Expérience De Rencontre Avec Un Inconnu.

Ce soir-là, il n’y avait rien d’intéressant à la télévision et je n’avais aucune volonté de me plonger dans un roman comme à mon habitude. Je décidai donc de naviguer un moment sur internet avec mon ordinateur. Après avoir jonglé avec des vidéos en ligne toutes plus inutiles les unes que les autres, je décidai de visiter un autre site dont on m’avait parlé. Bien que le site ne soit pas des plus coquins, il affichait dans le coin des petites annonces plutôt libertines. Par pur jeu, je choisis finalement de me mettre à en lire quelques-unes.
Je tombai alors sur une annonce assez directe. Cette dernière, qui datait d’à peine 30 minutes, provenait d’un homme qui ne décrivait pas son âge. Mais le caractère très succinct de sa demande me fit comprendre aussitôt ce qu’il recherchait.
« Homme d’âge mûr cherche à pratiquer, en toute discrétion, première expérience anale avec jeune femme. »
Je me redressai alors sur ma chaise et relut l’annonce avec attention. Ainsi donc ne s’embarrassait-on pas de métaphores pour demander ouvertement de telles choses. Je me sentis alors immédiatement honteuse en m’imaginant répondre à l’annonce. Je ne savais pas pourquoi mais la situation énoncée me plaisait et m’attirait. Pour avoir déjà pris un pénis entre mes fesses, je voulais renouveler l’expérience avec une personne qui ne l’avait encore jamais fait dans sa vie et tout cela dans une simple intimité. Je me rapprochai donc de mon clavier et sans comprendre pourquoi, je retournai à cet inconnu une réponse communiquant mon adresse internet. J’avais le cœur qui battait suite à ce message déjà parti dans les réseaux d’internet.
La réponse de l’inconnu ne se fit pas attendre. Ce dernier était visiblement toujours connecté à son ordinateur. Je reçus son message directement sur ma boite personnelle. Il semblait enthousiaste et me demandait mon âge, mon prénom et mon lieu d’habitation tout en m’indiquant de préciser mes caractéristiques physiques.

Je lui répondis que je m’appelais Claire, que j’avais 21 ans, que j’étais blonde et que je possédais une poitrine plutôt menue, 85B et je lui communiquai toutes les autres données qu’il voulait connaître. Je renvoyai mon message.
Toute la soirée nous fîmes donc la conversation par e-mail. Je lui répondais toujours plus à cause de mon excitation et il commençait à prendre les devants. Puis enfin, il me fixa un rendez-vous. Deux jours plus tard, il prendrait le train pour se rendre dans ma ville dans laquelle il louerait une chambre d’hôtel pour pratiquer « l’expérience ». J’acceptai tout malgré la crainte sincère que j’éprouvais de me lancer dans une telle aventure. Il me demanda de le rejoindre directement à l’hôtel, il m’indiqua l’heure de la rencontre puis je l’abandonnai alors que minuit venait tout juste de passer à l’horloge.
Durant les deux jours suivants, l’inquiétude m’envahit. A l’entreprise, je ne pouvais sereinement me concentrer sur mon travail. Ce jeudi soir, l’inconnu prendrait le train depuis Strasbourg pour venir partager une expérience très coquine avec moi. Et c’était moi qui avais contribué à arranger tout cela. Inutile de vous dire que je dormis à peine la nuit qui précéda la fameuse rencontre.

Un peu avant le moment du rendez-vous, j’entrai par la grande porte de l’hôtel que l’inconnu avait choisi. Il était situé dans un endroit très proche de la gare et on pouvait compter trois étoiles de distinction. La femme qui se trouvait à l’accueil me lança un bonsoir à mon arrivée et me demanda ce que je désirais. Honteusement, je lui indiquai alors que j’attendais quelqu’un qui venait de loin et que je me permettrais de patienter dans les fauteuils à proximité de l’entrée. Elle me sourit puis retourna à son ordinateur.
A petit pas, je m’avançai alors dans la salle pour m’asseoir sur un long canapé. J’étais habillée d’une jupe bleue qui m’arrivait aux cuisses et d’un chemisier blanc porté par-dessous un manteau de velours chaud.
J’avais mis des bas légèrement foncés et des petites chaussures à talons également de couleur bleue. Je patientai en pianotant sur mon téléphone mais sans réellement y faire quoi que ce soit tellement j’étais troublée de me trouver dans un tel endroit en attente de me faire volontairement sodomiser par un homme que je ne connaissais pas.
Soudain, je le vis entrer. J’étais certaine que c’était lui ! Il était de taille moyenne, plutôt âgé par rapport à moi, environ 55 ans et avait un ventre plutôt bedonnant sous la chemise de son costume de bonne qualité. II avait les cheveux poivre et sel et portait une barbe assez bien entretenue. Il tirait une petite valise à sa suite. Je me figeai, incapable de bouger, mon téléphone en main.
Après avoir tourné la tête de droite à gauche, je le vis s’approcher de l’endroit où je me trouvais, l’expression gênée. Il se plaça devant moi et me salua :
-Mademoiselle, vous appelez-vous bien Claire ?
Je hochai la tête sans lui répondre de ma voix.
-Ah… Je croyais que vous n’alliez pas venir…
Je pâlis. Je ne m’attendais pas à rencontrer un homme de son style. Je l’avais espéré plus jeune mais je fis mine de ne pas m’en offusquer malgré la déconvenue certaine que je ressentais. En tout cas, pour sa part, il semblait enjoué de me voir présente au rendez-vous.
-Je suis très content de vous rencontrer et je tiens à vous remercier pour votre réponse l’autre soir.
-De… De rien ! balbutiais-je.
-Je .. Je vais faire le check-in de la chambre et je vous inviterai ensuite à manger un morceau, cela vous convient-il ?
-Oui, pas de souci ! me contentais-je de répondre innocemment. En m’esquissant un dernier sourire, il s’en alla chercher la clé de la chambre d’hôtel.

Après le repas que nous avions fait dans une pizzeria du quartier, durant lequel nous fîmes connaissance très brièvement, nous retournâmes à l’hôtel sans avoir aucunement parlé de l’expérience que nous nous apprêtions à faire.
Mais il m’avait annoncé s’appeler Hervé, avoir 57 ans et avoir deux s dans la vie.
Il me sourit avec tendresse lorsqu’il déverrouilla finalement la porte de la chambre 32 qu’il avait réservée pour la soirée. Une fois la porte ouverte, il me fit d’abord entrer. L’endroit était plutôt simple. Un grand lit se trouvait au centre de la pièce, face à une grande armoire en bois et une télévision en hauteur qui surmontait un bureau des plus banal. Dans un coin, une porte ouvrait sur une salle de bains que je ne voyais pas. Il me suivit et ferma la porte précautionneusement. Il enleva ensuite sa veste de costume.
-Claire, je dois quand même t’avouer que je te trouve très jolie ! Je ne m’attendais pas à rencontrer une femme comme toi pour faire ça. Comment cela se fait-il que tu ais accepté et que tu sois aussi sérieuse pour être venue ?
-Je… Je voulais essayer. C’est tout !
-C’est tout ? Vraiment ?
-Oui ! Je crois…
-De toutes façons, tu n’as pas besoin de te justifier ! Je suis suffisamment content de te savoir avec moi dans cette chambre pour ma première fois avec tout ça !
Il glissa sa valise devant moi tandis que je me tenais toujours debout sur la moquette sans savoir comment me comporter.
-Tu sais ? J’ai amené des choses ! Je ne savais pas trop… Il y a du gel et des instruments si tu as besoin.
Je baissai le regard et fixai sa valise ouverte. Il y avait quelques vêtements et un sac en plastique avec divers matériels plutôt coquins. Je le jugeai plutôt gentil d’avoir pensé à tout ça.
-Je pense que ça ira, lui répondis-je.
-Ah… Ah…OK.
Il laissa sa valise ouverte et se redressa en me détaillant du regard.
-Tu n’as plus envie, c’est ça ? Je comprends tu sais…
J’écarquillai les yeux et l’interrompit.
-Non, non, c’est pas ça ! On peut le faire…
-C’est vrai ? Je te sens gênée pourtant…
-C’est juste qu’on ne se connait pas bien et j’ai un peu peur.
-Je comprends, Claire ! Il se tût un moment puis reprit.
Tu veux que je te montre mon sexe pour te rassurer ? Ou alors, veux-tu prendre un moment de détendre dans la salle de bains avant qu’on le fasse ?
Je ne savais pas quoi lui répondre. Au lieu de ça, je reculai et enlevai mon manteau de velours puis je m’assis sur le bord du lit, presque face à lui. Il m’observa longuement sans rien dire.
-Tu veux que je te le montre alors ? répéta-t-il.
Je hochai timidement la tête.
Il glissa de quelques pas sur la moquette et se plaça face à moi, debout. Puis, en tremblant, il tira sa braguette vers le bas et enfourna la main dans son pantalon pour en extirper un pénis plutôt bien épais. Il le lâcha et me laissa le contempler. Il était à demi-dur et se tenait à l’horizontale, pointé dans ma direction. Son prépuce recouvrait partiellement son gland rose foncé. Ses poils pubiens étaient grisâtres et florissaient dans l’ouverture de son pantalon. Hervé tremblait sur ses jambes en me présentant son sexe. Je relevai le regard pour observer son expression. Il s’excusa.
-Je suis désolée, tu es plus jeune que ma propre fille. Je suis vraiment gêné.
-Je peux toucher ? lui demandai-je alors.
-Bien sûr !
Je levai alors ma main droite et attrapai entre mes doigts fins, la queue presque énorme qui se tenait devant moi. Je resserrai ma paume et l’agitai lentement. Il eut un sursaut en sentant mon contact sur lui. Il inspira bruyamment et se laissa faire. Il durcissait à peine plus dans mon étreinte mais son pénis ne gonflait pas.
-Tu peux sucer si tu veux, Claire ! J’aimerais vraiment bien d’ailleurs mais je ne veux pas te forcer… Je me suis lavé avant de venir te retrouver, elle est propre si cela te rassure.
Je le masturbai encore un moment, observant son gland rose apparaître et disparaitre entre mes doigts à chacun de mes mouvements. Puis je me décidai à me rapprocher et je vins le gouter du bout de mes lèvres, lui offrant quelques baisers pour en tester son goût et son odeur. Puis je le pris en bouche et commençai ma fellation amicale. La grosseur de son pénis me déchirait la mâchoire. Son sexe était épais et j’avais un mal fou à le mettre dans ma bouche. Je pris la résolution de ne pas forcer et je m’activai seulement sur le gland. Je salivai et léchai de l’intérieur de ma bouche l’extrémité de son sexe qui effectivement semblait parfaitement propre.
Il appuya sur ses reins des deux mains et tendit le bassin pour me laisser le sucer. Il respirait bruyamment à chacune de mes caresses buccales. Malgré son ventre imposant qui me gênait un peu la vue, je le voyais se mordiller les lèvres et fermer les yeux à se sentir ainsi choyé dans ma bouche de jeune fille.
-Claire, tu fais ça très bien, tu sais ! Je ne sais pas si c’est parce que tu es douée ou parce que je te trouve jolie, mais j’adore ce que tu me fais ! Je crois que ça n’a jamais été aussi bon !
Il me laissa le téter pendant cinq longues minutes dans le silence. Il m’observait puis jouait quelque fois de son bassin pour me faire bouffer sa queue qui ne voulait absolument pas se dresser davantage. Puis il me demanda.
-Tu me laisses fouiller sous ta robe, Claire ! Je rêve de faire ça depuis que je t’ai vu assise à la table du restaurant.
-Euh… oui, lui dis-je alors tout en m’écartant de lui.
Il se baissa rapidement devant moi et des deux mains, son sexe pointant toujours au travers de sa braguette, m’attrapa les deux genoux et écarta gentiment mes cuisses. Il enfourna sa tête directement sous ma jupe sans prendre le temps de soulever mon vêtement flottant. Je le sentis alors venir appuyer son nez et son visage directement sur ma culotte fine de couleur bleue ciel que je portais alors. Il appuya ses narines au niveau de ma fente étroite sur le tissu de mon sous-vêtement puis l’une de ses grosses mains remonta le long de ma cuisse gauche. Du bout du doigt, il écarta le bout de ma culotte qui le séparait de mon intimité et je sentis sa langue humide venir glisser entre mes lèvres brulantes. Il lécha avec une certaine envie ma petite chatte et je le laissai faire. Sa tête formait une grosse boule sous ma jupe. Je ne le voyais pas, mais je percevais l’excitation implacable qu’il me procurait en glissant sa langue à l’entrée de mon vagin. Il buvait ma mouille et des bruits de succion immondes emplirent la chambre silencieuse. J’avais honte de mon odeur que je percevais sous ma jupe, mais lui semblait adorer ma douce intimité.
-C’est merveilleux là-dessous… s’extasia-t-il. Ca sent bon la jeune femme.
Et il poursuivit son exploration longuement, enfonçant toujours plus sa longue langue bien humide dans mes entrailles profondes. Je mouillai sur son visage et il se masturbait le pénis d’une main alors que a tête était ensevelie sous ma propre jupe bleue. Il se dégagea une fois qu’il eut compris qu’il m’avait bien excitée.
-Tu es vraiment un trésor de délices, Claire ! Tu vas finir par me faire retrouver ma vigueur d’avant, me dit-il alors en m’indiquant son sexe de la main. Ma culotte toujours écartée sur le coté de ma chatte, je lui souris. Il jugea visiblement que mon expression était une invitation à poursuivre nos ébats, si bien qu’il commença à se dénuder devant moi. Il enleva d’abord sa chemise, ses chaussures puis ses chaussettes noires. Il détacha sa ceinture puis fit descendre son pantalon qu’il finit par délaisser dans un coin. Puis il s’exposa fièrement à moi.
Il était vraiment enveloppé. Son ventre légèrement poilu s’avançait devant lui jusqu’à presque venir dissimuler la base de son pénis et ses testicules pendantes. Ses cuisses étaient également épaisses et presque flasques. Il jugea de mon regard , je faisais légèrement la moue en découvrant sa masse de chair, bien qu’il ne fut pas vraiment obèse à proprement parler.
-J’aurais bien aimé te plaire, Claire, je suis désolée.
-Ça va, ça va, il n’y a pas de problème !
- Je ne suis pas vraiment un top model, hein ?
-Mais ça va, je te dis !
-Tu es gentille !
Je fixai son sexe qui pointait horizontalement devant moi. Je ressentais une certaine envie monter néanmoins en moi. Je ne savais pas si j’allais être capable d’accueillir sa grosse queue entre mes fesses mais j’étais parfaitement prête à accepter l’expérience, devions-nous même me préparer longuement à la pénétration anale !
-Avant qu’on essaye la sodomie, Claire, je voudrais encore prendre le temps de te voir me sucer. Tu es d’accord !
Il est vrai que j’aimais bien son sexe, c’est pourquoi j’acquiesçai à sa demande. Il m’esquissa un gros sourire qui en disait long sur son plaisir puis grimpa à genoux dans le lit, nu comme un ver, pour venir s’allonger sur le dos, la tête posée sur l’un des coussins. Il se plaça derrière moi puis passa ses deux mains sous sa nuque.
-Allez, suce que je te regarde !
-Oui !
Je pivotai alors sur moi-même, repliai mes genoux sous mes fesses après avoir pris un moment pour replacer correctement ma culotte d’une main, puis je me penchai sur lui avant de m’allonger à demi-cassée, le visage tout près de ses cuisses. Je posai ma main sur sa peau rugueuse et plongeai ma tête entre ses jambes pour chercher son gros sexe. Je l’enfournai dans ma bouche et le laissai regarder ma chevelure blonde s’agiter de haut en bas au bout de son ventre. Il avait vraiment bon gout et je me pris à saliver toujours plus sur son pénis pour ensuite avaler ce que j’avais dans la bouche imprégné de son goût délicieux. Je l’entendis gémir de plaisir tandis que sa queue glissait d’avant en arrière entre mes lèvres fines.
-Mets-toi entre mes jambes et aspire moi bien le bout du gland, Claire ! Pompe fort !
Je m’exécutai et passai mes deux jambes l’une à la suite de l’autre par-dessus son tibia. Il écarta les cuisses et me laissa me glisser au plus près de lui. Je voyais ses énormes testicules pendre entre ses jambes épaisses. Il se redressa légèrement contre le lit pour bien me voir. Je le suivis et repris sa longue tige de bonheur entre mes dents. Je lui offris alors une fellation qu’il jugea délectable car ses pupilles scintillaient en me voyant travailler pour lui. Je mordais doucement son gland épais en salivant dessus. Quelquefois même, je le bisoutais, mimant malgré moi une passion malsaine pour cet instrument qui allait me déchirer entre les fesses. Il avança l’une de ses mains pour caresser ma chevelure avec une passion qu’il n’avait encore jamais connu auparavant.
Soumise à une envie implacable, je finis finalement par me relever, me tenant à genoux entre ses cuisses.
-On peut baiser un petit peu, avant ? J’ai envie de soulager ma petite chatte de sa tension.
Il écarquilla les yeux, incrédule puis me souffla :
-D’accord, mais surtout ne me fais pas jouir. Je veux tout pour ce qu’on avait décidé de faire tous les deux.
-Oui !
Je me levai alors et sans aucune honte tellement l’excitation me manipulait, je passai mes mains sous ma jupe et je baissai ma culotte puis l’enlevai. Je remontai ma jupe jusqu’à venir lui présenter ma chatte serrée à la petite toison blonde puis je m’accroupis sur lui après l’avoir enjambé. Je pris son sexe entre mes doigts et le plaçai à l’entrée de mon vagin. Je me laissai alors descendre pour qu’il s’infiltre en moi. Je sentis son gland ouvrir sa voie. Comme je l’avais parié, la sensation que je ressentais en me faisant pénétrer par ce pénis désirable était étrange. Je n’avais jamais pris quelque chose d’aussi épais en moi, bien que la longueur ne soit pas en elle-même très imposante. Je sentais mes lèvres s’écarter et mon vagin s’agrandir tandis que le pénis progressait toujours plus dans mes entrailles. Je finis par m’asseoir sur ses cuisses, le laissant un moment fourré dans ma chatte.
-C’est mignon tout plein là-dedans !
Je lui souris, posai finalement mes paumes à plat sur son ventre velu et je commençai à remuer pour me faire baiser par cet homme que je connaissais à peine. Je fermai les yeux de bonheur à sentir sa grosse queue glisser en moi pour me faire du bien. Je caressai son ventre et me laissai aller au plaisir. Toute frêle de carrure comparé à Hervé, j’étais assise sur lui et je me massai l’intérieur de ma petite chatte avec son gros pénis tendu dans mon intérieur.
-Ouvre ton chemisier, montre ton soutien-gorge ! mugit-il en gémissant du plaisir.
Je levai alors mes mains puis ralentit mes mouvements sur lui tandis que je détachai un à un les boutons de ma chemise blanche. J’écartai ensuite les deux pans pour montrer ce qu’il m’avait demandé. Les bonnets de mon soutien-gorge bleu-ciel gonflaient mes deux seins bien ronds pour son plus grand plaisir. Il avança ses mains calleuses et m’attrapa la taille sous le chemisier avant de me caresser la peau en fixant ma poitrine avec envie.
-Maintenant bouge sur moi, Claire !
Je remuai les fesses pour me faire baiser. Sa queue entrait et sortait dans ma chatte étroite.
-Bouge, Claire, bouge !
Et je me sentis jouir à force de mouvements. Je mouillai avec précipitation et envie. Et je finis par me laisser m’écouler avec délectation sur lui. Ma cyprine brulante se noya dans ses poils pubiens et s’écoula le long de son sexe presque aussi tendu qu’un jeune homme. Je lui caressai le ventre avec une envie certaine tandis que des deux mains, il me secouait pour me baiser avec force et brutalité. Puis soudain, il stoppa.
-Maintenant, arrête, s’il te plait ! Tu vas me faire jouir sinon, me déclara-t-il alors tandis que je terminais mes mouvements entre ses jambes. Écarte-toi, et laisse-moi me reprendre un moment !
Je me soulevai puis extirpai sa queue humide de mes cuisses. Je basculai ensuite sur le côté et le laissai reprendre ses esprits tout en fixant sa queue énorme qui se recroquevillait légèrement devant moi.
-Maintenant, Claire, j’ai vraiment envie de te prendre par les fesses, finit-il par me révéler.
(la suite très bientôt)

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