dans la chatte et dans le cul.
De mon côté, j’ai sorti ma bite et commence à me l’astiquer consciencieusement, pour atteindre les 15cm qu’elle fait quand je suis en forme. Puis je viens me mettre devant elle, et je lui dis :
- Tourne toi vieille salope je vais te bourrer ton cul, tu aimes te faire ramoner par le mari de ta fille.
- Oui, vas-y parle-moi comme à une pute, j’aime ça, j’aime me faire mettre par un jeune.

Je me penche et lui lèche l’anus pour le lubrifier, puis j’avance le bout de mon gland le long de sa raie et d’une seule poussée je pénètre en elle.
- Ouiiiiiiiiiiiiiii !!!! Dit-elle dans un long feulement sensuel, vas-y bouge, astique-moi, remplis-moi… je veux ta queue mon chéri.
Je suis excité comme jamais, j’ai la queue qui semble énorme dans son petit cul étroit que je lime comme un perdu.
Au bout de quelques instants, elle me dit :

- Rhabillons-nous, je vais te faire une tasse de thé.
- D'accord, mais maintenant, je t’interdis de mettre une culotte quand je suis là, je veux pouvoir te baiser quand, je veux et user de ta chatte de ton cul et ta bouche, pour mon plaisir. Acceptes-tu ?
- Oui, mon amour, tout ce que tu veux, je serai ta chienne lubrique et obéissante.

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