Weekends: Emilie, Sandra Et Moi (4)

Nous passâmes le reste de l’après-midi au bord de la piscine à nous prélasser au soleil entre deux plongeons. Et même si nous n’enfilions des maillots que pour nager, nous restâmes sages malgré notre nudité.

Le soir venu, après nous être douchés et habillés nous prîmes la voiture pour aller diner en ville. Sandra nous avait conseillé un bar tapas où nous passâmes la soirée à boire des verres en mangeant. Après cela nous marchâmes dans les rues, sans but, bavardant tranquillement. Nous n’avions pas envie de rentrer. La nuit était douce, agréable.

Malgré tout, il nous fallut reprendre la route. Sandra me laissa le volant et s’installa à l’arrière avec Émilie.

— J’ai toujours rêvé de faire l’amour en voiture, dit-elle en embrassant Émilie. Avec un chauffeur c’est encore plus excitant. Et au moins tu ne viendras pas nous déranger, ajouta-t-elle en riant.

Je quittais la ville alors que les filles se roulaient des pelles sur la banquette arrière. Je jetai un oeil de temps en temps dans le rétroviseur. Elles avaient déjà fait tomber leur haut dévoilant leurs seins qu’elles se suçotaient, se caressaient.

La route défilait sous mes yeux, dans le faisceau des phares. Je tâchais de rester concentré sur ma conduite, tache rendue difficile par les petits cris de plaisir des filles derrière moi. J’accélérais voulant au plus vite rentrer chez Sandra et pouvoir m’amuser aussi. J’entendis Émilie jouir. Je tournais la tête pour la voir.

— Regarde la route mon amour, me dit-elle, tu profiteras de moi plus tard.
— Oui regarde la route, on est pas encore arrivés, et il faut qu’Émilie me fasse jouir, ajouta Sandra.

C’était une vraie de devoir non seulement conduire pendant qu’elles faisaient l’amour, mais en plus ne pas pouvoir profiter du spectacle, n’ayant droit qu’aux bruitages. Je serrais le volant à m’en faire péter les articulations.

— Elle est trop douée avec les chattes, dit Sandra, c’est presque une honte qu’elle suce aussi des bites.


— Tu dis ça parce que tu es jalouse, répondit Émilie.
— Tais-toi et occupe-toi de moi comme j’aime.

Je vis le village se profiler au loin. J’appuyais sur l’accélérateur. Sandra était au bord de l’extase. Nous traversâmes la place centrale au moment où elle atteint l’orgasme, mais ses cris ne dérangèrent personne.

Je garais la voiture, descendis, et ouvris la portière arrière. Les deux femmes nues s’embrassaient, ne s’intéressant pas du tout à moi. Je du siffler pour qu’elles daignent me jeter un regard.

— Je crois qu’il a faim, dit Sandra.
— Très faim même, regarde la bosse qui déforme son pantalon, il va falloir que je m’occupe de lui, répondit Émilie.
— Moi aussi j’ai de quoi m’occuper de lui, une belle ceinture qui ira très bien avec son petit cul.

Émilie et Sandra sortirent en rigolant, sans prendre la peine de s’habiller, et montèrent à l’étage en courant. Je le suivais du même pas. Dans la chambre de Sandra, Émilie était déjà allongée jambes écartées, se caressant. J’avais semé mes fringues en chemin et sautais sur elle, bite en avant. Sandra apparue, équipée d’un gode ceinture identique a celui qui nous servait à Émilie et moi.

— Alors, elle est pas belle ma bite, dit-elle en la secouant sous mes yeux.
— Magnifique, dit Émilie, j’ai la même…
— Et je l’adore, ajoutais-je.

Sandra se plaça derrière moi, et en un coup de reins ferme m’encula. Je poussais un cri. Une douce douleur m’envahit. Je fermais les yeux. Émilie prit ma queue et la guida vers elle. Je rentrais dans son sexe déjà bien chaud. Sandra me caressait les fesses, elle me sodomisait avec vigueur.

— C’est la première fois que j’encule un mec, et je sens que je vais adorer ça, dit Sandra, je trouve super excitant d’être aux commandes.
— Je comprends ce que tu dis, moi aussi j’aime l’enculer, j’aime le posséder, et le faire jouir. Je regretterais presque de ne pas avoir une vraie bite de temps en temps.


Excité comme je l’étais je ne fus pas long à jouir en Émilie, mais je demandais à Sandra de continuer. Elle m’attrapa les hanches et augmenta le rythme de ses coups de reins. Ma bite flasque se secouait en envoyant des gouttes de foutre de façon anarchique sur le corps d’Émilie. Celle-ci se leva et vint m’embrasser.

— Viens me lécher pendant que Sandra te défonce le cul, me dit-elle en m’offrant sa chatte, viens lécher ton foutre en moi.

Elle attira mon visage vers son sexe d’où couler mon sperme chaud. Je léchais mon nectar à même ses lèvres humides. Sandra me fit jouir une première fois. Je me tendis, et lâchais un soupir de plaisir dans la chatte d’Émilie. Je demandais à Sandra de faire une pause. Émilie me força à replonger en elle.

— Vas-y ma belle, continue à l’enculer, fait le jouir encore.

Sandra reprit et en quelques minutes j’eut un nouvel orgasme qui me transperça le corps du cul au bout du gland, je lâchais un petit jet de foutre sur les draps.

— Je crois qu’il a eu son compte, dit Sandra en se retirant de mon cul. Tu crois qu’il a toujours faim ?
— Il a toujours faim, comme moi, dit Émile, tu n’as pas compris encore. Tous les deux on en en jamais assez.
— Vous étés des dingues, répondit Sandra.
— Des dingues du sexe, dis-je.
— Exactement, d’ailleurs tant que tu es équipée si tu venais m’enculer, lança Émilie.

Et la nuit se poursuivit sur le même thème jusqu’à ce que nous n’en puissions plus et que l’on tombe de fatigue sur le lit souillé de nos fluides corporels.

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