Dernier Récit (2)


D’elle-même, Virginie s’était mise à genoux devant nous au pied du lit. Olivier et moi étions tous les deux nus de part et d’autre elle. Ma chérie commença au hasard des choses à commencer par sucer notre hôte le prenant délicatement dans sa bouche comme elle avait appris à le faire avec moi au temps jadis. Puis, en regardant fixement dans les yeux, elle prit mon sexe avec la même délicatesse et le suça doucement quelques secondes.
La belle alterna ainsi entre nos deux queues. Mais je voyais bien qu’elle passait plus de temps sur la queue d’Olivier, du moins au début. Ses yeux, ses cheveux, son parfum tout en elle me faisait bander et jamais je n’ai eu l’impression d’avoir eu le sexe aussi gros. Je la regardais en la laissant faire mains dans le dos.

Olivier la prit par les cheveux ce que je n’osais faire et se branla littéralement dans la bouche de ma chérie. Il se comportait un peu comme un mâle autoritaire et prenait des initiatives que je n’osais prendre avec ma dulcinée. L’homme baisa littéralement la bouche de ma chérie et ma belle manqua de s’. Curieusement, Virginie n’en fut pas pour autant offusquée et sourit même à notre hôte en sortant sa queue de la bouche :
- « Ma parole, tu veux m’ ! » dit-elle en le regardant.

Olivier en était autant amusé qu’elle ; et il reprit de plus belle sa cadence, une fois, deux fois. Ma belle le laissait faire sous mes yeux ébahis. Je restais discret comme si de rien n’était pour ne pas paraitre faible aux yeux de ma chérie ou de son amant.

Olivier joua à faire rentrer et ressortir aussitôt sa queue d’entre les lèvres de Virginie. Il activa quelques mouvements d’aller-retour. La belle avait les lèvres luisantes et voluptueuses. Sa bouche avait une telle sensualité qu’aucun homme normalement constitué n’aurait pu résister à la tentation de prendre notre place pour pourfendre cet antre chaud qui ne demandait qu’à sucer.

Virginie chercha à garder le phallus d’Olivier en elle.

Dans sa bouche, d’abord ; puis sur sa langue qu’elle faisait tourner de temps en temps autour du gland de notre hôte.

L’un de mes meilleurs souvenirs, cette soirée-là, fut quand Olivier fit venir ma chérie sur lui pour la sodomiser. Ma belle n’en était pas à sa première fois de ce côté-là. Il y a eu moi avant, quelques fois. Puis, surtout, Nono, son tout premier à entrer par là un samedi matin dans la voiture d’auto-école pendant les heures de conduites, à l’arrêt sur une aire de parking en lisière de forêt.

Virginie semblait prendre plaisir à pratiquer la sodomie, non que cela la fit jouir comme lorsque l’on chatouille son bouton d’or, mais elle prenait plaisir à se sentir prise et pénétrée par cette voie parce que, dit-elle, cela est excitant et stimulant. Moi, devant son ardeur, j’étais excité et content de la voir ainsi. Je la prenais à mon tour, pour le plus grand plaisir de ma belle.

En ce temps-là, je ne me posais pas ou peu la question de notre devenir. Virginie et moi n’étions pas mariés. A peine étions fiancés, encore qu’officieusement seulement. Nous nous destinions à vivre ensemble pour la fin de nos jours, avec des s, un joli mariage, une belle maison. Déjà, nous venions d’emménager ensemble rue du midi à Vincennes dans un bel appartement que je louais avec mon premier salaire. Nous rentions dans la vie active tout se passait bien. L’avenir nous montra qu’il ne faut pas trop rêver top tôt ni trop abondamment.


L’autre souvenir de cette soirée inoubliable fut la double pénétration. Pas vaginal ce jour-là. Olivier étant allongé sur le dos sur notre lit ; et ma chérie était venue sur lui en lui tournant le dos pour être face à moi dans l’intention que je la pénétré vaginalement pendant que notre hôte investissait son cul. La position fut un peu acrobatique ; mais je n’ai rien ressentis d’autre de plus excitant depuis, si ce n’est de regarder ma chérie me sucer et m’avaler jusqu’à la dernière goutte, caresse suprême qu’elle seule sait si bien faire.



A suivre.

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