Après La Rentrée Des Classes

J’ai eu la riche idée inviter une amie de rencontre : nous nous connaissons pour emmener nos gosses à l’école maternelle. Je suis nouvelle dans le quartier : connaitre une autre fille est le but. Je ne pensais jamais arriver là où nous en sommes. Tout a commencé naturellement quand elle m’a raconté ses amours au lit. Je savais qu’elle aimait baiser. Elle me disait comment elle aimait se faire mettre, presque comme moi, sauf qu’elle aimait sans doute plus la sodomie que moi.
Elle m’expliquait bien comment elle sentait la bite de son mec entrer dans son anus, comment elle jouissait. Je pense que nous nous sommes excitées ensemble sur son récit. Je n’aurais jamais osé lui raconter en détail comment je me faisais mettre par la bite de mon homme. Je me sentais mouiller. J’écartais un peu les jambes comme pour aérer ma chatte. Elle allait bien plus loin en posant directement sa main sur son sexe. Elle se caressait doucement par-dessus ses vêtements. C’était le début de l’aventure : je l’embrassais pleine de désir. Elle ouvrait la bouche, mettait sa langue dans la mienne. C’était excitant comme le premier baiser, sauf qu’elle était une femme, que j’avais une envie folle d’aller au fond de cette relation, tant pis si je me faisais caresser par une femme.
J’étais entièrement en accord avec elle quand notre baiser s’est transformé en une chose importante. Elle tenait mon cou, descendait insensiblement sa main vers le corps. Oh, que je la voulais là en bas ! Elle en a mit du temps pour venir sur ma taille d’abord et enfin sur le pubis. J’étais tendue vers sa main. Je me suis décidé à prendre un peu d’initiative en posant ma main sur la sienne.
J’écartais totalement les cuisses, ma main la guidait vers ma chatte. Je la sentais sur la culotte. Je voulais qu’elle passe dessous, ce qu’elle a fait insensiblement. J’ai du mouiller ses doigts avant même qu’ils me fassent quelques chose. Ma langue en sortant venait lécher sa langue. Je trouvais un gout extraordinaire à sa salive.

C’était un venin, un avant gout de sa cyprine que je voulais sur moi. Enfin elle osait me caresser, me donner du plaisir. Sa main quittait le haut de ma cuisse, venait directement sur le clitoris. Elle me caressait mieux que bien. En me tendant encore, ses doigts venaient directement dans le sexe.
Je faisais les mouvements de baise sur ses doigts. Et je me laissais aller vers le plaisir qui montait. J’étais sur le point de jouir quand elle a prit ma main pour la mettre sur son sexe. Elle était plus mouillée que moi, je suppose. Je glissais sur elle, dans sa fente. Je lui donnais aussi du plaisir. Elle descendait encore vers le bas du siège : je perdais son sexe. Mais quand elle s’est retournée, que j’ai vu sa chatte vers ma bouche, je l’ai prise entre mes lèvres. Son gout m’électrisait. La langue léchait son intimité. Sa cyprine coulait dans ma bouche : un nectar un peu salé. Je collais encore un peu ma chatte contre elle : je devais moi aussi couler dans sa bouche.
Elle voulait encore que nous nous caressions. Cette fois elle était décidée à me faire connaitre d’autres sensations. Sa main n’hésitait pas à chercher un autre coin de mon entre jambes. Je sentais ses doigts fouiller vers mon anus. J’aimais déjà me faire prendre par les bites à cet endroit sacré. Un doigt est venu à la découverte de mon cul. Entre sa langue sur le con et maintenant son doigt sur le cul, je jouissais encore plus. Je me donnais en entier. Pour le prouver je léchais son clitoris, le faisant durcir. Et son jus coulait dans ma bouche. J’avais envie de lui donner d’avantage. Ma langue partait vers son anus. Je trouvais un œillet à peine fermé, qui il me semble m’appelait. Ma langue glissait sur son anus. Il me semblait que mon sexe remplaçait ma langue. Je léchais sans cesse. Enfin le cul s’ouvrait un peu, juste ce qu’il me fallait. Le bout de la langue entrait à peine en elle. Je la sentais jouir encore grâce à ma langue que je lui mettais ensuite dans la bouche. Elle me léchait la langue.

Quand nous nous sommes aimé en 69, la meilleure des façons entre filles, nous sommes restée allongées presque tout l’après midi à nous brouter sans cesse. Je crois l’avoir mise à sec pour un moment.
Le lendemain nous avons recommencé. Cette fois elle avait pris un gode. Elle pouvait me baiser comme un homme ou presque. C’était bon de se faire sucer et transpercer à la fois. C’est toujours aussi bon après des moins de relations sans que nous cessions de nous faire mettre par nos mâles respectifs. Elle voudrait maintenant baiser avec mon mec. J’y pense, pourquoi pas. Il devrait y prendre du plaisir, surtout si je les regarde. Il sait pour nous, je le lui ai dit plusieurs fois. A chaque fois il bande, le cochon, avant de me mettre. Mais il reste qu’elle me suce mieux, bien mieux que lui.
Quand nous nous séparons avec l’espoir de recommencer, sa salive a l’arrière gout de mon con. La mienne doit sentir sa chatte certainement. Moi, quand je baise, j’ai envie de jouir, bien sur de faire jouir l’autre aussi. Mais j’aime par dessus tout le jet de perme dans la bouche, le gout de semence d’homme, même si j’aime bien la cyprine, la sienne.
C’est pourquoi nous recommençons presque tous les jours après la rentée des classes, vers 15 heures. De là nous baptiser de lesbiennes ? C’est faux nous aimons aussi les hommes et leur bites.

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