Jacqueline 1

Jacqueline est une femme mâture.

Elle a 65 ans et malgré son âge certain est encore très séduisante.
Elle a de jolis seins, un superbe fessier, et un joli sourire.
Et j’ai toujours entendu dire qu’elle aimait beaucoup les rapports sexuels. D’ailleurs dans ma famille, que ce soit mon père, mes oncles, ou des proches je savais que depuis de nombreuses années elle avait toujours tenté de les séduire.

En fait Jacqueline est ma tante. Je me rappelle encore, alors que nous étions en vacances au bord de la mer, que ma mère avait fait une scène à mon père parce que Jacqueline s’était montrée un peu trop entreprenante!

J’appris au fil des années, mais ce n’étaient que des rumeurs, qu’elle s’était tapé un bon nombre d’hommes et qu’elle était un peu nymphomane.
Mais les gens jaloux trouvent tout de suite qu’une femme qui aime le sexe est une nymphomane et moi je trouvais ça plutôt bien.

J’ignore si son mari était au courant mais je pense que oui. Je crois qu’il était un cocu heureux.

Mes parents ne semblaient pas vraiment portés sur le sexe mais quand l’on est gamin on voit toujours ses parents sous un autre œil.

Alors que je devais avoir une douzaine d’années je découvrais, rangés sur le haut de l’armoire de la chambre de mes parents une cinquantaine de numéros de la revue « Union ». J’appris par la suite que ma tante Jacqueline et mon oncle Paul les avaient donné à mes parents.

C’était le début de mes émois sexuels et dès que j’avais un instant je parcourrai ce magazine dont certains mots m’étaient incompréhensibles.
Il était question de cunnilingus, de sodomie, de lesbiennes, de femme fontaine, de sado masochisme, etc…

Au fil de mes lectures j’en appris davantage sur le sexe et cela m’excitait de lire ces livres.

A la maison le sexe était tabou et la seule chose qui comptait était l’école et mes notes.

Vers l’âge de 14 ans (et même avant je crois) je me suis rendu compte que j’étais fétichiste.

En effet la seule chose qui m’attirait chez une femme était sa tenue vestimentaire. Je me suis vite rendu compte que j’adorai les femmes qui portaient des gilets ras du cou très BCBG.

Ne me demandez pas pourquoi car cela reste encore un mystère pour moi. Mais près de 35 après mon fétichisme n’a pas disparu.

Je pense juste qu’étant né dans le 16ème arrondissement de Paris, endroit où les femmes BCBG étaient nombreuses j’ai du avoir mon premier émoi sexuel avec une femme qui portait ce type de gilet. Et sans qu’elles s’en aperçoivent cela à changé mon existence à jamais.

Mais revenons à Jacqueline qui est l’objet de ce récit.

Tous les ans nous partions en vacances avec mes parents, mon oncle et ma tante accompagnés de leurs s.
Comme tous les gamins de mon âge je découvrais les plaisirs du sexe mais sans en profiter davantage. Ma tante me faisait vraiment envie, en maillot de bain, avec ses jolis seins, son splendide sourire, et ses belles fesses rebondies. Il faut dire que c’était une belle femme.

Les années ont passé et nous nous sommes un peu perdus de vue. Mais à chaque occasion qu’il m ‘était donnée de la rencontrer mon cœur battait la chamade. Bien sur elle vieillissait, comme moi, mais je la trouvai toujours aussi désirable.

Elle s’habillait un peu rétro et pas ment à son avantage mais elle me faisait bander comme une âne.

Ce n’est que cette année que je me suis décidé à passer à l’acte. Après tout je n’avais rien à craindre.

J’avais 47 ans et elle 65 ans et je savais qu’elle aimait le sexe sous toutes ses formes. Du moins je le pensais et ne souhaitais pas me tromper.


Je savais qu’elle et son mari Paul disposaient d’un appartement au bord de la mer en
Vendée et qu’ils ne le louaient que très peu. J’ai donc décidé de les contacter via leur fils pour qu’ils puissent me le louer pendant une quinzaine de jours.


Bien évidemment j’avais dans l’idée de pouvoir rencontrer Jacqueline seule et non pas mon oncle.
J’étais persuadé que c’était le moment pour la draguer un peu et je ne pensais pas qu’elle y serait opposée. Bien au contraire.

Après trois mails insistants mon cousin finalement me donna les coordonnées de ses parents pour que je les contacte mais m’avertit qu’ils étaient peu enclins à louer leur appartement.

Je décidai donc de tirer un trait sur ce projet car je ne voulais pas être désobligeant.

Néanmoins un matin je reçus une réponse de Jacqueline et Paul qui me disaient que le mieux serait que nous en parlions au téléphone ou bien chez eux.

Comme je ne travaillais pas je me suis dit que c’était l’occasion de les voir et me décidai à me rendre à leur domicile en pleine campagne.

Je les informai de ma décision et le lendemain après une heure et demi de route j’étais chez eux.

Ils possédaient un superbe pavillon, loin de tout commerce, et proche de la nature.

Je sonnai et Jacqueline vint m’ouvrir.

- Comment vas tu Benoît, ça fait un bail que l’on ne t’a pas vu?
- Oui en fait j’étais assez occupé mais cela me fait plaisir de venir déjeuner et de passer un moment avec vous.
- Moi aussi ça me fait très plaisir. Ton oncle vient de partir pour faire quelques courses mais entres donc!
- Merci Jacqueline. Tu es toujours aussi splendide.
- Merci à toi. Arrêtes tes compliments tu vas me faire rougir!

Elle me fit signe de la suivre.

Elle portait une jupe fine qui virevoltait au gré du vent et me laissait entrevoir des bas blancs très sensuels.
Son haut était seulement composé d’un gilet en angora rouge qu’elle avait pris soin de boutonner intégralement.

Mon attention avait tout de suite retenu son gilet en angora à tel point que je n’avais même pas pris la peine de constater que ses seins étaient libres de tout sous vêtement dessous.

Il était 11H30. C’était la première fois que je me rendais chez mon oncle et ma tante et elle prit le temps de me faire visiter leur demeure.


J’étais obnubilé par son pull et ses bas. Mais je me dis que ce n’était pas le moment de m’attarder car j’étais là avant tout pour pouvoir louer leur résidence secondaire.
Et il fallait que je me tienne bien!

- Veux tu boire quelque chose? me demanda-t-elle
- Oui tout ce que tu veux mais sans alcool s’il te plait.

Elle revint avec deux sodas et me dit que je pouvais m’installer confortablement et que son époux n’allait pas rentrer avant une bonne heure.

Nous étions assis tous les deux dans le salon à prendre notre boisson. J’étais sur le canapé et elle avait choisi un fauteuil en face de moi.

Comme elle ne portait rien sous son gilet cela me fit un effet immédiat.
De peur qu’elle s’en aperçoive je changeais de position car mon érection pouvait être bien visible.

Nous discutions de tout et de rien mais avions fini notre boisson. Je la félicitai sur sa tenue et lui avouai que j’adorai les femmes mûres qui portaient des gilets tels que le sien. Je lui dis juste qu’il était bien dommage que celui ci soit trop boutonné à mon goût.
Mais sur le ton de la plaisanterie.
Elle rit et me dit qu’elle allait me servir une autre boisson.


Deux minutes plus tard elle apparut avec un plateau contenant à nouveau deux sodas.
Mais qu’elle ne fut pas ma surprise en constatant qu’elle fait déboutonné quatre boutons de son gilet.
Cela me permettait d’apercevoir à peine ses seins mais c’était un spectacle exquis.

Elle s’assit à nouveau en face de moi et alors que nous discutions elle commença à relever sa petite jupe juste assez pour me laisser entrevoir ses bas blancs et son porte jarretelle.

J’étais aux anges. D'autant que Jacqueline s’essayait à toutes les poses. Je constatai avec un immense bonheur qu’elle avait enlevé sa culotte et que sa chatte était toute rasée.

- Alors ça te plait? me dit-elle
- Oui c’est parfait.
L e soda est excellent.
- Arrêtes Benoît, tu ne crois pas que j’ai vu ton manège depuis le début. Tu n’arrêtes pas de me reluquer. Mon corps te plait?
- Ma tante, c’est à dire que c’est assez difficile à avouer je dois te dire.
- Avouer quoi? Je ne te plais pas?
- Bien au contraire Jacqueline tu est hyper sexy. Et même terriblement sensuelle.
-Alors qu’attends tu?
J’étais désemparé. Oui qu’est ce que j’attendais?

Je lui ai demandé de venir s’asseoir à côté de moi. Elle ne se fit pas prier. Ses tétons pointaient à travers la douce laine.

- Tu sais que j’ai toujours eu envie de toi mais je ne voudrais pas faire de peine à Paul. Il est tellement gentil.
- Ne t’inquiètes pas Benoît, il adore que je prenne du plaisir et il sait que j’aime le sexe. Il ne m’en veut pas pour autant.
C’est l’amour de ma vie mais je ne peux pas me passer d’une bonne bite.

J’étais abasourdi. Mon oncle Paul était donc au courant des pratiques extra conjugales de son épouse?

- Tu sais Jacqueline je ne suis pas un surhomme au lit. La seule chose qui me fait bander est ton gilet et aussi ton corps. Tu sais je pourrais être ton fils.

- Je le sais bien Benoît mais dès que je t’ai vu et que j’ai constaté la façon dont tu me regardais j’ai tout de suite compris que tu allais être un bon amant.
- Tu veux que je sois ton amant?
- Ben oui, pourquoi tu es déçu?
- Bien au contraire. Je t’adore et comme je te l’ai dit j’apprécie énormément les femmes qui portent des gilets doux comme toi alors je serai honoré de pouvoir te satisfaire.

Jacqueline prit ma main tendrement et la glissa sous son pull pour que je puisse caresser ses seins d’une belle taille.
Ses tétons étaient très durs et ma main sous son gilet me procurait un réel bonheur.

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