Leslie Re04

Leslie RE04 – Rêves.
Rêve étrange, mais pas si loin de la réalité

Bien sûr qu’il y a une suite, un rêve encore plus étrange, mais cela pourrait bien être la réalité pour certaines…
Pour certaines transsexuelles qui voudraient devenir femmes…

« Il me hante maintenant, revenant sans cesse dans ce rêve fou, il est là mon premier homme…
A moitié déshabillée sur le lit, pas démaquillé, complètement fourbue, je me suis réveillée seule dans cette chambre, il est parti, me laissant avec mon anus endolori qui me faisait, à chaque pas, ressentir une douleur sourde aux tréfonds de mon anatomie, mon petit trou intime me brulait et me rappelait que je devais m’habi si je voulais continuer à me faire sodomiser.
J’ai pris une longue douche, me remémorant cette première sodomie, cette première fois où je me suis donnée, offerte à un homme, puis ensuite après m’avoir enduit l’anus d’une crème apaisante, je me suis habillée en femme.
A partir de maintenant je serais toujours ainsi, habillée en femme, quoiqu’il m’en coûte et quoique l’on puisse penser de moi.

Dans le rêve les instants qui suivirent, après ma première fois, furent bien remplies, Eric dont j’avais appris le prénom, venait me voir toutes les nuits et nous faisions l’amour constamment, même parfois chez lui, mais le plus souvent à mon appartement.
Mon anus supportait beaucoup mieux la pénétration car Eric m’avait conseillé de porter un plug la journée afin d’ouvrir mon sphincter et de le dilater en vue de ses pénétrations, et je devenais insatiable, une vraie nympho.
Eric était adorable, venant d’une famille aisée, il lui arrivait souvent de m’acheter des fringues et surtout des sexy lorsque nous faisions les boutiques ensemble, mon armoire se remplissait à grande vitesse.
Nous étions d’ailleurs tous les deux d’accord sur mon style, plus de fringues vulgaires style pétasse, mais plutôt dans le raffinement avec des ensembles soignés.


J’étais Leslie, sa petite pute bourgeoise, comme il m’avait surnommé et ça me convenait tout à fait.
Les chaussures, avaient des talons qui ne devaient jamais être inférieurs à cinq centimètres et mes cheveux avaient poussés et je n’utilisais plus de perruque.
Eric m’avait offert l’opération pour des prothèses mammaires et j’arborais un joli quatre-vingt-dix B dont j’étais très fière, Eric me disait même qu’en me pelotant, il avait du mal à croire que ce n’étaient pas des vrais.
Je n’avais plus aucun problème pour sortir en femme, même sans Eric, c’est pour cela que j’étais devenue Leslie, naturellement.

Quand Eric me faisait parfois porter un gode dans l’anus, j’en prenais du plaisir, d’autre fois il me demandait de m’habiller d’une minijupe qui dévoilait très haut mes jambes sans porter de culotte, avec un rosebud dans l’œillet, si bien qu’à chaque fois que je penchais en avant il, où d’autres, pouvait voir la pierre rouge vif du bijou, éclairer mon anus.
Je devenais de plus en plus friande de ce genre de d’exercice sachant que cela plaisait à mon chéri.


Par contre rapidement, ce qui me rendit triste, c’était d’avoir cette queue qui pendait entre mes jambes et qui, bien que cela plaise à Eric, le gênait parfois dans nos jeux érotiques, ni lui, ni moi ne nous sentions homosexuels. Je me sentais femme et Eric me voyait en tant que telle.
Mon membre gâchait de temps en temps ce véritable conte de fée et, j’en arrivais à vouloir le supprimer.
J’étais malheureuse quand je me rappelai que j’avais une queue qui pendait entre mes cuisses et que je n’étais pas vraiment sa femme, mais cela ne l’empêchait pas de me sodomiser, mais je sentais qu’il en voulait plus, avoir une femme et lui faire l’amour comme telle...
Un soir, après m’avoir bien enculé, il me dit :
- La seule solution pour que tu deviennes une fois pour toutes Leslie et que je te considère comme ma femme, c’est de te faire opérer !
- C’est mon vœu le plus cher et je suis d’accord, dis-je un sanglot dans la voix.

Eric s’était documenté et renseigné sur toutes les opérations de transformation avec les tarifs, les établissements les plus réputés et les durées d’hospitalisation, il n’attendait plus que mon assentiment.
Je sautais dans les bras de mon homme, nous fîmes l’amour à même le sol, moi à califourchon sur lui et ce fut exquis.
J’étais aux anges.
Par contre, j’ai appris par Eric, que l’opération était payée par son père et que seul il était dans la confidence, mais qu’il était désireux de nous rencontrer avant afin de faire connaissance, je ne me doutais pas de ce que cela impliquait…

Le week-end suivant, nous nous sommes rendus chez les parents d’Eric, qui habitait une maison somptueuse dans la banlieue ouest de Paris, ils nous accueillirent avec chaleur, et me mirent tout de suite à l’aise, non sans que son père dise quelque propos plein de sous-entendus.
- Alors mon fils, on fait des cachotteries à ses parents, vous êtes ravissante, Mademoiselle, mais je suppose que vous le serez encore plus dans quelque temps, l’amour fait des miracles...
- Je vous remercie du compliment, dis-je.
- Et nous qui pensions que notre fils était homo ! Votre présence nous rassure et je pense que nous allons bien nous entendre !
Pierre dit cela en regardant le haut de mes cuisses, mon pubis et ma poitrine, cherchant visiblement à découvrir ce que je tentais de cacher…

Eric me fit faire, après le déjeuner le tour de la propriété et c’est au fond du jardin, dans la remise qu’il me demanda de le sucer et qu’il me sodomisa.
Le soir, autour de la table nous primes un diner bien arrosé par des grands crus, si bien qu’en fin de repas, j’étais me sentais un peu pompette.
Eric me regardait avec amour, Hélène m’avait littéralement adopté et Pierre, ne se cachait même plus pour me reluquer sous toutes les coutures, me mettant un peu mal à l’aise.
Après un dernier cognac, Hélène me montra ma chambre, elle m’avait prévenu d’avance :
- Nous sommes un peu vieux jeu, nous préférons que vous dormiez dans des lits séparés tant que vous n’êtes pas mariés !
J’acceptais de bonne grâce, d’autant que j’étais persuadé qu’Eric viendrait me rejoindre pendant la nuit.
Aussi, dès que je fus seule dans ma chambre, je me suis déshabillée et je me suis couchée nue, mais l’attente fut longue et je m’endormis.

Dans la nuit, je fus réveillé par des caresses on ne peut plus explicites sur ma poitrine et, sortant de mon sommeil, j’ai pensé qu’enfin Eric était venue me rejoindre.
La lumière était éteinte et je me faisais peloter comme une collégienne n’ayant pas reçue de caresses depuis des mois, c’était vraiment bon, mais très vite je me rendis compte que les caresse n’étaient pas celles que j’avais l’habitude de recevoir d’Eric, elles étaient plus rudes et moins caressantes, mes fesses furent à leur tour malaxées et je me suis posée des questions, juste avant qu’une main me prenne le sexe.
Là, j’ai flippé, Eric ne touchait que très rarement mon sexe, alors pourquoi ce soir il le prenait en main et commençait à me branler, paniquée j’ai allumé la lumière pour me retrouver nez à nez avec Pierre, le père d’Eric.
Il me regarda, il souriait, ses yeux brillants allant de ma queue à mes yeux, et il dit :
- Si j’investis dans ton opération, il va falloir que tu sois très gentille avec moi et ne pas faire ta mijaurée, petite cochonne !
Je ne savais que dire, ni même que faire, je me faisais peloter sans vergogne par le père de mon copain, j’aurais voulu me dérober mais les caresses avaient déjà fait leur effet et le plaisir commençait à monter dans mes reins, c’est alors que Pierre se redressa et s’agenouilla devant moi, me présentant son sexe au bord de mes lèvres en disant :
- Allez, suce-moi petite cochonne !
Troublée, par la tournure des évènements, je pris son sexe et commençais à lui lécher gland, je ne voulais pas qu’il ameute toute la maisonnée et surtout réveiller Eric, Pierre trop content se laissa faire, en disant :
- Oui, t’as compris, ainsi ce sera notre secret, je te baise et je me tais !
Mes câlins lui firent rapidement de l’effet car son sexe pris de bonnes proportions et Pierre se mit à bander dur, comme pour me rassurer il rajouta :
- Tu peux gueuler si tu veux, ma femme et Eric dorment, je leur ai donné un somnifère dans le cognac, nous avons toute la nuit…
Mes craintes s’évanouirent aussitôt et maintenant peu importe qui allait me donner du plaisir, je voulais jouir et Pierre avait ce qu’il fallait pour le faire, son gros membre me remplissait la bouche et je craignais pour mon anus, car sans être plus long que celui d’Eric, le membre de son père était plus large.
La tête entre ses mains, il m’obligeait à le sucer de plus en plus profondément en disant :
- Oui, t’es une bonne suceuse, une vraie salope !
Je l’ai sucé pendant un bon bout de temps lorsqu’il sentit qu’il allait jouir, il se retira de ma bouche et me demanda de me mettre à quatre pattes sur le lit, et une fois en place, bien cambrée, offrant mes reins, Pierre m’enfila d’un seul coup et me sodomisa avec une force à grands coups de reins.
Au début, ce fut un peu douloureux, mais petit à petit le rythme infernal de ses coups de butoir me fit défaillir, je ne pouvais me retenir de lancer des petits jappements quand une vague de plaisir envahit mes reins et mon ventre, je gémissais encourageant inconsciemment Pierre dans ses assauts.
Je prenais du plaisir avec le père de mon chéri et là, j’ai vraiment pensé que j’étais vraiment une belle salope, mais le plaisir me gagnait et j’écartais au maximum mes fesses pour que Pierre aille toujours plus profondément en moi.
Cette fois je ne gémissais plus, mais hurlais mon contentement, j’aurais aimé que ça dure longtemps, mais Pierre éclata dans mon cul en saccades de foutre.

Il m’embrassa avant de partir en disant :
- Je crois que tu as aimé, alors si tu veux ton opération, tu te tais et t’en parle jamais à Eric, par contre tu m’offres ton cul quand j’en ai envie, ensuite, après l’opération ce sera les deux trous que je te prendrais. T’es une sacrée salope et ça me plaît, Eric doit bien s’amuser avec toi et je comprends maintenant pourquoi il bande pour toi...
Il m’embrassa sur les lèvres puis rajouta :
- Ce sera pareil les autres fois, ils dormiront comme des ouches et nous pourrons nous amuser…
Puis il disparut, me laissant le cul ouvert et plein de sa jouissance…
En m’endormant je pensais que maintenant, j’avais un amour, Eric et un amant, Pierre, je me tairais donc, pour avoir mon opération que Pierre payait et aussi pour garder Eric, mon amour… »

A suivre…

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