Leslie Re11

Leslie RE11 – Rêves.
Ah, si j’étais une femme…

Un jour, après être rentrée seule à la maison, dans la nuit j’ai fait un rêve étrange…

« J’étais une très jeune femme, et j’étais chez Nicole.
J’étais dans une maison bourgeoise, assise dans un canapé de cuir et elle, cette jeune femme, était dans un fauteuil proche face à moi.
Je ne sais pas pourquoi, mais dans ce rêve, un sentiment était très fort en moi, je sentais que cette femme avait une emprise terrible sur moi et que je ne pourrais pas résister à tous ses caprices…
Apparemment je ne la connaissais pas et je ne sais pas pourquoi je me retrouvais chez elle, avions pris contact sur internet ou m’avait-elle abordée dans la rue, je ne pourrais le dire, mais nous conversions gentiment comme de vraies amies se connaissant depuis longtemps.
Mais tout à coup, au cours de notre conversation, elle m’a demandé de remonter ma jupe pour lui montrer mes jambes, ce jour-là, je portais une jupe longue.
Elle me l’avait demandé comme un jeu, sans la moindre gêne et le plus naturellement du monde, sans oublier qu’avant elle m’avait complimentée sur ma tenue et sur mon corps.
Et le plus incroyable, c’est que sans me poser de question, j’ai eu envie de faire ce qu’elle me demandait…
J’ai donc commencé à relever ma jupe, découvrant mes jambes et un peu mes cuisses, mais elle m’a précisé aussitôt de la remonter plus haut encore, jusqu’à mon string. Très lentement, entrant dans le jeu, je lui ai obéi…

Comme si tout était normal, elle continuait notre conversation. Moi, j’étais un peu troublée, je le reconnais, et j’avais de plus en plus de mal à le cacher.
Ma jupe était remontée jusqu’au haut de mes cuisses, découvrant largement mon string. Tout en voulant sembler naturelle pour ne pas être ridicule, je gardais les jambes pudiquement rapprochées. Nous avons continué à parler ainsi un certain temps, son regard se portant de temps à autre sur mon entre-jambes.


Au bout d’un assez long moment, et toujours très calmement, elle m’a demandé si je voulais bien écarter le fond de mon string pour me montrer à elle. Elle continuait à me fixer dans les yeux en me faisant sa demande, sur un ton très doux mais en même temps assuré.
Je sentais bien que d’écarter la protection qui protégeait ma vulve nous entraînait obligatoirement dans le domaine du très intime.
Un peu interloquée, malgré l’état dans lequel elle avait commencé à me mettre, et après une hésitation pendant laquelle je me suis sentie rougir, j’ai encore fait ce qu’elle demandait, tirant un peu sur le fond de ma culotte qui cachait mon sexe entièrement épilé, créant un sentiment d’impudeur en moi et ayant l’impression de ne rien pouvoir dissimuler de ma plus secrète intimité à son regard et d’attiser ainsi sa curiosité.
Une certaine chaleur montait dans mon corps et mon visage devait être rouge, mon souffle lui, se faisait plus court et je me demandais comment tout cela allait finir, car à cet instant je me sentais bien, n’ayant aucune envie de lui résister, me demandant seulement comment cela allait finir…
Mon sexe commençait à s’humidifier et les pointes de mes petits seins durcissaient d’excitation, ce qui devait se voir sous mon tee-shirt, vu que je ne portais pas de soutien-gorge.

J’ai senti le regard de Nicole se fixer mon intimité de manière insistante et immobile, les cuisses légèrement ouvertes mais pas trop, je lui dévoilais mon sexe en tirant mon string de ma main gauche.

Au bout d’un moment, elle s’est approchée pour écarter elle-même davantage mon string, considérant sans doute que je ne lui en montrais pas assez, tout en m’obligeant à ouvrir plus largement mes cuisses. Elle m’a seulement dit qu’elle aimait énormément mon petit sexe tout lisse, tout mignon et très excitant, paroles qui me firent mouiller encore plus.
J’étais comme hypnotisée, n’osant bouger ni faire un geste.
Après avoir pris tout son temps pour observer ce qu’elle voyait, elle m’a aidé à descendre complètement mon string pour m’en débarrasser, puis elle m’a fait écarter les jambes et m’a demandé de lui ouvrir, moi-même, mon sexe de manière à bien lui faire découvrir mon clitoris.

De plus en plus excitée, incapable de résister, j’ai fait tout ce qu’elle me demandait, écartant mes lèvres avec mes doigts de manière à faire saillir mon petit bouton que je sentais sensible et luisant
- Ouvres-toi plus encore ! me dit-elle. Je te veux indécente, me montant tout de toi !
Elle ne me touchait pas, seulement son regard me détaillait, elle contempla longuement mon sexe ouvert et offert, et je vis son regard fixé sur mon clitoris, sur lequel je sentais son souffle chaud.

Assez vite, elle m’a fait allonger sur le canapé, la tête reposant dans l’angle d’un accoudoir et mettre une jambe sur le dosseret et l’autre à terre de manière à ce que je sois bien ouverte et offerte de façon la façon la plus indécence qu’il soit…
Et là, elle m’a demandé :
- Montres-moi un peu comment tu te caresses ?
Elle voulait me voir dans uns des situations la plus intime que je puisse lui offrir, un peu hésitante, mais toujours incapable de lui résister, j’ai commencé à me caresser la chatte, en faisant bien saillir mon clitoris, à le branler comme j’aime au début de mes jeux solitaires, c’est à dire en faisant aller et venir entre mon pouce et mon index mon capuchon, comme pour un tout petit sexe d’homme, tout en pinçant la pointe d’un de mes seins.
Après m’avoir longuement regardé me donner du plaisir, tantôt fixant mes yeux, alors que je gémissais, tantôt mon sexe qui s’ouvrait et commençait à suinter de plaisir, elle m’a entièrement dévêtue, ôtant mon tee-shirt et ma jupe et me faisant confortablement allonger nue sur le canapé, me demandant de bien me montrer à elle, les jambes largement écartées.

S’installant confortablement, la tête entre mes cuisses ouvertes, agenouillée par terre entre sur un coussin, elle a commencé à explorer mon corps de ses mains et de sa bouche. Longuement elle a caressé mon corps sans oublier une seules partie, faisant naître en moi les frissons du plaisir, insistant sur mes petits seins sensibles dont elle pinçait tendrement mais fermement les bouts tout dressés par l’excitation et sur mon sexe, dont elle en prenait peu à peu possession, explorant mon intimité de plus en plus profondément.

J’étais complètement livrée à ses caresses, me faisant prendre des positions indécentes, preuve de ma totale soumission pour pénétrer ma chatte de ses doigts s’arrêtant chaque fois au seuil de mon plaisir.
Jusqu’au moment où elle s’est décidée à me faire jouir et me répandre sans pudeur sur ses mains qui m’emportaient dans un plaisir infini…


- C’est merveilleux comme tu aimes ça, ma chérie. A-t-elle dit dans un souffle rauque.
J’étais excitée de me faire prendre sous les fesses pour qu’elle presse mon sexe contre sa bouche, sa langue me pénétrant la chatte.
C’est ainsi, sa langue introduite dans mon sexe et léchant ma fente de bas en haut, puis aspirant mon clitoris tout en le branlant, qu’elle m’a procuré encore un nouvel orgasme, fulgurant et intense, pour lequel je n’ai pu retenir un long cri.
Je me suis cabré dans la violence du plaisir, pour aller au-devant de sa bouche et appuyer plus fort mon sexe et sentir sa langue le plus loin possible à l’intérieur de moi.
Elle m’a fait jouir ainsi au moins cinq ou six fois à la suite et je me livrais désormais entièrement et sans réserve, ni pudeur à elle et à ses caresses.
Et c’est dans un dernier cri de jouissance que je suis rependue dans sa bouche.

Elle était restée habillée pendant tout ce temps, je ne savais plus où et qui j’étais, possédée par le plaisir qui venait de m’emporter, elle s’est redressée et alors que je pensais reposer un peu, Nicole a ouvert les pans de sa robe, pour apparaitre munis d’un gode-ceinture qu’elle s’était harnaché sur son bas ventre nue.
Un gode noir, veiné et relativement gros, qui contrastait avec son pubis blanc et glabre, et son sexe aux lèvres fines, en me regardant elle m’a dit :
- Je vais te faire l’amour comme si j’étais un homme et toi tu seras ma femelle en chaleur, réclamant la jouissance et l’extase…
Et sans rien dire de plus, elle se mit entre mes cuisses et me pénétra la chatte de son membre factice, trempée comme je l’étais, elle n’eut aucun mal à me pénétrer et entama aussitôt de longs coups de reins qui me firent jouir immédiatement.

Elle m’a possédée ainsi pendant un long moment, puis se retirant, elle m’a soulevé les fesses et j’ai compris à cet instant qu’elle allait me sodomiser, elle a posé le gland du gode sur ma rosette et c’est au moment qu’elle a commencé à me pénétrer l’anus que je me suis réveillée. »

J’étais en sueur et complètement hagarde, quelque peu frustrée que mon rêve se termine ainsi…

A suivre…

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