Collection Black. Lors Des Heures De Travail. Saison Ii (5/6)

Les choses se précipitent pour moi, après m’être comporté comme une belle chienne en me faisant sauter par Amara, dans mes bureaux.
Pourtant de retour chez moi, c’est Renzo, mon époux qui m’honore et je dois dire que dans les deux situations, j’y trouve mon plaisir à différents niveaux, salope et femme d’une fidélité exemplaire.
Au Ciel de Paris, restaurant en haut de la Tour Montparnasse, les ambiguïtés continuent.
Je crois rencontrer Sammy, un homme, pensant avec ce nom à Sammy Davis Junior, alors que c’est Samy femme, qui se présente à nous.
Belle blonde, seins volumineux qu’elle semble avoir plaisir à nous mettre sous le nez.
C’est en hélicoptère qu’elle nous conduit à Brest pour demain visiter mes ateliers de montage des éoliennes de mer très peu visible dans laquelle je me suis lancée.
Dans l’hélico qu’elle pilote de main de maître, je suis assise à ses côtés.
Je repense à la scène dessous la table au resto.
Ce couillon de Thierry m’a fait louper une expérience insolite, me faire caresser le minou par une autre femme avec son pied.
En plus, parce que Samy a pu prendre cela comme un refus, il aurait pu aussi me faire perdre mon contrat si elle m’avait tenue rigueur de l’avoir repoussée.
Ce mec, je suis à deux doigts de lui arracher les yeux, s’il savait quand je le veux je peux devenir une vraie tigresse prête à en faire de la charpie.
Comment peut-il prétendre lutter à armes égales avec Amara ?
Il est vrai qu’il ignore nos rapports intimes et comme en tout homme un donjuan sur le retour dort, je dois admettre qu’il ait tenté sa chance.

Dans la bulle de l’hélico, la jupe de Samy est remontée presque jusqu’à sa fourche.
Je retiens mon envie d’y mettre ma main, mais Amara à mes côtés pourrait-il comprendre que tout a commencé dessous la table.
J’ai déjà pris l’avion pour mon voyage de noces à Marrakech au Maroc ou j’ai particulièrement apprécié les souks.


Bien sûr, la Chine était déjà fort présente surtout par de nombreux sujets en plastique.
Notre France vue du ciel ayant devant nous une grosse bulle nous donnant l’impression que nous sommes en apesanteur avec rien pour nous retenir.

Nous nous posons à Brest où un taxi nous conduits vers l’hôtel Mercure où nous nous installons.
Depuis quelques mois ou j’ai installé mes ateliers, je viens de temps en temps.
Je descends dans un hôtel plus abordable non loin du pont de recouvrance, à deux pas de l’arsenal.
Mes ateliers sont dans d’anciens bâtiments de la marine nationale que j’ai eus pour une somme fort intéressante, surtout qu’ils sont en parfait état.
Il est 22 heures lorsque je frappe à la porte de la chambre de mon amant espérant retrouver les mêmes sensations que la nuit dernière.
La porte s’ouvre, Samy est là, pensant recevoir le roomservice.
Elle est surprise de me voir surtout que ça frappe de nouveau.
Là c’est le serveur qui dépose un plateau, il en a certainement vu d’autres, mais moi je rougis de me retrouver dans cette chambre à trois dont un noir nu la bite fièrement dressée.
Samy devait avoir commencé à le sucer.
La Canadienne donne un billet au garçon.
Je me trouve l’air con ma bouteille de champagne à la main.

• Excuse Françoise, quand tu m’as repoussé sous la table et que tu as parlé de tes s et de ton mari, presque en boucle pendant tout le repas, j’ignorais que tu étais proche de ton ingénieur.
C’est pour cela que je suis me suis permis de venir le rencontrer.
Si tu avais accepté mon pied, ce serait vers toi que je me serais tournée pour finir notre nuit, je suis bisexuelle.

Amara vient derrière moi, magnifique dans sa nudité.
Un vrai félin.
Il se plaque dans mon dos, me faisant sentir son sexe qui relève immédiatement la tête.
Il prend la bouteille que je suis à deux doigts de laisser tomber et la pose sur une table à sa portée.

Il passe sa main devant moi, détachant ma ceinture, me dénudant sans entraîner de ma part la moindre rebuffade comme je l’ai fait avec l’adjoint de Samy.
Je tourne ma tête, ses lèvres prennent les miennes.
Je suis dans le brouillard, mes jambes ont du mal à me soutenir.
La vie va trop vite pour moi.
Qui étais-je, il y a encore quelques heures ?
Pourtant, j’ai retrouvé auprès de Renzo malgré ma grande fatigue la nuit dernière ma vie normale !
J’étais redevenue une femme fidèle, pensant être une femme comblée alors que la rudesse des saillies qu’Amara m’a fait connaitre, m’a permis de découvrir un monde plein de luxure et de bite noire.
Après ma folie dans mon bureau où je me suis retrouvée dans ce tourbillon sexuel, je vois Samy laisser, elle aussi tomber son peignoir me rejoignant dans ma nudité.
Elle se plaque à moi, ses seins se retrouvant sur les miens.
Chaque fois que je tourne la tête, ma bouche se trouve partagée entre une noire et une blanche sans que cela semble me poser le moindre problème.
Ai-je déjà souvent senti ma chatte se vider de sa cyprine avec autant d’intensité sans être caressé ?
Simplement par le frottement de nos corps, je sens la jouissance monter en moi.
Elle éclate lorsque la main, pardon les doigts de la Canadienne viennent frotter mon clitoris.
Un moment de lucidité, je rends par ma main à la chatte ruisselante elle aussi de Samy, ces prémices à des jeux bien plus cochons que mes jeux habituels avec Renzo.
Au moment où elle aussi à un orgasme, grâce à son clito ultrasensible, ma bouche est sur celle d’Amara.
Dans le couloir il doit être possible d’entendre cette furie crier de plaisir.
Je m’empresse de la museler rapidement avec mes lèvres et ce sont deux femmes ayant des orgasmes simultanés qui limitent le bruit émis.
Amara, fort comme un Nigérien, me soulève et me fait sentir son gland sur l’ouverture de mon vagin.
Les doigts de Samy déjà présent, dans ma chatte, saisissent la verge noire et la guide pour qu’elle me pénètre.

Je sais que je peux absorber le pieu d’Amara, c’est sans appréhension que je le sens glisser jusqu’à ce que ses couilles viennent le bloquer au plus profond qu’il m’a été donné d’être prise.
Je cherche seulement un peu d’air ayant du mal à en trouver, la bouche de Samy m’en empêchant.
C’est ainsi que notre attelage recule jusqu’au lit.
Tiré par Samy, poussé par Amara, c’est ainsi qu’elle se laisse tomber sur le matelas certainement moelleux dans cet hôtel haut de gamme.
Elle écarte directement ses jambes les levant en forme de victoire, moi reposée sur le sol sans pour autant que mon amant me libère.
Ma tête se penche et mon nez est le premier à retrouver l’odeur que je connaissais bien avant de connaître Renzo dans les premiers jours de ma sexualité !
Ma langue venant caresser le gros clito vivant hors de son capuchon tellement il est bandé, une pensée me vient.
Si j’étais parti plus tôt hier, je serais peut-être dans la même situation, mais en tête à tête avec Samy, je serais simplement devenue lesbienne.
Plutôt simplement bisexuelle car si je trompe, mon mari et mes s à cet instant c’est simplement du cul.
Que dire, orgasme des deux femmes et je me trouve libérée ?
Je roule sur le lit, il me faut récupérer.
C’est sans le moindre soupçon de jalousie que je vois Samy tendre les bras à Amara qui me regardant, voyant mon mouvement de tête d’acceptation, plonge en cette belle salope qui immédiatement à se remettre à chanter.
Fais-je moi aussi autant de bruit que Samy quand je perds la tête dans les bras de Renzo ou au bureau le cul sur mon bureau.
Pieds reposés, d’un coup de jaret, elle se recule.
Il monte sur le lit et c’est encore une première, quand je vois l’immense verge pénétrer celle que je peux considérer comme mon amie.

• Merci Françoise, je te revaudrais ça, ton amant est extraordinaire.
J’ignore comment est Renzo, mais je comprends que tu aies craqué pour un tel homme.


La verge est bien au fond, sans jalousie, à un petit point de détail.
Samy prend la tête d’Amara et leurs bouches se rejoignent.
Un jour j’ai entendu une émission parlant de simple baisé, la présentatrice posait la question si embrassée, c’était tromper.
J’ai la réponse devant mes yeux, la queue noire entrant dans la chatte blanche m’est indifférente à cette bouche noire qui embrasse cette blanche.
Surtout lorsque je vois les deux langues roses sortir de la bouche de l’un pour s’enrouler autour de l’autre.
Je vois Amara se tendre comme se tend Samy exprimant tous les deux le plaisir d’un orgasme partagé alors que je sais les litres de sperme qui se déverse en elle.
Un dernier coup d’Amara au fond de la grotte et je reçois une goutte de sperme sur ma joue à cause du trop-plein.
Je l’essuie, je la suce, dommage, un goût de trop peu.

• J’ai soif, je vous en supplie, j’ai soif.

C’est moi qui réclame à boire, est-ce de sperme ou de champagne à qui je pense va mon cri de détresse.
Samy libéré à son tour se remonte vers les oreillers et vient se blottir dans mes bras.
Non, pas cette pensée à ce moment, mais s seraient mal venus dans cette divine chambre de luxure.
Mais c’est plus fort que moi, mes s me reviennent inexorablement dans ma tête.
Même si je passe une nuit aussi intense que ma soirée d’hier, impossible de voir dans ce geste, ce que je ressens les dimanches quand Camille, Dino et Sophie viennent sauter sur notre lit.
Certaines fois, nous venons de faire ce que de nombreuses personnes appel un câlin.
Part chance, chaque fois, je venais de remettre ma chemise de nuit posée près de moi alors que là, nous sommes comme au jour de notre naissance tous les trois.
Amara se lève, une goutte de sperme sort de sa verge et tombe sur la moquette.
Femmes de ménage dans un hôtel, même de haut luxe, doivent en voir de verte et de pas mûre en nettoyant tous ça.
Il fait sauter le bouchon de ma bouteille de champagne.
Au-dessus d’un petit bar identique à celui dans ma chambre, il y a seulement deux coupes.
Je les vois, mais lorsque le bouchon saute, aspergeant la moquette d’un vrai geyser rejoignant le sperme.
Je remercie Dieu de m’avoir orienté vers les métiers touchant la mécanique et les fluides et non les lavages de surfaces en tout genre.
Nous buvons chacun notre tour à la bouteille.
Champagne aidant, rapidement les doigts des uns, la bouche de l’autre nous entrainent dans de nouveaux jeux.
Je suis la dernière à boire, je pose la bouteille sur la table de nuit à moitié pleine.
Elle m’échappe et du liquide tombe sur l’oreiller.
Je la ratt, mes seins se trouvant arrosés.
Pauvre femme de ménage.
Mais Samy aime elle et moi aussi quand sa bouche vient lécher le maximum de liquide limitant en çà les dégâts pour le petit personnel.
Elle m’entraine vers le milieu du lit, elle dessous et moi dessus.
Elle est plus âgée que moi, mais très féline, tigresse pour moi, lionne pour elle.
D’un mouvement nous nous retrouvons nos bouches au-dessus de la bouche sexuelle de chacune.
Encore un nouveau plan cul, mais loin d’être terminée.
Samy me lèche pendant qu’elle m’écarte les fesses de ses deux mains.

• Tu m’as bien dit que notre amie Françoise voulait vivre des sensations forte.
• Oui, ce matin avant que nous venions te rencontrer.
• Alors, encule ma nouvelle amie, fais-lui connaître le plaisir suprême des vraies salopes !...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!