Jacqueline 4

Mes aventures avec Jacqueline et Paul étaient nouvelles pour moi.

Certes Paul avait fini par me sodomiser et Jacqueline avait fait de son mieux pour me satisfaire mais j’étais avant tout hétéro et je souhaitai surtout voir ma tante Jacqueline seule.

J’avais enfin décidé de louer l’appartement de mon oncle et ma tante en Vendée pour une durée de trois semaines.
Après nos récents ébats ils avaient convenu conjointement que je ne paierai rien. Mais mon cul s’en rappelait tant mon oncle m’avait besogné fort.

Je me rendis donc début septembre à mon lieu de vacances pour passer trois semaines à la plage et à la pêche.

Mon oncle et ma tante devaient m’y attendre pour me fournir les clés et me donner la marche à suivre.

J’arrivai une journée plus tard car mon GPS m’avait fait des misères et j’étais parti en retard à cause de soucis personnels.

Je trouvai néanmoins leur demeure alors qu’il était 13H30.

Après cinq heures de route j’étais content d’être arrivé malgré un temps maussade et une fine pluie incessante.

Je m’approchai devant la maison et aperçu un véhicule immatriculé dans mon département et me dit que ce devait être la bonne destination.

J’actionnai activement la cloche car il n’y avait pas de sonnette.

Au bout de quelques instants ma tante Jacqueline apparut et m’ouvrit le portail.

Je rentrai mon coupé allemand dans son allée et accourrai pour lui faire la bise.

Il pleuvait peu mais suffisamment pour se mouiller. Jacqueline portait, comme à son habitude , un gilet en angora, bleu marine cette fois ci, agrémenté de superbes boutons perlés.
Je remarquai qu’ elle ne portait pas de soutien gorge.

Malgré tout il faisait chaud et elle ne portait qu’un mini string qui collait à son corps et laissait entrevoir sa chatte.

Elle me fit signe de décharger mes affaires et me fit visiter les lieux.


Son gilet bleu marine me faisait bander et son cul encore plus.

Mais où était mon oncle?

Quand j’étais parti, en ce début de mois de septembre, j’avais pris soin de vêtir un gilet ras du cou en cachemire bleu marine car je ne souhaitais pas souffrir du froid et ce matin là il ne faisait que huit degrés.

Certes c’était un gilet féminin mais depuis le temps que j’en portais cela m’importait peu. J’aimais bien cela et me disais que si cela pouvait intéresser un homme je n’y étais pas opposé. J’étais hétéro mais une expérience avec un inconnu ne me faisait pas peur nie au contraire/

- Bonjour Benoit. Comment vas tu?
- Très bien ma tante. Tu es splendide!
- Mmm tu es un vrai Don Juan!
- Sais- tu que ma couleur préférée est le bleu marine? D’ailleurs j’ai décidé de porter un gilet bleu marine pour toi et Paul et pour que cela vous plaise.
- Non je ne le savais pas! C’est une coïncidence ! mais si cela te plait j’en suis ravie! Tu sais Paul n’est plus là!
- Ah bon?
- Oui il a dû partir pour nourrir les chiens. Mais ne t’en fais pas.
Elle déposa un doux baiser sur mes lèvres ce qui me fit bander immédiatement.

- Rentrons, les voisins pourraient nous voir me dit elle.

Je sortis les affaires de ma voiture et me dis que nous allions déjeuner.

A peine avais-je sorti mes affaires que Jacqueline me prit par la taille et me roula cette fois une vraie pelle.
J’étais aux anges et ne tardai pas à déboutonner ses boutons perlés pour laisser apparaitre ses seins.

-Je ne voudrais pas te déranger me dit elle mais si je ne pouvais partir que dans deux jours ce serait bien.

J’étais habitué à vivre seul mais cette invitation m’apparaissait comme une réelle opportunité.

Il faut dire que la dernière fois que j’avais pu voir ma tante j’avais profité de sa chatte mais aussi de la grosse queue de son mari et bien que j’ai aimé ce n’était pas vraiment mon truc.


Je rentrai mes affaires et Jacqueline me montra ma chambre.

Il était assez tard pour déjeuner et je demandais à Jacqueline si elle avait préparé quelque chose.
Pour toute réponse elle m’embrassa et me dit que nous avions tout le temps.

- Veux tu prendre une pizza?
- Oui ce serait une bonne idée.

Elle prit son téléphone et commanda deux pizza maxi. J’avais très faim et elle aussi.

Notre interlocuteur nous informa qu’il fallait compter une trentaine de minutes.

Je ne pouvais détourner mon regard de ses seins et de son gilet et celà semblait lui plaire.
Nous échangeâmes un regard complice puis nous nous sommes embrassés tendrement.

J’ai fini de déboutonner son pull petit à petit. Ses boutons perlés ne résistaient pas à mes doigts et ses seins ne semblaient pas insensibles. De son côté elle m’embrassait comme une folle et commençai à déboutonner mon gilet. Nos langues se sont rapprochées et je n’ai pas tardé à caresser ses seins au travers de son pull si doux.
Puis ma langue s’est dirigée vers son clitoris et elle n’a pas tardé à jouir pour me remplir la bouche.

Quel plaisir d’avoir une femme fontaine avec moi!
Elle a joui de nombreuses fois et était en transe.
Puis elle a décidé de me faire une fellation.
- Je voudrais te remercier me dit elle.
Elle s’empara de ma queue et m’administra une fellation exceptionnelle.

Je n’avais pas encore joui quand la sonnette se mit à retentir.


Je ne portais que mon gilet mais je vins ouvrir.

C’était le livreur de pizza . Il s’étonna de ma tenue et me demanda le prix à payer.
C’est alors que Jacqueline me demanda s’il pouvait entrer.

Je lui demandai d’entrer et s’il voulait boire quelque chose.

Il me demanda un soda. Jacqueline était super excitée et semblait vouloir du sexe.

Nous étions tous les deux presque nus et le livreur de pizzas n’en croyait pas ses yeux.


Alors qu’il allait partir je lui ait demandé si ça l’intéressait de gagner 50 euros s’il baisait ma tante.

Il était étonné. C’était un jeune homme d’une vingtaine d’année, imberbe et très sportif.

Jacqueline s’approcha de lui. Elle avait mis ses portes jarretelles et bas blancs et son gilet bleu marine.
Je savais que quand elle portait cette tenue elle était chaude comme de la braise.

Elle s’approcha du jeune homme, lui dégraffa sa combinaison et sorti son sexe déjà dur.

Elle l’engouffra dans sa bouche et lui administra une fellation magistrale.
Je n’étais pas en reste et entrepris de lui lécher la chatte et l’anus. Elle ne tarda pas à jouir et me déverser de longs jets dans ma bouche offerte.
Le livreur jouit dans sa bouche et Jacqueline avala toute sa semence.

Il se rhabilla et prit les 50 euros promis sans se faire prier.

Puis il prit congé.

Nous avons réchauffé nos pizzas au micro onde et avons commencé à déjeuner.

Jacqueline m’excitait énormément. Ses bas blancs et son pull avaient sur moi un effet indescriptible.

Nous avons terminé notre pizza et Jacqueline m’apporta un café.

- Ca ne te dérange pas que je reste deux jours? me dit elle
- Non tu pourrais rester huit jours chérie je n’en serai que plus heureux.
- Ah bon? je pensais que tu voulais rester seul?
- Je préfère rester seul je t’avoue mais si c’est juste avec toi et sans ton mari je pourrai rester trois semaines sans souci avec toi!

-C’est gentil. Je t’adore, chéri.

-C’est moi qui t’adore. Tu es formidable. Tu es la femme de ma vie. Une belle salope que j’adore sans vouloir t’offenser.
- Tu ne m’offenses pas du tout je suis effectivement une belle salope et je t’aime.

Elle s’approcha de moi et ses lèvres ne firent qu’unes avec les miennes. Ses seins étaient très durs sous son pull.

- Mais que vas dire ton mari?
- Il est au courant et sa seule condition est que plus je resterai avec toi plus il pourra t’enculer.

- Alors c’est parfait chérie, restes avec moi le plus longtemps possible! Même si ça doit me faire mal au cul plus tard chérie.
J’aime bien sa queue et j’adore te baiser. Pour toute réponse je reçus sa langue douce dans ma bouche et sa main sur ma bite.


Je n’aimais pas trop me faire enculer mais je me disais que c’était l’occasion de pouvoir baiser sa femme.

Et comme elle était trop bonne j’étais prêt à tout. Et après tout je pouvais profiter de ses charmes le plus longtemps possible puis ensuite me faire plus discret pour éviter de me faire sodomiser par Paul. Ce n’était pas très correct mais bon…
Je préférais tout de même baiser sa femme que me faire enculer.

Elle déboutonna son pull doucement, enleva son string et me présenta son anus ouvert.

- Vas y chéri encules moi bien je serai avec toi pour trois semaines et tu t’en rappelleras toujours!

Et sur ces bonnes paroles elle m’embrassa tendrement ouvra son gilet et me dévoila ses jolis seins.

- Tu sais Jacqueline je préférerai d’abord te faire jouir avec ma bouche et ma queue dans ta chatte.
Je ne te l’ai jamais dit mais j’ai toujours apprécié les femmes fontaine comme toi.
C’est terriblement sexy de te voir jouir que je pourrais passer des heures à te regarder déverser ton jus.

Je lui pris la main et nous nous dirigeâmes dans ma chambre.

Elle me faisait plein de bisous et me caressait les seins et les fesses. Elle ne tarda pas à me masturber doucement tout en me triturant les tétons au travers de mon pull doux.
Je n’étais pas en reste et lui malaxai les fesses et les seins. Sa tenue m’excitait au plus haut point.

Je lui demandai de s’allonger sur le dos et d’écarter ses jambes. Elle ne se fit pas prier.
Ma tête s’enfouit dans sa grotte humide et commença à lécher son clito déjà dur.
A chacun de me coups de langue son bassin poussait dans ma direction comme pour me signifier d’aller encore plus profond avec ma langue.
Je me décidai à introduire mon majeur dans sa chatte pour trouver son point G. Ce ne fut pas très difficile et je sentais qu’elle allait venir. Je continuai à la branler de plus en plus rapidement et me décidai à lui enfoncer un doigt dans l’anus.
Celui ci s’ouvrit immédiatement. Je la branlai avec force quand de longs jets de cyprine sortirent de sa chatte pour mon plus grand bonheur. Elle jouissait abondamment et ne s’arrêtait pas.

C’est à ce moment que je décidai de lui prendre la chatte. Je rentrai sans difficulté tant elle était mouillée.
Ma queue allait et venait maintenant dans son gouffre humide et Jacqueline se tordait de plaisir.

J’étais tellement excité que je lui dit que j’allais jouir en elle. Son corps se cambra instantanément et elle mis ses jambes autour de mes reins pour m’enserrer encore davantage.
Je jouis en elle et sentis que de gros jets aspergeaient ma queue, preuve de notre jouissance simultanée.

Je me suis affalé sur elle et nos bouches se sont rapprochées pour nous offrir un superbe baiser.

Nous étions très heureux.

Nous sommes allés nous doucher ensemble puis nous sommes habillés.

Jacqueline toujours avec son gilet bleu marine tout doux, et une mini jupe. Et moi avec mon gilet bleu en cachemire et mon jean. Mais nous avions décidé de ne pas mettre de sous vêtements.

La suite de la journée s’annonçait sous les meilleurs hospices.

Elle prit deux serviettes de plage et me demanda de l’accompagner.
Elle s’installa à bord de sa Mercedès et je me mis à la place du passager.

- Où va-t-on Jacqueline?
- Tu verras bien c’est une surprise. Tu vas adorer.

Elle m’excitait à nouveau et je bandais déjà.
Ma main se glissa sous sa jupe et je caressai sa chatte déjà humide.
Mais comment pouvait elle faire? Elle était toujours en chaleur!

- Ne me fais pas venir tout de suite Benoit, tu en auras l’occasion très bientôt.

Je retirai ma main de sa chatte humide et portai mes doigts à sa bouche.
Elle les lécha avec attention et éclata de rire.

- C’est moi qui te fais tant rire? lui dis je.
- Oui, un peu. Je m’aperçois que tu n’es pas trop libertin et qu’un rien t’excite mais ça me plait.
Tu es un chou.


Au bout d’une dizaine de kilomètres elle prit un chemin qu’on ne pouvait pas vraiment distinguer de la route à moins de connaître bien l’endroit et roula encore environ un kilomètre.

Nous nous arrêtâmes sur un parking sur lequel étaient garées une vingtaine de voitures.

- Nous sommes arrivés me dit-elle.

Elle arrêta le moteur et me fit signe de descendre.
Elle prit dans le coffre nos serviettes de bain ainsi que deux nattes pour la plage.

- Nous allons prendre un bain de soleil. Tu es tout blanc Benoit.

Nous avons marché un peu. Je voyais bien la mer et la plage mais Jacqueline se dirigeait un peu plus loin et me faisait marcher 800 mètres de plus.

Enfin nous arrivâmes à la plage. La mer se trouvait à deux cent mètres mais ma tante s’arrêta dans les dunes et déplia sa natte de plage.
Elle retira son gilet , sa jupe, ses chaussures et s’allongea, nue, sur la natte.

Je la regardai, interloqué. Elle était sur le dos, confortablement installée, et complètement nue.

- Mets toi à l’aise Chéri.
- Mais tu es nue?? Je ne vais pas me mettre nu à la plage, c’est interdit!
- Ne t’inquiètes pas Chéri, nous sommes sur une plage naturiste et c’est autorisé. Pourquoi crois tu que nous ayons fait un long détour? Ici nous serons tranquilles.

Ses paroles me rassurèrent et j’enlevai tous mes vêtements.

Je dépliai la natte et l’installai à côté de Jacqueline.

J’étais totalement nu mais pas très à mon aise. Jacqueline ne tarda pas à me rassurer.

- Tu vois ce n’est pas bien compliqué! Elle riait.

Elle approcha son visage du mien et m’embrassa tendrement. Elle prit ma main et la dirigea vers sa chatte humide me faisant signe que je la masturbe.

Je ne me fis pas prier et constatai qu’effectivement sa vulve était gonflée de plaisir.

En comparant nos corps je m’aperçus qu’elle devait être habituée de ce genre de plage car elle n’avait aucune marque de maillot.

Nous nous embrassions et je lui caressai la chatte lorsque j’entendis des pas proches de nous.

Je sursautai. Deux hommes se tenaient à une dizaine de mètres de nous et se masturbaient.

Ce n’étaient certes pas des Apollons mais leur verge avait une taille correcte. Je fis signe à Jacqueline qui s’était assoupie que nous étions épiés.

Pour toute réponse elle m’embrassa et prit mon sexe dans sa main pour me branler. Je ne tardai pas à durcir.
Elle me prit en bouche et me fit une fellation exceptionnelle. Je jouis rapidement dans sa bouche et elle avala tout mon sperme sans en perdre une goûte.

Les deux hommes s’étaient rapprochés.

Ils vinrent à hauteur de Jacqueline. L’un s’approcha et lui présenta son membre à sucer.
Elle l’engloutit sans se poser de question. Pendant ce temps l’autre type lui léchait la chatte.

Il enfila un préservatif et introduisit son sexe dans sa chatte. Elle continuait à sucer tout en se faisant besogner.

Elle demanda à l’homme de lui prendre le cul pendant que l’autre lui prenait le vagin.

Il enfila lui aussi un préservatif et sa queue vint se coller contre sa corolle. Il l’empala d’un coup sec et ma tante eut un soubresaut.
Puis il la lima pendant un bon moment. L’autre homme lui ramonait la chatte et c’était la première fois que je voyais réellement une double pénétration!

Jacqueline était parcourue de spasmes et semblait y prendre extrêmement de plaisir. Elle fit signe aux deux hommes de se dégager et de venir jouir sur son visage.

Ils ne se firent pas prier et alors qu’elle se branlait la chatte et jouissait les deux hommes jouirent en même temps sur son visage. Aspergeant sa bouche, ses yeux, son nez.

Ils partirent sans ne rien dire.

Jacqueline s’essuya le visage et me sourit.

J’étais très étonné mais aussi super excité.

- Je suis une salope tu dois te dire. Mais j’aime juste jouir et donner du plaisir.
J’espère que tu as apprécié et que tu n’es pas jaloux.

- En fait je suis un peu jaloux mais je dois t’avouer que tu m’as beaucoup excité.


Il devait maintenant être prêt de 19h00 et je commençais à avoir froid. Ma tante également.

Nous avons décidé de remettre chacun de nous nos gilets sans toutefois les boutonner.
Nous nous sommes caressés et avons ri. Elle me plaisait vraiment beaucoup.

Jacqueline semblait avoir eu son compte pour la journée et moi aussi.

Nous nous sommes assoupis sur le ventre chacun de notre côté.

Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais un bruit me réveilla. En fait ce n’était pas un bruit mais une caresse. Une main était en train de me caresser les fesses et un doigt tentait de s’introduire dans mon anus.

Je me laissais faire. J’adorais ma tante et me dis que Jacqueline s’était réveillée et voulait « jouer ».

Les caresses étaient très douces et les mains de ma tante étaient divines.

J’écartais un peu les fesses et les jambes pour permettre une belle introduction anale.

Puis j’entendis des bruits et retournai la tête. Ma tante était en train de sucer deux inconnus.
Je me retournai et vis un homme d’âge mûr qui me regardait et me souriait. Il se branlait et son doigt tentait de s’insérer dans mon anus.

Je n’eus pas le temps de rien dire que son visage s’approcha du mien et qu’il me roula une pelle.
Son doigt était désormais au fond de mon anus. Il entreprit d’ailleurs d’en mettre un second.
Bizarrement j’appréciai cela.

Il présenta sa queue devant ma bouche mais je refusai.

- Pour qui te prends tu? lui dis-je
- Tu sais ici nous avons des codes et quand un homme est allongé sur le ventre cela signifie qu’il souhaite se faire enculer. Et quand j’ai vu ton joli gilet en cachemire je me suis dit que tu devais être une bonne salope.
- Je me trompe?
- Euh non j’aime ça aussi mais je n’ai pas l’habitude.
- Ne t’inquiètes pas tu n’as rien à craindre.
- Suces moi.

Je dirigeai ma bouche vers son sexe et gobai son gland. Il engouffra tout son sexe dans ma bouche et m’ordonna de le sucer.

- Tu es une bonne pute, tu suces très bien! Tu vas aimer que je t’encules. Avec ton gilet féminin tu m’excites énormément et comme ma femme n’aime pas la sodomie je vais te donner tout ce dont je suis capable.

Il me prit par les hanches et s’enfonça d’un seul coup dans mon anus. Ce salop n’avait même pas pris la peine de me lubrifier et était entré d’un seul coup!
Il souleva mon pull et commença à me limer avec sa grosse bite. J’avais mal mais j’étais aux anges.

Il me fessait à chaque coup de boutoir et mon cul semblait apprécier.

- Tu es une vraie bonne salope!

Mon cul était endolori mais jamais je n’avais éprouvé autant de plaisir.


Il m’annonça qu’il allait jouir. Il sortit sa queue de mon cul et me demanda d’ouvrir en grand ma bouche.
Je m’exécutai et reçu de nombreux jets de spermes. J’avalai la majorité.

Il me félicita et partit.

De son côté ma tante Jacqueline en avait fini et avait bien joui.

- Alors ça t’a plu me dit elle?
- Oui je n’avais encore jamais aussi bandé.
- Tu verras je te ferai bander bien davantage.
- Et toi? lui demandai je
- C’étaient de petits joueurs. Je te préfère mille fois mon chéri!


A suivre….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!