Chez Mon Chef

Après avoir raccompagné ma sœur chez elle, je devais prendre la route vers chez moi, mais… je savais que j’avais une dette en cours. Direction : chez mon chef.

J’accédais facilement chez lui, tellement facilement que j’avais la sensation qu’il m’attendait.
Je rentrai tranquillement chez lui, et il était sur son balcon admirant les feux d’artifice sur la ville, une coupe de champagne à la main.
Il se retourna, et me dit :

« J’espérais pas mieux pour une belle soirée, ma chérie »

Je me suis rapprochée de lui sans rien dire, en commençant à ouvrir mon chemisier déjà à moitié ouvert à la base. Arrivée près de lui, il me prit par les fesses d’une main et me roula une pelle, son autre main m’empoigna un sein fortement. De quoi me faire mouiller un peu mais… peu de temps après sa main passa de mon sein à l’intérieur de mon short déjà déboutonné et il commença une masturbation très intense de mon clito, et je ne pouvais que m’accrocher à la rambarde.

Je ne me sentais déjà plus et je l’entendais juste : « Tu aimes ça cochonne, tu te sens plus … ce n’est que le début » et il me retourna. J’étais face au paysage mais avec une main entre mes cuisses me doigtant et une autre main me pressant les seins.
Il était derrière moi, et si collé que je sentais sa grosse bosse. J’étais déjà ailleurs.

Plus on continuait, plus mon shorty glissait… il voulait que j’écarte un peu plus, alors j’ai enlevé un pied de mon bas, mais mon string gênait. Il ne s’est pas gêné pour me l’arracher et m’a rentré deux doigts pour ensuite en ajouter un troisième.
Il me retourna à nouveau, et il me coinça… il savait qu’il avait le dessus ; il me faisait sentir que j’étais à sa merci.

Il me prit la main pour que je caresse sa bosse, et je le fis alors qu’il m’embrassait avec une langue fougueuse qui me léchait le visage.

Alors que j’avais sa langue à mon oreille gauche, il défit son pantalon et l’enleva… rien en dessous, j’avais sa queue toute tendue que je masturbais légèrement ; mais lui, il prit ma main pour un trou et y fit des va-et-vient.

Il reprit ma main pour que je caresse ses couilles… Alors qu’une de ses mains qui étaient sur mes fesses vint introduire un doigt dans mon anus, par devant il se mit à me doigter aussi. Je m’accrochai à nouveau à la rambarde, mais il voulut ma main sur sa grosse verge.

J’étais à lui, il faisait de moi ce qu’il voulait... il me retourna à nouveau, je sentis son engin rentrer dans mes fesses, et à peine rentré, il me força d’un coup, qui me fit pousser un cri assez fort.
Il me recula un peu et appuya pour que je cambre un peu… Je sentais bien son pénis dans mes fesses, et là, il commença à me pomper mon derrière. Il était passé de rien à une grande intensité en un rien de temps, râlant de plaisir pour ensuite me tirer les cheveux.

Je poussais des cris à chaque fois qu’il me la rentrait bien au fond, et il n’hésitait pas à lâcher mes cheveux pour fourrer ses doigts dans mon vagin. Ça allait fort, ça allait vite… je n’avais plus rien en tête à part cette sensation d’être pillée de plaisir.

Ensuite il calma le jeu ; il se retira tranquillement. Je repris mon souffle et me retourna, il revint m’embrasser, me lécher le visage tandis que je prenais sa queue pour la caresser.

Apres il me prit la main et m’emmena à l’intérieur, on alla vers sa chambre très spacieuse.

A peine entrés, il me demanda de m’assoir sur le lit. Ce que je fis et lui, il ferma la porte à clé, prit avec lui un petit tabouret qu’il installa près de moi et sur lequel il posa le pied pour ensuite prendre ma tête et la diriger vers sa queue ; sa queue que j’ai prise directement en bouche, et qui, limite, me baisait. Et il râlait encore « humm, quelle bouche, une bonne belle salope », et il allait encore plus fort à m’en faire, par moment, des gorges profondes en maintenant ma tête avec ses mains.

Je m’accrochais à ses cuisses, et là il arrêta. Il achevait de m’enlever le haut, ne gardant que mes talons, il me poussa sur son lit, et il vint sur moi.
Il se colla à moi, me mordant le cou, m’embrassant avec la langue toujours et encore.

Il me claquait les seins, et puis les dévorait tout en les pressant et puis me prit contre lui, en me fourrant bien fort sa queue au fond de la chatte, et enchainait des va-et-vient puissant me tapant bien en profondeur. Je hurlais de plaisir, et il n’arrêtait pas.
Je m’accrochais à lui, l’encerclant avec mes jambes et il me soulevait le bas du corps et me pilonnait comme un homme sur son manteau piqueur.

Il prenais du plaisir, il m’insultait… tout lui était permis. Et il changeait de trou, à chaque fois sans prévenir pour revenir me coincer et pousser le plus loin possible sa queue au fond de moi.

Il changea de position ; on passa à la levrette. Il me colla une fessée pour me reprendre de plus belle.
Il aimait m’entendre crier, quand je lui demandais encore, encore plus fort… Il aimait que je lui demande de me démonter. Et il finit par jouir au fond de moi. Je sentais son sperme chaud, et il resta en moi comme ça. On était bien ainsi. Il s’allongea derrière moi sans se retirer, mais sa main revint sur mon clito pour m’achever. Il me fit du bien intensément pour que je puisse jouir à mon tour, et ensuite on se posa, l’un dans l’autre, accompagné de caresses.

Après quelques minutes de câlin, je lui annonçai qu’il fallait que je parte. Il m’embrassa encore en me pressant un peu les seins, et je me suis retournée pour bien jouer avec la langue, et l’ai poussé pour qu’il puisse être sur le dos, et lui accorder une petite gâterie.

Mais tant pis s’il ne jouit pas à nouveau, c’était l’heure. Je me levai toute nue et sortis de la chambre, mais j’avais du mal à me repérer. Mon amant me proposa d’aller chercher mes affaires le temps que je me recoiffe un peu dans la salle de bain.

C’est là-bas qu’il me rejoignit, mais il n’a pas pu s’empêcher de venir me bloquer contre le lavabo et me rentrer à nouveau sa queue dans ma chatte.
Il resta là sans rien faire, et soudainement il recula et me pénétra fort à nouveau… et il renouvela cette action plusieurs fois avant de me mitrailler. Je me sentais soumise à lui et je finis par m’étaler sur le lavabo lui offrant mon intimité. Il me releva et me tint par les seins qu’il malaxait ; et il faisait tourner sa queue en moi.
Il gémissait à mon oreille, et y glissait encore sa langue par moment.

Il ressortit et m’emmena dans sa baignoire qui faisait aussi douche. Il fit couler l’eau et me poussa en dessous en disant « Magnifique ». Il revint me prendre par derrière, me pressant les seins très fort… Je criais des « Ha » à chaque coup alors que l’eau me rentrait dans la bouche et qu’il me tenait par l’épaule. Il continuait encore et encore. Puis il arrêta l’eau et s’allongea dans la baignoire, me tirant par la taille. Je me retrouvai allongée sur lui et il continua à me lécher et jouer entre mes jambes tandis que je le masturbais avant de le remettre dans les fesses.

C’est après qu’il me souleva et qu’il se remit à aller et venir en moi, me faisant crier et hurler par-dessus les toits, pour enfin me tirer d’un coup vers lui et gicler tout ce qu’il avait.

On s’est calmé, on a pris un bain ensemble avant que je ne reparte chez moi très fatiguée corporellement.

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