Maria, La Suite

Maria avait très faim de queue, depuis son divorce, elle n’avait plus eu de rapport. Elle m’a fait coucher sur le dos pour monter sur moi. Quel régal pour mes yeux de voir cette femme assise prête à me chevaucher…
-tu en avais envie ? me demanda-t-elle.
-oui, depuis trop longtemps…
-Pourquoi ne m’as-tu pas dit ? Tu sais que je suis toujours à ton écoute.
-Je n’osaispas, j’avais peur que tu te fâches contre moi
-Je te comprends, dit-elle en m’embrassant, maintenant tu pourras venir me prendre quand tu voudras, je suis à toi, mais ça doit vraiment rester entre nous.
-Je te promets que je ne le dirai jamais à personne.
Tout en parlant, elle frottait sa chatte toujours aussi chaude et humide le long de ma queue. Elle se lève finalement pour redresser ma bite et s’asseoir dessus en profondeur, elle se couche sur moi pour m’embrasser, je la tiens par les hanches et elle commence sa chevauchée…
-Ta bite va très loin en moi, c’est trop bon…
Je pétrissais ses fesses, elle me donnait encore ses seins à sucer, tout en s’agitant sur ma queue. Je ne sais pas si c’est pareil pour tous les mecs, mais moi ma queue n’est jamais aussi dur que quand une femme est empalée dessus et surtout quand elle sait agiter son bassin. Maria était très douée, moi qui jusque-là ne baisais que des jeunes filles qui comme moi étaient en plein apprentissage des rouages du sexe, j’étais cette fois dans la chatte d’une femme accomplie. Elle balançait sa croupe de haut en bas, d’avant en arrière, elle faisait rouler son bassin en donnant à ma queue des étirements et des torsions incroyablement jouissifs. Grâce à son expérience, elle a vite compris que je faisais le maximum pour me retenir de jouir…
-Tu t’es très bien occupé de moi, maintenant laisse toi aller, je veux sentir ton petit lait se rependre en moi. On a encore toute la journée pour s’amuser.
J’ai suivi sa volonté, et je me concentré sur les sensations incroyables qu’elle me procurait.

Et puis elle l’a fait… comme je l’avais fait pour elle, elle s’est penchée vers mes têtons pour me les sucer… C’était délicieux, tout en aspirant ma queue toujours aussi profondément dans sa chatte.
Et dans un râle et un afflux de sang massif dans ma colonne de chair, mes couilles ont expulsé des jets tellement puissants, que Maria a jouis aussi, elle s’est effondrée sur moi dans un gémissement félin, c’était merveilleux… Tellement fort, qu’on a perdu connaissance pendant plusieurs dizaines de minutes. On s’est endormi sans s’en rendre compte.
Elle s’est réveillée la première, elle m’a sorti de ma léthargie par des baisers doux et bien baveux. Elle était tellement belle et radieuse, j’étais aux anges.
Elle nous a servi le déjeuner, sur son lit, toujours nus tous les deux, je bandais toujours comme un cerf, et elle s’en amusait, elle m’a même taillé une petite pipe pendant que je me délectais d’un succulent morceau d’ananas pour le dessert. Elle ne m’a pas fait jouir tout de suite. Nous avons fait une petite sieste dans les bras l’un de l’autre. Elle m’a réveillé par une nouvelle gâterie, une fois bien en forme, elle s’est empalée sur ma queue, de dos cette fois. La vue de ses fesses m’a donné des idées… mon instinct de mâle a pris le dessus au bout de quelques minutes. Je l’ai relevé pour la mettre à 4 pattes, et là je me suis retrouvé face au miroir… Je vous laisse imaginer… Elle m’avouera plus tard que ce jour et cette position face au miroir a été une révélation pour elle qui jusqu’à ce jour-là n’avait connu que le coït conjugal souvent la nuit ou dans l’obscurité… là elle s’était retrouvé à 4 pattes le cul en l’air et la chatte offerte à jeune homme en plein dans l’âge de la prédation sexuelle.
Autant vous dire que cette position m’a déchainé, je l’ai culbuté comme un démon. Je la tenais par les hanches, je la relevais par les cheveux, je lui faisais des clés de bras pour la cambrer au maximum etc… et toujours en cognant dans sa chatte comme un bucheron.
Elle a finis par jouir une nouvelle fois quand je lui ai enfoui la tête dans le matelas pour avoir l’angle nécessaire à toucher son point G par mes coups de queue… ( je précise que étant ado j’avais étudié des tas de choses sur le corps des femmes, que je m’amusais à reproduire sur mes partenaires )… ça fait assez mal au gland mais c’est extrêmement efficace pour faire décoller une femme en levrette. Je me suis répandu moi aussi quelques instants plus tard en plantant ma queue bien profondément en elle et en enfonçant involontairement mes ongles dans ses poignets d’amour. Quel pied on a pris tous les deux…
Notre après-midi c’est terminé là, mais on a continué à faire l’amour très très souvent, jusqu’à mon départ pour la France après l’obtention de mon BAC. Lors de ses séjours en France, on se voyait pour faire l’amour, lors de mes retours au pays pour les vacances aussi.
Aujourd’hui, presque 15 ans après notre première fois, elle s’est remarié, ce n’est pas une femme volage mais je la baise toujours de temps en temps avec toujours la même trique. Je suis l’homme de sa vie d’après elle, elle sait que nous n’aurions jamais pu avoir de relation amoureuse mais d’après elle, je suis le seul homme à user de son corps aussi habilement. Pour ma part, elle est une femme que j’aime énormément et qui est très importante dans ma vie.

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