Ma Vie A Changé (9)

Je retrouvais avec plaisir Cathy. Nous avions passé de si bons moments ensemble. James était un compagnon très agréable, plein d’humour. Sa complicité avec sa maitresse faisait plaisir à voir. Il avait cessé d’exercer ses talents dans le club de Londres. Il avait prévu de s’installer en Écosse chez Cathy.

Je voulais en savoir plus sur lui. Il était né en Jamaïque. Son père était Anglais, sa mère Jamaïcaine. À l’âge de cinq ans son père retourna dans le Pays de Galles. À l’école, il connût le racisme ordinaire fait de bêtise et de méchanceté. Sa mère et lui étaient les seuls noirs à 30 km à la ronde. Il se faisait insulter. Il n’était jamais invité. Il était très malheureux. Son père avait repris ses habitudes de petit blanc. Sa mère était beaucoup plus une servante qu’une épouse. Son père pouvait se montrer violent. Quelquefois, les coups pleuvaient et il l’entendait pleurer dans sa chambre. Son père était vraiment indifférent avec lui comme s’il avait honte.

Lorsqu’il eut ses quatorze ans sa mère décida de divorcer et de rentrer au pays. Il était déjà très solide et les quolibets se faisaient de plus en plus rare, car il n’hésitait pas à se battre. Il était déjà beau garçon et travaillait bien en classe. Peu avant le divorce de ses parents, une fille de sa classe lui fit des avances. Cela ne plut pas aux garçons de sa classe qui lui tendirent une embuscade. Il se retrouva à terre. Ils le déculottèrent. L’ex petit ami de la fille lui frictionna le corps avec des orties insistant sur son sexe et son cul et le frotta avec une brosse à chiendent, disant en riant que cela allait le blanchir. C’était très douloureux. Arrivé à la maison, il se plaignit à son père qui lui aussi se mît à rire. Il jura de se venger de tous ces Anglais qui l’avaient humilié.

Quelques semaines après, il rentrait dans son pays. Ils s’installèrent à Montego Bay dans une belle maison. Son père versait à sa mère une rente confortable.

Il était un bon élève et sa scolarité se passait bien. À la maison sa mère, recevait beaucoup de visites. C’était une très belle femme qui avait un retard d’affection certain. Plutôt impudique, elle se promenait pratiquement nue et ne prenait pas beaucoup de précautions en recevant ses amants. Il était par la force des choses, devenu un peu voyeur.

C’était un beau garçon, musclé et vigoureux. Les filles lui tournaient autour. À quinze ans une voisine le dépucela. Son sexe était déjà imposant. Comme elle s’était vantée de sa bonne fortune, les prétendantes se bousculaient. À la maison il avait droit à des leçons de choses et il espionnait sa mère et ses amants. A dix-sept ans il était devenu un très bon coup. Très grand, il faisait de la musculature, il était devenu impressionnant.

C’est au cours des vacances qu’il connut sa première femme blanche, Pamela une Anglaise de 40 ans rencontrée sur la plage. C’était une belle femme plantureuse dans la force de l’âge. Elle le dragua ouvertement et lui donna rendez-vous le soir même dans sa chambre. Marié à un commerçant à Londres, elle était frustrée. Les rapports sexuels mensuels avec son mari la laissaient insatisfaite, affamée. Une amie lui avait parlé de la Jamaïque, de ces beaux noirs bien faits, au sexe imposant, infatigables et qui aimaient beaucoup les femmes blanches. C’était son troisième séjour sur place.

Elle l’attendait nue. Elle se précipita sur lui, cherchant immédiatement sa queue. Satisfaite de ce qu’elle avait trouvée, elle se déchaîna. Pendant les cinq de séjour qui lui restait, tous ses trous étaient à sa disposition. Elle le suçait, présentait son sexe ou son cul, fesses écartées pour qu’il la pilonne. Elle ne cherchait qu’une seule chose, jouir, jouir et encore jouir. Il commençait enfin à se venger de ces Anglais, tous plus arrogants les uns que les autres en rendant leurs femmes esclaves de son sexe.

Au moment de partir, elle prit ses coordonnées et lui donna de l’argent pour le remercier.
Il avait pris son pied et il avait été payé. Il se mit à fréquenter les hôtels à touristes. La concurrence était rude, mais comme il était très costaud, il n’eut pas trop de problèmes. Les femmes mûres qu’il fréquentait savaient ce qu’elles voulaient. Sous les tropiques, elles étaient désinhibées et déchaînées. Elles ne voulaient que du sexe. La personnalité de James ne les intéressait pas. Seule sa queue comptait. Pratiquement à chaque fois, elles lui laissaient de l’argent.

James était rentré à l’université. Il avait peu de contact avec sa mère. Elle était devenue nymphomane, et même si elle l’aimait, elle se conduisait comme une pute. Tout cela était dû à son père, cet Anglais qu’il haïssait. James se débrouillait tout seul. Sa queue lui avait déjà rapporté beaucoup d’argent et il était décidé à continuer à baiser toutes les femmes qui le souhaitaient en leur soutirant un maximum d’argent

Parallèlement, il suivait des cours à l’université de Kingston. Il était étudiant et gigolo à la fois.
Pamela le recontacta, et lui demanda s’il était disponible. Elle venait en vacances en couple. Elle était prête à le payer pour ses prestations à condition qu’il exécute ses demandes. James accepta. Pamela lui donna rendez-vous dans une villa à Saint Ann’Bay au nord de l’île. Pamela l’attendait vêtue d’un paréo. On l’a devinais nue dessous. Elle l’embrassa tendrement Elle l’invita à entrer dans la maison.
Couché sur le tapis, un homme était couché nu. Il portait une laisse et un collier et un plug entre les fesses. À la vue de Pamela, il se mit à quatre pattes. Pamela le présenta comme étant son mari. Elle prit la laisse et il les suivit comme un petit toutou.

James était excité par ce spectacle. Pamela enleva son paréo, s’assit dans un fauteuil en demandant à James de se déshabiller. Les deux hommes se mirent côte à côte. Le sexe de son mari était ridicule à côté de celui de James. Elle se moquait de lui en soulevant avec son pied la petite queue qu’il essayait de raidir.
Elle tira sur la laisse, écarta les cuisses et obligea son mari à la lécher. Elle fit signe à James de se rapprocher et se mit à le sucer avec des petits cris de satisfaction.

Écartant son mari d’un coup de pied tout en conservant la laisse, elle se mit à quatre pattes et présenta son sexe à James qui commença à la pistonner, s’agrippant à ses gros seins. Elle criait son plaisir de femme comblée. Elle sentait la grosse verge, aller et venir en elle. Au moment où il allait jouir, elle s’arracha de lui et dirigea sa queue vers le visage de son mari qui reçut la bouche ouverte, la semence de James. Tirant de plus en plus fort sur la laisse, elle l’obligea à venir au contact de la verge. Il n’eut pas d’autre choix que de la prendre en bouche pour recueillir les dernières gouttes de sperme.

Pamela, après avoir ordonné à son mari de se coucher sur le sol, prit la suite de son mari pour le sucer. Voyant qu’il reprenait des forces, elle se mit sur le dos. Écartant les lèvres, de son sexe, elle lui hurla de la baiser. James la défonça, la brutalisant. Elle lui criait de continuer encore plus fort. À grand coups de reins, il lui donnait ce qu’elle était venue chercher : un vrai mâle. Plus il la baisait plus elle réclamait son dû.

Après avoir récupéré, ils s’occupèrent du mari. Une petite érection montrait qu’il avait été sensible à la scène. Pamela le fit mette à genoux et enleva le gode. Elle se mit jambes écartées, coinça la tête de son mari entre ses cuisses. Elle lui demanda de présenter ses fesses et invita James à le sodomiser. Un grand cri de douleur accompagna la pénétration. James ne lui laissa pas le temps de récupérer et commença ses mouvements de va et vient. Pamela étouffait les cris de son mari en plaquant sa bouche contre son sexe. Excité de voir se petit cul blanc s’ouvrir sous ses coups de boutoir, James ressentait tout le plaisir qu’il y avait pour lui, le Noir, qui s’était fait humilier, de posséder ce couple.

Il accompagnait ses coups de butoir de claques qui rougissaient les fesses de celui qui n’était plus qu’un objet.
Sentant qu’il allait venir, il arracha la capote, le pris par les cheveux et une nouvelle fois se répandît sur son visage. Pamela l’attacha avec des menottes à une canalisation après lui avoir pincé les tétons au point de le faire hurler. Il était pitoyable avec tout ce sperme sur le visage. Le plus étonnant, c’est qu’il la remerciait de ce traitement. Elle montra à James en passant la main sur sa petite queue qu’il avait joui. Ils reprirent leurs jeux sous le regard du mari. Elle était une nouvelle fois déchaînée.

Le séjour se déroula suivant le même schéma. James se rendait compte que plus il les brutalisait, plus leurs jouissances étaient fortes et plus ils lui en étaient reconnaissants. Pamela l’invita à venir les voir en Angleterre et lui laissa pour ses services une jolie somme. Il s’était vengé et ce rôle lui plaisait beaucoup.

A vingt-trois ans, il avait réussi ses études. Ingénieur informatique, il fut engagé par une société de services. Bel homme, toujours souriant, plein d’humour, il en imposait. Il baisait indifféremment des négresses aux seins en forme d’obus et aux fesses en béton et des femmes blanches mûres aux formes épanouies. Il savait prolonger leur plaisir. C’était un amant infatigable, résistant. Il aimait la façon dont elles le regardaient, avec reconnaissance.

Lors d’un dépannage du système de protection d’une superbe villa avec piscine, il rencontra la locataire, une veuve anglaise de cinquante ans. Elle ne faisait pas son âge. Blonde aux yeux bleus, elle était très bien conservée avec une très belle poitrine et une jolie silhouette.

Pour le remercier du travail accompli, elle l’invita à revenir déjeuner en tête à tête. Elle découvrait un jeune homme plein de fraicheur, très agréable doté d’un réel sens de l’humour. Elle l’invita à se rafraîchir dans la piscine. Il n’avait pas de maillot. Elle lui proposa de se baigner nus. Elle était vraiment superbe avec sa lourde poitrine et des fesses qui mettaient sa silhouette en valeur.
L’absence de marque de maillot, montrait qu’elle se bronzait nue.

James enleva ses vêtements. Il se tenait devant elle. Elle pouvait admirer sa belle musculature, ses larges épaules, ses pectoraux bien dessinés, son ventre plat, ses fesses musclées, ses cuisses puissantes. Il n’avait pas pu cacher l’effet qu’elle lui faisait. Son sexe imposant était dressé victorieusement. Elle l’attrapa par la queue et l’entraina sur un matelas. Elle l’embrassa et se mit à le caresser avec ses mains et sa bouche. Ils étaient tous les deux très excités. Elle se mit tête-bêche sur lui. Pendant qu’elle le suçait, la bouche de James s’était emparée de son sexe. Elle était trempée.
Il jouait avec sa langue comme d’un sexe. Ses lèvres s’emparaient régulièrement de son clitoris qu’elle avait bien développé. Ses mains alternaient caresses des seins et exploration des fesses.

Elle eut un premier orgasme très violent. Ne lui laissant pas le temps de récupérer, James la retourna l’embrochât littéralement. Elle poussait des petits cris qui se transformèrent en un long gémissement quand il accéléra ses coups de reins. Il avait placé ses mains sous ses fesses pour rythmer la possession. Chaque fois qu’il la faisait retomber sur son ventre, il sentait sa verge aspirée par le sexe de cette femme.

Elle avait adopté le tempo qu’il lui imposait. Ses mains étant libres, après lui avoir caressé les seins et étiré les tétons il s’empara de son cul. Il lui présenta deux doigts à sucer pour les lubrifier.
Enduits de salive, son majeur contre son anus et il commença à lui ouvrir le cul. Le deuxième doigt rejoignit rapidement le premier. La facilité avec laquelle ils rentraient, montrait qu’elle se faisait souvent sodomiser.

James était infatigable sa partenaire jouissait de façon continue. Il se retira d’elle et la mit à quatre pattes. Il changea de préservatif et après une nouvelle séance de godage avec ses doigts, il l’encula.
Elle poussa un cri de douleur, remplacé très vite par ses petits habituels de plaisir. Sa main s’était emparée du clitoris et le branlait comme une petite bite. Sentant qu’il allait venir, il se retira. Il la retourna. Enlevant son préservatif, il se répandit sur son visage. James s’allongea sur le dos et ferma les yeux. Il sentait les mains de sa partenaire le caresser et sa bouche nettoyer son sexe. Puis elle se plaça contre son épaule la main sur sa queue. Il adorait voir les visages souillés par son sperme.
Cela faisait partie de sa vengeance.

Ils se virent tous les soirs. Après un contrôle VIH, il n’utilisa plus les préservatifs. Elle était, de plus en plus accro au sexe de James et déchainée quand ils faisaient l’amour. James avait parfois l’impression qu’il était un gode vivant qu’elle utilisait à sa guise.

Lui aussi trouvait beaucoup de satisfactions à faire crier de plaisir cette grande bourgeoise anglaise, à lui montrer qui était le maître de ses sens. Quand il l’enculait, quand il la forçait à avaler son sperme ou qu’il se répandait sur son visage et ses cheveux, il pensait à ce qu’il avait subi. Après l’amour, elle n’avait plus rien d’une grande dame, avec ses cuisses et son cul ouverts qui suintaient, son maquillage qui avait coulé, le sperme collé sur ses cheveux et le jus qui coulait de son visage. Il baisait une Anglaise et la soumettait à sa queue.

Elle lui demanda pourquoi il restait en Jamaïque alors qu’il y avait énormément de possibilités pour lui en Angleterre. Elle possédait un appartement à Londres qui était libre. Elle voulait bien le lui prêter pour six mois, le temps qu’il trouve du travail et s’installe. Elle mettait aussi à sa disposition son réseau pour faciliter ses recherches. Par contre, s’il elle se proposait de le rencontrer quelques fois, ils devaient être prudents, car elle voulait protéger sa réputation. La connaissance d’une liaison avec un jeune homme noir de surcroit aurait été catastrophique dans son milieu. Il était prêt à faire face à son passé et à prendre sa revanche.

C’est ainsi que Jammes débarqua à Londres à vingt-quatre ans. Son appartement était très bien placé. Margaret la propriétaire, passa le voir pour régler les dernières formalités. Ils se retrouvèrent de temps en temps pour faire l’amour, mais leurs relations s’estompèrent, car elle redoutait qu’on découvre qu’il avait été son amant. Il trouva très rapidement du travail et un appartement. Quand il fut bien installé, il reprit contact avec Pamela qui l’invita à passer les voir.

Elle était superbe. Elle était très maquillée avec une queue-de-cheval. Elle portait une guêpière en latex rouge qui mettait en valeur sa poitrine et laissait ses seins découverts. Ses tétons portaient des pinces reliées à des poids. Elle portait des cuissardes noires avec des hauts talons. Elle pivota pour lui faire admirer sa tenue. Il s’aperçut alors qu’entre ses fesses saillait un gros plug. Patrick, son mari était placé sur une table à plat ventre, attaché bras et jambes en croix. Il était bâillonné, portait un collier et une laisse. Des traces de martinet zébraient son dos, ses fesses, ses jambes.

Pamela, après avoir longuement embrassé James, le déshabilla et lui demanda de s’asseoir dans un fauteuil. Elle prit un martinet et se mit à frapper Patrick sur les fesses. Il gémissait, mais plus de plaisir que de douleur. Après avoir enduit sa main de lubrifiant, elle commença à ouvrir son cul. Elle prit un très gros plug et l’enfonça en lui. Elle le retourna et l’attacha à nouveau. Sa petite queue était dressée. Elle lui enleva son bâillon et plaça son sexe sur le visage de son mari, l’obligeant à la lécher. Elle se pencha sur lui et saisit la petite queue dans sa bouche. Au moment où il allait jouir, elle pinça fortement ses couilles lui arrachant un grand cri de douleur. Elle le laissa frustré.

Elle demanda à James de la rejoindre dans un canapé. Tout en le caressant, elle lui expliqua qu’elle et Patrick ne pouvaient plus vivre sans ce type de relations. Elle-même se sentait plus soumise que Domina. Ils fréquentaient un club spécialisé à Londres, mais ils n’avaient toujours pas encore trouvé le partenaire idéal. Ils avaient pensé à lui et ils étaient prêts à lui obéir et à subir ses caprices. Tout en continuant à le caresser, elle le regardait fixement. Ses yeux le suppliaient d’accepter. Très excité pour l’instant par cette femme qui s’offrait, il ne pensait qu’à une chose : à baiser ces Anglais

Il lui ordonna de se lever et de sucer son mari. Ses jolies fesses étaient à la bonne hauteur. Il commença à la fesser. Ses grandes mains rougissaient son postérieur. Elle n’essayait pas de se dérober mais au contraire allait au-devant des coups. Elle continuait à sucer son mari. La petite queue était à nouveau dressée. Il lui ordonna de s’occuper des tétons de son mari qui poussait quand elle les travaillait des petits cris de douleur et de plaisir. Il lui enleva son gode. Son anus baillait. Il la pénétra brutalement. Même si elle était préparée, elle poussa un grand cri. Il lui avait fait mal. L’excitation le gagnait et il avait envie de savoir jusqu’où elle pouvait aller.

Patrick lui poussa un grand soupir et jouit dans la bouche de sa femme. Il était agité de tremblements. James le détacha. Il les fit mettre à quatre pattes devant lui. Il enleva le plug de Patrick. Il les encula à tour de rôle. Le spectacle était saisissant. Ils avaient la tête contre le sol. Leurs culs blancs étaient en l’air, un géant noir avec une grosse queue les défonçait à tour de rôle. Ils gémissaient. James tirait sur les poids des seins de Pamela. Il pinçait et étirait les tétons de Patrick.
À son signal, ils se retournèrent et ils reçurent sur le visage et les cheveux son sperme.

Après qu’il se soit essuyé dans la bouche de Pamela, il ordonna à Patrick d’attacher sa femme et de la fouetter avec le martinet. Il lui indiquait où frapper, sur ses seins, sur son sexe. Puis il monta sur la table pour la pénétrer. Il jouait à balancer les poids des tétons d’un côté et de l’autre de ses seins.
Cela lui faisait visiblement mal. Il avait ordonné à Patrick de lui lécher l’anus. Le pauvre essayait de s’acquitter de sa tâche mais c’était de plus en plus difficile car les mouvements de James devenaient plus violents et plus rapides. Pamela gémissait et les ondes de plaisir se succédaient. James se répandit en elle. Son sexe butait sur sa matrice.

Patrick avait repris sa tâche et James qui l’avait plaqué en lui tirant par les cheveux contre son cul, sentait sa langue lui pénétrer l’anus. Au bout de quelques instants, il se retira. Il commença à branler Patrick. Le sexe de Pamela dégoulinait de sperme et de foutre mélangés. Il ordonna à Patrick de se mettre sur elle et de la pénétrer. Sa petite queue rentra facilement dans son vagin béant. Il avait pourtant du mal à rester raide. James se mit à le fesser pour l’encourager. Il tapait de plus en plus fort. Patrick la pistonnait ramenant à chaque fois des flots de sperme de son vagin que sa petite verge n’arrivait pas à boucher. Elle ne devait pas sentir grand-chose avec son sexe plein de sperme.

James monta sur la table, lui écarta les fesses et l’encula. Patrick était tellement excité qu’il jouit sous le coup de la pénétration. Pamela ressentait à travers son mari les coups de boutoir de James.
À force d’avoir été manipulé, le cul de Patrick lui faisait mal mais James continuait ses mouvements.
C’est avec soulagement qu’il le sentit se vider en lui. Ils étaient tous ko.

Après une bonne douche, ils se retrouvèrent ensemble pour manger. Pamela et Patrick s’étaient laissés entrainer dans cette spirale du BDSM et ils ne pouvaient plus s’en passer. James décida de les prendre en main sa vengeance était en marche. (à suivre)

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