Journal De Vacances (2/2)

19 août


La journée a été – relativement – calme. Nous commençons peut-être à nous assagir… (non, c’est une blague, ça ne va pas durer).

Après-midi à la plage, comme c’est devenu une habitude. Liz et Günther n’étaient pas rentrés, et cette fois, c’est Samantha qui est venue avec nous.
Même si je suis restée discrète, Arthur et Carine se doutent que nous n’avons pas seulement papoté la veille ! Sam s’est tout de suite mise dans l’ambiance de notre trio. Nue, montrant bien sa chatte… Lorsque je lui ai demandé si elle aimerait qu’Arthur lui passe de l’huile solaire, elle a dit oui sans hésitation, avec un grand sourire.
Mon Arthur a d’abord été déstabilisé, mais je lui ai glissé à l’oreille qu’il pouvait faire comme avec moi. Et il ne s’est pas privé, le salaud ! Notre petite Allemande a eu droit à son massage recto verso, qu’elle ponctuait de petits gémissements très explicites, et elle a ouvert grand ses jolies cuisses, quand la main d’Arthur s’est approché de sa chatte. Comme il hésitait encore un peu, elle a guidé ses doigts vers son minou. Et elle a joui, en étouffant ses cris avec son poing enfoncé dans sa bouche.
Quand elle a repris son souffle, je lui ai dit, avec un clin d’œil, que je ne voyais pas d’inconvénient à ce qu’elle masse Arthur à son tour. Elle a rougi, mais je ne sais pas si c’était de la gêne ou du plaisir. Elle a commencé à lui passer de l’huile très sagement, même quand il s’est retourné sur le dos.
Quand elle a effleuré la queue d’Arthur, j’ai pris sa main pour la guider, et elle l’a branlé. Je n’ai pas eu besoin d’intervenir longtemps. Sa main a vite trouvé le rythme, allant et venant le long de la longue hampe, décalottant son gland.
A un moment, elle a vu qu’un couple près de nous l’observait. Au lieu de stopper les mouvements de son poignet, elle a regardé le couple en souriant, elle a continué, et elle a pris la bite d’Arthur dans sa bouche. Elle s’est agenouillée pour être plus à l’aise, laissant admirer sa chatte mouillée.


Elle l’a sucé avec gourmandise, et Arthur a joui dans sa bouche. Elle a presque tout avalé, et elle s’est relevée en me remerciant. Le foutre coulait au coin de ses lèvres… Carine n’en revenait pas.

Bronzage et baignades le reste de l’après-midi, pour nous quatre.
Quand nous sommes revenus à notre maison, Liz et Günther revenaient seulement de chez leurs amis. L’air fatigué… Je soupçonne ces amis d’être aussi libertins qu’eux !



20 août


Tout a commencé par un appel téléphonique de Liz, en fin de matinée, et là, j’aurais du commencer à me méfier.
Samantha avait tout raconté à Günther. Lui et Liz m’en voulaient beaucoup. Comment avais-je pu profiter de leur absence, et de la curiosité sexuelle de leur fille, si jeune, pour me livrer à de tels ébats avec elle ?
Ma conduite méritait une punition exemplaire.
Liz exigeait que je vienne seule chez eux, le soir même.
J’ai flippé toute la journée…
Carine et Arthur se demandaient ce que j’avais, et ils m’ont regardée bizarrement lorsque je leur ai dit, après dîner, que j’allais seule chez nos voisins, à leur demande.

J’ai eu juste et le temps de prendre une douche et de m’habiller, avant d’aller chez Liz et Günther. (j’avais reçu des consignes par SMS pour ma tenue : ma robe la plus transparente sans rien dessous, mes talons les plus hauts, maquillage chargé…).
En arrivant chez eux, j’ai vu un Porsche Cayenne immatriculé en Allemagne, garé sur l’allée à côté de leur Audi. Liz et Günther n’étaient donc pas seuls, et je ne savais pas qui était là… Je me suis sentie me vider complètement, et je tremblais en appuyant sur la sonnette.
Effectivement, il y avait un autre couple avec eux.
C’est Günther qui est venu m’ouvrir, et qui m’a reçue très froidement.
Il m’a emmenée sur la terrasse, au bord de la piscine, et il m’a présentée à Eva et Gerhard.
Liz était là aussi, et j’ai tout de suite remarqué sa tenue : corset en cuir noir, collant résille ouvert entre les cuisses, collier et bracelets en cuir noir aussi, chaussures à très hauts talons aiguilles.

Eva était habillée dans le même style SM : mini robe en cuir noir aussi, ultracourte, dont le décolleté découvrait à demi les aréoles de ses seins en pointes, et bottines à hauts talons.
- C’est Chloé, la voisine dépravée qui a abusé de notre petite Sam, sans même nous en parler avant, a dit Liz pour me présenter. Elle est là ce soir pour être punie.
- Elle va faire tout ce qu’on lui demande, a ajouté Günther. D’abord, tu vas être notre domestique, et nous servir, a-t-il ajouté à mon intention – et cette fois, je ne trouvais rien de charmant à son accent.
Un magnum de champagne était posé sur la table, dans un seau à glace, avec des flûtes, et des plateaux de canapés.
Je me suis dirigée vers la table, prête à remplir les flûtes, mais Liz m’a arrêtée, en me disant que ma tenue était trop pudique. Elle a empoigné le haut de ma robe, elle a tiré très fort. Une des bretelles a cassé, et le tissu s’est déchiré, découvrant mes seins nus.
C’est à ce moment là que j’ai aperçu des godes, un fouet, et d’autres accessoires sur une autre table.
Elle a pris deux petits anneaux reliés par une chaînette, elle a pincé mes aréoles pour les faire saillir davantage, et elle les a introduites dans les anneaux, avant de serrer de petites vis qui permettaient de les écraser.
Ensuite, j’ai du les servir tous les quatre, comme une simple bonniche. Ils parlaient entre eux, le plus souvent en allemand, sans me porter la moindre attention. Sauf pour soulever ma robe de temps en temps, me toucher, et constater en riant que je mouillais.
Après un long moment, Liz s’est levée du canapé.
- Bien, a-t-elle dit. On va s’occuper de cette petite salope !
Nous sommes tous rentrés dans le salon. Elle m’a passé un collier en cuir muni d’un anneau autour du cou, et des bracelets du même genre aux poignets et aux chevilles.
C’est alors que j’ai vu des cordes munies de mousquetons, suspendues aux barreaux de la mezzanine.
Liz m’a conduit jusqu’à ces cordes, elle m’a obligée à lever les bras, et elle a accroché les bracelets de mes poignets aux mousquetons.
Ensuite, j’ai du m’agenouiller, elle a entravé mes chevilles, et j’ai du ouvrir mes cuisses.
J’étais dans une position inconfortable, et la peur m’a gagnée quand j’ai vu Eva s’emparer d’un fouet.
Pour aggraver ma situation, Günther a accroché un poids à la chaînette qui reliait les pinces à seins, et j’ai senti douloureusement mes petits nichons étirés.
Le pire, c’est que je mouillais ! J’avais honte, j’étais humiliée, mais ma sève perlait sur mes petites lèvres.
C’est Eva qui a commencé à me fouetter. D’abord mes cuisses, puis mes seins.
J’ai poussé un premier cri, de surprise et de douleur mêlées.
Elle s’est interrompue lorsque Liz s’est approchée de moi.
- Tu ne devrais pas être encore habillée, a-t-elle lancé en déchirant complètement ma robe pour me l’arracher. Montre nous ce corps de petite pute !
Et les coups ont plu de plus belle. Sur mes fesses, mon dos, mes seins, mes cuisses. Je geignais, des larmes coulaient sur mes joues, ruinant mon maquillage, et des zébrures rouges apparaissaient un peu partout sur ma peau.
Ils étaient sans doute habitués de cette pratique, car ils savaient frapper assez fort pour me faire mal, sans aller jusqu’au sang.
Ils observaient mes réactions, comme si j’étais un animal, ils me doigtaient, et ils ont applaudi quand j’ai fini par atteindre l’orgasme. Je ne voulais pas. Mais j’ai joui…

Liz, maintenant nue ainsi qu’Eva, m’a détachée, et j’ai cru un instant qu’ils étaient satisfaits. Mais non…
Günther a entravé mes poignets derrière mon dos, il m’a prise par les cheveux, et il m’a conduite devant le canapé, sur lequel Liz et Eva s’étaient assises.
Pendant plus d’une demi-heure, j’ai du les lécher, sucer leurs clitos, glisser ma langue dans leurs fentes. Ils ont joui à leur tour, l’une après l’autre, sous l’œil amusé de leurs maris.
Et puis, je suis devenue la chose des deux hommes, allongée sur une table.
Ils m’ont prise par tous les trous, se relayant pour défoncer ma chatte et mon petit trou, ou pour se faire sucer.

Le pire, c’est que j’aimais ça… Leurs superbes bites, leur endurance… Je n’ai pas pu compter mes orgasmes !
Ils ont fini en me prenant en sandwich, et en me couvrant de foutre.
Vers 2h du matin, alors que les deux couples me laissaient un peu de répit, Liz a eu une idée (mais c’était sans doute prémédité).
Ils m’avaient souvent traitée de chienne pendant leurs jeux ("Hundin" quand ils oubliaient de parler français), et Liz a annoncé que c’était l’heure de ma promenade.
Elle m’a mise en laisse, elle a entravé mes poignets dans mon dos, et j’ai du remettre mes chaussures. Ils m’ont fait sortir. A poil, les cheveux en désordre, avec mon visage barbouillé de maquillage et de sperme…
Ils m’ont fait monter dans la Porsche, et m’ont conduite jusqu’à la promenade du bord de mer. Là, ils ont garé la voiture, et ils m’ont obligée à descendre, pour me faire marcher sur le trottoir.
A cette heure-là, il n’y avait plus la foule. Juste quelques groupes, surtout des jeunes, se promenant en rentrant après avoir fait la fête. Leurs regards sur moi… On ne peut pas imaginer ce que je ressentais.
La honte. L’humiliation suprême. J’étais un peu rassurée en pensant que, dans trois jours, je serai loin, que ces gens ne me connaissaient pas, et j’ai commencé à mouiller, malgré moi.
Mais à un moment, Liz a lancé: "ça fait un moment qu’elle n’a pas fait pipi, notre petite chienne française"…
Ils m’ont obligée à m’accouver au pied d’un palmier. Je n’arrivais pas à pisser, Liz et les autres me regardaient et s’amusaient de me voir.
Des passants approchaient. Ils écarquillaient les yeux en m’apercevant.
Parmi eux, il y avait deux Françaises, et j’ai entendu leurs commentaires :
— Quelle salope ! Décidément, ces Allemands quand ils se lâchent, ils font n’importe quoi.
Et puis, tout d’un coup, j’ai fait pipi. Longtemps. J’entendais le bruit du liquide qui giclait dans la terre.
A ce moment-là, j’ai joui ! Je me suis mordue les lèvres pour ne pas crier.
Mes quatre "tortionnaires" étaient contents (je soupçonne même Liz d’avoir joui aussi…). Ils m’ont fait remonter en voiture, et nous sommes rentrés pour poursuivre la soirée.
Car ce n’était pas terminé…
Liz et Anna se sont mises à me caresser. Avec douceur cette fois. J’étais fatiguée, mais elles s’y prenaient si bien que je me suis mise à gémir, mes seins se sont dressés. Je mouillais…
Leurs maris me mataient, et bandaient à nouveau.
Gerhard s’est allongé sur le carrelage, la bite dressée à la verticale, et les deux femmes m’ont guidée pour que je vienne m’empaler sur sa queue.
L’énorme gland a disparu très vite dans ma fente, encore ouverte, et on m’a obligée à me pencher en avant.
Günther s’est agenouillé derrière moi, et je me préparais à le recevoir dans mon petit trou. Sauf que… Comme son copain, c’était mon minou qui l’intéressait !
J’ai senti une deuxième verge forcer l’entrée de ma fente. Je criais "non !", "je ne pourrai pas, elles sont trop grosses !" En vain.
Il a fini par s’enfoncer en moi, lentement. Puis Gerhard m’a pris par les hanches pour me faire bouger. Et Günther s’est mis à aller et venir. C’était ma première double pénétration vaginale…
J’avais mal, mais c’était fabuleux !
Bientôt, la douleur a disparu, remplacée par une excitation inconnue. Et j’ai joui, avant qu’ils inondent ma grotte de deux torrents de sperme, et je me suis écroulée, au bord de l’évanouissement.
C’est Liz qui m’a aidée à me relever. Elle était maintenant très douce, et elle m’a embrassée, sensuellement.
Nous avons bu un dernier verre, tous les cinq, et elle m’a avoué que tout ça n’avait été qu’une mise en scène. Jamais ce que j’avais fait avec Samantha ne les avait mis en colère. Au contraire…
J’ai pu prendre une douche chez eux avant de rentrer. Nue, puisque ma robe était en lambeaux ! Mais heureusement, je n’ai croisé personne.




21 août


Je me suis levée à plus de midi !

Pendant tout le repas, j’ai engueulé Carine, en lui reprochant d’être responsable de ce qui m’était arrivé la nuit dernière.
Elle a fini par se sentir mal à l’aise, et par admettre qu’elle me devait une "punition"…
Là, j’ai sorti les pinces à seins que j’avais portées la nuit précédente, et que Liz m’avaient prêtées, et j’ai dit à Carine qu’elle devrait les arborer à la plage.
Je les ais mises en place, serrant fort les vis. Les nichons de Carine étaient bien durs et gonflés, et la pression des vis faisait saillir encore plus ses jolies pointes. Elle avait sûrement mal, mais elle n’osait pas protester. Diabolique…
Elle a enfilé une robe de plage sur son string, et nous sommes parties toutes les deux.
Nous sommes arrivées sur la plage en même temps que Liz et Günther.
A peine marchions nous sur le sable que j’ai ordonné à Carine d’enlever sa robe, sans attendre d’atteindre la zone où on peut pratiquer le nudisme.
Il y avait du monde à cette heure, et tous les regards se sont portés sur Carine, avec son string minuscule, ses fesses nues et ses seins pincés. Elle était gênée, toute rouge, et Liz en a rajouté une couche en lui disant qu’elle était invitée chez eux ce soir… Seule aussi.
Après, nous nous sommes mis à poil tous les cinq, et elle a du rester tout l’après-midi avec ces anneaux qui ornaient ses nichons, passant entre les estivants allongés sur la plage pour aller à l’eau, subissant les regards des autres baigneurs…
Je sentais la mouille couler le long de mes cuisses.

Demain, ce sera notre dernière journée plage, avant notre départ.
Liz a une idée, pour elle et moi… Géniale !




22 août


Juste un petit mot sur la soirée d’hier (et une partie de la nuit) : Carine a bien dérouillé à son tour. Elle a aimé ça, la salope !

Pour cet après-midi, je vais quand même dire ce qu’on a prévu avec Liz…
Aller toutes les deux à la plage, avec des boules de geisha dans nos petites chattes. Les garder le plus longtemps possible. Jouir dans l’eau au milieu des baigneurs. Je crois qu’on improvisera des petits jeux ou des défis.
Avant de partir à la plage, j’ai mis en place mes boules de geisha dans mon minou. Je mouillais déjà…
Nous nous sommes retrouvés avec Liz et Günther pour faire le trajet ensemble. En m’embrassant, Liz m’a glissé à l’oreille que, elle aussi, portait ses boules.
Je n’avais rien dit à Arthur, ni même à Carine.
Déjà, le trajet jusqu’à la plage… Une . Enfin, une agréable. Carine me regardait du coin de l’œil, se rendant compte que j’avais "quelque chose de bizarre" dans ma démarche.
Je n’avais qu’une hâte : me foutre à poil. Aller me baigner, car mon string était trempé.
Quand je me suis mise nue, Carine a aperçu le cordon qui pendait entre mes cuisses, et elle a tout compris. Elle a fait des commentaires, un peu jalouse de ne rien avoir dans sa chatte, et Arthur a compris à son tour.
Je suis allée me baigner avec Liz. C’était… fabuleux.
Déjà, en passant entre les estivants allongés sur leurs serviettes. Sentir, en même temps que leurs regards sur nous, les boules bougeant dans ma grotte, chacun de mes pas provoquant un frottement des boules contre mes parois intimes…
Mais le plus fou, c’était en me baignant, surtout en nageant. Si des femmes veulent tenter l’expérience, je leur conseille la brasse… Chaque fois qu’on écarte et qu’on resserre les cuisses, c’est un feu d’artifice. Surtout que l’une des boules était juste sur mon point G ! J’ai joui. Oh putain, qu’est ce que j’ai joui fort.
Et Liz était dans le même état que moi. On n’osait plus sortir de l’eau.
On a fini quand même par rejoindre les autres, et par nous calmer un peu. Enfin, pas longtemps…
J’ai lancé un défi à Liz (dont je connaissais d’avance le résultat) : elle devait se faire jouir sur sa serviette, seulement en bougeant son bassin. Interdiction de se toucher.
Ça a marché. Ma belle Allemande a pris tout son temps. Elle ondulait des hanches, frottait ses fesses sur son tapis. Cuisses écartées. On voyait la mouille qui coulait de sa fente. Elle ne cherchait pas à dissimuler son plaisir, et on lisait ce qu’elle éprouvait sur son visage.
J’ai failli avoir un orgasme avant elle…
Et puis soudain, elle a crié quelque chose en allemand. Elle s’est cambrée, les seins pointés vers le ciel. Elle a joui, en giclant sur sa serviette.
Ensuite, ça a été mon tour.
C’était encore plus difficile pour moi de faire durer le plaisir, vu mon excitation. Surtout avec Arthur et Günther qui étaient assis en face de moi, et qui bandaient. J’avais envie qu’ils m’enculent, avec les boules dans ma chatte.
J’y ai trop pensé, et je suis venue plus vite que je le voulais.
Nous nous sommes encore un peu amusées avec Liz, pour mon dernier après-midi sur la plage. Liz aime s’exhiber autant que moi. Nous avons marché jusque devant la zone où il n’y a pas de nudistes, en cherchant à amplifier les mouvements des boules, et nous étions toutes les deux trempées à notre retour…
Pour finir, juste avant de partir, Liz m’a mise au défi d’enlever les boules de geisha très lentement, en faisant en sorte qu’un maximum de gens le remarquent.
Je me suis mise à genoux. J’ai écarté les cuisses. Et j’ai fait sortir lentement les boules, en contractant les parois de ma chatte, pour freiner le mouvement et mieux les sentir.
Les regards sur moi ! Ohlala…. Heureusement que nous partons.
Liz m’a imitée, et l’orgasme que je retenais a explosé dans mon ventre, pendant que je la regardais.


Voilà, demain, c’est le retour vers la grisaille, la ville, le travail… Ces vacances ont été trop courtes.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!