Collection Black. Lors Des Heures De Travail. Fin De La Saison I (3/3)

Si l’on m’avait dit ce matin lorsque je suis venue travailler dans mes bureaux que je finirais la journée en ayant trompé Renzo, j’aurais dit que cette personne est devenue folle.
Et, pourtant elle aurait eu raison.
Pire, dans la même soirée j’ai baisé avec deux hommes, Amara mon amant noir étant monté comme aucun homme à ce jour rencontré dans ma vie.
Sans être violent, il a été dévastateur pour mon corps avec son sexe démesuré dans tous les sens du terme.
Deux, car de retour à notre appartement, Renzo ayant voulu me faire l’amour, j’ai été contente de me donner de manière très apaisée comme il sait me prendre.
D’un côté du sexe très hard et de l’autre du sexe tendre, calme, je pourrais dire maintenant que j’ai vécu les deux, du sexe pépère.

Ce matin, c’est l’odeur du café qui me réveille en même temps que ma radio démarre à 6 heures comme tous les matins.

• Debout chérie, merci pour notre nuit à ton retour.
Bien des femmes se seraient retournées, envoyant promener leurs maris étant fatiguées.

Renzo se penche sur moi et m’embrasse le bout de nez.
Je m’aperçois qu’un de mes seins est sorti du drap et que ma chatte l’est aussi le drap étant tirebouchonnée.

• Merci bébé, j’ai de la chance de t’avoir comme mari.
• Prépare-toi tranquillement, je vais lever les monstres et m’en occuper avant de les emmener à l’école.
Je sais l’importance de ta journée, il faut que tu sois la plus décontractée, je suis sûr que tu vas emporter le contrat.

Ayant posé son plateau à mes côtés, me disant cela, il embrasse mon sein, puis passe à ma chatte.
J’écarte mes cuisses, sa langue vient sur mon clito qui commence à s’enflammer.

• Arrête grand fou, mon taxi va repartir et je vais galérer pour en trouver un autre.

Tous les jours à 8 heures, Sam le chauffeur de taxi vient m’attendre au bas de notre immeuble.
Je le paye au mois après facture.


Au début, je prenais ma voiture Renzo emmenant les s à l’école passant devant avant de rejoindre son collège situé un peu plus loin.
Les Pv et les embouteillages, ajouté au nombre de fois que je tournais pendant de longues minutes au Quartier Latin où se trouvent mes bureaux.
Alors que notre appartement est à Saint Mandé non loin du bois de Vincennes, la formule est gagnante.

• Je sais bébé, je te laisse te préparer.

Il me quitte, je prends un croissant que j’achète les samedis à la superette près de chez nous.
Le café est chaud comme je l’aime.
Je repense à ma soirée d’hier au soir.
Dire que j’ai trompé Renzo et pire, j’ai beaucoup aimé, ma chatte est un peu douloureuse, mais que c’est bon de se sentir comblé.
Renzo passe sa tête alors que je me lève, comme il est placé, ma fente lui est offerte, au moins par les yeux.

• Merci de ce gracieux spectacle arrête de me tenter, je voulais te demander si tu as aimé mes endives au gratin, il y avait de la béchamel plein le frigo !
Tu vois, j’avais raison, travailler tard, ça ouvre l’appétit.

Pendant que je me maquille et que je passe mon tailleur, spécialement acheté pour cette grande occasion.
Jeanine, la vendeuse, m’ayant dit qu’il marquait très bien ma chute de reins et mon ventre plat.
J’ai mis un autre des trois strings sur des bas Dim up noire, me donnant l’impression d’avoir des jambes plus long et ayant l’avantage, comme mon string, d’être invisible.
J’entends mes monstres se lever.
Immédiatement, l’appartement prend une autre dimension.
Je suis prête, Sam arrive dans cinq minutes.
Je leur envoie un baiser du bout des doigts, à cause de mon rouge à lèvres.

• Bonne chance, mon cœur, je t’aime.
• Laisse-moi, Sam attend et tu vas abimer mon maquillage.
• Sam je suis jaloux, il te voit plus longtemps que moi matin et soir et ton maquillage, tu auras tous les temps de le refaire avant d’être arrivée.


Je m’échappe, je sais qu’il est toujours très tendre, mais sent-il en moi la salope ayant baisé sans limite avec Amara et lui ?
Il est 9 heures quand j’entre dans mes bureaux.
En bonne secrétaire, elle vient me déposer un café très chaud à mon bureau.

• Bonjour madame, avez-vous fini tard.

Cette phrase en temps normal me serait parue anodine.
Quand je vois mon bureau en désordre après qu’Amara m’est prise sauvagement mes seins plaqués dessus, la femme que je suis devenue après la soirée, me remonte en mémoire, je sens mon string s’humidifier.

• Ce doit être le service de nettoyage qui a mis le désordre, je vais les appeler pour me plaindre.
• Voulez-vous que je le fasse ?
• Vous êtes gentille Marie, je le ferais personnellement.

Bien sûr, inutile que j’appelle le cousin d’Amara, pour lui dire qu’il m’avait baisé comme une reine et que nous avions mis le bazar sur mon bureau et que trop fatiguée j’étais partie sans m’en apercevoir.

• Jean, c’est Françoise.
« Oui, ma grande, que veux-tu ? »
• Je suis contente que tu sois encore dans les transports en commun.
« J’ai beau être fonctionnaire, je suis à mon poste dès huit heures ! »

Chaque fois que nous les recevons avec Renzo ou que nous allons chez eux, je le fais marché d’être devenu fonctionnaire.
Je lui explique ce que j’attends de lui et je trouve un terrain très favorable.

« S’il a des bagages reconnus et qu’il te soit utile professionnellement, je vais pouvoir faire le nécessaire.
Tu m’aurais épousé, c’est dans notre lit que tu m’aurais demandé ce service.

Halte, mon lit est déjà assez rempli depuis que comme sa femme j’ai pris un amant.

« Donne-lui mon numéro, je pourrais le recevoir jeudi dans la journée.
Je lui dirais ou et à l’heure que je le rencontrerais.
Inutile qu’il soit vu au ministère tant qu’il est sans papier officiel.

• Susy va bien, il faut que je lui téléphone.
« Ce matin elle me disait la même chose.
Elle va passer son après-midi à faire son shoping habituel.
Elle adore l’ambiance des grands magasins, mais tu la connais.
Je t’embrasse Françoise, au fait le nom de ton Nigérien ! »
• Amara.

Et il raccroche, quel beau benais, je sais dans quel grand magasin Susy va les après-midi.
Ce pourrait être des sexes shop là où elle pourrait trouver des godes, mais c’est bien de vraies verges bien dures qu’elle rejoint.
Mais maintenant dois-je la blâmer quand je quitte Marie et le bureau pour rejoindre mon amant au café d’en bas comme le chante si bien Bruel.
Il est là toujours aussi beau, mais d’entrer une chose cloche.

• Bonjour Françoise, comment vas-tu ?

Non, deux choses que je rectifie.

• Amara, la situation est ambiguë, quand nous serons seuls, tu peux me tutoyer.
J’ai bien réfléchi et je tiens à continuer notre relation comme hier.
J’ai aimé la rudesse avec laquelle tu m’as traité.
Chez moi, mon mari est tendre et doux.
J’ai donc sa chez moi, être prise sauvagement sur mon bureau a déclenché en moi, une autre forme de plaisir que tu es capable de m’apporter.
Lorsque nous serons en présence de tierces personnes comme tout à l’heure, nous nous vouvoierons.
• J’ai compris madame Françoise.
Pour votre nom, je l’ai lu dès le premier jour sur votre bureau, il y a une plaque.
• C’est parfait, tu me montres ton intelligence.
Tu sais dans le monde des affaires, les femmes sont mal acceptées et si nos concurrents ou partenaires voient en nous la moindre faiblesse, ils nous laminent.
Sentir que nous sommes proche voit amant même si là maintenant j’ai envie de te prendre dans mes bras, je serais laminée.
• J’ai compris, je saurais me tenir.
Et la deuxième chose ?
• Finissons notre café, je vais t’expliquer.

Nous quittons le café pour remonter jusqu’au faubourg Saint-Michel où je sais trouver ce que je cherche.

Nous entrons dans une boutique de vêtements masculins.

• Il faut seulement que nous reprenions l’ourlet, vous avez cinq minutes, donnez-moi le pantalon de monsieur.

En public, un ourlet prend du temps.
Derrière le rideau nous isolant, la boutique étant vide, je m’approche d’Amara que je prends par le cou, nos bouches se retrouvent avec envies.
Il semble surpris, mais satisfait et me rend mon baiser.
Il est en boxer, je lui saisis la verge qui enfle dans ma main.
En faisant cela, je confirme que j’ai changé de monde et qu’intellectuellement je l’assume.
Elle est opérationnelle, je m’agenouille et comme une bonne chienne lubrique, je la suce jusqu’aux couilles dans l’impossibilité de la rentrer dans ma bouche.

• Oh ! pardon...

Fin de la saison I de retour pour la deuxième saison dans quelques jours.

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