Le Parisien

A cette époque j’avais 26 ans et, souvent les samedis soirs avec deux amis gays, nous allions à Toulouse dans les endroits gays pour passer de bonnes soirées. Il faut dire que dans la petite ville où j’habite il n’y avait pas d’établissement gay, et les lieux de drague je n’aime pas ça.
Donc, me voilà parti à Toulouse avec mes deux amis Didier et Victor. Arrivé là-bas assez tard et après être aller boire quelques verres dans un bar, nous allons dans une discothèque bien connue pour être branchée gay. Pour ceux qui connaissent elle porte le nom d’une ville de Chine. Cette boite possède trois bars, dont un au fond de la boite exclusivement masculin. Il y aussi au même endroit, une salle vidéo où passe des films porno gay et une backroom.
D et moi, nous allons en premier nous déchaîner sur la piste de danse, de la techno dont le volume est poussé à fond. V, lui se commande un verre au bar.
Plus tard direction le bar gay. Un couloir et au fond le bar masculin. Évidement, il n’y a que des mecs, tout le monde se regarde et se juge de haut en bas.
Alors que nous sirotant nos verres assis au bar en discutant, mon ami V me dit :
- ne te retourne pas, mais il y a un mec qui n’arrête pas de te regarder.
J’attends quelques secondes, et, le plus discrètement possible, je me retourne et aperçoit le mec en question. En effet, il regarde dans notre direction et quand il croise mon regard, immédiatement il se retourne vers ses amis assis à coté de lui. Ce mec doit avoir quelques années de plus que moi, il est plutôt petit, pas gros, je dirais plutôt corpulent. Son t-shirt laisse apparaître des bras musclés et un torse athlétique avec des pectoraux bien saillants. Son jean moulant dessine un joli petit cul. Il est brun, les cheveux très courts, ses petits yeux et sa barbe de trois jours le rendent très séduisant. Mine de rien, je l’observe et je remarque qu’il se retourne souvent en regardant vers nous. Je dis à V :
- c’est toi qu’il regarde.


- non je pense que c’est toi.
D nous dit :
- il n’y a qu’une façon de le savoir. Le plan est que chacun votre tour vous allez dans la salle vidéo et on verra qui il suit.
Je me dit « le fera-t-il ? Suivre un de nous deux ».
Alors V se lève et va dans la salle vidéo. D et moi, scrutons subtilement la réaction du mec. Il le suit un peu du regard, sans plus. V revient quelques minutes plus tard.
J’ai encore toutes mes chances. J’y vais à mon tour. Je me dirige vers la salle vidéo. Et à peine arrivée, je remarque que le mec m’a suivit. Je m’assoie sur un banc et lui va au fond de la salle et se place dos au mur, à coté de la backroom. Je le regarde et distingue qu’il me fixe de son joli regard et sa bouche souligne un adorable sourire.
Charmé et séduit, je décide d’aller vers lui, sinon on risque de se dévisager longtemps comme ça. Je rentre dans la salle noir et me place à l’entrée. Précipitamment il me rejoint, et dans la pénombre il se colle a moi et m’embrasse. Il darde sa langue dans ma bouche et entame une valse avec la mienne. Ses bras me serrent fermement j’adore ça. Mes mains caressent son dos et descendent lentement sur ses fesses, elles sont admirablement fermes et bien rondes. Il se cambre pour me faire apprécier un peu plus la courbure de ses reins.
Nous sommes tout deux excessivement excités. Il me caresse partout et se dirige bien vite sur mon sexe déjà en pleine forme. Il se met accroupi et à toute vitesse décent mon jean et mon slip pour libérer ma bite. Il dit a voix basse :
- humm, elle superbe !
Il commence par me lécher le bout, puis sa langue s’entoure autour de mon gland et pour finir, il gobe le tout et fait coulisser ses lèvres sur tout le long de ma queue.
Je ressens un bien-être absolu et retient mes gémissements de satisfaction.
La fellation va durer de longue minutes, le mec a l’air d’adorer sucer une bite…ma bite.
Il s’y prends si bien, que je dois le stopper, de peur de jouir de suite, il veut continuer, mais je ne le souhaite pas, j’ai plutôt envie de lui rendre la politesse.
Je m’accroupis à mon tour, défait son jean et baisse son caleçon pour mette à l’air son sexe. Elle n’est pas très longue mais épaisse, avec un gros gland proéminant. Je m’empresse de le sucer, il pousse un petit cri aigu de contentement. Mes mains ne restent pas inactives. Je caresse délicatement ses belles petites fesses, elles sont douces et dépourvus de poils. Je tente même un doigt que je glisse entre ses fesses et frôle son anus. Il se cambre en frémissant. J’ai l’impression que ce petit mec est passif. J’arrête ma fellation et lui demande :
- on va chez toi ?
- on ne peut pas, je ne suis pas chez moi, je suis Parisien et en vacances ici, chez des amis.
En effet, son accent le trahit
Moi - mince, moi j’habite pas ici, je suis venu avec mes amis en voiture.
Il souhaite continuer nos petits jeux de plaisir, moi aussi, mais dans une ambiance plus intime. On sort de cette backroom et il rejoint ces amis. Un peu surpris, je reste sur place, mais il revient et me dit :
- si tes amis et toi êtes ok, je veux bien aller chez toi.
Je demande à mes amis qui sont bien sur d’ accord. Demain, je l’accompagnerais à la gare de ma ville. Ravi il va mettre ses amis au courant.
Mais la soirée n’est pas encore terminée et il est encore trop tôt pour rentrer. Enfin, moi je serais bien rentrer de suite, mais mes amis eux, sont encore à la recherche d’une aventure. D’ailleurs, D, va disparaître pendant plus d’une heure, V et moi allons le réprimander et à son retour, lui dire de nous avertir avant la prochaine fois. Pendant le reste de la soirée, le petit mec et moi n’avons pas arrêté de s’embrasser et se cajoler;
Avant l’aube, nous devons partir, direction ma petite ville. Au petit matin, on arrive enfin, je rentre très vite chez moi accompagné de mon petit mec. De suite, tout en s’embrassant et malgré la fatigue de la nuit, on se déshabille. Il a vraiment un très beau corps… petit mais beau. Les habits s’éparpillent sur le sol et on se retrouve rapidement nu sur le lit.
Les baisers langoureux sont rapidement remplacés par un 69 terriblement délicieux. Là, nos gémissements, (quand nos bouches ne sont pas pleines) montent crescendo et envahissent mon appartement. Après ce « tête-à-queue » exquis, il me demande si je veux le sodomiser. Bien sur que je veux ! Son cul me rend fou depuis la première fois que je l’ai vu. Mais je lu dit différemment :
- oui, j’en ai très envie, tu a un cul magnifique.
- merci.
Rapidement, je sorts capote et gel. Je mets un préservatif sur ma queue démesurément épaisse et dure, lui s’enduit la raie et son anus de gel. J’en peux plus, je suis hyper fébrile, lui aussi. Il se place en levrette, cambre son cul. J’aperçois son anus gonflé de désir et luisant de gel. Je me place derrière lui et pointe ma queue sur son petit trou. Il prends appuie sur ses épaules et avec ses mains il écarte encore plus ses fesses. Je sens sur le bout de ma bite la chaleur ardente de son anus.
Je commence a pousser il me dit :
- va s’y enfonce moi, j’en peux plus !
Et d’un mouvement brusque en arrière, il introduit ma bite de toute sa longueur dans son cul avec une facilité déconcertante. Planté au fond de lui, je soupir de bien être, il gémit de bonheur. Je stagne quelques minutes, puis commence mes va et vient. Là nous allons vivre un formidable moment de sexe. Plusieurs longues minutes après, nous changeons de position car il veut me voir le pénétrer. Il se couche sur le dos et relève ses jambes sur ses épaules, il me regarde fiévreusement et je me remet entre ses cuisses. Cette fois, c’est moi qui enfonce mon sexe dans son trou. On cri a nouveau (tant pis pour les voisins) C’est trop bon, je le pilonne vivement et lui se branle activement.
Très vite, trop vite, le plaisir monte. Il hurle et jouit en larguant son jus sur son ventre, son corps et pris de convulsions, ce qui provoque ma jouissance et je répands mon sperme au fond de lui dans le préservatif. Nos corps, libérés de leurs tension, tombe lourdement l’un sur l’autre et restes comme morts.
Je me dégage et me couche à coté de lui et nous nous endormons.
Plusieurs heures plus tard, on s’est réveillé. Après un bon café, on a recommencé encore une fois Aussi agréable que la première. Une bonne douche à deux où on s’est sucé, sans éjaculer, vu qu’on était complètement vidés
Puis je l’ai accompagné à la gare et il est parti.
Aucune amertume, on savait que c’était un bon moment sans lendemain et c’était fabuleux.

Seithan

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