Leslie La77

Leslie LA77 - Laure, le journal intime - Période saphique, Lesbiennes & Co, suite

Le soir je suis rentrée à l’appartement troublée, mon début de journée avec Zahra, puis le déjeuner avec Sophie, l’éventuelle rencontre avec Layla et Zahra et mon désir d’homme, tout cela contribuait à mon trouble et l’état dans lequel j’étais.

Zahra devait venir me rejoindre et en l’attendant j’ai pris un bain pour me changer les idées, puis je me suis parfumée le corps et j’ai passé un kimono.
J’étais passée chez le traiteur et le dîner était prêt, je venais juste de nouer la ceinture du kimono à ma taille, que la sonnette de la porte d’entrée à retentis.

Je suis allée ouvrir et je me suis retrouvée devant Zahra, qui se tenait debout dans un long manteau, complètement nue dessous, devant mon étonnement, elle dit :

- Surprise !

Je l’ai fait rentrer, en lui disant :
- Alors toi, t’es une sacrée !

Elle s’est ruée sur moi, a tiré la ceinture de mon kimono qui s’est ouvert sur ma nudité et Zahra a plaqué son corps nu sur le mien, et nous nous sommes embrassées.

- Ne me dit pas que dans une telle tenue tu attendais quelqu’un? Me dit-elle.

- Quelqu’une, figures-toi que j’attendais mon amante !

- Et cette amante ? C’est qui ?

- Toi, ma chérie !

Nous sommes allées aussitôt dans la chambre, le kimono et le manteau volant en même temps dans le salon et c’est nues sur le lit, que nous avons démarrées la soirée.
Baisers, caresses, soixante-neuf, tout pour avoir du plaisir et jouir ensemble, puis le dîner, vite pris, nues toutes les deux ;
Puis retour dans la chambre, utilisation d’accessoires, pénétrations multiples, orgasmes à répétition, nous laissant, à une heure du matin, en sueur dans les bras l’une de l’autre.

Allongées côte à côte, La tête de Zahra sur ma poitrine, la main perdue sur mon pubis, dans un souffle, elle me dit :

- Layla est d’accord pour nous recevoir le week-end prochain !

- Super, je me ferais belle pour toi, dis-je.



- Belle et sexy ?

- Peut-être provocante !

- Super, je t’aime, Laure chérie.

- Moi aussi, je t’aime Zahra !

Et nous nous sommes endormies…

Le lendemain, Zahra est partie, heureuse et épanouie, même si je lui ai dit que je devais partir deux jours en déplacement, mercredi et jeudi, et que nous ne pourrions-nous revoir que le vendredi soir.

- Tu passeras me chercher, nous irons avec ta Triumph, elle fait beaucoup d’effet.

- Ok, ma chérie, à vendredi.

Le mardi soir fut une soirée calme, couchée tôt car je devais prendre le train le lendemain de bonne heure.
Le mercredi, pour la présentation du projet à notre client, j’étais accompagnée de Karl, un collègue qui était venu en voiture, nous nous sommes retrouvés au siège de notre client et qu’elle ne fut pas ma surprise d’y retrouver aussi Sophie déjà installée dans la salle de réunions.

Heureuses de nous revoir, elle est venue vers moi et a déposé sur ma joue un baiser que je lui rends aussitôt, mais discrètement, sur les lèvres.

Le contact est doux et chaud, et je vois qu’elle a rougit, tout comme Karl qui nous a vu. Je sens ma culotte mouiller, car ce seul contact me transforme en fontaine. subitement j’ai chaud et j’enlève ma veste, oubliant que je n’avais pas mis de soutien-gorge et m’aperçois que mes tétons durs pointent sous le corsage, mais je ne suis pas la seule à l’avoir remarqué.

- Toi, tu as une belle poitrine, me dit Sophie dans l’oreille, tu n’as pas besoin de soutien-gorge pour la maintenir.

Et la réunion a commencé, puis le déjeuner et encore la réunion, rien à dire là-dessus, sinon que nous étions pratiquement assurés de signer le contrat le lendemain matin…
La société nous avait retenue des chambres dans le même hôtel et nous avons pris nos quartiers pour la nuit, dès dix-neuf heures.

- On dîne ensemble? Nous demanda Karl.
- C’est une bonne idée, dis Sophie.


- Alors vingt-heures, en bas, dit Karl.

- Ok, à plus…

Nous avons été chacun dans notre chambre respective, toutes au même étage, celle de Karl au fond du couloir, la mienne mitoyenne à celle de Sophie, avec en plus, une porte communicante.
Bien-sûr avec Sophie, étant des femmes, nous n’avons pu résister à l’envie de nous montrer nos chambres et échanger nos impressions. Elles étaient semblables et il n’avait rien à dire, confortables et bien agencées.

En me rapprochant de Sophie, je lui ai dit :

- Par rapport à ce que tu me disais ce matin sur ma poitrine, la mienne n’est pas aussi belle que la tienne, la tienne est généreuse et doit plaire aux hommes, la mienne plus petite plait aux femmes. Tu ne veux pas que je la touche un peu, je voudrais la sentir dans ma main et je suis sure qu’elle est bien ferme.

- T’es complètement dingue, Laure, je suis une femme et je……

- Je sais, tu n’as jamais été avec une femme, mais laisses-toi faire, peut-être que tu vas aimer et dans le cas contraire, je te promets que je n’irais pas plus loin.

Je fais lentement descendre la fermeture éclair de sa robe, Sophie immobile et tétanisée ne fait rien pour m’aider, comme pour me décourager.

Après avoir doucement caressé son dos, ma main s’avance et je flatte maintenant un sein, c’est immense, énorme mais le contact du soutien-gorge est désagréable, alors je le détache et je m’en doutais son sein reste en place et ne tombe pas.Il est ferme, je le caresse et Sophie émet de drôles de grognements.

- Arrête tout de suite, me dit-elle, arrête, je t’en supplie !

- Mais pourquoi ?

Alors pour la faire craquer je lui dit :
- Je sens que tu aimes cela et tes seins m’excitent terriblement. Je sais que tu mouilles en ce moment, j’en suis sûre. Je pourrais glisser mes doigts dans ta culotte et aller vérifier, je pourrais faire tant de choses, que tu aimerais que je fasse tout cela, mais ta raison l’emporte.


- Arrête ! Laure arrête !

Je ne vais pas insister, même si je sens qu’elle lutte contre ses désirs, mais c’est la raison qui l’emporte et elle me repousse doucement en disant :

- Il est temps de nous préparer pour le dîner.

Je suis retournée dans ma chambre, la laissant complètement haletante et déboussolée.

En me préparant dans ma chambre, j’ai pensé que j’avais fait peut-être un peu fort avec elle. Je n’avais pas pris en compte que c’était une femme d’une quarantaine d’années et que j’aurais pu être sa fille et qui me connaissait à peine, même si elle avait une certaine attirance pour moi, il fallait simplement qu’elle surmonte ses peurs.
Le dîner fût agréable, nous avons rigolé

Dans ma chambre, je me suis mise au lit, nue comme à mon habitude, laissant la lumière de la table de chevet allumée pour lire un peu. Une demi-heure plus-tard, mon attention fut attirée par des bruits, je ne devinais rien mais j’entendais très distinctement des voix venant de la chambre de Sophie. Collant mon oreille à la porte, J’ai entendu la voix de Karl qui disait :

- Tournes-toi, salope, que je te prenne par derrière, je vais te perforer le cul ! Je vais te la mettre ma belle et te faire hurler. Allez, écartes-toi !
-
J’étais scotchée, Sophie et Karl ensemble, il fallait que je regarde, alors j’ai entrouvert la porte communicante.

Sophie était appuyée sur la tête de lit, la robe remontée sur ses hanches, son string blanc sur ses chevilles. Karl, derrière elle près à la défoncer.

- Avant de te la mettre, je vais te sucer un peu, t’as l’air fraîche et j’adore les femmes qui s’épilent et t’es toute mouillée, trempée même, Laure a dû t’exciter, cette petite pute de gouine… Hein, elle t’a excitée avec ces cochonneries, parait qu’elle s’est y faire cette salope !

Comment pouvait-il savoir que j’aimais les femmes, Carole lui aurait-elle dit, ou-bien inventait-il cela pour exciter Sophie après m’avoir vu l’embrasser…

Sophie se retourne, s’assoit sur le pied du lit et écarte les cuisses.
Karl se penche vers elle, la bite est tendue et le gland violacé. Le salaud, il en a une grosse et il s’astique lentement d’une main.

- Oui, elle m’a excitée, j’en pouvais plus, mais je ne l’ai jamais fait.
Enfonces-toi en moi, baies-moi, mais lèches-moi bien avant…
-
Karl se penche et enfouit sa tête entre les cuisses de Sophie.

- Oui, comme ça, avec toute ta langue… J’aime les queues, quand elles sont grosses et bien dures, ohhh oui, t’es raide. Pénètres-moi !

- T’aimerais baiser avec elle… Avoue que t’aimerais bien qu’elle vienne te retrouver. Si elle était là, je pourrais vous prendre toutes les deux, chacune votre tour.

Je n’en peux plus. Ce spectacle est terriblement excitant et la grossièreté dont Karl fait preuve plaît visiblement à Sophie qui utilise un langage dont je ne l’aurais pas cru capable.
Elle se trémousse, écarte encore plus les cuisses et maintient fortement la tête de Karl qui lape sa chatte dégoulinante. Elle retire sa robe et découvre ses deux gros lobes laiteux. Je vois enfin cette poitrine à laquelle j’ai rêvé tout le repas. Elle est encore plus grosse que je l’imaginais, ainsi découverte.

Elles a de gros tétons, qui dressés ressemblent à deux petites bites qui ne laissent pas Karl inactif. Il quitte rapidement la chatte pour allonger Sophie sur le lit et jouer avec ses seins offerts. Sophie, étendue sur le dos, presque écartelée, s’agite et pousse des petits cris de bête.

- Tu vas me la foutre ta queue, j’en peux plus.

Et Karl embroche Sophie de sa grosse queue.

- Ohhh oui, comme ça, c’est bon. Bien profond. Plus vite, plus vite…

Karl s’est totalement enfoncé. Il pousse fort. Sophie halète, ouvre la bouche et remue la langue. On a l’impression qu’elle cherche de l’air, sa poitrine monte et descend de plus en plus vite, ses cheveux se répandent sur le lit.

- Tu voudrais avoir le cul de Laure sur la gueule, hein salope ? Tu voudrais la sentir sur ta langue pendant que je te bourre.

Je me caresse en regardant les deux amants en pensant que j’aimerais bien être à la place de Sophie…

A suivre…

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