Célia

Célia termine son verre : enfin. Elle traine pour me faire maronner. Je suis sa chérie comme elle est la mienne. Quand un copain commun Pierre arrive, elle est tout sourire. Il nous embrasse sur les joues. Je le soupçonne d’avoir embrassé Célia trop près des lèvres. Et bien sur il nous suit dans la chambre. Je pousse Célia vers le lit, je l’y fais coucher toute habillée. La ceinture du jean et vite défaite comme la fermeture éclair que je descends : en tirant sur le bas du jean je le lui enlève. Pierre est isolé dans la salle de bains. Je crois qu’il prend une douche. J’imagine sa queue qui bande.
Le string de Célia prend le même chemin il ne lui reste qu’un vague dessus en dentelle qui ne cache rien. C’est elle qui l’enlève en souriant. Elle est toute nue, je suis pressée d’aller embrasser ses secrets. Elle me le montre sans complexe, elle sait ce qui va lui arriver. Je me penche sur elle, sur sa chatte. Je ne fais qu’embrasser son minou. Mes mains sont sur la poitrine. Je sens ses pointes bander sous ma caresse. Elle est prête. Je suis vite nue à ses cotés. Sa chaleur corporelle se transmet sur moi, surtout qu’elle a posé ma tète sur son épaule. Ses cheveux s’égarent sur moi. Elle se retourne à peine pour m’embrasser. Que sa langue est douce dans ma bouche, elle me donne presque des envies de . Une de ses mains est sur mon ventre : elle caresse en me donnant des chatouilles qui passent vite quand elle vient dans ma fente. Je sens ses doigts dans mon intimité, sans encore savoir ce qu’ils vont me faire. Elle ne touche pas le bouton, dommage. Par contre elle les pose sur le vagin. Je mouille depuis un moment, il lui est facile d’enter. Je reçois deux doigts au fond du ventre. C’est agréable, sans plus, mais elle les fait aller et venir de plus en plus vite. Je peux vois son biceps se contracter quand elle me baise ainsi. Je me tends pour mieux sentir son étreinte. Je crois que mes fesses quittent le matelas, je vole en jouissant.


J’attendais ses caresses depuis le début de la soirée, au restaurant. Elle m’a donne mon premier orgasme, je vais le rendre. A mon tour de caresser tout son corps qui se plie à ma volonté. Je cherche son clitoris. J’aime caresser cet endroit : c’est souple, c’est surtout sensible. Je suis à plat ventre quand elle est sur le dos, juste à mes coté.
Il arrive, Pierre, le mâle est là avec sa queue qui le précède. C’est amusant à voir cette longue queue qui ne demande qu’une chose : un gite pour un moment. Il a le choix avec deux femmes aussi fondues de sexe l’une que l’autre. Il ne pourra pas nous satisfaire à la fois quoiqu’il en dise. Et même s’il le pouvait….
Il me pousse un peu. Je sors mes doigts de la fente de mon amante. Il vient sur elle : il me fait un beau sourire. Je regarde ce qu’il fait. Je vois que sa queue entre délicatement dans le vagin que j’aime. Célia pose ses talons sur les fesses de Pierre. Elle accompagne ainsi les va-et-vient. Ô je ne reste pas immobile, j’assiste peut être à la baise de mon amie, mais je me caresse aussi : je suis moins privée. Célia me demande de venir lui donne ma chatte. Je n’attends pas une seconde invitation : je suis sur sa bouche rapidement en tournant le dos à Pierre : je la sens lécher partout comme pour essuyer les traces de cyprine ou pour s’en régaler. Elle lèche mes pétales. Elle passe sa langue entre les deux lèvres. Enfin elle s’empare du bouton. Je gémis, je prends mon plaisir comme une affamée. J’allais jouir quand je sens un supplément de plaisir dans mon dos, : Pierre m’embrasse le épaules. Il ne m’a pas oublié, c’est charmant et gentil. Il me fait même un suçon : j’aurais ne belle marque près du cou. Il caresse aussi les fesses. S’il pouvait je sens qu’il avancerait son doigt vers l’anus. Célia se laisse aller : elle jouit. Pierre la laisse pour venir me demander poliment de me la mettre.
Je pourrais le branler, le faire juter pour avoir la paix.28-1 J’ai quand même envie d’avoir la chatte occupée par sa queue.
Je me tourne en abandonnant la bouche que me donnait du plaisir. Il me fait mettre en levrette. Je sens son ventre et ses cuisses contre mes fesses. J’espère qu’il me fera jouir mieux que la dernière fois où il avait jouit juste avant. Cette fois il caresse longuement les fesses en me faisant frémir. Il ne m’a même pas dit come il allait de farcir, ni où. Sa queue durcir dans la raie des fesses. Je ne le voudrais pas au cul encore : qu’il me baise avant.
Eros doit m’écouter puisqu’il pose le gland sur le vagin. J’y suis trempée. Il entre doucement, presque trop. Mais c’est bon, il me donne envie qu’il aille tout au fond. Je sens ses couilles contre mes lèvres. Sa queue est en moi, elle est bonne. Son pubis claque conte mes fesses. Et Célia qui se glisse sous moi qui rampe vers ma chatte. Sa bouche vient s’ coller en poussant les couilles de Pierre. La queue de Pierre et la langue de Célia, c’est le paradis sur terre. Gêné sans doute par la présence de Célia, Pierre abandonne mon vagin, il va chercher un gite plus approprié à ses gouts : il est sur mon petit trou. Il pose sa queue, il écarte les chairs, mes muscles se relâchent pour le laisser passer. Il m’encule formidablement. Je voudrais voir l’état du cul quand il est. Je sens bien ses va-et-vient. Je n’attends qu’une seule chose la délivrance par l’orgasme. J’en reçois eux à la place d’un, d’abord celui de Pierre dans le cul et moins de deux minutes plus tard le bon, celui que me donne Célia mon amante.
Pierre n’a été qu’une petite pierre dans notre plaisir qui a duré plus longtemps qu’il ne pouvait tenir. Pauvre homme.

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