La Révélation : Du Rêve À La Réalité

La révélation


Je viens d’avoir mon bac. Je suis inscrit à l’université, mes parents m’ont loué un petit studio. Mais avant la rentrée, je pars en vacances. Ou plutôt je vais commencer mon job d’été. Je serai cette année animateur de camp de vacances.
C’est mon pote Emmanuel qui m’a convaincu : des vacances gratuites au soleil, une bonne ambiance, des soirées festives. Trouver un employeur n’a pas été difficile: Emmanuel est un habitué des colos et cela fait déjà plusieurs fois qu’il part avec le même organisme. D’ailleurs, il m’avait mis tout de suite au parfum : « A mon avis, vue ta tronche, tu n’auras aucun mal à te faire embaucher comme stagiaire, tu verras, le directeur est sympa. » Avant d’ajouter avec un sourire en coin « Il est même très sympa, Daniel, surtout avec moi, si tu vois ce que je veux dire… »
J’avais bien compris le sous-entendu. Emmanuel est plutôt mignon et bien fait. Je sais que ses conquêtes sont exclusivement féminines, mais il se sait également séduisant pour une certaine population masculine et ne se prive pas d’en jouer ni de s’en vanter, en bon narcisse qu’il est.
Quant à moi, j’ai de bonnes raisons pour me montrer beaucoup plus discret sur ce point. Cela fait déjà quelques années que pour mes plaisirs solitaires je passe en revue dans ma tête des scènes moins banales ou tantôt moi, tantôt d’autres garçons s’offrent fiévreusement aux désirs d’un homme jusqu’à abandonner pour la première fois leurs fesses aux assauts d’un sexe conquérant.

J’avais caché à tous de ces penchants coupables et n’avait jusqu’alors connu aucune expérience. Je me contentais de m’exhiber régulièrement à la piscine et de guetter les regards d’hommes qui glissaient sur mon corps, en surprenant certains s’arrêter sur un maillot de bain qui ne cache pas grand-chose de mes formes et me détailler des pieds à la tête, avec plus ou moins d’insistance. Je jouissais intérieurement de ces regards d’envie et m’exposait avec une innocence feinte.

La pratique assidue de la natation m’a forgé un corps longiligne mais dessiné. La minceur athlétique de mon corps, mes fesses rondes et saillantes, ma jeune virilité gonflant le maillot, ajoutées à un visage fin, à mes cheveux châtains ondulés et à une absence de pilosité apparente me confèrent un charme évident. Je sais que je corresponds trait pour trait au garçon rêvé par bien des hommes. J’ai pu le constater avec satisfaction en faisant régulièrement l’objet de tentatives d’approche : une main qui s’égare sur mes fesses lors d’un concert, un souffle appuyé sur ma nuque dans un bar… Je n’ai jamais donné suite, par timidité ou peur de l’inconnu mais aussi sans doute par exigence : je n’allais pas brader ma jeunesse au premier venu. De la même façon, alors que les sites spécialisés d’Internet donnent toutes les possibilités de passage à l’acte, je n’ai jamais « rencontré ». Je veux que mes premières expériences soient à la hauteur de mes désirs secrets.

La confidence d’Emmanuel sur les penchants du directeur pour les garçons ne sont pas tombées dans l’oreille d’un sourd. J’entrevois immédiatement la possibilité d’un jeu de séduction qui pourrait me mener naturellement à concrétiser enfin mes envies. Je n’en laisse rien paraître lors de l’entretien d’embauche, mais j’avoue que j’ai été troublé par cet homme d’une quarantaine d’années, brun, grand, manifestement sportif. Le contact est bon, il se dégage de sa personne une aisance bienveillante que vient contrebalancer un regard pénétrant.
Je suis engagé comme animateur stagiaire. Emmanuel a finalement choisi un camp itinérant et ne sera pas avec moi. J’ai le champ libre.
Départ, installation, réunions… La colo s’organise, je suis affecté à l’entretien des locaux en matinée, et à l’encadrement des activités l’après-midi si cela est nécessaire. Je partage une chambre avec d’autres animateurs, l’ambiance est bonne, le travail léger. A la réunion du soir, il est décidé que j’accompagnerai les autres à la piscine, deux fois par semaine, sous la responsabilité du directeur qui est également de la partie.
Le mardi suivant, le bus emmène toute la troupe à la piscine. Je suis à la fois tendu, excité et content à l’idée de cette journée. En cours de route, Daniel vient s’asseoir à côté de moi. Il me demande si tout se passe bien. Nous échangeons quelques banalités, je lui fais part de mon contentement d’être là. Avant de se lever pour regagner sa place, il me glisse : « Effectivement, tu avais l’air de tenir beaucoup à ce stage. Emmanuel a du te raconter beaucoup de choses… nous verrons bien. En tous cas, moi aussi je suis content que tu sois là. Je ferai en sorte que ce stage te soit profitable et qu’il t’apporte les expériences que tu attends, compte sur moi.» L’allusion est appuyée. Je fais l’innocent, remercie, mais le rouge m’est monté aux joues.

Arrivé dans les vestiaires, je me déshabille en songeant que je vais dévoiler mon corps et mes attraits à celui qui attend certainement de les découvrir. Est-il venu uniquement pour ça ? D’après les autres, il vient rarement superviser les activités. J’ajuste mon maillot de bain, noue ma serviette autour de la taille. Arrivé aux douches, j’aperçois Daniel sous le jet d’eau fumant. Son regard croise le mien, je lui tourne le dos et fais face aux patères. Je dénoue ma serviette et l’accroche avant de me retourner. Je fuis son regard et me dirige sous les jets d’eau. En me savonnant des pieds à la tête, je tourne sur moi-même pour m’exposer sous toutes les coutures. Je lance un regard dans sa direction. Il regarde ailleurs et j’en profite pour l’examiner : musclé sans excès, bronzé et légèrement poilu, il présente un slip de bain bien rempli. Son sexe et ses testicules forment un renflement indistinct mais imposant. Mon ventre se noue, les attributs de Daniel sont conformes à mon fantasme, promettant une queue massive, semblable à celles que j’imagine se dresser devant mon visage, ou explorer le sillon de mes fesses. Je dois le fixer un peu trop longuement et Daniel surprend mon regard dérobé. Il sourit en coin avant de me fixer à son tour.
Mal à l’aise, craignant qu’un renflement suspect de mon maillot ne trahisse ma confusion, je quitte les douches ruisselant pour me diriger vers les bassins.

L’après-midi se passe ainsi, la foule me dissimule mais je m’applique à m’exposer marchant le long du bord, sur les plongeoirs et les toboggans. L’heure de partir approchant, je repasse par les douches sans croiser Daniel. Arrivé aux vestiaires, j’ai la surprise de le voir déjà habillé, assis sur un banc au milieu des autres. Je me dirige vers mes affaires accrochées au mur d’en face, et à l’abri de ma serviette, je fais glisser mon maillot trempé jusqu’à mes chevilles. Je commence à enfiler un slip sec jusqu’au dessus des genoux. La serviette devient alors gênante, je la relève d’un rapide mouvement et, sans savoir s’il me regarde, j’exhibe un bref moment mes fesses avant de les recouvrir. En slip, je me penche alors pour ramasser mes affaires éparses sur le sol. Pour m’être souvent regardé dans le miroir, je sais que cette position met en évidence la raie de séparation de mes fesses tendues et, pour peu que mes jambes soient légèrement écartées, comme c’est le cas maintenant, le contour de mes testicules pesant dans le fin tissu clair.

Retour au centre. Daniel s’absente pour quelques jours. Il doit visiter des structures susceptibles d’accueillir des groupes de vacanciers. Je me consacre à mes obligations, la vie en collectivité et le manque d’intimité commencent à me peser. Le soir, après ma douche, je m’examine dans le miroir, me contorsionne pour me contempler de dos, compose les tableaux qui m’obsèdent : à quatre pattes sur ma serviette de bain, genoux aussi écartés que possible, fesses cambrées et pointées vers le ciel, les avant-bras collés au sol, je regarde le spectacle de mon anus exhibé et de mes testicules pendantes, le bout de ma verge à quelques centimètres sous ceux-ci. Il n’est pas rare que je voie alors mon prépuce s’ouvrir, libérer mon gland puis le tout disparaître du fait de l’érection qui arrive immanquablement.
Un soir, n’y tenant plus, les couilles lourdes d’attendre, je me caresse jusqu’à jouir et j’étouffe mon sperme et mon plaisir dans ma serviette. Je commence peu après à me demander si je ne me suis pas fait des idées, ou pire si je ne me suis pas ridiculisé et dévoilé.
Fort heureusement car je deviens fébrile, la fin de semaine arrive et avec elle mes deux jours de congé. Avant d’avoir le temps de me demander à quoi j’allais bien pouvoir les occuper dans cet endroit loin de tout, l’adjointe vient me faire une proposition. Je ne suis pas indispensable au fonctionnement du centre et Daniel a besoin de quelqu'un quelques jours pour mener à bien ses recherches. Si je suis intéressé, pas de problème. Elle me présente la chose sous un angle flatteur : découverte de la région, repas au restaurant, nuit dans les centres de vacances visités. Si ça me tente, je partirai le lendemain avec Daniel dont le retour est prévu dans la soirée. Je sens un délicieux piège se refermer sur moi. Ca me tente, j’accepte.
Le lendemain, en jeans, baskets et tee-shirt, sac à dos à l’épaule, j’attends L’heure du départ. Le trac m’envahit. Je sais que ce jour, le lendemain ou celui d’après, ou peut-être chaque jour de cette escapade, je vais me retrouver seul avec un homme que je soupçonne de vouloir me séduire et me soumettre à ses désirs. L’image de Daniel agenouillé derrière mes fesses offertes, son sexe bandé, ne me quitte pas.
Il arrive, me fixe longuement.
- Tu es prêt ?
- Oui.
Il insiste.
- Vraiment ? Tu es sûr ?
Je baisse les yeux sans répondre
- Alors allons-y.

Je monte à côté de lui dans la voiture. Une collègue arrive avec son barda. Je crains un instant que tout ne tombe à l’eau. Daniel me regarde, sourit et me dit de ne pas m’inquiéter : elle fait juste le trajet avec nous, on la dépose avant d’arriver.
La route est belle et ensoleillée. Daniel annonce que nous passerons la nuit dans un chalet inoccupé pour l’heure. Les conditions de discrétion et de tranquillité indispensables à une initiation bien menée pourraient donc être réunies dès le soir. Ma tension monte. Nous dinons en terrasse tous les trois. Daniel me regarde avec insistance et multiplie les allusions lourdes de sens pour nous deux, à propos de la jeunesse et des nouvelles expériences, de la liberté, de la nécessité de vivre selon ses aspirations profondes, de ne pas se laisser enfermer dans les préjugés, etc… Brusquement, le temps change et l’orage menace. Nous écourtons le repas, il reste de la route à faire et l’animatrice nous quitte. Seuls tous les deux dans la voiture, faussement attentifs à la route et silencieux, nous arrivons en bordure de forêt.
« - On doit continuer à pied, le chalet est inaccessible en voiture.
- Mais il pleut à verse !
- On se séchera en arrivant, il y a une cheminée. Laisse ton sac dans la voiture, il y a tout ce qu’il faut en haut. »

Je marche devant sur l’étroit sentier forestier. La pente est parfois raide et l’escalade des rochers glissants n’est pas rendue aisée par la pluie. Mes vêtements mouillés collent à ma peau. Derrière moi, Daniel me guide et me soutient des deux mains sur ma taille quand je manque de dér. Enfin, nous arrivons à une maison forestière. Daniel prend la clé dissimulée sous une pierre plate, ouvre et me fait entrer. La pièce est sommairement meublée : table et chaises, placards. Une cheminée de pierre fait face à la porte. Il m’indique que les chambres sont à l’étage. Je reste au centre de la pièce, dégoulinant de pluie. Daniel, lui, allume une lampe à pétrole et s’active pour faire du feu. Bientôt, les flammes montent.
« -Déshabille-toi, il faut faire sécher nos vêtements. »
On y est. Je suis rouge, confus. Je retire mes baskets, mes chaussettes et mon tee-shirt. Daniel se retourne à ce moment-là et me regarde.
« -Allez, dépêche-toi, on n’a pas toute la nuit ! »
J’obéis. Face à lui, je dégrafe ma ceinture et ôte difficilement mon jean mouillé. Je suis en slip devant lui. Il tend la main pour que je lui donne mes vêtements et les accroche au dessus de la cheminée. Derrière moi, je l’entends qui se déshabille à son tour et devine qu’il met ses propres affaires à sécher. Je jette un œil : Daniel est de dos, nu, occupé à fouiller un placard. Il se retourne, une serviette à la main. Il se sèche avec naturel et je découvre une bite épaisse, longue, à demi circoncise et des couilles massives. Il me tend la serviette :
« - ton slip est trempé, donne le moi et approche toi du feu, tu vas prendre froid.»
Je me tourne et baisse mon slip. Je le fais glisser le long de mes jambes. Je suis nu. La main sur mon sexe, je m’approche de lui et lui donne mon slip, avant de nouer la serviette sur mes reins.
Pour me donner une contenance, je m’accoude à un rebord de fenêtre et fais mine de regarder dehors. Il fait nuit noire. Daniel me rejoint. Nu à quelques centimètres derrière moi, il me demande si l’endroit me plaît. Oui. Mon trouble augmente et mon sexe gonfle sous la serviette. Je ne peux pas bouger au risque qu’il le remarque. Je sens le nœud de la serviette se relâcher. J’esquisse un geste pour la rattr. Mais Daniel me saisit la main et la repose sur le bord de la fenêtre.
« Laisse. »
Un frisson me parcourt la colonne et redescend jusqu’à mes testicules. Mon sexe enfle d’un coup. J’entends le souffle de l’homme qui va me soumettre à ses désirs s’accélérer. Il tire légèrement au bas de la serviette qui glisse au sol. Je lui tourne le dos, nu, les jambes légèrement ouvertes, à peine penché à la fenêtre. Mon sexe se plaque sur mon ventre, mes couilles se contractent d’excitation. Daniel pose une main chaude, douce mais lourde sur mon épaule. Il la descend lentement sur mon flanc, ma taille et le haut de ma cuise. Je ferme les yeux et courbe la tête. Sa main quitte un instant ma peau. J’attends nerveusement la suite. Je retrouve le contact de sa main à l’intérieur de ma cuisse. Il remonte lentement jusqu’à la naissance de mes fesses. La tranche de sa main effleure mes couilles et s’aventure le long de ma raie. Je vacille. Il m’att la taille des deux mains et s’approche. Sa respiration s’alourdit. Il attire mon bassin vers lui. Soudain, exactement entre mes fesses, je sens un contact appuyé. Il vient d’appliquer sa verge le long de mon sillon. Je sens ses poils pubiens dans le bas de mon dos. Ses mains ont quitté ma taille et caressent fermement ma tête, ma nuque et mon dos. Je sens sa bite gonfler et durcir. Je sens aussi distinctement son gland humide et chaud sortir du prépuce et se nicher dans ma raie. La main de Daniel à présent parcourt ma poitrine et mon ventre. Elle n’est pas longue à se saisir de ma queue bandée et ses doigts enserrent mes couilles.
Me tenant toujours, Daniel recule de quelques pas. Je n’ose pas le regarder. Il pose ses mains sur mes épaules et appuie. Je pose un genou au sol, puis les deux. Il s’agenouille derrière moi.
« Ecarte les cuisses. »
J’écarte les genoux. De nouveau, sa main explore mes fesses, soupèse mes testicules.
« Montre-moi. »
Je reste immobile. Daniel m’appuie sur le haut du dos. Je comprends alors ce qu’il veut. Je me prosterne au sol, la tête dans les mains et cambre mes fesses. Mon orifice est maintenant visible, offert. L’homme me regarde lui exhiber mon intimité la plus secrète. Il se redresse. Je sens ses couilles sur mes fesses, puis sa bite glisser le long de ma raie. Je me retourne pour voir. Sa large bite se dresse devant mon visage. La hampe est tendue, un gland épais surplombe la longue tige. Il me laisse regarder un moment puis me replace. Il souffle sur mon anus puis son gland se pose dessus, en appuyant légèrement à plusieurs reprises. La sensation est délicieuse, je tremble d’excitation mais aussi de peur : mon anus n’est pas prêt recevoir son membre aussi directement. Je me raidis. Daniel perçoit mes craintes et se relève.
« Viens à l’étage. Tu ne croyais quand même pas que j’allais te dépuceler à la dure sur le plancher. Allez, monte. »
Je me lève, Daniel me suit avec la lampe. Je monte l’escalier devant lui. A l’étage une simple chambre avec un lit bas et une table. Je m’avance. Daniel pose la lampe sur la table. Son imposante érection n’a pas faibli. Il se plante devant moi. Je baisse les yeux sur sa queue. Une pression de la main sur l’épaule et je m’agenouille sur le tapis. Il empoigne sa queue d’une main et de l’autre ma tête et place mes mains sous ses fesses. Daniel promène sa grosse queue sur mon visage puis pose deux doigts entre mes lèvres. J’ouvre grand la bouche. Il présente son gland et s’introduit. Je le sens palpiter. Daniel commence un lent va et vient, enfonçant plus ou moins sa queue dans ma bouche. Au bout d’un moment, il se retire. Me tenant toujours l’arrière de la tête, il se caresse maintenant à quelques centimètres de mon visage. Un long jet blanc atterrit sur ma poitrine, puis d’autres s’écrasent sur mon visage et dans mes cheveux. Le sperme épais de Daniel répand une odeur suave. Il me relève et m’essuie le visage, pose sa main sur ma bite. Il me pousse vers le lit et je m’allonge sur le dos. Il relève mes genoux et les écarte. Sa main enserre mes testicules et caresse ma queue tendue. Je suis sur le point de jouir à mon tour. Daniel me présente alors son index devant la bouche et l’enfonce entre mes lèvres. Il le ressort et remonte mes genoux écartés à hauteur de ma poitrine. Il pose son index mouillé de salive sur mon anus et, en me regardant droit dans les yeux, commence à appuyer lentement. Je sens mon orifice résister puis s’ouvrir, mes muscles se contracter par spasmes autour de son doigt. Daniel ressort son doigt, et fait couler un filet de salive dans sa main. Il présente maintenant deux doigts qu’il appuie sur ma rondelle. Mon anus résiste, Daniel insiste, les doigts rentrent d’un coup, j’ai un peu mal. Il observe mon visage et sourit quand je grimace en me montrant sa queue. Ses doigts me fouillent, il me masturbe de l’autre main. L’orgasme me traverse, je me tends sur le lit et mon sperme jaillit en l’air.
Je reprends mon souffle et mes esprits, Daniel me caresse. Il se lève et prend un petit pot dans la table de chevet. Il se rassoit sur le lit, son sexe a repris toute sa vigueur. Je comprends en un éclair. Il me regarde droit dans les yeux.
« Je vais te sodomiser maintenant. Détends-toi et laisse-moi faire. J’en ai défloré d’autres avant toi. Ce sera intense, mais tu vas aimer. »
Un frisson me parcourt de la tête aux pieds. Je reste inerte. Daniel me retourne sur le ventre. Il écarte mes jambes et s’agenouille derrière moi. Il me caresse le dos un instant, palpe mes fesses, écarte les deux globes avec les pouces et regarde mon anus se contracter. Des deux mains, il relève mon bassin, je m’appuie sur les coudes. Il me demande d’écarter davantage les cuisses. De la main, il me creuse le dos pour accen la cambrure de mes fesses. Il m’enfonce un doigt chargé de vaseline dans l’anus et se positionne derrière moi. Sa bite tapote un instant mon sillon et mon orifice puis le gland s’immobilise. Daniel accentue légèrement la pression et s’ajuste. Il agrippe mes épaules. Je baisse la tête dans l’attente du premier assaut. L’homme commence à pousser. Je commence à avoir mal et laisse échapper un gémissement. Il s’immobilise mais sans relâcher la pression. Je tente d’avancer mais il me maintient fermement. Sa main se pose sur ma tête. Je me prépare à subir et serre les poings sur la couverture. Alors, doucement mais sûrement, Daniel enfonce son gland dans mon cul. La douleur devient plus aigue, et je gémis de plus en plus fort. Je sens le moment où le gland passe l’anus. L’homme reste immobile un instant, la douleur sourde s’estompe et fait place à une agréable sensation quand il se retire millimètre par millimètre jusqu’à sortir complètement. Je reprends mon souffle et déjà le deuxième assaut s’annonce. Daniel me pénètre un peu plus facilement et recommence cette manœuvre plusieurs fois. Je commence à me détendre et à apprécier. Lui aussi pousse des soupirs d’aise. Après un moment de ce travail, une fois introduit, il guide une de mes mains sur sa queue. Je constate qu’une bonne partie est dehors et je comprends que c’est loin d’être terminé. Daniel s’allonge alors sur moi, passe ses bras sous ma poitrine et att mes épaules. Je sens son souffle court dans ma nuque. Il noue ses jambes aux miennes et m’embrasse. Sa langue fouille mon oreille, puis ma bouche. Il observe mon visage et commence à pousser fermement. Je grimace et gémis mais il continue. La douleur augmente au fur et à mesure que le pieu de chair s’insinue dans mes entrailles. Je sens mes muscles résister puis céder sous la pression. Daniel marque une courte pause pour me laisser reprendre mon souffle. Il se redresse, prend appui sur mon dos et d’un coup de reins s’introduit jusqu’à la garde. Je pousse un cri. L’homme s’immobilise et me tranquillise d’une caresse sur la tête. La douleur disparaît peu à peu, je me sens rempli de sa tige. Il s’arcboute et, en jouant de son bassin, se place au plus profond de moi et attend. Il entreprend alors de se retirer, lentement, et le plaisir qu’il me donne alors me fait soupirer. Daniel se retire complètement, puis me prend à nouveau. Sa bite glisse doucement dans mon cul, m’arrache un cri quand elle m’embroche à fond, et des gémissements de plaisir quand elle se retire. Daniel me lime maintenant lentement, avec une régularité de métronome. Sa respiration s’accélère, son rythme aussi. Il me sodomise maintenant avec autorité. Toute la longueur de sa bite entre et sort de mon cul, de plus en plus vite. Mes gémissements ininterrompus et les siens emplissent la chambre. Soudain, Daniel se met à me pilonner vigoureusement. Soumis, je subis la charge en ahanant. Je le sens se tendre, il pousse un long cri rauque et répand son foutre au fond de mon cul. Il y reste un long moment, tendu, en me caressant puis se dégage. Je m’écroule à plat ventre sur le lit, dans un état second. Daniel me passe un linge dans la raie et caresse mes fesses meurtries.
« Dors maintenant, on a un programme chargé demain. »














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