Leslie Vc08

Leslie VC08 – Vacance en camping-car
Sur la route du retour, une étape, suite

Avec Laure, allongées sur nos lits nous nous sommes reposées, nous conversions tranquillement sur l’après-midi en attendant la soirée…
- Qu’est qu’on a dérouillé, dit Laure en se caressant la rondelle.
- Tu peux le dire, dis-je en constatant mon anus encore entrouvert.
- Putain, Quentin avec son sexe large m’a bien ramoné.
- Celui du Rudy n’est pas mal non plus, dis-je.
- Oui, mais ce soir ils vont déguster à leur tour, leur petits culs vierge vont se souvenir des deux salopes que nous sommes.
- T’inquiètes, je suis en pleine forme.
- Tout à l’heure j’irais chercher mon gode-ceinture, dit Laure.
- En voilà une bonne idée…
Tout en parlant je voyais Laure se caresser, puis s’attaquant à son bouton elle s’activa et peu de temps plus tard, dans un hurlement de jouissance, elle fit jaillir un flot de mouille inondant son ventre.
Putain, je suis une véritable fontaine, dit Laure.

Le soir, après avoir diné, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans la chambre
- Toi, tu me plais, j’aime les filles comme toi, dit Rudy à Laure.
- Allez, tous à poil, dit Quentin, et que la baise commence.
Une fois tous les quatre nus, Quentin nous dit :
- Maintenant, vous nous sucez !
- D’accord dit Laure, mais comme on aime la pluralité, vous nous avez enculé cet après-midi, ce soir ce sera notre tour de vous enculer !
- Humm, dit Rudy, je n’ai jamais été enculé et je ne suis pas certain d’en avoir très envie.
- Moi c’est pareil, dit Quentin, mais je veux bien essayer !
- Détendez-vous mes chéris, dit Lauren on a toute la nuit et vous verrez ça va bien se passer.
- Oui mais quand même, dit Rudy pour se défendre.
- T’aime enculer, alors ainsi tu sauras ce que ça fait.

Nous nous sommes mis à nous sucer, changeant souvent de partenaire, les mecs me sucèrent avant de sucer mutuellement, les doigts fouillaient les orifices et le gémissements se faisaient de plus en plus fréquents, dans la chambre la tension montait et nous allions bientôt basculer dans l’orgie…
Rudy se mit sur un des lits avec Laure, me laissant avec Quentin sur l’autre lit et quand le gland de Rudy trouva l’orifice de Laure, celle-ci laissa échapper un cri, plus d’appréhension que de douleur, car elle avait été magnifiquement préparée.


Le chibre, maintenant profondément enfoncé dans son vagin, Rudy lui demanda :
- C’est bon, coquine, de se faire baiser.
Laure ne dit rien, car ses gémissements répondaient pour elle, Rudy entama une baise profonde, sans hâte mais terriblement virile. Laure se laissait baiser les cuisses grandes ouvertes, Rudy semblait apprécier, il se mit à genoux, plaça les pieds de sa partenaire sur ses épaules et poursuivit son labourage, imprimant au bassin de Laure un mouvement ample de bas en haut qui lui arracha des gémissements à Laure.
Rudy lui dit :
- Putain qu’est-ce que tu mouilles, une vraie fontaine !

Après m’avoir bien enculé, Quentin après de longs préliminaires de préparation, m’offrit ses reins en me suppliant de faire doucement. Après avoir enduit copieusement sa rondelle et mon sexe de lubrifiant, je le mis sur le dos, ses jambes sur mes épaules afin de voir son visage lors de la pénétration.
La pénétration ne fut pas aisée, l’anus de Quentin était si serré que je dus mis reprendre à plusieurs fois, constatant à chaque tentative un rictus sur le visage de mon partenaire. Mais enfin son rectum céda et mon gland passa la barrière de son muscle intime.
- Waouh, s’exclama Quentin, c’est démoniaque.
Ma main caressa la joue de mon amant, comme pour le rassurer et le regardant droit dans les yeux, je lui fis comprendre que j’allais complètement pénétrer en lui…
Il me lança un regard de panique, amis d’un coup de reins mon membre s’enfonça en lui jusqu’aux couilles.
- Ahhh, se fit entendre.
Je ne bougeais plus, le laissant s’habi à cette intrusion, puis voyant qu’il se détendait, je l’ai enculé à grands coups de reins. Il se branlait et jouit sur soin ventre, tandis que je me répandais en lui…
Sans bouger je le regardais, alors il me dit ;
- Je n’aurais jamais cru que tu me ferais jouir comme ça, c’est trop bon !
- Et moi je n’aurais jamais cru que tu serais capable de m’accueillir !
- T’es vraiment une belle salope, répliqua Quentin.


Pour Laure, maintenant la fouille intime se transformait de plus en plus en coups de boutoir puissant, ses jambes s’écartèrent de plus en plus largement, ses pieds montèrent de plus en plus haut et les ongles plantés dans les fesses de son baiseur, montraient à quel point le coït était devenu intense, presque sauvage.
Le souffle rauque, il la pilonnait, à ses râles et ses grognements de plus en plus profonds et répétés, Laure comprit qu’il allait éjaculer, alors se laissant envahir par l’orgasme, elle hurla comme une forcenée.
Rudy bascula sur le côté, repu…

Peu de temps après, alors que Rudy reposait calmement, Laure se leva et s’harnacha de son gode ceinture, puis près de Rudy, elle lui prépara l’anus avec son doigt enduit de gel l’enduisant copieusement et ensuite l’enfonçant en lui à petits coups précis, lui provoquant un râle profond.
Rudy reposait sur le côté au bord du lit, pratiquement dans la position du fœtus, alors se plaçant derrière lui, elle approcha le gland du god de l’anus de Rudy, et quand l’objet fut en contact avec la rondelle de Rudy, celui-ci frémit en disant :
- Sois douce, ma chérie !
Maure prenant appui sur la hanche de son partenaire, poussa le gode dans le sphincter de Rudy, qui s’ouvrit pour accueillir le gland.
Elle poussa et entra l’objet en entier dans le fondement de son amant, le faisant gémir et dire :
- Ohhh, il y a si longtemps…
Rudy n’était pas vierge du cul, il s’était déjà fait sodomiser, c’est pour cela que Laure n’avait eue aucun mal à le pénétrer.
- Et bien mon cochon, dit Laure, tu nous cachais bien ton secret…
Et sans plus attendre elle le ramona avec fougue et vigueur.

Les halètements et les gémissements des deux mâles se faisant sodomiser emplirent la chambre, il prenait leur pied et jouirent en se répandant sur les draps des lits
Avec Laure nous avons changé d’amants, nous les avons sodomisé chacune deux fois, puis se furent leur tour de nous prendre par le cul, la sodomie était reine et au milieu de la nuit nos anus étaient grands ouverts.

Nous avons arrêté de nous enculer, car nos anus irrités devenaient sensibles et le plaisir commençait à se transformer en souffrance, alors nous avons reposé nous suçant, nous caressant et nous doigtant tendrement...

- Quelle nuit, hein, vous vous en souviendrez de la Bourgogne, lança Quentin.
- Certainement autant que vous de votre première sodomie ! Dit Laure.
Ah oui, nous allions nous en souvenir de nos vacances en camping-car, en m’endormant blottie contre Laure et Quentin dans mon dos, je me remémorais toutes les nuits de notre périple, ainsi que les étapes de jour, de belles vacances, à renouveler dès que possible…

Le lendemain était le dernier jour, il nous fallait rentrer pour reprendre nos jobs respectifs, nous serions bien restées encore un peu et nous faire baiser comme des chiennes par les rencontres fortuites de notre voyage, mais tout à une fin…
Nous nous sommes parties sans dire au revoir à nos amants de la veille, nous rigolions avec Laure en imaginant nos deux jeunes hommes se réveillant le cul douloureux par les sodomies infligées, et alors que nous étions loin, nos petits culs, nous rappelaient que, nous aussi nous avions dégusté.

Alors pour nous faire plaisir et déconnées pour la fin de nos vacances, avec Laure, nous avons décidé de rentrer à poil dans le camping-car, faire la route à poil était risqué, mais le risque était bien en deçà du plaisir procuré, et j’avoue que ce fut un moment délicieux.
Durant les kilomètres nous rapprochant de Paris, Laure me dit :
- Putain, qu’est-ce qu’on a pris durant ces quelques jours.
- Mais on a aussi donné dis-je.
- Mon cul s’en souviendras longtemps, d’ailleurs il est encore ouvert, me dit-elle en caressant sa rondelle.
- Le mien aussi certainement, dis-je, mais comme c’est bon de se faire enculer !

Nous sommes rentrées dans nos habits à la hauteur de Fontainebleau, où profitant d’une aire de repos nous nous sommes rhabillées sous les yeux ébahis de certains badauds…

A suivre…

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