Ma Coloc De Prépa 2

Ma coloc de Prépa, la suite

Dans l’épisode précédent je vous avait conté ma rencontre avec Claire, une jeune femme blonde de 21 ans, qui partageait un logement d’étudiant avec moi, 18 ans et encore vierge.
Elle m’avait offert son corps pour prendre mon pucelage et nous avions passé une nuit extraordinaire, faite d’amour, de découverte et de tendresse.

Je sortis de la douche et entrai dans ma chambre pour m’habiller. L’odeur du pain grillé et du café chaud qui émanaient de la cuisine me laissaient présager une bonne journée. Malgré ma nuit agitée durant laquelle j’avais perdu mon pucelage avec Claire, mon corps était détendu et je n’avais jamais été aussi en forme.

J’avais très faim et un bon petit déjeuner copieux me ferait le plus grand bien. Cette nuit torride m’avait affamé.

Je pénétrai dans la cuisine. Claire ne portait qu’une nuisette en soie rose transparente et aucun sous vêtement.
Elle avait pris place devant la cuisinière et faisait cuire quelques tranches de bacon ainsi que des œufs brouillés.

Je me plaçai derrière elle et la prit par les hanches. Elle eut un léger sursaut car elle ne m’avait pas entendu venir.
Elle tourna légèrement la tête et m’offrit sa bouche pour un doux baiser. Nos langues se mêlaient et je lui caressai les seins au travers de sa douce nuisette. Je n’aurai jamais cru que la soie puisse être une matière si sensuelle. Mes mains glissaient sur le léger tissu et ses seins fermes pointaient déjà.

Elle se dégagea et m’informa qu’il était temps de passer à table.
Comme nous étions samedi nous avions toute la journée devant nous. Je savais qu’elle aimait faire la fête le week-end mais ignorait encore ce qu’elle avait prévu. Après tout elle avait plein d’amis et avait sans doute prévu de sortir entre copines ou copains.
Elle était bien plus libérée que moi. Le jeune débutant.

Je lui demandai de s’asseoir et me décidai à la servir.

Mes mains tremblaient un peu lorsque je posai les tasses, le café et les assiettes sur la table.
Elle s’en rendit tout de suite compte.

- Tu n’as rien à craindre Benoit. Ne trembles pas comme ça! Tu sais j’aime m’amuser et faire l’amour mais si je l’ai fait cette nuit avec toi ne croies pas que ce soit par pitié mais seulement par amour. Son ton était sincère.
Elle poursuivait.
- J’aime la vie et j’aime faire l’amour et m’éclater le week-end mais ce que tu m’as donné est bien plus que cela.
Je suis très fidèle et quand je sors avec un homme je ne le trompe pas et lui dit tout. En revanche tu dois savoir que mes envies sexuelles sont assez importantes et très diversifiées. Nous pourrons en parler.
C’est ma dernière année dans cette école et tu es le premier à m’avoir donné autant de plaisir. Je ne sais pas si c’est dù à ton insouciance ou ta fougue mais je t’aime. Tu seras mon petit ami jusqu’à la fin de ma scolarité dans cet établissement si tu le souhaites. Il faudra juste que tu me fasses confiance et que tu ne sois pas jaloux. Tout ce que je ferai sera par amour pour toi.

Je ne savais trop quoi dire. J’étais très fier et même super content mais j’avais aussi un sentiment mitigé. Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire exactement.

Nous primes notre petit déjeuner puis elle se rendit dans sa chambre pour mettre des vêtements plus adaptés à une sortie en ville.

J’en profitai pour faire la vaisselle et ranger la cuisine.

Son absence dura un moment puis elle vint me rejoindre et me dit qu’elle était prête pour que nous allions faire quelques courses.

Elle était à présent vêtue d’une jupe plissée bleu marine, de souliers bicolores, et d’un pull col roulé rouge en cachemire sur lequel elle avait pris soin de joindre un gilet ras du cou assorti.

J’avais fini la vaisselle. Elle m’attendait à la porte de l’appartement. Elle avait avec elle son sac à main Lancel et les clés de sa voiture.


Une fois arrivés au parking elle colla son corps contre le mien et me réclama un baiser que je ne pus que lui accorder.
Elle était si belle et j’étais si jeune et ignorant que je me croyais encore dans un rêve.

Nous primes place dans sa Mini pour aller effec nos achats de la semaine.
Claire était assez speed dans la vie et cela ne nous pris qu’une heure. Au sortir du centre commercial se trouvaient plusieurs boutiques dont une de lingerie.

Plusieurs posters ou photos étaient épinglés avec de jolis modèles portant des dessous affriolants.
Claire avait payé tous les achats alimentaires et l’idée m’était venue en passant devant cette boutique de lui offrir une tenue sexy. Je savais déjà qu’elle aimait ça.

Je m’attardai devant la devanture et lui fit signe d’entrer.

La vendeuse nous accueillit aimablement mais voyant mon jeune âge elle ne savait pas comment réagir.
J’avais pris de l’assurance depuis cette nuit et je lui demandai si elle possédait une guêpière seins nus ainsi que des bas pour ma compagne. Claire était impressionnée et me prit par le bras. Elle ne voulait pas que je dépense de l’argent pour elle.

La vendeuse apparut avec trois parures aussi superbes les unes que les autres.

- Voici ce que je peux vous proposer messieurs dames. C’est de la toute première qualité.

Effectivement ces guêpières étaient magnifiques.

L’employée nous indiqua d’un geste de la main la cabine d’essayage.

- Ne t’inquiètes pas Claire, c’est mon cadeau pour toi. Tu mérites bien cela lui dis-je.

Claire m’embrassa mais elle semblait gênée, très gênée même.


Elle prit place dans la cabine et s’empara des trois modèles et des bas qui allaient avec.

Au bout d’une bonne dizaine de minutes elle avait fait son choix qui s’était porté sur une guêpière blanche et des bas couleur chair.

- Ca y est, je me suis décidé me dit-elle au travers du rideau qui nous séparait.

- Montres moi le stp?
- Non je ne peux pas je ne vais pas sortir ainsi.
La vendeuse intervint en précisant qu’elle en avait vu bien d’autres et que la vue de ma compagne ne la dérangeait pas.

- Je suis là pour vous conseiller Mademoiselle.

J’ouvris le rideau. Claire portait une somptueuse guêpière. Ses seins lourds étaient mis en valeur par la forme du vêtement et les bas couleur chair lui convenaient parfaitement.

En revanche ce à quoi je n’avais pas pensé était que Claire ne portait pas de culotte et son petit abricot restait inexorablement à la vue de la vendeuse.


- Mmm tu as fais un très bon choix chérie. Tu es magnifique.
Qu’en pensez vous madame?


- Oui cela vous va très bien. Monsieur doit être content. En tous les cas vous êtes splendide et si vous aviez été seule je crois bien que vous m’auriez tentée tant vous êtes charmante.

Cette phrase avait été délivrée avec délicatesse mais ne laissait aucun doute sur les pensées de notre vendeuse qui visiblement semblait émoustillée par ce superbe spectacle.

Il était certain que Claire ne laissait pas indifférente notre vendeuse mais je décidai qu’il était temps de partir. Je ne savais pas encore que Claire avait aussi un réel attrait pour les femmes.

La vendeuse nous demanda s’il était nécessaire de faire un paquet cadeau pour cet achat mais je lui dis que c’était inutile.

Claire retourna dans la cabine pour se déshabiller mais je la suivis.
Je lui demandai alors de conserver cette tenue et de ne porter que son cardigan en cachemire par dessus.

- Tu es sur Chéri?
- Oui, crois-moi tu es terriblement désirable.

Claire me faisait bander et sa tenue en aurait fait bander plus d’un.

C’est alors que la vendeuse ouvrit le rideau d’essayage. Elle tenait à la main un tanga en dentelle de couleur chair.

- Vous devriez essayer celui là Mademoiselle car je vois que vous avez oublié d’en porter un ce matin.

Elle entra dans la cabine et se permit de l’enfiler sur le corps de Claire.
Elle prenait son temps et caressait ma compagne sur tout le corps. Claire semblait apprécier et ne la repoussa pas. Puis leurs langues se sont jointes et elles se caressaient comme si tout cela était naturel.

La vendeuse, qui se prénommait Brigitte, ne tarda pas à lui lécher la chatte. Pendant ce temps Claire se caressait ses gros seins au travers de son cardigan.
La langue de Brigitte lui procurait tant de plaisir qu’elle gémissait comme une collégienne.
Finalement Claire jouit dans la bouche de Brigitte qui se masturbait et se touchait le bouton. Les deux femmes eurent un orgasme fabuleux quasiment en même temps.

Je n’étais que spectateur mais j’étais heureux.

Claire s’habilla. Brigitte nous accorda une remise de 20% puis nous sommes partis en nous promettant de nous revoir.

Nous sommes rentrés à la maison sans mot dire.
Pendant le voyage je repensais à Claire se faisant lécher par une illustre inconnue et j’avais été excité.

A peine arrivés dans l’appartement Claire me tendit son tanga.

- Je n’en ai pas besoin me dit elle.
Aujourd’hui il fait beau alors nous devrions aller en profiter pour pique niquer. Je connais un coin où nous serons tranquilles.

J’approuvai sa décision.

Nous avons pris des couvertures, un panier, des assiettes, un peu de vin et nous sommes dirigés vers l’endroit que Claire affectionnait.

Après une demi heure de route nous étions en pleine campagne. Près d’un lac. A cette période il n’y avait que peu de touristes et les seules personnes que nous avions croisées étaient des randonneurs.

Claire gara sa Mini sur un parking puis me fit signe de la suivre.
J’avais encore à l’esprit sa séance avec Brigitte et bien que surpris cela m’avait très excité.

Je marchai derrière elle et à chaque mouvement de sa jupe plissée mon cœur ne faisait qu’un tour.
Et quand elle se retournait pour me voir si je la suivais la vue de ses seins libres sous son pull décuplaient mes sens.

Nous nous sommes posés dans un coin tranquille, à l’abri de tout regard indiscret. Claire s’empara du panier et me demanda d’installer les couvertures sur l’herbe.

Je bandais comme un âne. Elle faisait mine de ne pas s’en rendre compte et étala les victuailles sur les couvertures.

Elle était penchée, en train de disposer les assiettes et je ne sais pas ce qu’il m’a prit mais j’ai sorti mon sexe.
Claire s’y attendait et s’en empara.
- Quand même! me dit elle en souriant.

Elle le prit dans sa bouche. Elle le fit tout doucement, délicatement même, puis me suça tendrement.
A chaque fois qu’elle sentait que j’allais jouir elle se retirait et me laissait patienter.
Ce n’est qu’au bout d’une quinzaine de minutes qu’elle s’activa sur mon manche et me laissa déverser de longs jets de sperme au plus profond de sa gorge.

Elle avala tout et me présenta ses lèvres pour un long baiser.

J’étais aux anges. Nous nous sommes embrassés un long moment puis avons commencé à déjeuner.

Claire était superbe et très tendre. Nous nous amusions à nous donner à manger chacun notre tour comme deux amoureux que nous étions.

Nous avions ouvert une bouteille de vin et trinquions à notre amour.

Aucun intrus n’avait fait son apparition et Claire avait vraiment bien choisi notre endroit pour ce pique nique.

Après le repas nous étions un peu grisés par l’alcool. La bouteille de vin était vide et notre corps n’y était pas habitué.

Nous avons pris une couverture puis nous sommes installés côte à côte pour faire une petite sieste.
Claire me demanda d’enlever mes vêtements car, le temps et la température aidant, je pourrais bronzer un peu.
Je me mis nu et m’endormis instantanément.

Il devait être 14H30.

Je n’avais pas pour habitude de faire la sieste quelques minutes et souvent je me réveillais après deux heures, complètement perdu et la tête dans le pâté.

Je fus réveillé par des bruits. Sans doute un passant ou un randonneur.

J’écarquillai les yeux mais ne vis personne. Claire était à côté de moi. Elle avait ôté sa jupe plissée et ne portait que sa guêpière et ses bas ainsi que son cardigan en cachemire.
Elle se branlait l’anus avec un godemiché de belle taille et semblait y prendre beaucoup de plaisir.

Je dirigeai ma main vers ses fesses et la caressai doucement.

- Tu es réveillé Chéri? me demanda -t-elle.
- Oui j’ai bien dormi. Tu es toujours aussi superbe. Mais que fais tu?
- Je me prépare pour toi Chéri, je te l’ai promis, je veux te faire découvrir tous les aspects de l’amour. Et je suis prête.
Elle mis sa main sur mon sexe et me masturba jusqu’a ce qu’il ait une taille convenable et que je sois bien dur.

Elle se mit à quatre pattes et cambra son corps le plus possible. Elle enleva le gode. Son petit trou était maintenant largement ouvert.
- Prends moi chéri. Tu mérites mon anus. Je le fais pour toi. D’ailleurs c’est la moindre des choses que je puisse faire après ton cadeau de ce matin.
Je me plaçai derrière elle et posai mon gland sur sa rosette. Je ne savais pas trop comment m’y prendre.
Je poussai d’un coup mais Claire me fit comprendre par ses gémissements qu’il fallait que j’y aille plus doucement.

Je pris mon temps. Mon excitation était à son paroxysme. Ce cul offert devant mes yeux me paraissait inaccessible.
J’approchai mon gland puis poussai tout doucement. Dès que je rentrai un peu je ressortai pour m’enfoncer à nouveau.
Ce n’est qu’au bout de quelques minutes que je pus entrer dans ce fourreau si étroit. Claire gesticulait et me demandait d’arrêter tout en me suppliant de continuer.

Je fis une pause et sentis qu’elle se détendait puis je pris la décision de la limer profondément.
Elle était maintenant très ouverte et acceptait mon sexe sans souci. Elle me demandait d’accélérer la cadence.
Je la besognais une dizaine de minutes puis éjaculai dans son cul. Jamais je n’avais ressenti une telle jouissance.

De son côté Claire semblait avoir perdu ses esprits et marmonnait des mots crus. Elle semblait en transe et son corps était empli de spasmes.

Elle se tourna, me remercia et m’embrassa.

Nous étions heureux.

Il était maintenant 17H00 et Claire me dit qu’il était temps de rentrer et qu’elle avait une surprise pour moi.

En 24 heures j’avais déjà eu plein de surprises mais avec elle je ne savais plus trop à quoi m’attendre.

Nous sommes rentrés.

Elle m’embrassa à nouveau pour me remercier de ce cadeau. Visiblement elle avait encore envie de faire l’amour.
Elle disposa toutes les affaires sur la table de la cuisine et me dit de l’attendre dans sa chambre.

Je me doutai que nous allions faire l’amour à nouveau et me mis nu.
J’avais tant envie de son corps.

Les minutes qui suivirent me semblaient des heures.

Elle fit son apparition une vingtaine de minutes plus tard. Pendant ce temps j’avais imaginé tous les scénario possibles mais sans doute pas celui ci.

Claire ouvrit la porte. Elle portait une longue robe pull en cachemire rose pâle. Celle ci était boutonnée entièrement mais comme elle comportait un col en V je pouvais distinguer ses jolis seins.
Ses jambes étaient gainées de nylon blanc. Pas ces vulgaires Dim Up que l’on trouve dans les supermarchés mais les vrais bas que je lui avait acheté le matin même.

Elle s’approcha de moi et commença à me caresser. La nuque, les cheveux, les tétons, les jambes et le sexe.

J’avais envie d’elle, de son corps, de son parfum, de son amour. Tout en elle n’était que désir.

Elle me dit de fermer les yeux et de me détendre.

Je ne savais pas à quoi m’attendre mais je ne me fis pas prier.

J’entendis la porte de son armoire s’ouvrir puis se refermer puis plus rien!

J’étais étendu, nu sur son lit, les yeux clos et je n’attendais qu’une chose. Que nous fassions l’amour.

Elle vint s’allonger à côté de moi et me posa un masque sur les yeux pour que je ne puisse rien voir.
La situation en elle même me déplaisait mais m’excitait tout autant.

- Désormais tu n’enlèveras ce masque que lorsque je t’aurai donné mon accord.
Est-ce bien compris?
- Oui Claire. Tu es la femme de ma vie.
-Alors caresses-moi.

Je ne me fis pas prier. Dans ces moments, le côté psychique est important et je l’imaginais telle que j’avais pu la découvrir. Je caressai ses jambes, ses bas, son porte jarretelles et sa guêpière. Je déboutonnai sa robe pull rose pâle et m’emparai de ses seins doux. Ma langue n’avait qu’une envie, les lécher, les sucer, pour leur donner le plus de tendresse et de sensualité possibles.

Je sentais son corps réagir à mes caresses et était alors certain de pouvoir la faire jouir à nouveau.
Elle prit ma main et la dirigea vers son sexe.
Ce n’est qu’arrivé à ce puits d’amour que je me rendis compte qu’elle avait pris la décision de porter un godemiché.

Je me saisis de ce sexe artificiel et le branlai comme si celui ci faisait une avec ma partenaire.

J’avais toujours les yeux bandés.

Il était de bonne taille. Claire m’ordonna de le sucer. C’était tout nouveau pour moi mais très excitant.
J’approchai ma bouche de ce membre en latex et entamai des allers-retours comme si j’avais fait ça toute ma vie.

Claire bougeait son bassin et me faisait rentrer ce sexe plus profondément à chaque poussée.

Finalement elle se dégagea.

Elle enleva mon masque et se présenta à moi.

- Maintenant je vais te faire découvrir le plaisir ultime. Celui que tu m’a procuré cet après midi.
Elle était en face de moi, son cardigan largement ouvert, et ses seins durs comme de la pierre.
- Mets toi à quatre pattes stp.
Je m’exécutai et cambrai mon corps au maximum.

Elle se posta derrière moi, enduit son gode de lubrifiant et poussa d’un seul coup dans mon anus fragile.

J’aurai cru avoir bien plus mal mais la sensation était d’une extreme volupté.
Claire se démenait dans mon anus et des jets de spermes sortirent de ma verge tant la situation était impromptue.

Aussi bizarrement que cela puisse paraître elle m’avait fait jouir.
Elle se retira, puis m’embrassa une nouvelle fois.
- Je voulais que tu ressentes le bien et tout le plaisir que peut procurer une sodomie.
J’espère ne pas t’avoir fait de mal.

- Non chérie, c’était fabuleux. Je ne le referai pas tous les jours mais je peux dire que tu es une amante extrêmement douée.

Elle s’allongea auprès de moi. Après de longues minutes elle constata que mon sexe reprenait de la vigueur. Elle me suça un peu puis s’empala sur mon membre.

J’étais sur le dos et je pouvais voir sa robe, désormais totalement déboutonnée, et ses gros seins juste au dessus de mon visage. Mon sexe était emprisonné dans sa grotte et elle ne cessait de me dire des mots crus comme si cela avait pour but de nous exciter tous les deux.

Nous avons joui en même temps et nous sommes rapprochés pour nous embrasser.
Je sentais son coeur battre la chamade. Elle semblait épuisée par ce coït et se lova contre mon corps pour que je la dorlote.

Elle reprit ses esprits. Il était vingt heures.
Je pensais que nous allions nous coucher en amoureux comme la nuit passée et restai sur son lit.

Je somnolais tout en pensant à ce qui venait de m’arriver.

Je ne l’avais même pas entendu partir. Ce n’est que lorsqu’elle mit fin à mon léger sommeil que je refis surface.

- Nous sommes samedi Benoit! Prépares-toi car je vais t’emmener avec moi en discothèque. Tu es maintenant mon petit copain et j’ai hâte de te présenter à mes amies.
Tu vas voir, elles sont formidables. Tu ne seras pas déçu!
Je te réserve quelques surprises car je les connais bien et je suis certaine que tu seras leur genre!

Je t’attends. Nous avons rendez vous à 22H00 en boite.

A suivre…

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