L'Homme Au Chapeau

En rentrant du travail, mon attention fut attiré par une affiche publicitaire qui indiquait qu’il y aurait de la danse social en soirée. Intrigué par cette danse, j’espérais pouvoir y rencontrer un homme mur qui me montrerait quelques pas de danses.

Me préparant pour cette soirée, sur le coup de dix heures je quittais mon appartement en glissant un condom dans ma poche arrière pour me rendre au club. Franchissant la porte du club, je fus fort impressionnés par la clientèle diversifié. Attirant le regard de la clientèle plus jeune, j’espérais avoir autant de succès auprès de la clientèle plus âgé.

Après avoir fait le tour du club, je me suis assis sur un tabouret devant le bar pour commander un Pina Colada. Sirotant mon verre, je regardais les retraités qui s’amusaient sur le planché de danse. Mon regard ne démordant pas de l’accoutrement d’un septuagénaire endimanché, la clientèle plus jeune compris assez rapidement où mon centre d’intérêt se situait.

Ses cheveux blanc se démarquant par le chapeau foncé qu’il portait me faisait tout simplement craqué. Ainsi j’essayais de démystifier le lien d’amitié qui le reliait aux hommes avec qui il dansait. Son ami lui faisant remarquer l’attention que je portais sur lui me fit obtenir de jolis sourires en retour.

Retournant à leur table respective, un Pina Colada m’a été offert gratuitement peu de temps après que le serveur ait eut le temps de prendre leurs commandes. Souriant, je me doutais bien que nos sourires complices avait bâtit un certain rapprochement hors lorsque le serveur m’a indiqué que cette consommation provenait du messieurs au chapeau, charmé, je me suis levé rapidement pour aller le remercier.

Masculin, ses rides ajoutais au charisme qu’il possédait de près. Ainsi, j’en ait profité pour le remercier pour le verre qu’il m’avait offert. Faisant les présentations, Jean-Pierre de son prénom m’a embrassé sur les joues. Délectant ce sublime baisé, je me suis assis à sa table alors que son parfum me rendait encore plus amoureux.

Lui soulignant qu’il sentait bon, ses sourcils bien fournis et blanchis authentifiait sa joie de vivre tout en ajoutant au charisme qu’il possédait.

Admettant que c’était la première fois que je sortais dans un club de danse social, Jean-Pierre ma tendue la main pour que je le suive sur le planché de danse. Rougissant devant mon manque d’expérience, je lui donné ma main. Cherchant à être à la hauteur de mon professeur, Jean-Pierre me taquinait sur mes rougeurs alors qu’il tentait de détendre l’atmosphère en disant que j’étais encore plus beau lorsque j’étais gêné.

Mes mains devenant toute moite, mes yeux ne pouvait plus quitter son sourire si chaleureux. Fusionnant dans le bonheur, sa joie de vivre gagnait mon cœur alors que j’apprenais mes premiers pas de danse social avec lui. Affirmant qu’il avait 75 ans, je fus surpris en apprenant son grand âge mais cela n’a pas refroidit mes ardeurs. Jean-Pierre me plaisait vraiment en plus d’être très dégourdit pour son âge.

Assumant parfaitement son âge, j’étais encore plus fière de lui. J’avais envie de m’accrocher à son coup pour mieux l’embrasser mais je me retenais histoire de ne pas froisser les autres danseurs qui croyaient que j’étais son garçon.

Prenant cette situation avec un brin d’humour, Jean-Pierre affirmait qu’il serait fière d’avoir un garçon aussi gentil que moi. Affirmant qu’il était trop beau pour être mon père, Jean-Pierre m’a demandé si j’étais sérieux.

Affirmant qu’il portait bien son âge, je lui ait dit que si je me retenais pour ne pas l’embrasser était pour ne pas attirer la foudre des autres danseurs. Disant me comprendre, Jean-Pierre disait chercher un homme sans histoire qui n’avait pas peur du vieillissement. Affirmant que mon dernier amant était décédé à 85 ans, Jean-Pierre avait été fort surpris d’apprendre que nous avions eus des rapports sexuelles jusqu’à la toute fin.

Affirmant que ce genre de relation ne pouvait pas s’étirer sur une cinquantaine d’année, j’affirmais que ce contexte avait su maintenir le lien affectif que nous avions bâtit.
Croyant être à la hauteur d’une telle relation, Jean-Pierre disait que nous n’étions pas obligé de se mettre à nu devant les autres personnes pour s’aimer.

Appuyant ses dires, un lien affectif se construisait lentement à l’insu des autres danseurs. M’enseignant cette danse avec cœur et passion, j’étais fière de sa prestance alors que mon cœur battait au rythme de ses pas. Remarquant l’étincelle dans mes yeux, lorsque la chanson s’est terminé, Jean-Pierre m’a demandé si je n’avais pas envie de le suivre dans un endroit où nous serions plus à l’aise pour discuter.

Se retrouvant seul dans la toilette des hommes, Jean-Pierre s’est approché de moi en disant qu’il avait envie de m’embrasser depuis un bon petit bout de temps. Rapprochant ma tête de la sienne, Jean-Pierre m’a serré dans ses bras alors que mes lèvres se sont approchées de les siennes pour mieux faire tournoyer nos langue dans sa bouche.

Délectant ce baisé, je ne me cachait pas pour lui dire que j’avais envie de lui. Ainsi nous pouvions sentir la tension qui se formait dans nos pantalons. Nos mains détaillant la verge de l’autre stimulait encore plus nos intentions. Réalisant que nos verge avait le même désir, nous avons été de se délaissé pour ne pas se faire prendre en pleine érection. Affirmant qu’il avait une belle queue, je réalisais fièrement qu’il était assez dur pour me pénétrer. Ainsi je savouré grandement ce moment que j’attendais avec impatience.

Glissant ses mains sur mes fesses, Jean-Pierre a fini par trouver le condom que j’avais glissé dans ma poche arrière. Se réjouissant de mes intentions, Jean-Pierre m’a dit que nous serions beaucoup plus à l’aise chez lui si nous voudrions aller plus loin. Affirmant que rien ne me ferait plus plaisir que de le suivre, Jean-Pierre m’a demandé d’attendre que ses amis nous raccompagne chez lui à la fin de la soirée puisqu’il était venu accompagné. Affirmant qu’il était un excellent danseur et que j’aimerais profiter de cette soirée, Jean-Pierre m’a prit par la taille pour me reconduire sur le plancher de danse.


Ainsi, nous avons passé le reste de la soirée ensemble où attention, touché, et caresses discrètes étaient fortement appréciés à l’insu des autres danseurs. L’heure de fermeture se faisant entendre, une petite musique douce s’est engagé. Affirmant que j’aurais aimé pouvoir danser un slow collé avec lui, Jean-Pierre m’a convaincu que l’importante différence d’âge que l’ont avaient dissimulerait tout lien amoureux.

Fière de pouvoir l’accompagner sur le plancher de danse, collé sur lui nous conservions tout de même une certaine distance pour ne pas éveiller de soupçons. Mes yeux resplendissant ma joie de vivre, Jean-Pierre disait être chanceux de pouvoir danser avec moi sur sa chanson préféré.

Confirmant qu’il avait un beau répertoire musicale, je lui ait dit que je lui ferais l’amour tout la nuit sur cette chanson. Ainsi Jean-Pierre s’est accroché à ma taille en disant qu’il avait plusieurs chansons à me faire découvrir cette nuit. Le coeur palpitant, je rêvassais déjà à ce moment. Lorsque la dernière chanson s’est arrêté, ces amis sont venu nous rejoindre en disant que nous étions beaux à regarder danser. Jean-Pierre leur annonçant que j’étais pour le suivre chez lui, ses amis se sont réjouis pour lui.

Assis sur la banquette arrière de la voiture, nous n’avions plus rien à cacher hors nous avons pu nous collés pour mieux nous embrasser librement. Ses amis affirmant que Jean-Pierre était un être exceptionnelle, j’ai collé ma tête sur son épaule affirmant qu’il m’avait fait passé une très belle soirée. Glissant son bras autour de mon cou, je me laissais désiré alors que j’étais fière de lui.

Arrivant chez Jean-Pierre, je me suis dépêché à lui ouvrir la portière de la voiture pour l’aider à sortir. Ses amis affirmant que j’étais un gentleman était rassuré sur les intentions que je portais en son égard. Ne pouvant pas imaginer tout la tendresse que j’avais à lui offrir, en franchissant la porte de sa maison je n’ai pu me retenir plus longuement avant de me pendre à son cou pour mieux l’embrasser.
Nos lèvres fusionnant, notre libido plafonnait à son meilleur alors que nous perdions tranquillement des morceaux de vêtements tout en se désirant. Sortant ma verge de mon pantalon, Jean-Pierre était tout éblouit par le fait que ma verge était bien bandé et mouillé.

M’invitant à passer dans sa chambre à coucher, je le suivais au pas en détaillant son beau petit cul. Me donnant envie de lui plus que jamais, devant son lit je me suis dépêché à me dévêtir pour mieux le dénudé. Embrassant son corps de toutes parts tout en effleurant sa verge qui était tout aussi bandé, je me suis agenouillé à ses pieds pour déguster son morceau de chaire alors que Jean-Pierre prenait ma tête entre ses deux main tout en appréciant ouvertement ce rapprochement.

Tu suce bien mon amour m’a t-il dit. Excité, je laissais partir de petit grognement porcin alors que je bandais doublement en talonnant ma verge sur son mollet. Découvrant ses petites fesses blanches et plissés, je lui ait demandé de se pencher afin que je puisse les observer de près.

Souriant, Jean-Pierre s’est replier sur moi pour mieux m’embrasser avant de se retourné vers le lit pour se penché à nouveau afin de m’offrir son arrière train. Surexcité, je lui ai embrassé les fesses tout en glissant ma langue entre celle-ci pour l’aguicher d’avantage. Me masturbant, j’appréciais grandement la propreté de son joli petit trop.

Pourléchant sa raie, Jean-Pierre en redemandait. Glissant ma langue tout autour de sa rondelle, je sentais son anus se détendre encore plus alors que Jean-Pierre ouvrait son cul afin que je puisse avoir un plein accès à sa rondelle. Ainsi j’ai fini par introduire ma langue dans son canal tout en observant de loin Jean-Pierre qui débutait une lente masturbation.

C’est lourdes testicules blanchi qui se balançais au rythme de sa masturbation me faisait bander doublement hors constatant l’ampleur de mon érection, Jean-Pierre m’a demandé de le pénétrer sans utiliser le condom.

Ayant envie de lui plus que jamais, je me suis relevé pour placarder ma verge contre de sa rondelle. Pendant que je travaillais mon entré, Jean-Pierre m’a demandé de faire attention à sa vielle tuyauterie. Affirmant que rien ne me ferait plus plaisir que de prendre soin de lui, je m’y suis glissé doucement à l’intérieur de son canal tout en palpant ses muscles affaiblis.

Se repliant encore plus sur le lit, je me suis ancrer bien au fond de lui en appréciant tout particulièrement ce moment. Débutant un mouvement de va et vient, je jouissais à tout tête alors que Jean-Pierre s’abandonnait complètement. Prenant de petites pauses, ma verge émettait des spasmes de plaisirs au centre de son canal. Glissant en lui en frottant adroitement ma verge contre ses parois anales, Jean-Pierre se réjouissait de la dureté de mon érection.

Ainsi quelques minutes de se traitement à eu raison sur l’excitation qui m’habitait. Lorsque Jean-Pierre a sentit que je me contractait de plus en plus, Jean-Pierre m’a demandé de jouir en lui. Affirmant que c’était un pur plaisir que de jouir dans sa vielle tuyauterie, je laissais partir ma première giclé de sperme. Ainsi je me suis enfoncer encore plus profondément dans ses entrailles pour déverser tout mon jus. M’agrippant à lui par les hanches, Jean-Pierre continuait de se masturber en appréciant ouvertement ce traitement.

Ma queue ne voulant plus sortir de son cul, Jean-Pierre se tortillait de plaisir en appréciant ouvertement ma dureté qui persistait. Ainsi m’a laissé reprendre mon souffle en lui pendant que je prenais la relève pour le masturber.

Embrassant son dos, ses épaules et sa nuque, je réalisais que ma verge ne voulait plus débander hors en le masturbant doucement, je lui ait demandé s’il n’avait pas envie de me pénétrer.

Affirmant que rien ne lui ferait le plus plaisir, je me suis retiré doucement en l’embrassant dans le cou pour mieux me laisser chevaucher. Regardant mon sperme sortir de son anus, je réitérais à qu’elle point qu’il avait de belles fesses hors j’ai glissé mon doigt dans ce lubrifiant naturel pour en essuyer l’excédent. Se relevant, j’étais doublement excité en regardant son érection qui pointait droitement devant moi.

Me demandant de m’étendre au pied du lit, Jean-Pierre se masturbait doucement tout en visualisant son entré. Affirmant qu’il avait une belle queue, j’ouvrais les jambes encore plus grandement. Glissant sa verge le long de ma raie, Jean-Pierre préparait son entré.

Me masturbant tout en le regardant faire, ma verge bandait plus que jamais. Savourant toute la tendresse qu’il prenait pour percé ma rondelle, Jean-Pierre a fini par se donné une petit poussé pour se glisser au fond de mes entrailles. Heureux d’être à nouveau réuni, je détaillais sa verge qui se frayait un chemin en moi. Ainsi je jouissais vivement en appréciant tout particulièrement ce moment. Se régalant de mon plaisir qui ne cessait de croître, je fus encore plus séduit par le liens intense qui le soudait à mon anus en le travaillant aussi adroitement.

M’engageant dans une masturbation plus rapide, je lui ait demandé de jouir en moi. Affirmant qu’il n’avait pas une réserve de spermes aussi importante que la mienne, je lui ait dit que tout les honneurs étaient pour moi. Ainsi ça n’a pas prit beaucoup de temps avant que Jean-Pierre laisse partir sa semence dans le fond de mes entrailles. M’entraînant dans une extase inouïs, j’ai refermé mes cuisses sur ses hanches pour le sentir jouir en moi alors que j’éjaculais à nouveau mais cette fois si sur son ventre.

Baignant dans le sperme, Jean-Pierre s’est replié sur moi tout en restant ancrer au fond de mes entrailles. Satisfait d’avoir bien jouit, je l’ai serré dans mes bras en le félicitant pour ses bons traitements.

Affirmant que ça faisait longtemps qu’il n’avait pas jouit ainsi, je l’ai retenu en moi le plus longtemps possible en espérant ouvertement revoir d’autre moment comme celui là. Croyant que si il aurait mon âge j’aurais le droit à une deuxième ration, je lui dit que si l’envie de poursuivre cette relation l’intéressait nous aurions tout le temps pour se reprendre.

Ainsi il m’a demandé si je voulais dormir avec lui. Affirmant que rien ne me ferait plus plaisir, Jean-Pierre a fini par sortir de mes entrailles complètement débandé. Essayant de cacher sa verge qui avait prit l’apparence d’un petit pruneau, je l’ai entraîné sur le lit de sorte à ce que je puisse y avoir accès.

Affirmant que je le désirais dans tout ses états, Jean-Pierre m’a laissé goûter à sa verge induit de son propre nectar. Me régalant de son côté gluant et molasse, après avoir ingurgiter tout sa sauce, Jean-Pierre est venu m’embrasser amoureusement pour me remercier. Affirmant que j’étais vraiment exceptionnelle, éblouit, je l’ai l’ai serré dans mes bras en disant qu’il était facile à aimer s’il se laisserait toujours désiré.

Lassitude dans notre nudité, le temps défilait alors que nous nous en rendions pas trop compte. Reposé, Jean-Pierre m’a inviter à me rafraîchir sous la douche avant de retourner au lit pour la nuit. Ainsi j’ai pu le savonner de la tête au pieds tout en appréciant son corps tout entier.

Sortant de la douche, Jean-Pierre a replacé les couvertures du lit pour que l’ont puisse s’étendre confortablement. Se collant sur moi il réitérait tout sont bien être alors que dans ses bras je m’endormais le coeur amoureux.

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