Le Rituel

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

L'homme décida qu'il était temps de commencer l'éducation d'Alessa.

Aujourd'hui elle fêtait ses dix-sept ans, et le clan, au grand complet, était rassemblé autour de l’immense table où chacun avait déposé ses offrandes.
Le grand jour était arrivé.

L'homme se leva, et le silence se fit. Du haut de ses un mètres quatre vingt il toisa l'assistance. Les femmes baissèrent les yeux et les hommes éteignirent leurs cigares.
De sa voix de stentor il s'adressa à Alessa :
« mon , l'heure est venue pour toi de devenir une femme. »
Alessa gardait les yeux rivés sur le sol de terre battue. Elle redoutait ce moment, ce passage rituel mais elle savait qu'elle ne pourrait pas s'y soustraire. Sa mère lui en avait souvent parlé mais sans jamais entrer dans les détails. Elle n'en n'avait pas le droit.
Seul l'homme pouvait, selon les traditions, l'initier et lui permettre de s'affranchir de l'enfance.
Alessa leva les yeux vers sa tante. C'est à elle que revenait le privilège de l'accompagner sur son chemin initiatique. Elle l'aimait beaucoup, et la savait douce et attentionnée et elle en fut rassurée

L'homme s'approcha de la porte monumentale ornée de sculptures ancestrales. C'était le signal. La tante d'Alessa se leva, prit sa nièce par la taille et l'accompagna.
Les convives furent délivrés de leur silence monacal lorsque la porte se referma.

Alessa se retrouva dans une grande pièce baignée d'une douce lumière bleutée dont le centre était occupé par un large tapis, épais et chamarré.
Sur la droite, un espace était dédié à la toilette, et hormis deux tabourets, aucun mobilier n'encombrait l'espace.
Des tentures disparates habillaient les murs, et ça et là des scènes, peintes à même la pierre, évoquaient la luxure.
L'homme fit un signe de la main et la tante entreprit de dévêtir Alessa avant de la conduire dans l'espace de toilette où elle la savonna consciencieusement puis la rinça sous le jet glacé de la douche.


Elle la poussa, ensuite, dégoulinante, devant l'homme qui entreprit de la sécher.
C'était la première fois qu'un homme touchait le corps d'Alessa.
Sèche, elle fut revêtue d'une petite robe courte et transparente, puis sa tante la fit asseoir sur un tabouret et lui murmura :
« regarde Alessa, »
L'homme se glissa sous le jet de la douche et la jeune fille l'ausculta du regard.
Ses yeux dessinèrent le contour des muscles saillants puis ils se posèrent sur le sexe au repos. Alessa avait entendu parler de cette « chose » que les hommes ont entre les jambes, mais jamais, même dans ses pensées les plus fautives elle n'avait pu lui donner de forme précise
Maintenant elle voyait.
Elle voyait tout, et tandis qu’elle contemplait ce corps merveilleusement dessiné, sa tante entreprit, à voix basse, de mettre des mots sur cette anatomie
Les images et les noms donnèrent à Alessa une couleur pivoine flamboyante qui se renforça encore lorsque l'homme vint se planter devant elle.
La tante prit la main de la jeune fille et l'approcha du sexe pendant.
« tu dois toucher maintenant »
Alessa regarda sa tante et hésita
« il le faut ma chérie »
La jeune fille posa alors délicatement la main sur la verge qui, aussitôt, prit de la consistance. Cette transformation subite surpris la jeune fille qui retira brusquement la main. La tante intervint :
« non ma fille, tu dois continuer à la toucher. Tu dois apprendre à donner du plaisir »
Alessa s'exécuta d'un geste timide et l'érection de l'homme fut à son comble quelques secondes plus tard.
La jeune femme semblant ne savoir que faire avec cet objet volumineux, la tante guida sa main et Alessa découvrit un gland rose et humide. Après quelques mouvements, la tante retira sa main laissant sa nièce oeuvrer, ce qu'elle fit, mi-honteuse, mi-ravie de découvrir enfin cette  « chose » qui avait la capacité de doubler de volume et de passer de l'état « mou » à l'état « solide ».

La tante la laissa se familiariser un moment puis elle lui apprit à caresser les bourses .
Le contact de la verge dans une main et des testicules dans l'autre avait quelque chose d'irréel pour Alessa ; elle aurait volontiers continué , mais, sur un mouvement de tête de l'homme, sa tante l'arrêta.
« maintenant ma chérie, tu vas me regarder attentivement. Je vais te montrer et tu devras faire comme moi quand je te le dirai »
Elle approcha le second tabouret, s'y assit, puis, après un regard à sa nièce, elle saisit le sexe de l'homme, toujours au garde à vous, et le prit dans sa bouche. Elle passa lentement la langue sur le gland, descendit le long du frein de la verge puis remonta pour l'engloutir. Elle le suça sur des rythmes divers, alternant masturbation et pompage puis soudain l'homme claqua des doigts et elle s'arrêta.
« A toi Alessa, fais comme moi »
-mais...
-tu dois le faire Alessa »
L'homme approcha sa queue des lèvres de la jeune fille et la tante appuya sur la nuque de sa nièce
« il faut le faire, ma chérie, n'aies pas peur, ouvre la bouche »
Les yeux fermés, la jeune fille laissa l'homme s'introduire, mais comme elle ne bougeait pas, la tante l'encouragea
« tu as juste à le sucer comme je viens de le faire . C'est une étape incontournable, ma chérie, et puis tu verras, ce n'est pas désagréable »
Vaincue autant par le devoir que la curiosité, Alessa s'exécuta en répétant fidèlement tous les gestes de sa tante. Durant de longues minutes elle s'affaira sur le sexe tendu comme un arc, puis un moment de panique la gagna lorsque l'homme se mit à râler.
« chut...calme toi Alessa, ce n'est rien, ça veut juste dire qu'il apprécie, ne t'arrêtes pas »
Rassurée la jeune fille poursuivit sa caresse, mais lorsqu’elle sentit quelque chose couler dans sa gorge elle voulut se retirer brusquement. D'une main ferme sa tante lui bloqua la tête.
« non ! Tu ne dois pas bouger Alessa. Tu dois accepter l'offrande qu'il te fait »
L'homme éjacula en émettant des cris rauques puis il se retira.

La tante bloquait toujours la tête de sa nièce.
«  il t'en a fait l'offrande, tu dois avaler sa semence »
Alessa fit la grimace et sa tante éleva la voix
« tu le dois Alessa »
La jeune femme déglutit bruyamment puis elle se jeta sur la tasse que lui tendait sa tante. Le liquide, à la saveur de cannelle, lui fit du bien, et elle pensa que tout était terminé.
Elle ne vit pas l'homme faire un signe.
La tante reprit délicatement le récipient, puis elle fit lever sa nièce, lui retira sa robe transparente et la conduisit sur le grand tapis où elle la fit s'allonger sur le dos.
L'homme, toujours en érection, s'approcha.
La tante s'accroupit près de sa nièce et lui murmura
«Pour devenir femme, tu dois le recevoir en toi »
Elle replia les jambes de la jeune fille lui écarta les cuisses puis enduisit sa vulve d'une substance grasse
L'homme s'allongea et, bien qu'il la pénétra avec une douceur extrême, la jeune fille ressentit une douleur fulgurante dans ses entrailles.
Sentant la main de sa tante lui caresser le front dans un geste d'affection, et sachant qu'elle n'avait pas le choix, elle s'abandonna ; alors, lentement, sans pouvoir les retenir, de grosses larmes glissèrent sur ses joues.
Après quelques minutes, jugeant le rituel accompli, l'homme se retira.
La tante, embrassa Alessa sur le front, puis elle la recouvrit d'un drap de soie. Elle questionna l'homme du regard puis, comprenant qu'il n'avait pas éjaculé, elle fit glisser sa robe et se mit à quatre pattes à côté d'Alessa. L'homme, se cramponnant à ses seins lourds et laiteux la pénétra sans difficulté.
L’étreinte fut courte et violente et ils jouirent de concert, bruyamment, sous les yeux d'Alessa.
L'homme se releva, revêtit son peignoir et referma la porte derrière lui.
La tante se lova contre le jeune corps chaud
« Te voilà une femme à présent ! »

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!