Rémi Le Retour

Voilà déjà quelques jours - et quelques nuits – que Paulo est reparti au bout du monde pour reprendre son boulot de top.
Il me manque déjà beaucoup.
J’essaie de ne pas y penser et de m’occuper au maximum. Pas évident. C’est alors que l’autre soir, on sonne à la porte. J’ouvre. C’est Rémi. Il est là sur le palier. Baskets fuschia, leggings gris, sweat jaune canari. Avec son abondante chevelure blonde, il est très très…sexe. Craquant même. Si je le laisse entrer, on sait tous les deux comment ça va finir…
« -Paulo m’a dit de passer pour voir si tu ne t’ennuyais pas trop… ».
Si c’est inventé, c’est bien imaginé. Je ne peux pas le laisser ainsi sur le palier. Il est trop…tout. Mais, je me promets, dans ma tête, d’essayer de ne pas céder.
On s’installe sur le canapé, assez loin l’un de l’autre. Presqu’aussitôt, il me dit qu’il fait super chaud chez moi et le voilà qu’il passe son sweat par-dessus sa tête. Il se retrouve en tee shirt moulant vert pâle. Je remarque aussi que le devant de son leggings a tendance à changer de forme…Je me suis promis…. De plus moi, je suis, comme toujours, en slip. Je le trouve un peu changé physiquement. Son visage semble s’être creusé un peu. Je lui fais remarquer, il me dit que ça n’a pas été drôle tout le temps.
Tout en parlant, j’essaie de le sonder pour savoir si c’est réellement Paulo qui lui a demandé de passer. Il me dit qu’il a reçu un coup de fil de lui, hier soir. Si Paulo est d’accord… !
Je lui propose de dîner avec moi. Il accepte volontiers. Et nous voilà face à face, de part et d’autre de la petite table de la cuisine. Comme au bon vieux temps, me dit-il. Pour renouer le fil ( ?) il se lance dans des confidences qu’il n’avait jamais faîtes. Ainsi, il me dit qu’il n’a jamais fait l’amour avec une fille. Seulement avec des garçons. Et pourtant, sans se vanter, au lycée et à la fac, les filles qui lui couraient après ça ne manquait pas. Ca ne m’étonne pas, mignon comme il est.

Du coup, je pousse le bouchon en lui demandant ce qui l’a attiré chez moi, la première fois. Il se met à rigoler et me dit comme si tu ne le savais pas !
De temps en temps, je sens sa jambe qui me frôle sous la table…Volontaire ? Involontaire ? Il me dévore littéralement des yeux. La conversation est toutefois joyeuse et animée. Il me propose même de m’aider à faire la petite vaisselle ! Ca lui donne l’occasion de se coller à moi pratiquement tout le temps, vu la taille de l’évier. Cette fois, je ne peux pas ne pas voir que, sous son leggings, sa bite s’est dressée à la verticale et lui fait un super renflement. On dirait qu’il n’a pas mis de slip car au sommet de sa bite, une tache commence à grandir et à percer le leggings. Qu’il ne cherche pas à cacher d’ailleurs, comme s’il m’envoyait un signal. Il doit sûrement se rappeler que, la dernière fois qu’on s’est croisé, c’est moi qui lui avais sauté dessus.
D’ailleurs, il me demande si je cours encore de temps à autre dans le bois. Comme s’il avait lu dans mes pensées. Tout ça me fait monter mon désir pour lui et, moi aussi, mon slip se met à se déformer. Bien sûr, il l’a ment remarqué. Je ne cherche pas à la cacher non plus. Mais, comme lors d’une première rencontre, ni l’un ni l’autre ne faisons le premier pas. Savourant tous les deux la montée de l’excitation. N’ose-t-il pas faire le premier pas ? Attend-t-il que ce soit moi qui démarre ? On essuie la dernière assiette tous les deux avec la même serviette. Son ventre est presque collé au mien…Son regard se noie dans le mien. Je n’y tiens plus. Je le débarrasse de l’assiette, lui passe la serviette autour du cou et attire son visage vers le mien.
Je colle ma bouche à la sienne, il colle son ventre contre le mien. Je l’embrasse longuement, lentement. Je me délecte de sa langue, lui de la mienne. Mes mains se perdent dans son abondante chevelure. Puis je les glisse dans son dos, sous son tee shirt que je fais passer au dessus de sa tête. Il se colle à moi.
Je le serre contre moi, à l’. Sans jamais lâcher sa bouche, je l’entraîne à petits pas vers la chambre. Je sens sa barre collée contre la mienne. Je le projette sur le lit. C’est alors que je remarque que ses abdos ont l’air de s’être bien développés. Il me dit qu’il fait des exercices chez lui. J’en profite pour lui faire glisser son leggings lentement…J’avais raison, il n’a pas mis de slip. Sa toison est bien taillée et coupée assez rase. Trop belle. Sa bite se dresse, vibrante, ardente, gorgée de désir et ruisselante de mouille. Il en profite pour me délester de mon slip. On dirait que ta teub a encore grossi, me dit-il en rigolant. Oui, je fais des exercices à la maison ! Nous voilà nus tous les deux. Je me jette littéralement sur lui. Je me colle à lui dans un « peau à peau » effréné. Nos bites se frottent, nos langues se mêlent, on s’empoigne le cul à pleines mains, on se serre l’un contre l’autre, à s’. Comme si on voulait ne plus faire qu’un seul et même corps.
Je me décolle et ne résiste pas au plaisir de lui suçoter le bout du gland.
« -Oooooh ! Depuis le temps que j’en rêvais ! » s’écrie-t-il.
Il redresse son bassin m’offrant sa pine. Je lui malaxe doucement les couilles - qu’il a rases -. Je décide de le combler lentement, de le faire monter très progressivement. Je le suce sur quelques centimètres seulement, puis me retire pour venir lui mordiller sa hampe et lécher ses couilles. Je l’entends gémit et souffler. Je sais qu’il aime la douceur mais que, parfois, il aime aussi être violenté. J’ai passé mes mains sous son cul, saisi ses globes et le soulève vers ma bouche. Il a empoigné ma tête et me presse contre lui.
Je le retourne alors sur le ventre, glisse deux oreillers sous son ventre, lui écarte les jambes au maximum et viens lui lécher la raie qu’il a impeccablement rasée.
« -Ouui ! Ouuuiii ! Ouuuuuiiii !! »
Je remplace ma langue par mon gland et lui parcours doucement la raie …Il a attrapé ses globes et les écarte au maximum, m’offrant sa rondelle.
Je la lui titille alternativement avec ma langue ou avec le bout de ma bite. J’ai glissé ma main sous son ventre et pris ses couilles et sa bite en coquille. Je sens qu’il se frotte contre ma main. Je décide de le goder un peu car il m’a l’air un peu serré. Je lui dis. Il me dit qu’il ne demande pas mieux. J’enduis le gode - moulé sur sa bite - de gel. Je lui en mets aussi sur son trou, le doigte un peu et présente doucement le gode. Pas mal de petites poussées ont raison du barrage - j’ai l’impression qu’il ne s’est pas fait mettre depuis longtemps -.
« -Mets le moi ! Mets le moi profond ! » me souffle-t-il.
« - Oui mais je vais y aller tout doux » lui dis-je.
Doucement, langoureusement, voluptueusement, je lui glisse, millimètre par millimètre, jusqu’au bout.
« Ooooh, que c’est bon ! Qu’elle est bonne ! Mets la moi bien profond !!! »
« - C’est ta bite Rémi, c’est la tienne ! »
Je me mets à le limer doucement avec le gode que je réenduis copieusement. Je tourne un peu pour le dilater encore mieux. J’accélère le rythme du va et vient. Il souflle et gémit tout à la fois. J’ai décidé de remplacer le gode par ma bite d’un seul coup d’un seul. J’accélère encore le limage puis, brutalement, je le retire et viens le pénétrer d’un coup sure toute la longueur de ma queue.
« -WOOOUUUAAAHHH ! » hurle-t-il
« -Viens ! Viens !! Viens !!! »
Je me régale du spectacle de son corps de jeune homme très affûté, de son cul magnifiquement rebondi dans lequel je me perds avec délice. Son cul n’est pas aussi rebondi que celui de Paulo mais il est très très beau aussi. C’est drôle, quand on parle de Rémi, on le voit toujours comme le petit frère, le jeune, alors qu’il n’a jamais que 7 ans de moins que nous. Là encore, je le retourne une dernière fois et le réembroche aussitôt. Il a levé ses jambes au ciel. Je décide de le limer lentement mais bien à fond à chaque fois et de faire durer un max. Il en profite pour me dire toute sorte de mots doux en alternance avec des expressions très très hot, très sexe.
Il a bien changé notre « petit » Rémi ! Cela dure, dure…A un moment, n’y tenant plus, il me dit ;
« -Vas y ! Défonce moi ! Déchire moi ! »
Alors, je me mets à le bourriner, le pilonner, le défoncer de plus en plus vite. J’adore être dans son cul. Je lui dis. Je lui crie. A son visage radieux, je vois que, lui aussi, kiffe grave. J’ai empoigné ses épaules et je le tire vers moi à chaque coup de bite. Mes couilles claquent contre son cul. On entend le chuintement de ma bite qui coulisse. Tout cela m’enivre et je sens que je vais bientôt exploser
« - Je viens Rémi ! Je vais t’inonder !! Aaaaah ! »
Je me vide encore et encore et encore dans son ventre. Je continue encore un moment à coulisser en lui mais de moins en moins vite. Je sens mon sperme qui inonde ma bite.
« -C’était trop trop bon ! » et je l’embrasse tendrement, restant en lui, au chaud.
-Pour moi aussi c’étai trop bon, tu sais… Je vais rentrer chez moi maintenant…
-Non, reste Rémi, s’il te plaît ! J’aimerais aussi que tu me fasses l’amour dans la nuit… »
On s’endort un petit temps ainsi, dans les bras l’un de l’autre, moi en lui. Ce qui m’a réveillé ? Je pense que ce sont ses caresses dans mes cheveux. Je me retourne vers lui et devine son visage dans la pénombre. On se sourit. Il se love dans mes bras.
« -Fais moi l’amour comme toi seul sait le faire, en douceur… » je lui chuchote à l’oreille.
Il se met à me caresser partout avec beaucoup de délicatesse et de lenteur. Puis il glisse doucement vers mon bas ventre. Il me caresse un long moment. Je sens sa joue contre mon ventre. Il joue avec mes couilles. Puis il me met à plat ventre et m’écarte délicatement les jambes. Il va ainsi me rimmer pendant un temps délicieusement long. Toujours aussi langoureusement, il va me titiller la rondelle de sa langue pointée. S’ensuivra le doigtage avec un puis deux puis trois doigts couverts de gel. Trop trop cool.
Alors, il présentera sa bite qui entrera super facilement. Il va me la glisser bien bien profond tout doucement. Je vais la sentir avancer en moi et venir me remplir. Il va commencer à me limer. Je n’ai jamais connu un limage aussi doux, aussi voluptueux. Lui aussi voudra me voir, c’est pourquoi il me retourne. Je pose mes chevilles sur ses épaules, puis je lui enserre la taille avec mes jambes. Sa cadence est très très lente. J’adore. Je le tire en moi doucement en lui agrippant les fesses.
« -Ooooh, Rémi ! Je voudrais que ça ne finisse jamais ! »
C’est ce que j’avais aimé chez lui la première fois : son infinie douceur. Il va ainsi me limer encore et encore tout en montant très très lentement en puissance. Je le sens coulisser en moi avec délice. Il monte encore mais sans jamais me secouer. C’est incroyable le contrôle qu’il a sur lui-même ! A sa place, j’aurai déjà joui depuis belle lurette. Il est largement aussi endurant que Paulo. Mais, à son visage extatique, je vois qu’il est prêt de jouir. Son corps se raidit brusquement et je sens un, deux, trois jets chauds de sa semence qui giclent dans mon ventre. Trop trop bon.
Il se repose délicatement sur moi, détendu.
« -J’ai beaucoup aimé ta douceur. Merci. Dis moi, comment tu fais pour arriver à jouir sans te déchaîner ?
-Tu te souviens que je t’avais parlé la toute première fois de mon initiation en Inde ?
-Oui
-Eh ben, ça a beaucoup à voir avec ça
-Il faudra que tu m’inities ! »
A nouveau, on sombre pour quelques heures. Au réveil, on ira prendre une douche brûlante tous les deux. Pour apaiser son érection je le sucerai à nouveau jusqu’au bout. Son sperme plein ma bouche, je viendrai l’embrasser et on s’échangera sa liqueur.
Au petit déjeuner, j’appellerai Paulo. Je le mettrai au courant. Il me dira que, si ça me fait plaisir et si ça lui fait plaisir, Rémi pourrait rester quelques jours…et quelques nuits.

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