L'Hôtel Parisien

Suite à notre première expérience "candauliste" (histoires sous le pseudo st4b25, compte perdu) qui s'est déroulée sous forme de plan à trois, nous sommes rentrés de vacances plein de souvenirs coquins en tête, ce qui n'a pas manqué d'alimenter mes fantasmes pour les mois suivants.
La routine revenue, notre activité sexuelle était faible et nous n'avons pas reparlé de notre expérience récente.
Pendant ce temps, je réfléchissais à élaborer une nouvelle rencontre car la première m'avait beaucoup plu, et c'est peu de le dire.
Je voulais éviter une rencontre dans notre secteur, de peur que cela se sache. Nous n'avons pas de travail nous amenant à nous déplacer, sauf pour ma part mais c'est très rare.
Un séminaire se profilait cependant pour le mois de janvier sur Paris et je proposais alors à Léa de m'accompagner pour profiter de la ville, ce qu'elle accepta. Il s'agissait d'un vendredi donc nous avons décidé de rester le week-end et de ne rentrer que le dimanche soir.
J'avais réservé un hôtel non loin de Bastille, sachant que ce quartier est très fréquenté et que l'on pourrait sortir facilement.
Je dois à cette occasion vous avouer un de mes vices, j'adore écouter les gens baiser à l'hôtel et celui que j'avais réservé présentait des commentaires faisant état d'un manque d'insonorisation, malgré un standing largement correct par ailleurs.
Le premier soir, nous avons mangé dans un fast food avant de rejoindre l'hôtel car nous sommes arrivés tardivement sur Paris.
Nous nous sommes couchés directement en rentrant, il était alors 22h30. Ma copine s'est endormie rapidement comme d'habitude, pour ma part je lisais mes mails et surfais sur internet avec mon portable lorsque j'ai commencé à entendre des bruits étouffés provenant de la chambre voisine. Les bruits réguliers de la literie qui s'y sont bientôt rajoutés ne faisaient pas de doute sur ce qui se passait de l'autre côté du mur, nos voisins de chambre avaient entamé une partie de jambes en l'air.

Très excité, en temps "normal" (c'est à dire en déplacement seul), je me serais branlé en collant l'oreille au mur voire en allant coller l'oreille à leur porte, mais j'ai décidé de saisir l'opportunité de la présence de Léa. Elle dormait en culotte échancrée en dentelle noire avec un T-shirt ample, le dos tourné contre moi. J'adore cette lingerie qui pénètre dans les fesses juste comme il faut.
Je commençai à lui caresser les fesses d'une main puis j'alternai avec ses seins d'abord par-dessus puis sous le T-shirt. Elle dormait toujours mais ses tétons ont rapidement durci sous mes doigts. Par derrière, je caressais avec deux doigts la fente de ses fesses par-dessus le tissu, du haut de la raie jusqu'à sa chatte. Elle se réveilla doucement et parut surprise, davantage par les bruits de la chambre d'à côté que par mes caresses. Elle me demanda bientôt "ça t'excite de les écouter c'est ça ?". Sans réponse, je lui pris la main et je lui mis sur ma bite qui était dure depuis le début des ébats de nos voisins. "Ah oui, effectivement". Elle baissa sa culotte sans l'enlever (jusqu'aux genoux) et elle recula ses fesses puis elle place ma queue à l'entrée de son vagin, qui était tout mouillé. Sans me faire prier je m'introduis peu à peu en elle et je débutais un lent va et vient. Ma queue n'étant pas très longue, j'avais du mal à rester en place et la position était peu confortable. Elle se mit alors à moitié sur le ventre et je me mis à genoux au-dessus d'elle pour la prendre comme ça. J'exagérais volontiers les mouvements pour faire grincer le lit chez nous. Etrange compétition avec les voisins, les gémissements féminins qui filtraient ne faisaient cependant pas de doute quant aux talents du voisin baiseur. Il céda le premier et les bruits stoppèrent brutalement. Je ne mis pas longtemps non plus à jouir dans ma femme. Elle remonta sa culotte aussitôt pour ne pas tacher les draps et nous nous sommes endormis enlacés, sa petite chatte pleine d'une bonne quantité de mon jus.

Le lendemain soir, il y avait le même réceptionniste que la veille, à savoir un homme maghrébin, la quarantaine bien tassée, dont il était difficile d'apprécier le physique derrière le comptoir. Il nous demanda si la nuit précédente s'était bien passée et ma conjointe lui dit que nos voisins étaient peu discrets. A notre surprise, il nous répondit qu'il avait remarqué mais qu'il n'avait pas réussi à dire si les bruits venaient de leur chambre ou de la nôtre lors qu'il était passé dans le couloir. Ma copine était rouge comme une pivoine. Amusé, je lui demandais s'il trainait dans les couloirs pour écouter aux portes de ses clients, ce à quoi il me répondit d'un œil brillant qu'il passait plusieurs fois par nuit dans les couloirs pour voir s'il n'y avait pas de pervers qui écoutait aux portes.
Cette réplique me désarçonna car c'est quelque chose qu'il m'était déjà arrivé de faire dans d'autres établissements lors de mes déplacements en solo.
En remontant, excité comme un pou, j'ai repris les devants pour que l'on fasse l'amour ce soir-là, en choisissant la même heure que la veille. Pendant la pénétration, je chuchotais à l'oreille de Léa que le réceptionniste avait surement l'oreille collée à la porte et imaginait comment je la prenais, ce à quoi elle ferma les yeux et mis la tête en arrière en ouvrant la bouche. J'avais vraisemblablement touché une corde sensible, peut-être qu'elle s'imaginait la même chose à cet instant. Une fois notre partie de jambes en l'air terminée, je pris l'initiative de lui dire que cela m'avait rappelé notre trio en vacances et me donnait furieusement envie de recommencer. Mon fantasme candauliste ultime était de la voir baiser avec un ou plusieurs arabe(s) et/ou un black(s).
Elle comprit rapidement où je voulais en venir et me demanda ouvertement "tu veux que le réceptionniste me saute ?". Je me contentais d'un hochement de tête en la regardant dans les yeux, redoutant sa réaction. Elle m'embrassa un court instant et me répondit à ma surprise "ok, mais comment on fait ?".

Très excité mais lucide, j'élaborais rapidement un plan d'action.
Je descendis à la réception mais Farid n'était pas là, sûrement en train de faire "une ronde" nocturne. Il était minuit. J'observais les clés des chambres sur le tableau et la plupart étaient manquantes, ce qui signifiait probablement que la plupart des occupants étaient rentrés à l'hôtel.
J'en profitais pour sortir aller acheter des capotes dans le premier distributeur. Je pris le parti d'acheter des capotes féminines et masculines, sait-on jamais.
De retour à l'hôtel, il n'était toujours pas là mais il apparut cinq minutes plus tard par l'escalier provenant des étages et il parut surpris de me voir. Je crus distinguer une bosse dans son pantalon. Il vint se placer derrière le comptoir et me demanda s'il pouvait m'aider. Je lui répondis qu'il y avait un problème avec la lumière de la salle de bain, que l'ampoule avait probablement grillé et qu'il était difficile de prendre une douche dans ces conditions. Il était un peu plus de minuit et il accepta d'aller à la chambre. Il passa devant et je pus me faire une idée de son physique. Environ 1m70, assez trapu, de grosses paluches et un embonpoint presque dérangeant. Je n'étais pas sûr que ce type plairait à Léa mais je misais sur l'excitation du moment. Sans pouvoir expliquer pourquoi, j'éprouvais une sorte d'excitation malsaine en imaginant un type un peu crade se faire ma belle.
En entrant dans la chambre, il fut surpris de voir un porno sur l'écran plat posé sur le meuble en face du lit. J'avais pris soin de mettre une scène de trio sur un site en streaming en raccordant mon ordi portable à la TV. Seule la lumière faiblarde des lampes de table de nuit diffusait, ce qui produisait une ambiance assez tamisée, quoiqu'un peu blafarde.
Léa était comme convenu à genoux sur le lit juste en culotte et T-shirt (une culotte en coton verte à pois blancs, un peu style "petite fille"), un peu rentrée dans les fesses. Elle était légèrement penchée en avant et faisait mine de fouiller dans son sac sur la table de nuit.
Farid la vit immédiatement et s'immobilisa, surpris. La lumière de la SDB fonctionnait par contre. Je refermai la porte derrière lui.
Il me demanda ce qu'il faisait là et je lui répondis "vous voulez participer au lieu d'écouter cette fois ?". Je grimpais sur le lit et je me mis à caresser les fesses de Léa en lui mettant une petite fessée. Le gars fixait la scène d'un air lubrique et cette fois-ci j'eus confirmation de la bosse sur son pantalon qui paraissait tout tendu. Il avait peut-être retiré son slip pour aller rôder dans les couloirs.
Sans perdre de temps, je regroupais la culotte de Léa en un mince morceau de tissu façon string et j'écartais le tissu sur le côté. Il avait maintenant une belle vue sur sa fente et qui était encore bien humide de sa mouille et de mon jus de nos ébats un peu plus tôt et peut-être même de ceux de la veille.
J'appuyais un peu sur le bas de son dos pour la faire se cambrer et je me mis à lui caresser la chatte avec le pouce de haut en bas en insistant un peu plus sur le clitoris. Elle bougeait discrètement les fesses de haut en bas comme pour accompagner mes caresses et sa respiration se modifiait, elle devait être bien excitée de se faire caresser devant un inconnu. Elle ne s'était toujours par retournée et ne voyait donc pas le réceptionniste qui avait ouvert son pantalon et sorti sa bite. Il avait une bite assez courte comme la mienne, une quinzaine de centimètres, mais quasiment deux fois plus large avec un gros gland qui ressemblait un peu au chapeau d'un gros champignon. Je ne m'étais pas trompé, il n'y avait effectivement pas de slip. Il devait se promener dans les couloirs en se caressant le sexe à travers son pantalon en écoutant les ébats des clients. Il se rapprocha du lit quasiment à la hauteur de Léa et il se branla lentement en regardant le spectacle.
De mon côté j'avais commencé à la doigter avec l'index et elle avait maintenant la tête dans les coussins, en position de levrette. Elle avait aussi davantage écarté les cuisses.
J'invitais notre réceptionniste à prendre le relais et il introduit directement l'intégralité d'un de ses gros doigts au fond de la chatte de ma copine qui sursauta de surprise devant ce geste peu délicat. Avec un plaisir difficilement dissimulé, il entrait et il sortait doucement de la chatte toute mouillée de Léa. Il respirait fort et sa trique était sans doute déjà maximale. Il ne devait pas avoir eu souvent l'occasion de baiser une trentenaire blanche toute fraiche.
Il avait lâché sa queue et de l'autre main il écartait une fesse de ma copine, pour regarder son petit trou qui avait l'air de lui faire de l'œil. Je savais les arabes très portés sur l'anal.
Il enleva sa chemise pour se retrouver en marcel blanc assez transparent, il était très poilu aussi bien devant que derrière. Il s'agissait peut-être plutôt d'un turc. Il sentait pas mal la transpiration ce qui rajoutait de l'animalité à la situation. Je trouvais ce côté dégoutant à nouveau bizarrement très excitant.
Il vint se placer derrière Léa le pantalon aux chevilles et je l'arrêtais juste à temps avant qu'il n'enfonce sa queue dans la chatte de ma copine sans autre forme de procès.
Je mis une main sur les fesses de ma copine pour faire barrage et il me regarda surpris. Je lui dis "comme ça sans préliminaires ? Et sans capote ?".
Il me regarda surpris comme s'il ne comprenait pas et il me répondit "je peux pas rester longtemps, s'il y a des clients en bas. De toute façon elle est déjà trempée".
Léa tourna la tête et me jeta un air interrogatif. Je sortis un préservatif féminin de ma poche et le donna à Léa. Il marmonna un truc dans sa moustache. Léa retira sa culotte et son T-shirt. Elle était complètement nue sur les draps blancs. La scène était un peu surréaliste. Le gars ne quitta pas son marcel et retira tout de même ses chaussures et son pantalon, en gardant ses chaussettes.
Au final je me dis que ce n'était pas plus mal s'il n'avait pas voulu de pipe, l'hygiène semblant douteuse.
Léa se mit sur le dos, écarta les cuisses et elle mit en place le préservatif dans sa chatte. La scène était très excitante, Léa les jambes écartées avec deux doigts dans le vagin, le réceptionniste tout près. Ca devait être la première fois qu'il voyait une capote féminine.
Elle se remit à quatre pattes, et sans perdre de temps, Farid posa ses deux grosses mains de chaque côté de ses fesses et s'enfonça d'un coup sec, comme il l'avait fait avec ses doigts. A nouveau, Léa se crispa mais il l'attira vers lui pour rester bien au fond. Elle avait bien dû sentir passer son gros gland.
Il se mit à la limer avec plus de délicatesse, s'appliquant à bien aller au fond à chaque mouvement. Il était relativement gros et le bas de son ventre venait se poser au-dessus des fesses de ma chérie lorsqu'il était bien enfoncé dans son minou. Curieusement je trouvais ça très excitant, la belle et la bête.
Elle se mit assez rapidement à soupirer, ce qui avait dû encourager Farid qui se mit à la ramoner avec plus de vigueur. Le lit se mit à grincer avec la régularité d'un métronome.
J'étais resté devant le lit et je voyais simplement le cul de Farid aller et venir et ses couilles pendantes qui venaient claquer sur le clito de ma copine, ce qui devait surement lui plaire car elle est plutôt clitoridienne.
Il marmonnait de temps en temps des choses à voix basse dans sa langue, sûrement des insultes ou des trucs dégueulasses.
De mon côté je ne pus pas faire grand-chose car Léa avait la tête à proximité de la tête de lit, ce qui m'empêchait de me placer devant elle. De toute manière je préférais profiter du spectacle. J'avais sorti ma bite et me caressais doucement pour ne pas jouir trop vite.
Farid suait à grosses gouttes, les poils de ses fesses et de son dos perlaient.
La chatte de Léa faisait des bruits de succion sur la queue de son amant, c'était très excitant.
Après un bon quart d'heure de limage dans cette position et sans prévenir, Farid se retira et fit basculer ma chérie sur le dos de façon assez brutale.
Elle parut assez surprise mais elle écarta les cuisses en grand à nouveau pour recevoir la queue de Farid.
Celui-ci s'introduit à nouveau à fond et ses couilles venaient frotter sur les draps avec les va et viens. Il se coucha presque entièrement sur elle, puis la baiser quelques minutes avec le corps quasiment immobile, juste en bougeant les fesses d'avant en arrière comme un pendule. Il frottait son gros corps contre elle et l'enduisant de sa sueur.
Soudain, Il glissa ses avant-bras sous les mollets de Léa et ramena ses jambes vers le milieu quasiment à la verticale, et il plaça ses chevilles sur ses épaules.
Il reprit son affaire à grands coups de bite, ce qui faisait grincer le lit assez fortement. Cinq minutes plus tard, c'est le lit de la chambre voisine qu'on se mit à entendre. Visiblement nous avions fait des émules. Seulement les voisins ne devaient pas se douter que j'étais en train de faire baiser ma copine par le gros mec dégueulasse qui s'occupait normalement de la réception.
Farid devait avoir entendu aussi les bruits venant de l'autre chambre ce qui a dû accen son excitation et il a joui bruyamment quelques minutes plus tard au fond de Léa en se penchant sur elle et en l'écrasant de son poids, dans un mélange de gros râles et d'expression en langue étrangère.
Il resta allongé quelques minutes puis se retira d'un coup et remis son pantalon sans même essuyer sa bite. Il mit le reste et quitta la chambre sans rien dire.
Léa était restée allongée les cuisses grandes ouvertes avec le jus du réceptionniste qui sortait doucement de sa chatte bien ouverte, rougie et gonflée par le plaisir.
Sans savoir ce qui m'a pris, je vins placer la tête entre ses cuisses pour lui lécher le clito, ça sentait fort, un mélange de sperme et de sueur.
J'étais fou d'excitation et elle vraisemblablement également car elle a joui très peu de temps après dans un râle étouffé, sa cyprine me coulait dans la gorge et il y avait une grosse tache sur les draps.
Quelques allers retour sur ma queue avec la main entière suffirent à me faire éjaculer à grosses giclées sur le bas du lit.
Le silence était revenu dans notre chambre ainsi que dans celle de nos voisins.
Nous sommes allés prendre une longue douche tous les deux.

La suite peut-être !

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