Leslie Re10

Leslie RE10 – Rêves.
Noir désir, suite et fin

« Quand je suis sorti de la douche, je ne savais que mettre, alors je me suis mis un joli petit string et une petite robe légère à boutonnage sur le devant avec une ceinture, sans rien d’autre sinon que des sandales.
Quand je suis arrivée dans la salle à manger, la table pour le petit déjeuner était déjà dressée, mais en plus de Line et de Djal, un autre couple était présent, c’est Line qui se levant me dit :
- Ahhh ! Te voilà, Lou et Peter, nos voisins nous ont apportés les croissants pour partager le petit-déjeuner, nous le faisons parfois, j’espère que cela ne te pose pas de problèmes ?
- Non, pas le moindre du monde, dis-je en regardant Line.
Celle-ci avait un air de conspiratrice, comme si elle avait organisé ce moment et me piégée avec ses voisins, je me suis demandé à cet instant s’ils ne faisaient pas des partouzes ensemble…

Lou, une jolie blonde aux cheveux courts, mince, avec un joli regard bleu profond et un magnifique sourire, Peter, un homme bien entretenu physiquement, brun aux yeux verts, laissait apparaitre son enthousiasme de me voir.
Nous nous sommes fait la bise et je me suis installée à la seule place vide, entre les deux hommes, face aux femmes…
Nous avons commencé notre collation et la discussion a aussitôt démarrée, elle tournait sur les souvenirs de vacances et plus particulièrement de l’Afrique, Djal était intarissable sur les anecdotes de sa région et tous nous l’écoutions avec attention, mais tout en parlant il passa sa main gauche en dessous de la table, délicatement déboutonna ma robe et posa sa main directement sur mon sexe et commença avec ses doigts agiles de lentes caresses sur mon sexe. Je n’osais pas réagir car en plus cela ne se voyait absolument pas, mais mon sexe lui commença à réagir...
Je n’osais m’exprimer de peur de trahir le désarroi qui s’emparait de moi, puis soudain, j’ai senti sur ma gauche une autre main qui se rejoignait avec celle de Djal et se promenait sur mon string tendu, caressant elle aussi mon sexe bandé.


Instinctivement j’ai resserré les cuisses, mais Djal inséra sa main et me força à les rouvrir, je regardais Peter qui, innocemment continuait de me caresser, comme si de rien n’était.

Le petit-déjeuner était presque terminé et je bandais comme une folle sous les caresses de mes deux voisins, qui ne se privaient pas de me caresser, de me branler ou de malaxer mes couilles.
A un moment mon regard tomba sr le visage de Line, qui avait les yeux dans le vague, quelque peu révulsés, en regardant sa voisine, Lou, je m’aperçus que la main gauche de celle-ci avait disparue sous la table et que Line devait être en train de doigter de se faire doigter la chatte…
D'ailleurs en voyant le sourire de Lou, j’ai sentis que j’avais certainement raison, car c’est à cet instant que Line se mit à gémir, faisant dire à Peter ;
- Eh bien, petites salopes toujours prêtes à vous gouiner.
- Ce serait bien la première fois que tu serais contre, dit Line.
- D’autant que tu as l’air de bien t’amuser avec Leslie, rajouta Lou.

Peter, abandonnant mon sexe se leva et commença à se déshabiller pour se retrouver torse nu et seulement vêtu d’un slip genre kangourou, je ne pus m’empêcher d’admirer ses pectoraux et ses abdominaux bien dessinés, et la bosse qui gonflait son slip. Puis revenant vers moi, il me caressa les fesses et mes seins au travers du tissu de ma robe en disant :
- Allez-vous gouiner, avec Djal nous allons nous occuper de la belle Leslie…
Les deux femmes se levèrent et partirent s’installer dans le canapé du salon et commencèrent à se gouiner sans se soucier de nous.
- Viens ! Me dit Djal, allons dans la chambre.

Arrivée sur le pas de la porte, je me suis arrêtée, mais Djal m’entraina à l’intérieur de la chambre et je me suis retrouvée entre mes deux hommes qui continuaient de me caresser.
Devant mon absence de réaction, extérieure mais pas intérieure car je bandais ferme, ils ont enlevé ma ceinture et déboutonnée ma robe, qui disparue aussitôt suivie de mon string.

Je me suis laissée faire, je n’avais aucune réaction, j’étais dans un autre monde. Me prenant par la main, ils m’ont couchée sur le lit, eux de part et d’autre de mon corps.
Ils se sont mis à me caresser partout, prenant chacun un sein dans la bouche ils me sucèrent divinement. Peter partit à la recherche de mon corps avec ses lèvres, elles descendaient doucement sur mon nombril et en passant mit la pointe de sa langue à l’intérieur. Descendant toujours plus il embrassa mon ventre puis toujours plus bas, arriva sur mon pubis glabre.
J’ai ouvert mes jambes et il prit mon membre dans sa bouche et commença à me sucer.

De son côté, Djal ne reste pas inactif, il me caresse d’un doigt le sphincter et enfonce de temps en temps un doigt dans mon cul…
Puis prenant le pot de crème, il m’en passe sur tout le pourtour de mon anus et enduit l’intérieur aussi, puis ce sont mes seins qui sont enduits, et enfin Peter ayant arrêté de me sucer, Djal m’enduit le sexe de cette crème. Je commence à comprendre pourquoi Line hier soir n’arrêtait pas de se trémousser après avoir été enduite de crème, car je ressens soudain une chaleur envahir les parties enduites et une irrésistible envie de faire l’amour, je suis comme possédée d’un incontrôlable désir.
Ce que je ressens est presque indescriptible, je sens mon anus s’ouvrir et réclamer d’être pénétré, mon sexe devient dur comme de la pierre et mes seins se gonflent avec les bouts érigés comme jamais…
Je sens que je perds le contrôle de mon corps qui avide de sexe, réclame en me faisant gémir et réclamer :
- Possédés moi ! Faites de moi votre chienne en chaleur…

Peter, se met à genoux entre mes jambes grandes ouvertes et m’attire vers lui en mettant mes jambes sur ses épaules, puis passant ses mains sous les fesses me soulève et me positionne à la hauteur de soin sexe dressé
Djal la main sur un de mes seins et l’autre mon ventre continue de me mettre dans tous mes états.

- Regarde comme elle bande, elle attend que je la sodomise, cette petite salope, dis Peter à Djal.
- Elle adore ça, lui répond Djal.
En jetant un coup d’œil et je vis son membre énorme, je le pris dans la main, je n’en faisais même pas le tour avec mes doigts, elle est très grosse, épaisse, pas très longue, pas comme celle de Djal, mais une circonférence inouïe.
Jamais elle ne va rentrer, me dis-je un peu apeurée, mais l’envie est trop forte, je positionne son gland à l’entrée de mon cul et d’une seule poussée son membre est entré en moi.
Ohhh ! Qu’elle sensation divine de remplissage, toutes les parois intimes de mon conduit sont en contact avec son membre, il va m’éclater, il me laboure en ahanant, je sentais son gland dans mes entrailles, son sexe me fouillé et me remplir.
À grands coups de rein il me pistonnait fort, à chaque poussée son bas ventre claquait sur mes bourses, et ses poils aussi bouclés que sa chevelure drue chatouillaient la peau de mes couilles et me procuraient des sensations agréables, je sentais le plaisir arriver.

Je ne sais combien de temps Peter me sodomisa ainsi, la notion du temps avait disparue de mon esprit trop prise par le plaisir et la jouissance, car les jouissances se succédaient, m’emportant chaque fois un peu plus loin, mon corps n’était plus animé que par la soif de jouir.
Djal me branlait tandis que Peter, inlassablement me sodomisait, imperturbable et endurant, puis ses mouvements se sont ralentis, j’ai eu l’impression que son gland grossissait et son membre tressautait en moi à plusieurs reprises, puis je sentis que Peter jouissait au fond de mon cul en de longues giclées de foutre chaud, je fus prise de tremblements et des orgasmes m’ont emporté.
Peter ne retira pas aussitôt, son gros sexe était toujours dur, j’ai cru qu’il allait me reprendre, mais il se retira et Djal pris le relais.

Sans préambule, il me positionna en levrette et me transperça l’anus, mais enduite du sperme de Peter il n’eut aucune difficulté à enter au plus profond de moi, il me pistonna et butta au fond de mon cul, c’était divin.

Mes cris devaient remplir la maison, mes muscles anaux se relâchaient encore et encore
Les doigts de Peter se sont emparés de mon membre et il m’a branlé tandis que Djal me pistonnait, soudain après un long moment de ce traitement, je ne sais combien de temps ça a duré, le monde s’arrêta, n’étant plus qu’un corps abandonné à mes deux amants, emportée dans un orgasme plus fort que les autres, je me suis évanouie. Le monde s’était arrêté et j’ai reposé ainsi sans connaissance, le corps parcouru de soubresauts.
Lorsque je me suis réveillée, Line et Lou étaient là et se faisaient sodomiser par mes deux fabuleux amants, puis nous avons fait encore et encore l’amour ensemble, avant que Lou et Petre ne rentre chez eux. »

Je ne sais pas combien de temps, je suis restée chez Line et Djal, mais lorsque je me réveillais, j’avais le sentiment que je n’avais jamais été autant sodomisée que pendant cette période…

A suivre…

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