Sandwichs

La dernière fois que j’étais en sandwich c’était avec mes amies Lucette et Brigitte. Nous étions chez moi, nous bavardions de sexe, des façons que nous aimions, de celles que nous n’aimions pas du tout ; Il se trouve que j’aime presque tout sauf avec les animaux. Lucette préfère se faire mettre par l’arrière en ayant une main sur son clitoris, et Brigitte adore baiser en levrette. Nous avons toutes en commun une préférence pour le cunnilingus ou l’anulingus. A force de parler nous devenions l’unes et l’autre désireuse d’avoir un contact physique. C’est Brigitte qui s’est levée la première pour me prendre dans ses bras. Nous sommes de la même taille, elle a posé sa tête sur mon épaule, sa bouche contre mon cou. Je sentais son souffle chaud sur moi, j’en avais des frissons. Nous voyant ainsi enlacées, Lucette est venue se joindre à nous. Elle était plus directe en mettant ses mains sur nos fesses.
Nous ne pouvions plus tenir, il nous fallait vite jouir ; peu importe la façon. C‘est moi qui est pris un sein de Lucette dans ma main pour la peloter, comme si je savais faire ce genre de choses. Je sentais la poitrine gonfler : elle avait elle aussi envie. Brigitte a passé une main sous mon chemisier en dentelle pour aussi caresser mes seins. Je ne sais plus trop à qui était la main qui après avoir caresser mes fesses est venue sous ma jupe. Sans réfléchir je l’ai laissé faire même et surtout quand elle est venue sur ma chatte. Heureusement que je ne portais pas de slip ou équivalent. Je sentais deux doigts caresser mon bouton. Je donnais mon ventre pour mieux profiter. Je sais seulement qu’une autre main est venue par derrière à la recherche de mon petit trou. Je l’ai laissé entrer là où jusqu’à présent seul mon mari qui était mon amant bien avant, me met sa bite avec succès. Là aussi le va-et-vient me donner les frissons qui ont fini par me faire jouir.
Il faut que je me réveille un peu, je me trouve prise en sandwich entre deux corps de filles.

A mou tour d’agir, je mets une main devant sous la robe de Brigitte et par derrière sur le jean de Lucette. Je rends comme je peux le même service à Brigitte pendant que Lucette fait tomber son pantalon et son string. Je les fais venir dans la chambre pour être mieux. Nous nous couchons aussitôt : je reste entre les deux copines. Je m’arrange pour avoir mes mains bien placées sur les deux chattes. Mon travail de sape commence : je masturbe les deux filles en même temps. Ma main droite est la plus habile, je fais jouir facilement Lucette. Elle vient par-dessus moi pour à son tour caresser le ventre le Brigitte. Elle ne résiste presque pas, elle jouit en couinant.
Nous sommes décidées à aller le plus loin possible. C’est encore une fois Brigitte qui m’attaque, je dois lui plaire plus que Lucette. Elle me déshabille comme un  : je suis nue devant des copines comme ça sur un coup de baguette pas magique mais presque. Lucette suit de suite après. Nous nous mettons à deux pour dépiauter Brigitte. Nous ajoutons maintenant nos bouches et nos langues pour échanger de profonds baisers.
Les bouches changent facilement de place pour aller embrasser les tétons. Pendant que nos bouches agissent, nos mains sont attirées par les sexes. Nos sources de plaisirs deviennent de vrais brasiers : nous avons toutes envie de jouir encore. Sans nous concerter, nous décidons de concentrer nos caresses sur la même. Lucette n’en demandait sans doute pas tant : Je me mets sur elle, en 69. Je me retourne pour qu’elle soit dessus. Ma bouche s’occupe de sa chatte avec bonheur, j’ai vite pris gout à sa cyprine. Ma langue entre dans son vagin, je l’y tourne pendant que celle de Brigitte cherche entre les fesses l’endroit ou nous savons que Lucette aime se faire mettre. Je peux voir la langue chercher le petit trou et quand elle l’a trouvé y entrer lentement. De bonheur, Lucette m’oublie un court instant.
Je peux voir quand Lucette jouit : elle est pleine de spasmes réguliers longs, très longs me semble-t-il.
Maintenant nous faisons à Brigitte la même chose. Elle se laisse faire jusqu’à un bel orgasme. Je ne m’occupais que de son cul.
A mon tour d’être torturée. Je reconnais au gout la chatte de Lucette. C’est donc Brigitte qui me lèche entre les fesses. C’est à croire qu’elle fait ça depuis des mois. Je me sens gémir, comme quand mon mari me sodomise. L’orgasme que je ressens est lié avec les deux bouches.
Nous arrêtons de nous baiser. Nous promettrons même de ne pas recommencer : serment d’ivrogne certainement.
Plusieurs jours plus tard, nous recevons notre cousin lointain Marc. Nous dinons avec trop d’alcool. Je me sens en forme, me semble-t-il. Je lui suis en un sens : j’ai deux hommes à ma disposition. Je veux en profiter. Je me lève de table éméchée pour me déshabiller. Une fois nue j’embrasse le cousin sur la bouche en l’invitant à me baiser : ça correspond à un de mes fantasme, me faire mettre devant mon mari. Pour lui son fantasme est de me prendre en double pénétration.
C’est André, mon mari qui nous guide dans la chambre. Marc me suit de très près. Je sens sa bite contre mes fesses. Nous sommes vite nus. Excitée comme je suis-je me donne facilement. J’ai les jambes avec leur compas bien ouvert. Je mouille plus que d’habitude. Marc vient sur moi, il entre trop lentement : je donne un bon coup de reins pour l’avoir vite dans ma chapelle ardente. Je vois la bite d’André grossir plus que de coutume. Il nous demande de nous retourner. Je me trouve dessus Marc avec toujours sa bite bien plantée dans mon ventre.
C’est moi seule qui fais les aller et venues. Sa bite coulisse en moi comme j’aime. Je suis contente de jouir autant, pourtant c’est la première fois que je trompe mon mari qui me le rend bien en venant sur moi. Il mouille mon petit trou en le caressant justement comme j’aime. D’un seul coup je sens sa bite contre mon anus.
Je prie le ciel pour qu’il me la mettre profond. Il doit entendre ma prière quand il pénètre lentement dans mon sphincter.
Que c’est bon quand il m’encule complètement.
Je sens deux bites dans mon ventre. Prise en vrai sandwich je jouis plusieurs fois d’affilé. Je pense rêver et pourtant je sens bien le poids de mon époux et le corps de notre cousin sous moi. Et ces va-et-vient qui n’en finissent pas de me faire jouir.
Malheureusement pour moi, je sens d’abord la pine qui lâche son sperme dans ma chatte, qui maigri jusqu’à être totalement débandée. Je sens encore moins bien la queue de mon époux dans le cul. D’un seul coup il jouit : j’en jouis aussi en même temps. Nous passons la nuit sur le même lit.
Au réveil je suis réveillé par un cunnilingus : je n’ai pas besoin découvrir les yeux je sais que la langue d’André est sur ma chatte.


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