Journal Intime : Vacances En Martinique

Il y a quelques temps, un ami brocanteur a trouvé un journal intime dans une poubelle. Il était déchiré, mais il a réussi à le restaurer.
Il a eu raison de le faire, car s’y trouvaient quelques détails croustillants de la vie sexuelle de la jeune femme qui avait écrit ce texte.
Connaissant mon gout pour ces sujets, il m’en a envoyé une copie.
Voici ce texte. Je n’ai fait que supprimer les informations qui auraient permis d’identifier les protagonistes, j’ai changé les noms, j’ai supprimé quelques passages insignifiants, et j’ai fait quelques corrections pour rendre l’ensemble plus lisible.
Au moment ou elle écrit ces pages, cette jeune femme vit depuis plusieurs mois avec son fiancé Olivier. Elle vient de finir ses études. Lui travaille dans une banque. Leur vie est plutôt banale, et le journal intime sans intérêt, jusqu’au jour ou …


Vendredi 7 avril
Maman vient de me téléphoner. Elle est folle de joie. Elle vient de gagner à un jeu concours. Elle qui d’habitude ne gagne que des grille-pain ou des flacons de shampoing … voilà qu’elle a gagné un voyage de 9 jours en Martinique pour 2 personnes ! Tous frais payés, hôtel de luxe, pension complète, open bar, … La totale !
Le problème c’est qu’il n’y a que 3 dates de possible et puis avec son travail, elle ne peut pas y aller.
Elle m’a proposé d’en profiter. Je suis libre, mais Olivier ne pourra pas prendre des vacances en ce moment. C’est trop bête.

Samedi 8 avril.
Olivier et moi on a beaucoup discuté de ce voyage. Lui il ne peut pas y aller. Mais il insiste pour que j’en profite. Ce serait stupide de laisser passer une telle occasion. Faire un voyage de rêve et gratuitement !
Laisser Olivier tout seul pendant 10 jours ça m’ennuie beaucoup. Je ne sais pas quoi faire …
Et puis c’est un voyage pour 2 personnes. Il faudrait que je trouve une copine pour m’accompagner.

23 h. Ca y est c’est décidé.

Je pars !
J’ai téléphoné à ma copine Sylvie. Elle a été enthousiaste. Elle n’a pas de travail en ce moment et en plus elle n’a pas de copain –c’est rare-. Elle est donc libre comme l’air.
Olivier est moins content. Ça l’embête que je parte avec Sylvie. Il ne l’aime pas beaucoup car à son avis c’est une fille qui aime trop s’amuser et trop changer de mec.
Bref on part le 25 avril !
Pour dérider Olivier, je vais lui faire ce soir une gâterie de première classe. Ça devrait le calmer.

11 avril.
Rendez-vous avec Sylvie pour mettre au point le voyage. Nous avons déjeuné dans un petit resto très sympa. Leur tiramisu était délicieux.
Comme d’habitude Sylvie m’a raconté tout de sa vie intime et sexuelle. Elle a quitté son dernier mec il y a seulement 8 jours et elle est déjà en manque. Elle a dit tout fort dans le resto « putain j’ai trop envie de baiser ! ». Pour calmer ses ardeurs, et en attendant de trouver mieux, elle m’avoue qu’elle va faire appel à un ex boy-friend qui est un super coup.
J’étais très gênée, mais en même temps c’est ce coté excessif qui me plait beaucoup chez elle. Elle est très différente de moi, et je l’adore.

23 avril.
Dans 2 jours c’est le départ. Je suis à la fois excitée et inquiète. Et puis je me sens coupable de laisser Olivier travailler pendant que je me dore au soleil.
Mes valises sont déjà prêtes. J’ai fait provision de crème solaire. Je me suis acheté un maillot de bain à tomber !

25 avril
Journée fatigante. L’avion a été mortel d’ennui. Le film était nul.
Des gens de l’hôtel sont venus nous chercher à l’aéroport. Nous avons été reçues merveilleusement, avec un pot de bienvenue et une visite des lieux (salle des repas, bar, accueil, piscine, plage, …). Et enfin notre bungalow. Il est superbe, tout confort. 1 grande chambre avec 2 lits jumeaux, 1 petit salon avec télé, 1 grande salle de bain… et une vue magnifique sur la mer.
L’hôtel est luxueux.
C’est le paradis !
Nous avons fait un saut à la plage et nous nous sommes baignées.
Au bar de l’hôtel, Sophie s’est faite draguer ouvertement par le barman. Un très beau black, grand et musclé.
Je suis crevée, Sophie aussi. Nous allons dormir pour récupérer.

Vendredi 26 avril
18h20
Il fait très chaud. On a soif tout le temps. Heureusement que nous avons open-bar.
La vie est belle.
Nous avons organisé notre séjour. Demain visite de la ville de Fort De France et de son marché. Dimanche visite de la Montagne Pelée.
Nous n’arrêtons pas de nous faire draguer. A croire que tous les hommes s’intéressent à nous : les jeunes, les vieux, les beaux, les moches. Ça n’arrête pas. Il faut dire qu’en cette saison il n’y a pas beaucoup de jeunes touristes.
C’est Sophie qui a le plus de succès. Cela confirme que les noirs sont très attirés par les blondes …
A Paris j’aurais pris ça pour du harcèlement, mais ici ils font ça si naturellement et avec le sourire que cela nous amuse beaucoup.
Je crois que Sophie a un faible pour le beau barman qui s’appelle Germain. Elle a accepté de sortir avec lui en boite ce soir.
J’ai préféré refuser de les accompagner. Je vais téléphoner à Olivier et à maman, et je vais finir la soirée avec mon livre (il est vachement bien).
Ah oui, une petite anecdote cochonne. Le bungalow d’en face est occupé par un couple de touriste qui ont la quarantaine. Dans l’après –midi nous avons entendu des soupirs venant de leur chambre. Nous avons pensé que le couple s’envoyait en l’air.
Quelle ne fut pas notre surprise quand quelques minutes plus tard nous avons vu un bel antillais sortir de chez eux. Le mari est arrivé une heure plus tard. Nous avons été témoin d’un adultère !!!

Vendredi 2h du matin (c’est plutôt samedi que je devrais écrire)
Sophie est rentrée avec Germain voilà plus d’une heure.
Ils m’ont réveillé pour me demander si j’acceptais de leur laisser la chambre.

J’ai donc déplacé mes draps et mon oreiller sur le canapé du salon. Ils se sont ensuite enfermés dans la chambre.
Leurs chuchotements et leurs rires s’échappaient de la porte mal isolée.
Depuis, je ne peux plus dormir !
J’entends tout ce qui se passe à coté. Et c’est pas triste !
J’aurais pas cru que Sophie puisse être aussi portée sur le sexe !
Ça n’arrête pas ! Des soupirs de volupté, des petits cris, des halètements de jouissance.
D’après ce que j’ai entendu, Sophie a eu 3 orgasmes (très bruyants) et Germain 2.
Je suis à la fois gênée des les entendre et en même temps très excitée. Dommage qu’Olivier ne soit pas là…

Samedi 12h
Je profite d’un peu de temps libre avant le repas pour reprendre mon récit.
La séance de la nuit dernière s’est heureusement finie quelques minutes après que j’ai refermé mon journal.
J’ai réussi à m’endormir.
Vers 9h30 je me suis levée. Sophie m’a rejointe quelques minutes après et nous sommes allé prendre notre petit déj.
J’ai appris que Germain était parti dans la nuit.
Sophie tenait à me faire partager son bonheur. Je lui ai avoué que j’avais entendu leurs cris et leurs soupirs.
Germain est paraît-il un amant formidable (je l’avais deviné) et il a une bite gigantesque. Elle n’en avait jamais vu des comme ça sauf dans les films porno.
Sophie me raconte ça sans pudeur aucune, avec des gestes significatifs.
Elle me donne des détails que je ne lui demande pas : elle a joui une fois en se faisant lécher et 2 fois en se faisant baiser.
Germain lui a promis pour ce soir une nouvelle partie de jambes en l’air avec quelques nouveautés. Sophie a hâte d’y être.
Je dois dire que j’ai été troublée par ce récit. J’avais l’idée qu’une grosse bite était plutôt effrayante. J’aurais eu peur d’avoir mal.
Sophie, elle, est conquise.

Cet après-midi : visite de St Pierre et du marché.

Samedi 20h10
Ce soir Germain nous a invité à une fête antillaise.

J’ai fini, sur l’insistance de Sophie, par accepter de les accompagner.
Après tout, c’est les vacances, j’ai bien le droit de m’amuser un peu. Et je ne fais rien de mal.

Ah oui, j’oubliais. Cet après-midi nous nous sommes encore fait draguer par plusieurs hommes. Et il y a un garçon de plage, très beau, qui insiste beaucoup. J’ai beau lui dire que je suis fiancée, rien ne l’arrête… Il est vraiment très beau. Quel dommage …

Dimanche 11h30
Quelle nuit !! Quelle nuit !!!
D’abord la fête était très sympa. Elle se passait chez des amis de Germain. Il y avait beaucoup de monde. C’était familial, il y avait des s et des vieux.
J’ai beaucoup bu. J’ai un peu dansé. Je me suis faite draguer. Je me suis même laissée peloter !
J’ai refusé toutes les avances de ces hommes. Mais ça m’a fait plaisir d’avoir autant de succès.
Vers 2h du mat on est rentrés au bungalow.
Sophie et Germain sont allés dans la chambre et moi sur mon canapé.
Comme la nuit précédente je n’ai pas pu dormir à cause des cris de jouissance. Ils étaient encore plus forts et plus violents que la nuit précédente.
Vers 3h30 ou 4h ça s’est enfin calmé. Sophie s’est précipité dans la salle de bain et Germain est parti. J’ai enfin pu m’endormir.
Vers 10h, Sophie est venue me réveiller.
Elle voulait me raconter sa nuit. Elle était heureuse, radieuse, et en même temps fatiguée. Je peux le comprendre après tous ces orgasmes !
« J’ai joui comme jamais » m’a-t-elle dit. –ça je l’avais entendu-.
Comme je lui demandais ce que Germain lui avait fait d’extraordinaire, Sophie fut un peu hésitante à me répondre puis elle me dit un truc du genre « Après tout tu es une grande fille. Mais promet-moi de ne le répéter à personne. » Je lui est promis.
Elle m’a alors avoué que cette nuit-là Germain n’avait fait que la sodomiser. Et ça avait été grandiose.
Je lui demandais si elle avait pas eu mal avec ce si gros sexe dont elle m’avait vanté les dimensions.
Elle m’a expliqué.
« La sodomie ça fait toujours un peu mal, peu importe la taille de l’engin. Il suffit que tu te masturbes en même temps et c’est le pied. La douleur décuple la jouissance. Et Germain est un expert dans cette pratique. Il sait être doux et patient puis un peu brutal. »
Je dois dire que son bonheur et ses jouissances me rendent jalouse. Moi aussi j’en veux !
Bon sang, et moi qui déteste la sodomie. Peut-être que je rate quelque chose.
Je ne suis plus pucelle de ce coté et il m’arrive de laisser Olivier visiter mon petit trou. Ce qui me gêne le plus dans cette pratique c’est le caca. J’ai toujours peur que la bite ressorte salie.
Sophie a une réponse à ce problème : « C’est lui qui a voulut rentrer là, à lui d’en subir les conséquences ! »

Cet après-midi c’est visite de la Montagne Pelée en 4x4. On sera 4 touristes + 1 guide.
Il faut pas que j’oublie de téléphoner à Olivier.

Dimanche 22h20
LE DRAME
Mais avant d’en arriver là, un petit retour en arrière.
La virée à la montagne s’est bien passée. Le guide très sympa a pas arrêté de draguer Sophie. Elle ça la faisait rigoler.
Paysages magnifiques mais la vue perturbée par les brumes de chaleur.
Au retour à l’hôtel nous sommes allé au bar. Germain était là, mais il discutait avec une jeune touriste anglaise très mignonne. Sophie est allée lui dire bonjour et lui a demandé si il venait ce soir. Et là ce fut le drame !
Germain lui a dit que c’était fini entre eux. Il avait une nouvelle conquête (la petite anglaise).
Sophie n’a pas fait d’esclandre. Elle est allée pleurer dans notre chambre. Je n’ai pas réussi à la consoler. Elle a refusé de diner.
Pourtant elle pouvait bien se douter que ce garçon n’était pas sérieux.
Je ne sais pas quoi faire pour Sophie. Ça me désespère.

Lundi 18h
Sophie a repris gout à la vie. Son chagrin n’a pas été long et c’est tant mieux.
Elle a décidé de se venger, c’est une manière d’oublier Germain …
Dès 11h nous sommes allé à la plage et Sophie avait la ferme intention de trouver un nouvel amant.
Les dragueurs ne manque pas et elle a accepté qu’un bel antillais lui offre un verre. Ils sont ensuite partis vers le bungalow.
Une demi heure plus tard elle est revenue. Seule. Le mec était nul au lit et en plus il avait une petite bite. Nous avons bien rit.
Nous sommes allé déjeuner et après Sophie est repartie en chasse sur la plage.
La consigne était cette fois de n’accepter les avances que d’hommes au caleçon bien remplis.
Ce nouveau jeu nous a beaucoup amusé.
Sophie a enfin trouvé un homme qui correspondait au critère requis, moche mais une grosse bosse à la bonne place. Elle a accepté de sortir avec lui ce soir.
Paul, c’est son nom, a insisté pour que je les accompagne. J’ai fini par me laisser convaincre. Rendez-vous à l’entrée de l’hôtel à 21h.

MARDI 9h20
Je suis réveillée depuis un moment et je suis énervée.
Je n’ose pas me lever de peur de réveiller les autres.
La soirée en boite a été très chaude et pas seulement à cause de la température.
Paul était venu avec un ami, Baptiste, qui visiblement m’était destiné. Mes protestations comme quoi j’étais fiancée n’y ont rien fait. Et puis c’est vrai qu’être fiancée n’empêche pas de s’amuser un peu.
Punch des iles, danses lascives, frotti-frotta, ce fut très « hot ». Baptiste est un martiniquais peu séduisant (petit et gros), mais très sympa. Je l’ai laissé me tripoter et embrasser dans le cou. C’était drôle.
Nous sommes revenus tous les 4 au bungalow.
Paul et Sophie se sont enfermés dans la chambre. Baptiste a voulu partager mon canapé. J’ai refusé. Il a voulu m’embrasser, je l’ai repoussé. Il m’a réclamé une pipe, je lui ai dit de partir.
Pas démonté pour un sou, il est allé demander à Sophie et à Paul s’il pouvait se joindre à eux.
A ma grande stupeur, Sophie a accepté après m’avoir demandé si j’étais sure que ça ne me dérangeait pas.
Ils se sont enfermés tous les 3 dans la chambre.
Et moi je suis restée toute seule comme une gourde dans le salon.
Et pendant une heure j’ai eu droit aux grognements de plaisir de ces deux mecs et aux orgasmes bruyants de Sophie.
L’attitude de Sophie me dégoute. Elle se comporte comme une salope.
Et puis je regrette de ne pas avoir son audace. De ne pas, moi aussi, savoir profiter de la vie.
Toutes ces réflexions m’ont empêchées de dormir et me voilà à 9h30 du mat à écrire mon journal !
Quelle conne !

MARDI 20h
Ça y est j’ai osé !!!
Je suis un peu honteuse, mais j’ai osé ! Et ça me rend heureuse.
Revenons là ou j’en étais la dernière fois.
Vers 10h ce matin, il y a encore eu des bruits dans la chambre de Sophie. A quelques minutes d’intervalle j’ai entendu les cris de jouissance des deux garçons. Puis les deux noirs sont sortis de la chambre, ils étaient tout nus !
J’en fus choquée. Je n’osais pas regarder leurs bites, mais mon regard était comme hypnotisé pas ces boudins noirs. Paul était membré comme un taureau. Sa bite à moitié en érection devait faire au moins 20 cm, très grosse et avec des couilles énormes. Celle de Baptiste était plus modeste, à peu près le même calibre que celle d’Olivier.
Voyant que mon regard était concentré sur sa bite, Paul a été vulgaire. Il m’a dit :
« Regarde ce que tu rate ma petite. T’auras pas souvent l’occasion d’en avoir des comme ça dans ton cul. »
J’en fus très choquée.
Enfin ils se sont rhabillés et ils sont partis.
J’ai rejoint Sophie dans la chambre.
Elle était réveillée mais elle restait allongée, toute nue, au milieu d’un bordel incroyable. Lit défait, préservatifs usagés, mouchoirs en papier froissés un peu partout. Et une odeur acre de transpiration et de sperme.
Elle est enfin sortie de sa torpeur.
« Tu ne m’en veux pas ?» m’a-t-elle dit.
Mon sentiment oscillait entre le dégout et la jalousie. Mais je n’ai rien laissé paraître.
« Tu fais ce que tu veux. Je ne suis pas ta mère. Mais ils sont un peu nuls tes copains.»
« Tu as raison, mais je ne regrette rien. J’ai pris mon pied comme jamais. Et puis c’était mon rêve depuis longtemps d’essayer la double pénétration. Là j’ai été servie ! J’ai joui 3 fois comme ça. Tu te rends compte, 3 fois ! Il faut que tu essayes, c’est à la fois bestial et génial ! »
Je me doutais qu’ils n’avaient pas passés la nuit à enfiler des perles, mais de là à pratiquer de telles horreurs !
Ce qui me fait chier, c’est que la double pénétration est mon fantasme N°1. Quand je me masturbe il m’arrive souvent de m’imaginer prise par deux hommes (inconnus et brutaux) en même temps.
Mais ce n’est qu’un fantasme. Jamais je ne le ferais.
Sophie m’a réclamé une crème apaisante contre les irritations. Ses trous ont été un peu trop malmenés cette nuit. Elle doit se soigner et se reposer si elle veut être utilisable ce soir. Nous avons plaisanté et bien rigolé en faisant diverses allusions cochonnes.
Après le déjeuner, je fut encore draguée par le beau garçon de plage qui me plait beaucoup. Par jeu, j’ai accepté de prendre son numéro de portable. Il m’a précisé qu’il finissait son service à 14h30 et qu’il était disponible à tout moment.
N’ayant pas dormi de la nuit, j’ai décidé de retourner au bungalow, tandis que Sophie devait faire des courses toute l’après-midi. Je me suis mise à ruminer toutes mes frustrations. En plus les vacances se terminent dans 2 jours. Ça c’est si vite passé. Sylvie en aura bien profité et pas moi. C’est ridicule !
Et puis Sophie a raison. Faire l’amour, c’est prendre du plaisir et en donner. Il n’y a rien de mal là dedans ! Après tout, je suis libre. J’ai le droit de m’amuser un peu. Je ne suis pas une nonne, je n’ai pas fait vœu de chasteté. Je ne dirais rien à Olivier et tout le monde sera content.
Après quelques minutes d’hésitation, j’ai fini par téléphoner à Teddy le plagiste.
Il a bien deviné ce que je voulais et il est venu me rejoindre tout de suite.
J’avais un peu d’appréhension d’être mal à l’aise avec un homme que je ne connais pas. Je suis avec Olivier depuis 3 ans. 3 ans sans connaître d’autres hommes.
Mon Apollon à la peau si douce a pris les initiatives et je me suis laissée faire.
Tout y est passé : baisers passionnés, caresses, cuni, pipe, puis baise en missionnaire. J’ai joui très vite, tellement j’étais excitée.
Il a voulu ensuite me sodomiser. J’ai refusé.
Mon refus l’a surpris. « J’aurais pensé que tu était une adepte de l’enculage comme ta copine. »
Il m’a alors raconté que lui et quelques autres employés de l’hôtel, faisaient une sorte de compétition à qui se taperait le plus de touristes. Ils se racontent ensuite leurs exploits et se refilent les bons coups. C’est ainsi que Germain s’était vanté d’avoir enculé plusieurs fois Sophie et qu’elle avait adoré ça.
J’étais un peu dégoutée d’être un nom rajouté à la liste de ses conquêtes. En plus il a voulu que je le branche avec Sophie.
Je n’ai pas voulu montrer mon désappointement et puisqu’il n’avait pas encore joui, j’ai fini Ted en le suçant (je n’ai pas avalé). Et je lui ai dit de partir.
Teddy a voulu me revoir ce soir ou demain. J’ai refusé, prétextant des sorties prévues avec Sophie.
Quel salaud ! Et en plus ma jouissance avait été quelconque. Moi qui rêvais du Big Orgasme … Je suis déçue. Terriblement déçue. Et je crois que cette déception vient du fait que Teddy a une petite bite. Depuis des jours je m’imaginais dans les bras d’un beau noir avec une très grosse queue – le mythe du nègre bien membré a la vie dure-. Cette frustration avait gâché mon plaisir.
Mais je suis contente de moi. Contente d’avoir assumé mes désirs. Contente d’être libre.
Au retour de Sophie, je lui ai tout raconté. Ce que j’avais fait et aussi ma déception.
Elle a aussitôt téléphoné à Paul. Elle lui a demandé tout de go s’il avait un copain à me présenter et s’il était très bien membré ce serait encore mieux. J’en ai rougit de honte.
Paul a demandé quelques minutes. Il a rappelé en fixant un rendez-vous pour ce soir dans un café musical. Il sera avec un dénommé Harry, un collègue de travail (ils bossent à la mairie de Fort De France).

MERCREDI 13h30
Bon sang quelle nuit !
Pourvu que personne ne lise ce journal. Il faudra que je le détruise.
Où en étais-je ? Ah oui :
Nous avons retrouvé Paul et Harry au café à 22h.
Harry est un métis, très élégant, la quarantaine, grand et musclé, très beau malgré un début de calvitie.
La conversation fut légère avec beaucoup d’allusions sexuelles. Parfois ils se parlaient entre eux en créole. Nous avons beaucoup bu et beaucoup rit.
Vers minuit nous sommes revenus au bungalow. Sophie et Paul ont décidés de nous laisser la chambre à moi et Harry.
Les effets de l’alcool avaient fait s’envoler toutes mes inhibitions. Harry me paraissait le plus bel homme de la terre et j’étais prête à tout lui donner. Sa maturité me rassurait. J’étais bien.
Nous nous sommes mutuellement déshabillés. Nous nous sommes caressés. Nous nous sommes embrassés.
Harry m’a complimenté sur ma beauté. Je n’ai pas osée le complimenter sur sa bite. Pourtant elle le méritait ! Un monstre ! Noir, luisant, gigantesque.
J’ai essayée de le sucer, mais le gland remplissait toute ma bouche et m’étouffait. Je me suis contentée de le lécher et le branler en même temps.
Harry mit un préservatif.
J’ai eu un peu peur quand il a présenté son sexe à l’entrée de mon minou.
Il fut doux et attentif, et c’est rentré facilement.
Il faut dire que j’étais trempée.
Voilà un homme qui sait baiser ! Un vrai pro ! Je sentais chaque mouvement du monstre que me ramonait la chatte. C’était délicieux.
Je me suis laissée emporter. Et sans avoir à me caresser le bouton, je suis partie dans un orgasme fulgurant.
J’ai crié –ce que je ne fais jamais-. J’en ai peut-être rajouté un peu pour faire comme Sophie.
Harry était très fier de lui. Il pouvait l’être !
Il a continué un peu sa pénétration puis il est sorti. J’en ai profité pour le lécher et le branler à nouveau.
Du salon nous sont parvenus les cris de jouissance de Sophie.
« Ta copine doit se faire enculer. Paul m’a dit qu’elle adore ça. »
« Tu vas voir, c’est aussi ma spécialité »
Il alla chercher un flacon d’huile dans son pantalon et il me demanda de me mettre à 4 pattes.
Je m’attendais à cette demande et peut-être même que j’en rêvais …
Après la jouissance qu’il m’avait offerte, je n’ai pu qu’accepter de lui faire ce plaisir. Je lui ai demandé d’être doux et d’arrêter si jamais j’avais mal. Avec Olivier la douleur est supportable, mais avec cette bite énorme ça risquait d’être plus compliqué.
En effet il a fallut qu’il s’y reprenne à plusieurs fois pour arriver à rentrer.
Est-ce l’excitation ? Est-ce l’huile qu’il a utilisée ? J’ai eu un peu mal, mais rien d’insupportable.
Il a progressé lentement. Toujours très attentionné.
Avec ses doigts enduits d’huile, il a commencé à me caresser le clito et la pointe des seins.
Quand il a constaté que j’appréciait, il a commencé ses va et vient. D’abord petits et lents puis profonds et plus rapides.
La brulure était toujours là mais elle n’avait plus d’importance.
C’était dément !
J’étais dans un autre monde. Seul mon plaisir comptait.
A chaque mouvement je sentais parfaitement ce gourdin coulisser dans mes entrailles. Je ne pouvais m’empêcher de pousser des cris. J’en voulais encore et encore. Et ses doigts magiques me faisaient frissonner à chaque caresse sur mon bouton ou sur mes mamelons.
Ce fut des minutes et des minutes de bonheur (je n’avais plus la notion du temps). J’étais comme en transe, transpirante, vibrante, haletante. e par le sexe.
Il a appuyé plus fort sur mon clito et c’est parti ! Le Big Orgasme dont je rêvais ! Le délire total !
Harry m’a dit que j’avais hurlé (je ne me suis pas rendu compte).
Quand j’ai repris mes esprits, Harry était allongé à coté de moi. J’étais couverte de sperme.
« On peut dire que tu es une sacrée salope toi ! » M’a-t-il dit.
J’ai pris ça pour un compliment.
Pour lui aussi cela avait été grandiose. Il m’a expliqué que les martiniquaises ont des fesses rebondies ce qui fait que la pénétration ne peut pas être complète. Avec moi il avait pu enfoncer ses 25 cm dans mon cul et c’était génial. Il m’a dit avoir connu avec moi la meilleure sodomie de sa vie.
Cela m’a fait très plaisir.
J’ai enfilé une culotte et je me suis précipitée dans la salle de bain. J’avais une furieuse envie d’aller aux toilettes et il fallait que je me lave.
Sortie des toilettes, Sylvie m’a confirmé que j’avais crié comme une dingue et qu’elle avait eu peur que l’on m’ait assassinée. Je l’ai rassurée, c’était bien de la jouissance.
Sylvie était crevée. Elle est partie dormir dans la chambre, nous laissant tous les 3 dans le salon.
Nous avons picolé du rhum.
Harry était en slip, Paul tout nu. Curieusement cette situation ne m’a pas gênée.
L’ambiance était détendue. Les hommes parlaient souvent entre eux en créole. J’ai deviné qu’ils se racontaient leurs exploits au lit.
Les garçons se sont mis a bander. Paul a proposé un plan à 3. Harry était partant. J’ai refusé. Il a voulu que je le suce. J’ai encore refusé.
Avec le recule, je regrette de ne pas avoir accepté. Une occasion comme celle-là ne se représentera peut-être jamais. Tant pis …
Paul n’a pas insisté. Il a décidé de partir. Harry n’a pas voulu l’accompagner, prétextant un truc à terminer.
Paul est parti.
Le truc à terminer, c’était me baiser encore une fois.
J’étais fatiguée et assommée par l’alcool. Mais je l’ai laissé faire.
Il m’a allongée sur le canapé, les jambes en l’air. Lui est resté debout. Il m’a massé avec son huile miracle et il a présenté sa bite (avec préservatif bien sur) sur mon anus. C’est rentré sans aucune difficulté ! Aucune douleur.
Il a ensuite fait rentrer plusieurs doigts enduits d’huile dans ma chatte. C’était comme une double pénétration !
Avec cette grosse bite et ces gros doigts en moi j’aurais du ressentir pleins de choses, de la douleur, du plaisir, etc … Mais non rien ! J’étais éteinte.
Les secousses de plus en plus violentes m’empêchaient de m’endormir.
Après quelques minutes de ce traitement, Harry s’est mis à grogner et il a envoyé la purée.
Il était déçu que je n’ai pas joui. Moi j’avais juste envie de dormir.
Il est parti.
Sophie et moi nous nous sommes réveillées vers 11h.
Sophie a voulu des détails de ma nuit. Je lui ai dit que je n’avais rien fait avec Paul. Je lui ai confirmé que Harry avait une bite énorme et que cela avait été grandiose. Malgré son insistance, je n’ai pas donné les détails de mes pratiques. Je ne suis pas exhib comme elle. Je lui ai demandé de me passer la crème contre les irritations. Ça l’a fait marrer. Cette crème aura beaucoup servi lors de notre séjour, le tube est presque vide.
On repart ce soir pour la France. Il faut profiter de nos dernières heures ici pour faire quelques emplettes de souvenirs, faire nos valises, aller une dernière fois à la mer…
Il a fallu aussi faire un peu de ménage. Récolter les préservatifs, ramasser les mouchoirs, essayer de masquer les taches de spermes et les taches marron (quelle horreur !) et aérer les pièces.

MERCREDI 16h10
Harry est passé nous dire au revoir et nous souhaiter bon voyage.
Il n’avait pas d’autre idée derrière la tête (heureusement car mon anus et ma chatte sont endoloris).
En cadeau d’adieu il nous a offert des flacons d’huile de coco (l’huile dont il s’est servi cette nuit).
Je n’ai plus qu’à fermer ma valise et nous partons pour l’aéroport.

VENDREDI
Le retour en métropole fut difficile.
Fatigue du voyage. Décalage horaire …
Il a fallu raconter le voyage à maman, à Olivier, aux amis, … Quelle barbe.
Olivier a voulu savoir si Sylvie avait eu des aventures et avoir des détails croustillants. Il aurait bien voulu jouer les voyeurs. Je ne lui ai raconté que des généralités.
Coté sexe, j’ai prétexté une « tourista » pour justifier que je ne veuille pas baiser. Il me fallait bien 2 jours de repos pour que ma chatte et mon cul soit a nouveau présentables.
Olivier a eu droit à des fellations, c’est pas si mal.
Ce soir je vais me faire sauter pour la première fois depuis mon retour. J’ai peur de ne plus sentir grand chose. Peur d’être frustrée. Peur d’avoir pris gout à la bite de Harry …

FIN

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!