Maria Du Rêve À La Réalité

Cette histoire se déroule il y a de nombreuses années dans le sud de la France. Je m'appelle Maxime, j'ai alors 16 ans et suis lycéen. Je passe le plus clair de mon temps libre à faire les 400 coups avec Julien, mon meilleur ami. C'est les vacances d'été et les parents de Julien avec qui j'entretiens de bons rapports m'ont invité à venir passer quelques jours avec eux dans un camping ou ils ont loué un mobile home pour les vacances. C'est pour nous une époque formidable de joie et d'insouciance. Nous journées se résument à la piscine, la bronzette et la drague. Nous sommes à l'époque des premiers flirts ou coucheries, Julien ayant alors un plus gros palmarès que moi qui suis à cette époque encore timide. Le camping est rempli de jolies demoiselles mais moi je fantasme secrètement sur Maria, la mère de Julien. Je pense que l'attrait que j'éprouve pour cette femme a commencé dés que je l'ai connu vers mes 14 ans mais mes fantasmes ont vraiment démarré cet été là, au camping. Maria s'est toujours montrée d'une grande gentillesse envers moi, toujours attentionnée, affectueuse presque comme si j'étais son second fils. Nous nous entendons formidablement bien et partageons à l'époque une grande complicité, elle me gratifie de surnoms comme «mon grand», « mon chéri » ou « beau-gosse ». Je lui dis sur le ton de la plaisanterie que si elle n'était pas mariée vouloir sa main non sans une certaine arrière pensée. Il faut préciser que outre sa grande gentillesse, Maria est aussi une superbe femme. Quadra bien conservée, longs cheveux bruns ondulés comme une vahiné aux profonds yeux verts, jolies formes bien réparties avec un beau fessier bien dodu, des hanches larges et par dessus tout, une grosse paire de seins qui ne laisse aucun homme indifférent. Il m'arrive d'être pris d'une fâcheuse érection lorsque mon regard se pose sur le généreux décolleté de la mère de mon ami ou en la voyant en maillot de bain qui en général ne cache pas grand chose de ses sérieux attributs.


Un matin alors que Julien et son père se réveillent dés l'aube pour aller pêcher, moi encore fatigué par la soirée agitée de la veille, je refuse de sortir de mon duvet et dis à mon ami de partir sans moi. Je me rendors et suis réveillé plus tard par le bruit de Maria qui prend sa douche. La porte de la chambre que je partage avec Julien est entrouverte et me permet d’apercevoir ce qui se passe dans la pièce principale du mobile-home. Mon angle de vision n'est pas très large mais me permet soudainement de voir Maria uniquement vêtue d'une serviette nouée autour d'elle. A l'évidence, la mère de mon ami ignore ma présence et se croyant seule, s'apprête à faire le ménage presque nue. Je me garde bien de faire le moindre bruit pouvant manifester ma présence et profite du spectacle lorsque elle apparaît dans mon champ de vision. Sa serviette de douche est nouée sur sa poitrine et lui arrive au milieu des fesses. Mon cœur bat la chamade alors que je me comporte comme une véritable voyeur. Elle passe la serpillière dans la pièce, à chaque mouvement, ses gros seins gigotent dans tous les sens et elle est obligée de resserrer le nœud de fortune de sa serviette pour ne pas qu'elle tombe. Lorsqu'elle me tourne le dos, je vois le bas de ses grosses fesses nues. Alors qu'elle lutte visiblement contre une tache tenace au sol, Maria s'agenouille pour frotter sans savoir qu'elle m'offre une vue imprenable sur son intimité. Mon cœur bat à tout rompre à la vue de la mère de mon ami dans cette position pour le moins indécente, le cul face à moi avec les cuisses bien écartées en train de frotter le sol, je vois sa chatte et son petit trou du cul. Je me régale de ce spectacle lubrique et alors qu'elle astique le sol, au fur et à mesure je devine qu'elle doit de plus en plus souvent refaire le nœud de sa serviette. Comme si mes prières avaient été entendues, alors qu'elle est face à moi en plein dans mon champ de vision, sa serviette menaçant de tomber, elle l'ouvre totalement pour refaire le nœud et m'offre l'espace de quelques instants la vue de son corps intégralement nu.
L'instant n'a duré qu'une seconde mais cette vue délicieuse reste gravée dans ma mémoire. Les seins de Maria sont encore plus énormes que je ne les imaginais telles deux grosses masses de chair blanche avec deux aréoles brunes et larges comme des disques ornées d'épais mamelons comme des noisettes. Son ventre est légèrement arrondi, ses hanches bien larges, ses cuisses épaisses et que dire de sa chatte aux poils coupés très courts en forme de triangle semblant indiquer la direction de sa belle petite fente. J'éprouve à la fois un désir fou de cette femme et un sentiment de culpabilité de me comporter comme un voyeur envers elle. Alors qu'elle n'est plus dans mon champ de vision, je me recouche discrètement et fais volontairement du bruit pour lui signifier ma présence. Je devine que Maria s'enferme dans sa chambre pour se couvrir et lorsque je sors de la mienne faisant mine de me réveiller, elle me rejoint couverte d'un peignoir et je suppose d'une culotte.
«Tiens, te voilà réveillé mon grand, bien dormi ? Je pensais que tu étais à la pêche avec les hommes.»
«Bien dormi merci, non j'étais fatigué, j'ai préféré rester dormir ici»
«Ah et il y a longtemps que tu es réveillé ? »
« Non j'ouvre à peine les yeux »

Elle me sourit comme si elle avait compris mon petit manège et me prépare ensuite un petit déjeuner.
Durant tout le reste du séjour au camping, je n'ai pas arrêté de fantasmer sur elle, sur notre complicité, sur les regards que nous échangeons, sur la vue de son corps qu'elle m'a offert à son insu. Malheureusement les vacances ont pris fin et nous avons du retourner à notre quotidien habituel.


Deux ans se sont écoulés depuis l'épisode du camping, j'ai désormais 18 ans, j'ai gagné en maturité et en confiance en moi, je viens d'avoir mon bac avec mention, j'ai eu quelques petites copines, rien de bien sérieux, la seule chose qui n'a pas changé c'est que je fantasme toujours sur Maria. Il est difficile de percer à travers les pensées de l'énigmatique mère de famille qui semble être une femme fidèle à son mari, réservée mais en même temps tellement avenante envers moi que je jurerais presque qu'elle me fait des avances.
Au cours d'un échange par sms avec elle lors de l'obtention de mon bac elle m'a envoyé un « bisouxxx mon chéri » avec un cœur en émoticône après m'avoir félicité. J'ai alors répondu bisous tu me plais énormément. J'ai regretté amèrement ce sms après l'avoir envoyé. Elle a répondu quelques minutes après «Tu es craquant chéri mais n'oublie pas que je suis mariée et la mère de ton meilleur ami »
Sa réponse m'a quelque peu déçue mais au moins les choses étaient claires concernant mes sentiments à son égard.
Notre relation a totalement changé au cours de l'anniversaire de Julien.

Une grosse fête a lieu dans la maison des parents de Julien pour ses 18 ans, beaucoup de nos amis du lycée sont invités.Son père, Pierre, routier de profession est comme souvent absent pour plusieurs jours, Maria est seule à s'occuper de tout. Je lui tiens compagnie et l'aide à faire le service des boissons. C'est l'occasion pour nous d'échanger autour d'un coupe de champagne et de parler comme les rares fois ou nous en avons l'occasion. Elle est resplendissante comme à son habitude avec une jupe, des talons et un haut serré qui moule bien sa poitrine en offrant un délicieux décolleté sur ses gros seins sans être trop provoquant. Au détour d'un couloir, je surprends une conversation entre deux gars du lycée « Tu as vu la mère de Julien ? Plutôt pas mal non pour son age ? »
« T'as raison mec, elle me fait carrément bander avec ses gros nichons »
« C'est clair, jamais vue une paire aussi grosse, il doit pas s'ennuyer son père »
La soirée se déroule, les jeunes boivent, fument, la musique est forte. Maria après avoir tiré sur un joint qui tourne semble un peu pompette. Je lui propose une troisième coupe de champagne qu'elle accepte en disant « Merci mon chéri, j'espère que tu ne fais pas ça pour me saouler et r de moi hein ? » en cliquant de l’œil.
Cette allusion me fait sourire et m'excite énormément.
Il est minuit passé, les jeunes commencent à partir, j'aide Maria à ranger.
Alors que je range les bouteilles d'alcool dans le cellier juxtaposé à la cuisine, j'entends la porte se fermer derrière moi et me retrouve dans une semi-obscurité. Je devine la silhouette de Maria qui approche, avant même que je ne puisse ouvrir la bouche, elle pose son doigt dessus et dit « chhhhhhut on pourrait nous entendre» en murmurant.
Elle colle ensuite ses lèvres contre les miennes et m'embrasse fougueusement. A cet instant pour moi, le temps est suspendu, il n'y a plus ni temps ni espace je ne suis plus dans le cellier de Julien mais dans un rêve impossible. Je ne parviens pas à esquisser le moindre mot.
« Il y a longtemps que j'attendais ce moment » murmure Maria à mes oreilles et sans que je puisse répondre elle quitte le cellier comme si rien ne s'était passé. Il me faut un long moment pour redescendre sur terre et sortir du cellier à mon tour. La plupart des lycéens sont partis, Julien est saoul, j'aide Maria à finir de ranger, sans qu'un mot soit prononcé, les regards que nous échangeons sont bouillants et plein de promesses. Il est presque 2h du matin, tout le monde est parti, Julien dort sur le canapé, je m'apprête à partir à mon tour, Maria m'accompagne jusqu'à la porte et me fais une bise en me disant «fais de beaux rêve mon chéri »
« J'espérais un baiser comme tout à l'heure » dis-je tout bas.
Maria sourit et colle à nouveau ses lèvres contre les miennes après avoir vérifié que son fils ne puisse la voir puis m'offre un nouveau baiser langoureux au cour duquel nos langues se croisent. Je pose mes mains autour d'elle pour l'enlacer et faire durer ce baiser inespéré. Ma main glisse sur le haut de ses fesses, elle me repousse et dit, toujours en chuchotant:
«Allons, tu ferais mieux de rentrer chez toi il est tard »
« Quand pourrai-je te revoir ? » lui dis-je bouillant de désir.
« Allons mon chéri, tu sais bien que ce n'est pas raisonnable, je sais à quoi tu penses mais on ne doit pas se voir comme ça, je suis mariée et tu es le meilleur ami de mon fils»
« Je te jure que Julien n'en saura rien, je serais tellement heureux de te revoir »
Maria sourit puis après un bref silence dit :
« Tu es incorrigible toi hein, tu n'as qu'à passer boire le café samedi matin, Julien part vendredi passer le week-end chez sa copine et Pierre ne rentre que lundi, ça me fera de la compagnie »
« Avec grand plaisir »

Le samedi matin arrivé, je me rends le cœur battant d'émotion chez Maria sans trop m'imaginer comment vont se dérouler la suite des événements. Je sonne à la porte, elle m'ouvre vêtue d'une courte robe d'été très légère moulant parfaitement ses formes lui arrivant à mi-cuisses et offrant un décolleté vertigineux sur le profond sillon de ses gros seins.
« Tu es splendide » lui dis-je
« Charmeur » me répond-elle souriante.
Elle m'invite à la cuisine pour préparer le café, je ne la quitte pas des yeux, elle sait que je la désire et nos regards sont simplement torrides. Je ne puis attendre plus, lorsqu'elle est tournée face à la cafetière, je me colle dans son dos et embrasse son cou tout en posant mes mains sur ses hanches. Sa respiration accélère mais elle ne me repousse pas. Lorsque mes mains montent sous ses seins, elle dit :
« Oh mon dieu Maxime, on ne devrait pas... »
« Laisse toi aller, je sais que tu en as autant envie que moi »
Elle s'abandonne à mes mains et halète profondément pendant que je malaxe ses seins à pleines mains à travers sa robe. Une main glisse le long de sa cuisse sous sa robe et s'insinue progressivement sur son ventre avant de glisser dans ce que je devine être un string. Mes doigts parcourent sa chatte aux poils courts et tentent de se glisser dans sa fente intime. Maria est désormais totalement sous mon contrôle, je soulève sa robe et la fait passer par dessus sa tête pour lui ôter entièrement. La mère de mon ami est particulièrement bandante avec un string en dentelle transparente et un soutien-gorge assorti qui ne cache pas grand chose de ses superbes seins.
« Alors je te plais? »
« Oh oui, tu es splendide »
« Viens avec moi, on sera mieux au salon » me dit-elle en me tirant par la main vers le canapé du salon.
A peine assis sur le canapé, je dégrafe son soutien-gorge pour dévorer ses seins à pleine bouche tel un nourrisson affamé qui a besoin de sa tétée.
« Oooohhhhh ouiii mon chéri, suce moi les seins comme ça, oohhhhhhh »
Maria semble se lâcher complètement et m'encourage de plus en plus à lui faire du bien. Je ne me fais pas prier et suce ses gros seins tout en les malaxant, ma langue titille ses mamelons devenus durs et épais.
Elle ôte son string et écarte grand ses cuisses d'une manière plus qu'indécente en disant :
« Viens mon chéri, tu vas me bouffer la chatte, je suis sur que tu en meurs d'envie »
N'en revenant pas du vocabulaire qu'elle emploie, elle si réservée et mystérieuse d'habitude, je me jette sur sa belle fente et la fouille avec ma langue tout en triturant son clitoris avec mes doigts. Elle jouit de plus en plus fort jusqu'à crier littéralement. Je glisse ensuite deux puis trois doigts dans sa chatte tout en faisant tourner ma langue sur son clitoris. Maria est alors prise d'un violent orgasme qui la secoue dans d'impressionnants tremblements.
« Ohhh mon dieu mon chéri c'était fabuleux, mais dis-moi tu peux me rendre un service s'il te plait ? » dit-elle avec un regard lubrique.
« Tout ce madame voudra »
« J'aimerais te voir tout nu, tu peux te déshabiller totalement ? »
Emporté par l'excitation, je me déshabille au milieu du salon devant Maria qui glisse un doigt sur sa chatte comme une grosse cochonne.
« Le boxer aussi, tout nu ! »
Je me sépare de mon dernier rempart d'intimité et dévoile ma queue qui bande déjà dur.
« Oh mais c'est qu'il est bien monté le petit cochon et qu'il bande comme un taureau on dirait. Allez approche, Maria va bien s'occuper de toi »
Sans vraiment réaliser ce que je suis en train de vivre, je m'approche de Maria qui prend ma bite en main pour la branler délicatement en caressant mon gland avec son pouce. Je me demande si je ne suis pas en train de rêver mais sa langue vicieuse sur mes couilles me ramène à la réalité. Non sans un certain savoir faire, la mère de mon ami lèche mes couilles tout en me branlant. Tout en me regardant d'un air vicieux, sa langue remonte ensuite le long de ma queue jusqu'à atteindre mon gland.
« Ca te plait chéri ? »
« Oohhhh oui, continue »
Maria frotte ensuite ses lèvres de haut en bas de ma tige tout en malaxant mes boules. Sa langue et ses lèvres parcourent ma queue de bas en haut pendant un long moment jusqu'à ce qu'elle pose ses lèvres à l'extrémité de mon gland comme pour l'embrasser tout en les écartant progressivement pour m'engloutir et prendre ma bite dans sa bouche.
J'ai tant rêvé de cet instant qui me paraît irréel, c'est presque trop beau pour être vrai mais Maria est bien en train de me prodiguer la meilleure fellation que je n'avais jamais eu. Elle me suce d'abord doucement en faisant tourner sa langue autour de mon gland puis de plus en plus vite si bien que je suis obligé de la repousser pour ne pas jouir dans sa bouche.
« Ca te plait mon chéri ? Tu aimes que je te suce ? »
« Oooh mon dieu oui, c'est tellement bon »
Je m’assois à côté d'elle sur le canapé et prends de nouveau ses seins en main pour les malaxer.
« Tu les aimes mes gros nénés hein mon chéri »
« J'en raffole » dis-je en les léchant et les suçant.
«Il y a longtemps que j'ai remarqué que tu les regardes petit cochon, tu aimerais que je te branle entre mes seins ? » dit-elle et joignant le geste à la parole, elle se met à genoux devant moi et place ma queue entre ses deux énormes mamelles qu'elle fait monter et descendre. Ma bite est littéralement écrasée entre ses deux globes de chair, seul mon gland apparaît furtivement et Maria en profite pour lui donner des coups de langue.
C'en est trop pour moi, je sens que je vais craquer et avant que je n'ai le temps de la prévenir, j'explose et éjacule de longs et puissants jets de sperme. J'ai l'impression que cette éjaculation ne s'arrête pas tant elle est intense, je pense sortir 7 ou 8 jets si bien que les seins de Maria sont recouverts de ma semence, elle en a même sur le visage, dans le cou et dans les cheveux.
« Oh mon dieu Maxime, je n'ai jamais vu autant de sperme de ma vie » dit-elle les seins dégoulinant de foutre.
« Oohhh Maria je suis désolé c'était trop bon je n'ai pas pu me retenir »
« Ahah et et bien au moins je vois que ma petite gâterie t'a plu, maintenant je te laisse un moment pour aller me rincer »
Le temps de reprendre mes esprits j'en profite pour enfiler mon boxer et mon short, Maria me rejoint quelques minutes après couverte d'une sorte de robe de chambre en soie nouée autour de sa taille qui ne cache pas grand chose de ses attributs.
« Je n'ai pas été trop longue mon petit chéri ? » me dit-elle encore plus excitante que jamais.
« Tu me manquais déjà »
« Oh tu es trop mignon, maintenant on va aller le boire ce café, je crois qu'on en a bien besoin après ça »
On partage ensuite un café dans la cuisine en papotant. Elle discute avec moi comme si rien ne s'était passé. J'essaie de garder une attitude stoïque en lui caressant la cuisse mais je me retiens de lui dire à quel point je suis fou amoureux d'elle de peur de tout gâcher et mettre un terme trop rapide à cette journée qui a commencé sous les meilleurs auspices.
« J'étais en train de ranger la chambre de Julien quand tu as sonné, tu veux bien m'aider ? »
En bon gentleman j'accepte naturellement espérant poursuivre les hostilités au plus tôt. J'accompagne Maria dans la chambre de mon ami. Ensemble nous plions drap et couverture chacun d'un côté du lit. Chaque geste qu'elle fait m'offre une vue plongeante sur le sillon de ses gros seins, elle sourit en comprenant ou se dirige mon regard et voyant que je rebande déjà.
« Et bien petit coquin tu n'en as pas assez vu peut-être ? »
Une fois le lit de Julien fait, nous nous dirigeons vers la chambre parentale ou là aussi le lit est défait. Je suis un peu gêné de voir sur le buffet les photos de mariage de Pierre et Maria en robe blanche, j'éprouve à ce moment une certaine culpabilité qui va rapidement être balayée par la mère de mon ami.
Alors que je m'apprête à faire le lit, Maria m’interrompt :
« Je ne t'ai pas emmené ici pour faire le lit » dit-elle en dénouant la ceinture de sa robe de chambre et la faisant tomber au sol.
« Je veux que tu me fasses l'amour sur le lit conjugal, il y a longtemps que Pierre me délaisse, ça lui apprendra »
Je reste bouche bée de ses dires mais ne me fais pas prier, mon short et mon boxer disparaissent en un clin d’œil. Maria me pousse sur le lit et grimpe sur moi, ma bite s'enfonce sans difficulté dans sa chatte humide. Je peine à croire ce que je vis, jamais je n'aurais imaginé que la journée se déroule ainsi, si on m'avait dit il y a seulement quelques jours que la mère de Julien sur qui je fantasme depuis tant d'années serait là en train de s'empaler sur ma bite sur son lit conjugal je ne l'aurais jamais cru un instant.
« Oooohhhh oohhhh oui vas y baise moi mon chéri, baise moi fort comme ça »
Maria est comme en transe sur moi, ma queue bien au fond de sa grotte et ses énormes nichons qui balancent devant mon visage, j'en profite pour les lécher ou les sucer dés que je parviens à en attr un avec ma bouche.
« Mmmmh ooohhh oui tu me baises bien Maxime, continue, vas y ooohhhhh oui »
Les positions changent ensuite, je la prends en missionnaire puis en levrette. Je me régale de la baiser par derrière, mes mains posées sur son cul joufflu qui me faisait tant rêver. Elle est apparemment aux anges de se faire besogner sur son lit à quatre pattes par l'ami de son fils, au rythme de mes coups de reins, ses gros seins balancent en cadence.
« Ahhhh aaahhh ahhh ohhh oui, prends moi comme une chienne chéri vas y, baise moi fort, ohhhh oui tu baises tellement mieux que mon cocu de mari »
« Ooohhh Maria, c'est bon je sens que je vais venir »
« Oohhhh vas y mon chéri, je prends la pilule, tu peux te laisser aller, je veux te sentir lâcher ton sperme chaud dans ma chatte »
Encouragé par ma partenaire, je craque et remplis sa chatte de mon jus lui provoquant un orgasme impressionnant.
«Mmmmh c'était fabuleux chéri, tu as été formidable »
La formule n'était pas exagérée, je n'avais jamais si bien fait l'amour. Après cela, Maria a rejoint la cuisine pour nous préparer un petit repas. Après qu'on ait mangé, elle m'a chaleureusement invité à venir faire une « sieste » dans le lit conjugal. Inutile de préciser que la sieste n'a pas été de tout repos, on a fait l'amour dans toutes les positions, ma partenaire jouissant et criant comme un animal.
Alors que je la prend en levrette, je malaxe à pleines mains ses grosses fesses et m'aventure à caresser avec mon pouce son petit trou quand elle m’interrompt.
« Tu voudrais venir dans mon cul mon chéri ? »
Je marque un temps d'arrêt tant la proposition me paraît incroyable. Je n'avais jamais sodomisée aucune de mes copines et voilà que celle sur qui je fantasme depuis toujours me propose de l'enculer sur son lit conjugal. Évidemment ma réponse n'est pas négative et Maria s'absente quelques instants avant de revenir de la salle de bain avec un petit flacon de gel lubrifiant.
« Il y a longtemps que je n'ai pas fait ça chéri alors tu vas devoir bien me lubrifier avant »
C'est trop beau, j'applique du gel sur le petit orifice de Maria, posée à quatre pattes sur le lit, j'engage un doit puis deux dans son œillet qui se dilate petit à petit.
« Vas y chéri, mais doucement »
Je me place derrière elle et présente ma queue à à l'entrée de son cul, mon gland bien gros par l'érection passe difficilement, je m'enduis la queue de lubrifiant et tente à nouveau d'entrer mais son anus résiste bien plus que sa chatte.
« Ooouuuuhh doucement chéri mais vas y continue je sens que ça rentre, je meurs d'envie de sentir ta belle bite dans mon cul »
A force d'appuyer et le lubrifiant aidant mon gland commence à franchir sa rondelle et au bout de quelques va et vient je parviens à rentrer ma bite dans le cul de Maria qui pousse un cri de satisfaction mêle à la douleur.
« Oooooohhhhhh ouiiiiiiii ça y est mon bébé tu es en moi »
C'est trop bon ma queue est compressée dans les entrailles de Maria, j'entame un va et vient et suis purement et simplement au paradis. Quant à elle, elle pousse des cris de plaisir qui me brisent les tympans.
« AAAHHHH AAAAHHH AAAHHHH vas y encule moi fort bébé ouiiiiii »
Mes coups de reins dans son cul font bouger le lit et font même tomber un cadre de photo du mariage de Maria avec son cocu de mari qui est sûrement à mille lieux de s'imaginer que sa petite femme dévouée est en train de se faire sodomiser par le copain du fiston sur le lit conjugal.
Alors que l'encule de plus en plus fort et profondément, Maria dont les seins balancent dans tous les sens est prise d'un nouvel orgasme, c'est à ce moment que me sentant arriver au point de non retour, je sors brusquement du cul qui reste largement dilaté. Ne pouvant me retenir d'avantage, je jouis dans le trou du cul grand ouvert de Maria encore au moins 3 ou 4 jets de foutre.
« Ooooooohhhhhhhh ouiiiii mon bébé vas y jouis dans mon cul, hummm c'est bon je sens ton jus tout chaud glisser en moi »
La mère de famille modèle atteint des sommets de perversion. Après cette partie de jambe en l'air, Maria m'a invité à rester manger avec elle le soir puis à dormir sur place, je suis finalement resté tout le week-end. Nous n'avons pas arrêté de baiser, je l'ai sodomisée à de nombreuses reprises, quand j'étais un peu fatigué, elle me suçait pour me redonner de l'énergie. Un week-end de pur plaisir qui a hélas du prendre fin avant que Pierre et Julien ne rentrent.

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