Leslie Vc06

Leslie VC06 – Vacance en camping-car
Le lendemain soir au bord du lac

La deuxième nuit, sur le bord du lac, alors que nous étions couchées depuis un certain temps, le halo de phares éclaira l’intérieur de notre habitacle
Je pensais à notre vie future en Camargue, entre ma sœur, mon ancienne et ma nouvelle amante, Laure ayant déjà franchi son premier cycle de sommeil quand un véhicule s’arrêta non loin de notre véhicule.
Des voix se firent entendre et des portières claquèrent.
« Et voilà, encore des fêtards qui viennent copuler au bord du lac. » Pensais-je.
Il est évident que là où nous étions garées, l’endroit était suffisamment isolé pour des ébats érotiques et nocturnes.

En prêtant l’oreille, je m’aperçus toutefois que la conversation était d’un genre particulier et dans le ton que j’avais présumé, en effet, un gars parlait à une fille et ils devaient s’embrasser, car la conversation était entrecoupée de bruits mouillés et ne laissaient pas place au doute.
Je me mis à la fenêtre et vis, sous le halo de la pleine lune, une jeune fille d’à peine vingt ans, toute frêle et mignonne comme un cœur, blonde comme les blés, habillée d’un débardeur et d’une petite jupe courte, un homme d’une cinquantaine d’années la serrait dans ses bras en l’embrassant et en lui caressant le corps, près d’une voiture décapotable.
A un moment donné, l’homme s’exprima en disant :
- Ahhh, petite salope, tu m’as bien allumé ce soir, j’espère que tu vas assumer !
- T’inquiètes vieux cochon, lui dit la fille, j’espère que tu en as une grosse et que tu vas assurer !
« Waouh, je crois que ça va être chaud et que je vais avoir du spectacle. » Me dis-je.
L’homme avait passé sa main sous la jupe de la fille et devait la doigter copieusement, car aux gémissements qu’elle produisait cela ne faisait aucun doute…

De fait, un « viens, j’en peux plus » retentit dans la nuit et comme pour se faire bien comprendre, la jeune fille posa ses mains sur le capot en se cambrant au maximum, s’offrant ainsi impudiquement au quinquagénaire.


L’homme se mit aussitôt derrière la jeune fille haletante et lui retroussa la jupe sur ses reins, offrant à la lune son cul nul, la petite salope ne portait pas de culotte.
Le pantalon de l’homme fut dans la seconde suivante aux chevilles de l’homme, qui montrait déjà une belle érection, mais avec un membre qui allait au-delà des espérances de la jeune fille.

Lorsque l’homme donna un coup de reins, j’entendis distinctement un :
- Han !
Suivi aussitôt par un :
- Waouh !
L’homme venait de pendre la jeune fille et devait être enfoncé jusqu’aux couilles dans cette petite chatte de salope.
L’homme la prit ainsi dans une cadence rapide et soutenue, lui arrachant à chaque pénétration des soupirs et des :
- Ahhh, mon salaud, t’es monté comme un âne, tu vas m’éclater la chatte !

À côté, dans le lit, Laure remua.
- Tu es réveillée ? Tu entends ? Murmurais-je à Laure.
- Tu parles, je ne suis pas sourde, nous avons choisi le coin des ébats nocturnes.
- Tu veux venir regarder ?
- J’ai surtout envie de dormir, la nuit dernière m’a vidé.

J’ai repris mon voyeurisme alors que l’affaire se développait.
- Prends-moi, oui, comme ça ! Psalmodiait la jeune fille.
- Tu croyais quoi tout à l’heure en m’aguichant cul nu !
- Ohhh, par-derrière comme ça, je la sens ta grosse queue, ajouta la jeune fille.
- T’es jeune, mais tu es déjà un sacrés salope, éructa l’homme.
L’homme se déchainait et les bruits des chairs qui s’entrechoquent étaient la preuve qu’il ne devait pas y aller doucement.
Soudain le « oui » féminin qui est la marque la plus classique de l’orgasme déchira la nuit, faisant sursauter Laure dans le lit, la faisant dire ;
- Qu’il l’encule et qu’ils se tirent, j’en ai marre.
- Ils n’en ont pas pour longtemps, dis-je à Laure, rendors-toi.
- T’as pas intérêt de me sauter dessus après, tu te branleras si tu as des envies…

Le vœu de Laure fut exhausser quand dans la nuit la fille dit ;
Lèche-moi bien et encule-moi ensuite !
Laure s’aperçut que je me branlais en regardant par la fenêtre et dit dans un soupir emplit de sommeil :
- Alors toi !
Les ébats voisins m’excitaient et j’avoue que dans l’état où j’étais je me serais volontiers joins à eux, d’autant qu’ils n’allaient pas en mollissant, bien au contraire.

- Oui, encore, à fond, tu vas me déchirer mais je la veux toute, criait la fille.
L’homme haletait, se donnait totalement et plus il s’activait, plus je me branlais avec énergie, quand le couple atteignit enfin l’orgasme et exprima bruyamment son plaisir, je gémis aussi, presque simultanément en jouissant dans ma main.
Puis le bruit de portières claquant se fit entendre, le moteur du cabriolet rugit et le bruit s’estompa dans la nuit, Laure dormait…

Le lendemain matin, Laure était de bonne humeur, mais la nuit l’avait remué, elle avait cruellement envie de sexe, elle me sauta dessus pour faire l’amour avant de reprendre notre périple, en me disant :
- Je ne sais pas toi, mais moi, je baiserais bien ces deux-là m’ont mis le feu au corps.
- Moi aussi, dis-je.
Nous remémorant les halètements de l’homme, les miaulements de la fille et ce « encule-moi », avant de s’endormir, nous avons fait l’amour…
Puis après avoir pris notre petit déjeuner nous sommes reparties, tranquillement, heureuses d’être ensemble et de profiter de la vie.

Nous roulions sur des petites routes nous ramenant à Paris, préférant ces routes de campagne si pittoresques à l’autoroute, il allait être midi et nous avons décidé de faire une halte déjeuner dans un petit restaurant sympa.
Le hasard nous conduisit vers un restaurant dans une petite ville près de Dijon, ça allait nous changer du déjeuner dans le camping-car et renouer avec la vie trépidante.

À dire vrai, l’établissement en question n’avait rien d’un trois étoiles, juste un petit côté sympa et pittoresque d’un restaurant de campagne, avec une terrasse ombragée et une carte qui paraissait alléchante.
Le patron, nous a accueillis avec un large sourire en nous promettant que nous allions nous régaler, il ne put s’empêcher d’ajouter :
- Et deux jolies filles comme vous dans mon établissement, vous allez faire un malheur…
Le déjeuner fut à la hauteur des promesses du patron, et le vin rosé que nous avions commandé était superbe et bien frais, si bien que nous étions un peu gaies à la fin du repas.

Laure riait de bon cœur et les regards se tournaient vers nous, nous étions bien et n’avions nulle envie de reprendre la route, de plus légèrement guillerettes cela pouvait être un problème pour conduire.

A un moment donné, le patron vint vers nous avec deux verres de marc de Bourgogne, et en les posant devant nous, il nous dit :
- C’est offert par les deux jeunes hommes du bar !
Tournant ensemble la tête nous avons vus les deux mecs qui nous firent un sourire.
Je dis aussitôt à Laure :
- Deux mecs pour une sieste crapuleuse, ça te tente ?
- Je ne dirais pas non, mais pas dans le camping-car, dit Laure.
- C’est un hôtel restaurant, donc il doit y avoir des chambres !
- Alors qu’est-ce que tu ferais, toi ? Tu monterais avec eux ou pas ? Me demanda Laure
- Ben tiens, évidemment, une telle occasion, on ne va pas la laisser passer. Ces deux mecs, sont mignons et quelque chose me dit qu’ils assurent.
- Alors on est parties pour un one-shoot ? Dit Laure.
- Pourquoi pas, nous avons le temps et tu fais ce que tu veux mais moi, là, j’ai envie d’une queue et avec un peu de chance ils sont bien montés !
- Tu prends lequel ? Moi, je prendrais bien le brun, il a…
Nous n’avons pas eue le temps de décider qui irait avec qui, les deux mecs étaient déjà là près de notre table.

Le brun prit la parole pour dire :
- Alors une après-midi à l’ombre dans une chambre, ça vous tente ?
- Faut voir, dit Laure.
- Le patron nous met une chambre avec deux lits jumeaux à disposition, alors vous montez avec nous ?
Laure se leva, et prit le brun par la main et l’entraîna sans façon vers l’escalier en disant :
- Je te suis…
Je les suivis entrainant le blond, sans mot dire, le bras du blond autour de ma taille, et j’entendis le patron dire en riant :
- Et surtout soyez sages !

A suivre…

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