Salope Soumise Chapitre 1: Préliminaires

Je rentrais de la bibliothèque, il était assez tard. Il faut dire que j'ai pas mal de révisions les examens approchant. J'avais rompu il n'y a pas longtemps avec mon petit ami, celui-ci ne me soutenait pas quand j'en avais besoin et me rapportait que des problèmes, de plus, niveau sexe, c'était très banal. Je n'ai jamais pu lui avouer mes fantasmes, il était tellement sage que j'aurais eu peur qu'il me prenne pour une folle. Je ne rentrais pas chez moi, j'avais rencontré sur internet un homme pouvant m'aider à assouvir certains fantasmes, et comme on dit : après l'effort, le réconfort. J'avais hâte. Je m'étais habillée aussi sexy que possible : un chemisier blanc plutôt transparent, une jupe d'écolière rouge ras-les-fesses, des bas résille avec porte-jarretelles, un corset, un shorty en dentelle, le tout perché sur mes talons hauts. Mathieu, l'homme que j'ai rencontré, adorait la lingerie et cela m'arrangeait, car moi aussi.
J'arrivai à sa maison. Mathieu avait la trentaine alors que moi je venais d'avoir mes 18 ans. On s'était déjà rencontré avant autour verre pour mieux nous connaître et on a vu qu'on cherchait et aimait la même chose, donc nous avons décidé de nous revoir. Je sonnai et ce bel homme vint m'ouvrir parce que oui, en plus d'avoir les mêmes goûts, il était plutôt pas mal. Il me servit à boire et me mis à l'aise.
Bon ce n'est pas tout, mais il faudrait peut-être qu'on se dirige vers la cave, me dit-il.
Très bien, je te suis, lui répondis-je.
Il me laissa passer devant pour pouvoir me mater le cul pendant que je descendais, j'aimais ça. Arrivé en bas, je vis plein d'instruments bizarres, ça me faisait peur, mais m'excitait aussi.
Mets tes mains sur la table et cambre-toi, m'ordonna-t-il.
D'accord.
Il me mit une fessée pas trop forte.
À partir de maintenant, quand on sera dans cette cave, tu devras m'appeler maître !
Oui, maître.
Je compris qu'il se prit direct au jeu et bien que ne sachant pas à quoi m'attendre, j'aimais bien ce rapport de domination.

Il me regarda un petit moment cambré comme ça et n'ayant même pas besoin de soulever ma jupe, commençait à me caresser les fesses puis l'entrejambe à travers le shorty. Me faire toucher par un homme que je connais que très peu m'excitait vraiment. Il m'enlever mon shorty doucement et me fis bien écarter les jambes et me caressa de plus belle.
Chatte bien rasée, et tu mouilles déjà bien comme une salope.
Il me mit facilement deux puis trois doigts et caressa l'entrée de mon anus.
T'as l'air bien serré là, a-t-on déjà emprunté ce chemin ?
Non, maître.
Je serais donc le premier ?
Ou..oui maître.
Il me lécha l'anus et je fis surprise de voir quelles bonnes sensations ça me faisait. Il me mit un doigt, ça me surprit, mais j'appréciai. Il crachait dessus, me mis un deuxième doigt et là j'eus un peu mal je me relevais de quelques centimètres.
T'ai-je dit de te relever ?
Non, maître, mais ça m'a fait mal et.. c'était un réflexe.
Je me remis en position pour ne pas plus le mettre en colère. Il alla chercher quelque chose, me demanda de fermer les yeux, il m'attache un bandeau sur les yeux. Il me demanda de sucer quelque chose, je n'arrivais pas à savoir ce que c'était, mais m'exécutai. Quand j'eux fini, il me dit.
C'est un plug anal, tu va l'avoir dans le cul un moment pour bien te dilater et que je puisse passer.
Oui, maître.
Il me l'enfonça doucement en me disant de bien écarter. Au bout d'un moment il était bien en place. Je l'entendis marcher plus loin et revenir et je sentis quelque chose me caresser les fesses... ce n'était pas des mains ni une queue. Et là j'eux un coup violent sur les fesses, je criais. Un fouet, c'était un fouet.
Ça, c'est ta punition pour avoir osé prendre des initiatives, tu me diras merci après chaque coup !
Merci maître.
Il me donna encore quelques coups pour lesquels je le remerciai. Il me fit retourner, puis allonger sur la table, je ne voyais toujours rien. Il me mit des boules de geisha dans le vagin et me débanda les yeux.
Tu vas avoir ces objets en toi le temps que nous mangions.
Le diner était sur une table, plus loin, et nous mangeâmes tranquillement. Ça me faisait bizarre d'avoir ces choses en moi, mais ce n’était pas vraiment désagréable.