Dernier Récit (4)

L’aventure avec Virginie est désormais révolue. Après ces belles années passées ensemble, ce dépucelage en bonne et nue forme, cet amour radieux s’est envolé vers d’autres cieux.

Et, ce qui devait arriver arriva : Olivier vint jouir plusieurs jets de sperme sur le visage souillé de ma dulcinée. C’était la première fois que je voyais cela en dehors d’un film X. Reprenant mes esprits, mais plus à l’invitation d’Olivier que par moi-même, je m’approchais à mon tour de ma chérie et me branla avec presque toute la même frénésie de notre hôte. Virginie s’était entre temps essuyer le visage, avec le bras et avec les mains. Je me branlais devant son visage sous le regard satisfait d’Olivier :
- Vous faites un beau couple, ajouta ce dernier.

Moi, je cherchais à me concentrer pour ne pas me déstabiliser. J’actionnais, je venais. Ma chérie ouvrit grand la bouche, en fermant les yeux. Je la regardais, elle était belle et j’avais envie d’elle plus que tout. Dans un râle monstrueux, je vins jouir sur son visage sans toutefois avoir déverser autant de foutre qu’Olivier lui déversa. Ma chérie me suça une dernière fois le sexe comme pour essuyer et ne pas manquer une seule goutte du jus qui pouvait rester sur ma verge. Mon esprit était confus. Dans ma tête, je me disais « quelle salope quand même ! ». Je ne réalisais pas encore cependant, à quel point j’avais raison.


Dans ce trio, Olivier avait le sexe plus grand que le mien. De la longueur d’un gland environ. C’est sans doute la raison pour laquelle Virginie l’aimait particulièrement. Systématiquement, ma belle disait « ce n’est pas la taille qui compte mais la façon de s’en servir », et j’eus fini par la croire. Pourtant, force était de constater que ma chérie fantasmait sur des sexes plus gros que le mien. Il y avait d’abord celui de Bruno, ce moniteur d’auto-école qui bon gré mal gré lui fit découvrir la sodomie (avec son consentement). Ensuite, il y eut celui de Domi, le chauffeur de bus, la cinquantaine, deux s, petit et gros ! Le physique du bonhomme semblait n’importer que très peu dans les choix de ma partenaire : elle me trouvait mignon et craquant.

Elle trouva Nono mignon et craquant ; mais Domi, franchement ? Que pouvait-elle lui trouver de beau physiquement ? J’ai compris, plus tard, qu’il était bon parleur et avait le don de séduire les femmes qu’il aimait beaucoup. L’homme était un vrai Don Juan. Virginie n’a pas fait exception à la règle et tomba rapidement sous son charme. L’homme la garda près de lui durant tous les trajets de bus. Ma belle faisait des allers-retours juste pour le plaisir d’être avec lui. Au terminus, elle resta encore avec lui. L’homme, en deux temps trois mouvement, avait réussit à la faire s’asseoir à ses pieds entre ses jambes, lui assis sur son fauteuil de conducteur. Ma belle le suça, ce que je sais. En revanche, je n’ai jamais su le fin mot de cette histoire car si le bonhomme visiblement aimait se faire sucer, il est certain aussi qu’il aima baisser bien profondément et intensément. Ma chérie, par ailleurs, se faisait toujours belle pour lui, allant jusqu’à mettre de belles robes d’été, fleuries et légères laissant un large décolleté, et ses jambes dénudées.

Domi a donc été, après moi, son troisième amant et peut être son quatrième si je compte le jour où je l’ai laissé seule avec un homme qui là encore avait trente ans lorsqu’elle n’en avait que vingt ou vingt-et-un.

Ma belle, à bien la connaitre, pourtant, ne courrait pas les hommes. Non, jamais, elle n’allait vers eux pour faire le premier pas, et cela était une chance pour moi car je me disais ainsi qu’elle n’était rien qu’à moi. De mon côté, je n’avais absolument ni besoin ni envie d’aller voir ailleurs : Virginie était la plus belle fille du monde, sourire radieux, sourire ravageur ; parfum aux milles senteurs, de jasmins, de patchoulis, de lilas, de roses et que sais-je encore. Elle était belle et radieuse, toujours souriante, toujours joyeuse, pétillante de joie et de bonne humeur comme je sais que je ne retrouverais pas d’aussitôt. A en croire sa jeunesse et ses amies, elle était unique. Unique et belle à la fois.
Et timide, surtout. Etrange destin que le sien. Cependant, si j’en reviens à son attrait pour les garçons, il est certain qu’elle était à chaque fois excessivement flattée d’être regardée et admirée. De toute part, elle voulait que l’on s’intéressât à elle comme si elle avait manqué d’affection dans sa jeunesse. Cela était peut-être dû au divorce de ces parents quand encore elle était . Nul ne sait. Quoi qu’il en soit, elle aimait les hommes et ne se cachait pas pour me le faire savoir. Malheureusement, je ne compris au premier coup ce qu’elle voulut dire et c’est ainsi que je fus mis devant le fait accompli : ma belle prise chez elle par trois lascars, en gang-bang, à mon grand détriment.

Je ne sais, par la suite comment j’ai pu accepter cela. Mais j’ai accepté ; et je suis donc resté avec ma belle au cœur tendre car chose étrange que certains ou bons nombres d’entre vous ne comprendront pas, ma belle était tendre et était une romantique dans l’âme, aimant coucher de soleil et diner aux chandelles. Nous étions, sur ce dernier point, sur la même longueur d’onde, et chaque fois que nous étions ensemble devant un coucher de Soleil, nos cœurs chavirait l’un pour l’autre comme deux tourtereaux ou bisounours, à jamais unis par leurs rêves et leurs idéaux.


Virginie donc ne draguait pas. Jamais. Mais se faisait draguer et se laissait souvent assez faire pour peu que le type en face d’elle soit un tant soit peu beau ou attentionné (c’est le cas de Domi). Beau. C’était le cas de Bruno alias Nono. L’homme avait dans les 35 ans. Il faisait de la muscu et pour se défendre devant moi d’avoir succomber à ses charmes, ma belle me dit qu’il était bien trop fort pour elle. Ainsi, elle se fit sodomiser pour la première fois de sa vie dans la voiture d’auto-école, un matin de septembre ou d’octobre, à mon grand plaisir, car le jour même en allant chez elle l’après-midi, elle me demanda de la prendre ainsi, ce que je fis à ma grande surprise. Il est incroyable comment ma belle eut aimé ça et comment cela a été facile et un grand plaisir pour moi.
Pour dire la vérité, je conseillerai à tout le monde de tenter l’expérience exactement de la même façon qu’il soit car le plaisir est durable et certain. Aujourd’hui encore j’u pense beaucoup et je dois avouer qu’à chaque fois c’est toujours aussi bandant.

Voilà, c’est peut-être la fin de l’histoire. Le tout dernier récit à poster sur Hds. Ah oui, il y a encore tant à dire pourtant, mais au fond, a quoi bon ? Bob.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!