Cécilia

Dans mon dernier récit, ma copine et sa soeur avait franchi une limite pour me faire plaisir :

http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=18514

Bien qu'elles ne souhaitaient plus recommencer, j'aimais trop les voir se lécher et jusqu'à la fin du séjour de Sonia chez nous, je les y obligeai de nouveau.
Il ne fallait pas franchir la ligne rouge, j'étais devenu fou d'elles et je comptais bien en profiter. Les deux sœurs étaient à ma merci et ne contrôlaient plus la situation. Je leur faisais tout sans ménagement et les obligeais à s'échanger mon sperme de bouche en bouche. Nous dormions tous les trois dans le même lit et je me réveillais la nuit pour baiser Sonia pour ensuite finir dans la bouche de ma copine. Je sodomisais cette dernière en la faisant lécher la chatte de sa sœur.

Bref... Sonia rentra chez elle et cela laissa un grand vide...dans notre lit.

Les rapports avec ma copine, après cette séance, restèrent un moment aussi chaud. Je sentais malgré tout un malaise chez elle. Après en avoir parlé elle me confia avoir terriblement honte de se que nous avions fait. Elle aurait pu le faire avec une autre femme mais le fait de l'avoir fait avec sa sœur le rongeait de l'intérieur. Sonia était encore plus honteuse que sa sœur car c'est elle qui franchit le cap la première. Par contre, sa honte ne l'empêchait pas de se déchainer sur son copain, revenu vers elle. Elle avait confié à ma copine qu'elle le suçait à la moindre occasion, pour son plus grand plaisir.
Les deux sœurs voulaient à tout prix tirer un trait et oublier notre expérience. Jamais plus je ne retoucherai les formes généreuses de Sonia. Je l'acceptai avec difficulté mais sans le montrer aux filles. Quelle déception...

Deux années passèrent. Béatrice et moi avions acheter une maison dans mon village d'enfance. La vie suivait son cours. Notre vie sexuelle en avait pris un sacré coup. Béatrice avait sombré dans un profonde dépression.

Ses problèmes d'enfance ne cessaient de refaire surface. Elle était devenu très passive et lorsque nous faisions l'amour, je sentais bien qu'elle attendait que je jouisse pour être débarrassée.
J'avais parfois recours à des prostituées pour satisfaire mes fantasmes mais bien vite, le manque de moyen m'obligea à rester en manque. Je me masturbais en pensant à toutes mes anciennes partenaires et à toutes mes connaissances féminines.

Un jour, une nouvelle occasion se présenta à moi. Mon meilleur ami avait un problème avec sa machine à laver et je devais lui installer un accessoire sur l'arrivée d'eau de celle ci. Sa copine, qui d'ordinaire ne m'attirait pas plus que ça tellement elle est chiante avec sa voix stridente, était devenu un de mes fantasmes à cause de mon manque. J'eus donc l'idée de passer chez eux alors que mon ami travaillait. Il était au courant et avait préparer le chantier.
Il était 14h et je toquai à la porte.

Cécilia : Ah salut Nelson, ça va ?

Nelson : Oui et toi ? Je viens installer le machin pour la machine à laver.

C : Oui, Jérôme m'a dit que tu allais passer. Fais pas trop de bruit le gamin est au lit.

N : Ok je descends au sous sol. Je vais couper l'eau, t'as rien qui tire en ce moment, pas de lave vaisselle ?

C : Non c'est bon et je viens de prendre ma douche donc c'est tout bon.

Cécilia avait encore les cheveux mouillés. Elle les avait court et les coiffait avec du gel pour faire en brosse derrière et plaqué devant. Le fait de la voir les cheveux mouillés et tout plaqués était nouveau pour moi et je la trouvais joli. Elle était en débardeur blanc sans soutient gorge. Ses seins étaient petits mais c'est la première fois que je voyais Cécilia ne prenant pas la peine de les soutenir. Elle portait en leggings noir et je ne voyait pas non plus de culotte dessous. J'arrivais peut être à l'improviste et mademoiselle ne portait peut être pas de sous vêtements à la maison.
Ensuite je me suis souvenu d'une conversation lors d'une soirée. Cécilia avait un parlé franc et souvent elle nous racontait sa vie sexuelle avec Jérôme (qui n'aimait pas du tout lui). Une fois elle nous confia qu'elle ne portait pas de sous vêtement pour faire le ménage. Sois disant que c'était plus confortable...
J'en profitais donc pour lui faire la remarque pour voir sa réaction :

N : Tu va faire le ménage non ?

C : ...Heu ouais...Ah le salaud !!! Tu as retenu ça toi hein !

On riait ensemble, comme d'habitude.
Je descendais dans le sous sol et commençai mon bricolage. Au bout de 20 minutes, Cécilia me rejoignit avec une paniette de linge à laver.

C : C'est bon c'est prêt ?

N : Ouais tiens, je vais remettre l'eau et on va voir ça...

C : Je peux remplir ma machine ?

N : Oui oui vas y, je vais ouvrir l'eau.

Je m'éloignai de la machine pour aller à la vanne. A mon retour, je matai le cul de Cécilia, baissée pour remplir la machine. Son leggings devenait plus clair quand il était tendu. Ah la salope, j'en pouvais plus mais je devais bien me tenir. C'était quand même une amie et de plus elle était avec mon meilleur ami !
Je me penchai sur la machine pour ouvrir l'arrivée d'eau.

N : Bon ben voilà, ça marche. Plus de coup de bélier dans vos tuyaux ! (j'avais envie de lui en mettre un de coup de bélier!)

C : Ok, merci Nelson ! Combien je te dois ?

N : Oh, arrêtes, en plus c'est un truc que j'ai récupérer du boulot. Jérôme me rendra bien service aussi !

C : T'es sur ? Là c'est moi que tu rends service et ton copain ça fait un moment que je lui demande et tu sais comment il est !

J'en pouvais plus, j'avais envie d'elle. Il fallait que je lui fasse comprendre mais j'avais peur des conséquences. Je décidai de lui demander quelque chose sur le ton de l'humour.

N : Oh ben je sais pas moi... t'as cas me sucer (je riais bêtement)

C : Oh t'es con toi !

On riait jusqu'à faire silence.
On se regardait sans trop savoir quoi dire...

C : T'étais sérieux là ?

N : Nan je suis désolé, je voulais pas te gêner, c'était une connerie (j'étais en panique intérieurement)

C : Mouais... Ça va pas avec Béatrice ou quoi ?

N : Pas tellement mais pourquoi tu me demandes ça ?

C : Si tu veux que je te suces c'est que tu n'as pas ce qu'il te faut à la maison.

N : Mais non, arrêtes c'était une connerie... Vas pas raconter ça à Jérôme et à Béatrice, s'il te plait...

C : Ok mais à une condition.

N : Laquelle ?

C : Dis moi la vérité !

N : Et ça t'avancera à quoi, c'est une connerie je te dis !

C : La vérité ou je le dis ! (Cécilia riait de son pouvoir sur moi)

N : ... Oui j'ai envie que tu me suces... T'es contente ? Tu vas balancer ?

C : Mais non, n'ai pas peur, alors comme ça je te plais ?

Cécilia retira son débardeur et son leggings à une vitesse inimaginable.

C : Çà sera notre secret ! Baises moi parce que ton copain est trop fatiguer pour le faire ! Prends moi comme tu veux je fais tout !

Cécilia était donc aussi en manque que moi !
Nu une ni deux, je l'embrassais à pleine bouche et la pelotais dans tous les sens et tous les trous.
Je la couvrais de baisers et la traiter de petite salope, ce qui semblait lui plaire tellement elle gémissait.
Je la fis s'assoir sur la machine à laver. Elle écarta ses jambes et sa chattes avec ses doigts sans que je lui demande.

C : Vas y bouffes moi la chatte ! Et le cul aussi !

Je m'exécutai avec grand plaisir. Ma langue et mes doigts alternèrent entre ses deux trous pendant plus de 10 minutes. Son cul semblait se dilater à vitesse grand V. J'écartais ses fesses au maximum jusqu'à voir un trou légèrement ouvert.

N : Putain tu dois te faire enculer quand même pour avoir un cul ouvert comme ça !

C : Non même pas ! Ton copain c'est un gros fainéant je te dis.
Je me mets plein de truc dedans par contre et je l'entretiens très bien.

N : C'est vrai qu'il sent bon, tu fais comment ?

C : Je me fais des lavements parfumés, sinon ton copain n'irai même pas me bouffer la chatte !

A ces paroles, je me redressai net. Je fis descendre Cécilia de la machine à laver, la tourna, et la pencha dessus. Elle avait poser sa tête une serviette sur la machine et avait de nouveau écarter ses fesses, comme si elle savait ce qui l'attendait.
Ma queue rentra d'un seul coup dans son anus. Mes mains placées sur ses hanches, je me suis mis à la pistonner de toute mes forces.
Cécilia en avait le souffle coupé mais elle en redemandait.

C : Oui, défonces moi, je jouis !! Vas y à fond !

Malheureusement pour elle, ce traitement ne pouvais plus durer pour moi. Il fallait que je jouisse. Je me pouvais plus me retenir. J'éjaculai dans ses entrailles en grognant de plaisir. Cécilia se libéra et se retourna pour m'embrasser. C'était un baiser très sensuel. Elle me dit que même si ce sera dur, on recommencera un jour ou l'autre. Nous sommes restés un petit moment à nous embrasser. Cécilia se servie de sa serviette où elle avait posé sa tête pour me nettoyer le sexe.
Un dernier petit bisou et je repartais heureux comme un pape.

Plusieurs mois s'écoulèrent sans qu'on ne recommence. On avait jamais d'occasion. On en parlait jamais. On évitait de trop se regarder pour ne pas éveiller de soupçons. D'ailleurs on avait jamais l'occasion de se retrouver seuls.
C'est lors d'une journée dans un parc d'attraction que l'occasion se présenta. Nos s respectifs étaient chez leur grand parents et nous étions entre couple.
Cécilia et moi avions notre compte de manège à sensation forte. Alors que Béatrice et Jérôme faisaient la queue pour une nouveau tour, Cécilia m'entraina dans les toilettes pour me prodiguer une magnifique fellation.

Ce fut notre dernière fois ensemble. Je ne désespère pas d'attendre une nouvelle occasion.

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