Les Affaires Reprennent

Dans mon dernier récit, c'était au tour de Cécilia, la compagne de mon meilleur ami, d'assouvir mes désirs.

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La routine avait de nouveau repris sa place dans notre vie. Béatrice était toujours aussi dépressive mais elle faisait des efforts pour me satisfaire au lit. En fait elle ne prenait plus d'initiatives mais me sortait à chaque fois la même phrase : "Tu fais ce que tu veux".
Je faisais donc ce que je voulais d'elle, mais dans la limite du raisonnable et du possible. C'est à dire que Béatrice se retrouvait soit sur le dos ou sur le ventre et attendait que je lui décharge au visage ou dans la bouche, sur mes ordres.
C'était une nouvelle façon de faire l'amour pour moi. C'était tout pour moi, comme elle disait. Elle n'était plus qu'une fente et une bouche. Dans ses moments les moins dépressifs, elles me sortait des petites phrases qui m’excitaient bien comme il fallait. "Finis toi dans ma bouche", "Branles toi sur moi", et celle que je préférais car elle était rare, "Tu peux m'enculer".
Bien que je pouvais faire d'elle mon objet sexuel, à la maison, je n'avais plus le droit d'en profiter à l'extérieur. Fini les pipes dans les cabines d'essayages ou autres coïts dans les toilettes publiques. Béatrice voulait être tranquille et profiter de ses médicaments.
Je m'étais fait à cette nouvelle vie routinière. J'étais heureux comme cela et je ne pensais même plus à aller voir ailleurs.

Un événement nouveau allait bientôt changer notre vie. Après avoir dit ce qu'elle avait sur le cœur à son père, Béatrice se rapprocha de son demi frère et de sa demi sœur. Nous les avons accueilli quelques week end pour les sortir un peu des griffes de leur belle mère que personne n’appréciait. Léa était même venu quelques jours pour garder les s pendants les vacances de notre nounou. Elle voulait suivre les traces de sa sœur en travaillant dans le milieu médical.

Béatrice lui proposa donc d'intégrer l'école près de chez nous et de l'héberger.
J'avais connu Léa toute petite mais c'était devenu une très jolie jeune femme. Elle était mince et ressemblait aux gravures de mode qu'on pouvait voir dans les magazines. Elle avait un visage de petite fille malgré ses 18 ans. Elle avait eu un accident étant gamine et une cicatrice décorait une de ses joues. Lorsqu'elle était venu dormir à la maison, elle dormait en mini short et en débardeur, tous les deux moulant son corps de mannequin.
Lorsque Béatrice m'annonça qu'elle allait vivre avec nous, je ne pu m’empêcher d'avoir une pensée cochonne. J'avais de nouveau envie de gouter à une autre femme. Béatrice le devina et établie des règles : pas de sexe avec sa petite sœur, pas de conversations sur nos pratiques passées ou présentes, rien.
Si je devais jouir quelque part, c'était dans la chatte ou la bouche de Béatrice. Celle ci ne voulait plus aborder le sujet et surtout, je n'avais pas intérêt à créer un scandale dans la famille.
Comme si elle avait décelé une frustration de ma part, Béatrice avait changé ses habitudes au lit. C'était toujours un robot, mais maintenant elle était programmée pour être un peu plus cochonne.
Elle se plaçait plus souvent au dessus, parfois pour des 69, et maintenant elle avait pris l'habitude de se placer à genoux devant moi pour me regarder dans les yeux pendant que je jouissais soit sur elle soit dans sa bouche, ouverte en grand avec la langue tirée. J'appréciais ce changement de comportement. J'étais de plus en plus amoureux de ma femme et lui disais. Béatrice se blottissait dans mes bras après l'amour et nous étions de nouveau heureux.

Léa vivait maintenant chez nous depuis quelques mois. La cohabitation était bien établie, les passages à la salle de bain, les taches ménagères et les sorties/soirées TV, etc...
Mon ordinateur se trouvait dans le bureau/chambre d'ami où dormait Léa. J'avais donc des créneaux horaires pour y jouer les soirs où Béatrice travaillait.
Généralement, Léa regardait la TV dans le salon et s'y endormait lorsque je débordais un peu. On s'était mis d'accord et cela ne la gênait pas. Je la réveillais pour la prévenir que la place était libre. Quelques fois je l'observais dormir quelques instants. Elle était vraiment très belle et ses mini shorts mettaient bien ses petites fesses en valeur, surtout quand je la retrouvais les jambes fléchies sur son ventre.
Quand elle était trop fatiguée elle dormait directement dans son lit et je jouais avec un casque pour ne pas faire de bruit.
Je résistais à mes envies mais je ne me privais pas de regarder. Je fus comblé de bonheur quand Léa abandonna ses mini shorts/débardeurs pour passer des chemises de nuit pour dormir. Ce n'était pas des nuisettes à proprement parler car elle n'avaient pas de dentelle ou d'autre trucs affriolants. C'était du coton avec des motifs rigolos mais le truc qui ne m'échappa pas c'est que cela lui arrivait à mi cuisse.
Comme je l'avait prévu, lorsque Léa s’endormait sur le canapé, les quelques fois où elle se mettait en position du fœtus, je pouvais voir sa culotte. J'en vu de toute les formes et de toutes les couleurs. Dès le début, j’eus l'idée de les "répertorier" en prenant une petite photo à chaque fois. J'avais envie d'embrasser ces fesses que j'avais sous les yeux, et particulièrement quand la culotte était très étroite. La plus petite que j'eus le plaisir de voir dévoilait presque toutes les fesses de Léa. Pour la réveiller, je faisais du bruit en tirant la chasse des toilettes ou en baillant fortement depuis le fauteuil de mon ordinateur. Je ne voulais pas qu'elle se rende compte que je voyais ses fesses quand elle bougeait pendant son sommeil.
Ce n'était pas très régulier alors je voulais vraiment mettre toute les chances de mon coté. Généralement quand cela se produisait, je me défoulait sur Béatrice.

Un soir marqua le coup plus que d'habitude. C'était au mois d'aout et il faisait terriblement chaud.
Comme d'habitude je jouais en ligne pendant que Léa était dans le salon. J'attendais avec impatience que ces conneries de TV réalité se terminent car c'est généralement après, en zappant, qu'elle finissait toujours par s'endormir. Je quittais régulièrement mon jeu pour monter la garde dans le salon. Je prétextais d'avoir soif, et d'aller au frigo. Léa dormait mais sur le dos. Je désespérais jusqu'à ce que je retourne de nouveau inspecter les lieux. C'était bon. Léa s'était retournée dans son sommeil et je pouvais enfin voir ses fesses. Je m'approchais lentement avec mon portable à la main pour immortaliser la petite culotte. J'étais étonné de ne pas deviner la forme au fur et à mesure que j'approchais. Une fois arriver au plus près, je voyais ces fesses mais pas de tissu. Je n'en revenais pas, elle n'avait peut être pas de culotte !
Était-ce un string dont je ne voyais pas la ficelle ou bien était-elle nue sous sa chemise de nuit. En même temps il faisait très chaud donc cela pouvait être possible. Je pris ma photo et je reculais jusqu'au coin du mur d’où j'aurais pu me réfugier dans le bureau en cas de réveil. De là elle ne pouvait pas me voir. Seul le bruit du ventilateur (dirigé sur ses fesses, ben voyons) se faisait entendre. Depuis le début de son séjour, j'avais constaté que Léa avait le sommeil lourd et qu'elle bougeait beaucoup. J'attendais qu'elle gesticule de nouveau pour en voir un peu plus. Au bout d'une demi-heure, j'eus l'idée de changer la vitesse du ventilateur au maximum. Je pouvais le faire avec une télécommande. Un petit "Bip" retenti et je me réfugiai dans le bureau. C'est bon elle ne s'était pas réveillée. Je l'observais de nouveau. Le vent était très fort et sa chemise de nuit tremblait quand le ventilateur se tournait sers ses fesses. Plusieurs fois, Léa passa sa main sur sa fesses droite pour se la frotter. Le vent semblait la chatouiller. Je pouvais maintenant confirmer que Léa n'avait pas de culotte car en se grattant elle avait remonter sa chemise de nuit au dessus de ses fesses.
Je m'approchai de nouveau, comme un ninja, pour prendre une photo.
Mon sang ne fit qu'un tour quand elle décida de changer de position. Je cachais mon téléphone, au cas où, et je restai immobile. Léa se remis sur le dos, mais cette fois ci avec la chemise de nuit bien remontée. Je voyais maintenant sa petite chatte. Elle était légèrement poilue mais bien taillée. Le fait que Léa était mince me permettais de voir ses petites lèvres fermées. Ses cuisses, mêmes serrées, laissaient le début de son sexe visible.
J'étais très concentré pour ne pas faire de bruit, malgré mon cœur et mon souffle qui s'emballaient. Je restais droit comme un I derrière le dossier du canapé et je n'osais même pas sortir mon portable pour immortaliser ce moment. Je ne sais pas combien de temps passa. J'étais hypnotisé jusqu'à ce que Léa soit de nouveau gênée par le vent. Elle grogna et passa sa main sur sa chatte. Elle écarta légèrement les cuisses pour faciliter sa progression. Un de ses doigts frotta allègrement ces lèvres ce qui provoqua l'ouverture de son sexe. Léa ronflait et continuait de se toucher gentillement. Je me décidai de la prendre une photo, rassuré de l'entendre dormir profondément. Sa main était posée sur sa cuisse, ses jambes s'étaient ouvertes un peu plus, comme pour attr le vent du ventilateur, et sa chatte était ouverte comme une fleur. Une magnifique pose pour une magnifique photo.
Après quelques minutes de caresse, Léa se tourna de nouveau sur le coté. Je ne voyais plus rien. Je reculai lentement pour m'enfuir dans les toilettes. Je me masturbai sur mon dernier cliché en rêvant de remplir cette petit bouche entrouverte par les renflements.
Je pris le temps de télécharger mes photos dans mon dossier caché sur mon ordinateur. Après tout il fallait que je débande. Une fois au repos, je tirai la chasse d'eau pour réveiller Léa. Je fis du bruit dans la cuisine et être sur. Léa m'y rejoint avec les yeux tout enfarinés.

Léa : Pouuuuaaa... il fait trop chaud ! (dit elle en s'étirant)

Nelson : Oui c'est clair, j'arrête pas de boire depuis tout à l'heure, tu veux quelque chose ?

L : Je veux bien du thé glacé.

Je servis Léa en l'observant s'assoir sur un tabouret de notre coin bar de la cuisine. Elle serrait les jambes mais si elle savait que j'avais déjà tout vu...

L : T'as fini ta partie ?

J'eus l'idée de lui faire croire le contraire pour l'inviter à rejoindre son lit.

N : Non, on fait une pause mais on reprend bientôt, ça te dérange si je joue encore un peu ? Sinon je préviens mes potes et je déconnecte.

L : Non, ben je te regarderai jouer, c'est bon.

Léa s'allongea donc sur son lit en position mi assise avec des coussin dans le dos. Elle avait les jambes serrées mais pas de manière insistante. Durant les temps de chargement de mon jeu, je pouvais deviner sa silhouette sur l'écran noir de mon ordi. Je n'avais pas mis le casque pour que Léa entende les bruitages (à sa demande). Cela devait peut être la bercer.
Au bout d'une heure, elle se glissa sous la couette pour dormir mais avec la chaleur, elle avait virer un pan de celle ci avec une de ses jambes. Elle avait donc une jambe et la moitié de son corps à l'air libre.
Une fois endormie, je plaçai le ventilateur du bureau en vitesse maximum. Une fois de plus, malgré l'envie d'être couverte pour dormir, Léa chercha l'air frais du ventilo tout en ronflant.
Elle plaça la couette lentement sur le coté pour n'avoir plus qu'une jambe couverte. Entre deux sur mon jeu, je tournais la tête pour voir où en étions nous. Je fini par me mettre "afk" pour contempler Léa qui avait de nouveau glisser sa main entre les jambes.
De mon coté, je n'en pouvais plus et je décidai de m'approcher au plus près pour observer cette petite chatte. Léa se grattait de temps en temps et lors d'un de ces "grattage", un de ses doigts disparu un bref instant dans sa petite fente.
Purée ! Elle venait de se mettre un doigt ! Il fallait que je la touche, il fallait que j'essaye de faire pareil. J'entendis que Léa se gratte de nouveau pour approcher ma main de sa fente.
Une fois son doigt sorti (elle avait recommencé la coquine !), je pris la place avec le mien. Je ne bougeais plus, j'attendais. Aucunes réactions de sa part, si ce n'est que sa chatte commençait à mouiller. Je bougeais légèrement mon doigt. J'avais envie de la pistonner comme un fou. Je fus dérangé dans mon fantasme par une nouvelle main de Léa. Je retirai mon doigt rapidement de peur qu'elle entre en contact avec ma main. Léa avait immédiatement remplacer mon doigt par le sien. J'avais du provoquer quelque chose car elle ne se grattait plus : elle se caressait !
Dans son sommeil Léa marmonnait des petits "mmm" très discret. Son majeur était rentré au fond de sa fente et je voyais des articulations bouger tout doucement. Moi, j'avais léché mon doigt et placé ma tête bien en face de ce spectacle. Je faisais des gros plans avec le flash de mon portable, pour ne rien manquer. Je fis même une photo de Léa entière qui ne broncha pas du tout.

Il fallait que je jouisse, que je la touche, mais comment faire pour ne pas passer pour un vieux pervers aux yeux de Léa. Elle n'apprécierait peut être pas que je profite de la situation.
Je décidai donc de la réveiller. J'allais renverser la machine est c'est elle qui serait mal à l'aise. Après on verra bien.
Je plaçai ma main sur mon épaule, et tout doucement, je l'appelai afin qu'elle sorte de son sommeil.

N : Léa... Léa... Léa !!!

L : Moui ? Heu ..hiiii

Elle sursauta quand elle se rendit compte qu'elle avait les jambes largement écartées. Elle replaça la couette en la cramponnant de ses mains (dont une était luisante de sa mouille) sans prendre le temps de réajuster sa chemise de nuit.

L : Mais qu'est ce que tu fais ? (elle paniquait)

N : Mais rien je t'assure ! Je me suis retourné et je t'ai vu comme ça alors je t'ai réveillé !

L : Oh non... mais tu m'as vu !!!

N : Je suis désolé Léa, j'y suis pour rien moi ! (Je cachais mon érection dans mon caleçon pour faire mine d'être gêné par la situation mais en fait je voulais qu'elle me voit)

Un silence s'installa pendant quelques secondes qui parurent des heures. Je pris la parole pour la rassurer.

N : Écoutes, Léa, c'est pas grave, ça arrive de se toucher dans son sommeil sans s'en rendre compte. Ça restera entre nous, d'accord ?

L : Oh c'est trop la honte... Tu vas croire que je suis un salope et tout et...

N : Mais non, c'est bon ! Ça reste entre nous ok ? Ça arrive à tout le monde je te dis, t'inquiètes pas ! ( Je me régalais de cette situation )

L : Oui mais j'ai pas de culotte alors tu vas me juger...

N : Pas du tout. Rassures toi, tu peux bien faire ce que tu veux. Ta sœur aussi retire sa culotte pour dormir quand il fait chaud.

L : Moui...

N : Voilà... Bon ça va mieux ?

L : ... Oui... Mais pourquoi tu m'as réveillé ? Tu aurais pu aller te coucher et rien dire.

N : Et si un gamin se relève et te vois comme ça ?

L : ... C'est vrai... Je suis trop conne...

N : Mais non arrêtes un peu !

L : En tout cas t'aurais pu remettre la couette sur moi et puis partir te coucher en me réveillant !

Sur le moment, j'avoue qu'elle me plongea un peu dans l'embarras. C'est vrai que j'aurais pu le faire après tout.

N : Heu... oui c'est vrai... désolé.

L : Ça te plait de me foutre la honte ou quoi ?

N : Mais non... Par contre j'avoue que ça m'a bien plu de te voir comme ça.

L : Arrêtes...

N : Tu veux pas savoir ce que j'ai vu ?

L : Non c'est bon...

N : T'es sur ? Parce que tu fais de sacrés trucs quand tu dors et il serait peut être bien que tu sois au courant !

L : De quoi ?

N : Ben c'était une simple caresse genre ça me gratte mais tu t'ai littéralement doigté devant moi ! D'ailleurs tu pourras te laver les mains.

L : Putain... Et t'as tout regardé toi...

N : J'ai pas pu faire autrement, j'ai décidé de te réveiller quand tu t'ai mis à gémir. C'était très beau en tout cas.

L : C'est bon arrêtes, j'ai compris... t'es content quoi...

N : Ouais ! Et j'avoue que j'aimerai en voir plus.

L : Quoi ? T'es malade ou quoi ? Je dors plus là et j'ai a pas envie que tu me matte !

N : Tu peux bien faire ça, regardes dans l'état dans lequel tu m'as mis ( Je lui montrai mon sexe dur dans mon caleçon )

L : Je vois bien depuis tout à l'heure mais n'espère même pas me toucher ou je hurle, et puis t'es pas mon genre !

N : Ok ok ,je vais pas te sauter dessus t'inquiètes, mais tu pourrais faire un effort. Après tout on t'héberge et on te nourri.

L : Hein ? Mais je suis pas une pute moi, tu rigoles ou quoi ?

N : Je te demandes juste de me montrer un peu pas de faire la pute, mais maintenant que tu le dis, je pourrais te donner un peut d'argent de poche si tu étais gentille avec moi.

L : Arrêtes, fermes là, je m'en fou, je vais le dire à Béatrice !

N : Tu peux, elle sera pas étonnée, elle me vide les couilles tous les jours depuis que tu es là, pour pas que j'aille te voir. Par contre, je peux lui dire que tu te promène sans culotte
pour qu'elle te vire. Elle m'en voudra pas à moi car elle me connait, par contre toi c'est différent... si tu me titilles avec ton petit cul, elle va pas aimer.

L : Putain mais t'es vraiment un enfoiré de pervers ! Pourquoi t'es comme ça avec moi ? ( Léa commençait à pleurer )
Je veux pas rentrer chez mon père, s'il te plais.

N : Ok ok, c'est bon, je suis désolé... ( Je l'a pris dans mes bras )
Écoutes, je dirais rien à ta sœur si tu me montre un peu, d'accord?

L : Juste un peu...

J'en revenais pas, Léa allait se laisser faire. Il est évident que c'était du chantage mais elle aurait quand même pu refuser. Sa sœur l'aurait crue, elle, en plus.
Nous nous sommes allongés sur le lit, moi derrière elle, assis contre le mur.
Léa souleva sa chemise de nuit pour faire apparaitre sa chatte. Sur ma demande, elle écarta les jambes au maximum. Ma main gagna sa fente.

L : Je croyais que tu voulais juste regarder...

N : Je vais te caresser un peu et je t'offrirai ce que tu veux d'accord ?

L : Tu va vouloir coucher avec moi ?

N : Je vais te caresser et c'est tout pour ce soir ok ?

L : Tu vas pas vouloir jouir ?

N : Je le ferais tout seul si c'est ça qui te fait peur.

L : Promis ?

N : Promis !

J'embrassais maintenant Léa dans le coup tout en la caressant. Je voulais voir ses seins. Léa retira sa chemise de nuit pour se retrouver complètement nue. J'étais maintenant face à elle et je lui écartai les jambes pour y glisser ma tête.

L : T'avais dit juste des caresses...

N : Je vais te caresser avec ma langue, laisses toi aller. Tu peux m'aider en écartant tes lèvres avec tes doigts si tu veux.

A vrai dire, j'avais pris ses mains pour les guider donc elle s’exécuta sans rien dire. Je reculai un instant pour la contempler et lui dire qu'elle était magnifique pour ensuite plonger droit sur son clitoris. Je l'ai lécher pendant plus de 20 minutes jusqu'à ce qu'elle se décide enfin à jouir, dans la honte... mais jouir quand même. Je me masturbais pendant ce temps là mais en prenant garde de ne pas éjaculer.

N : Bien, maintenant à moi de jouir. Tu as déjà sucer un mec ?

L : ... T'avais promis... ( Léa sembla vouloir pleurer de nouveau )

N : Ah oui c'est vrai ! Je vais tenir ma parole, désolé mais tu m’excites tellement...

L : ... Merci...

N : Et sinon tu l'a déjà fait ?

L : ... Oui...

N : Et t'as déjà pris du sperme en bouche ?

L : Non.

N : Je me branle devant toi et après tu gouttes ?

L : J'ai le choix ?

N : Oui, mais si tu le fais demain je te fais un joli cadeau de 50€.

L : De toute façon je finirai par y avoir droit non ?

N : Oui, mais je pense que je serais gentil avec toi dans la mesure mes moyens ok ?

L : Ok... Fais...

N : Alors assis toi au bord du lit, écartes les jambes et ouvre ta bouche.

Léa se positionna et moi aussi. Je me suis masturbé en caressant ses cheveux et en frottant mon gland sur sa joue. Vu que Léa gardait bien la bouche ouverte comme je lui avait demandé, j'en profitai pour y glisser mon sexe.

N : Ne suces pas, je vais me branler dedans, et tires la langue !

Mon sperme inonda sa bouche. Léa se dépêcha d'avaler avec quelques petites grimaces. Elle fermait les yeux mais les ouvrit quand j'eus terminé. Je laissais ma queue dans sa bouche et bougeais un peu le bassin. Léa avait refermé sa bouche sur mon gland et se laissait baiser par la bouche en me fixant d'un regard sombre. Je me mis à genoux face à elle.

N : Tu as tout avalé ?

L : Oui... t'es content ?

N : Oui ! Ne bouges pas, surtout ne bouges pas compris ?

Je m’approchai de ses lèvres pour lui donner un baiser pou ensuite reculer et regarder sa réaction. Léa était surprise mais elle compris que je voulais un vrai baiser, elle ouvrit donc légèrement sa bouche et ferma les yeux. Je l'embrassai à pleine bouche d'un baiser tendre et doux. Puis je l'a regardai de nouveau.

L : Je préfère quand même ça que du sperme...

N : Je sais je suis désolé, je suis un gros pervers...

L : Tu vas vouloir profiter de moi tous les soirs ?

N : Oui, enfin quand Béatrice bossera.

L : Tu me laissera tranquille parfois ?

N : Bien sur.

L : N'oublies pas mes 50€.

N : Pas de problème mais avant de te laisser tranquille, je vais juste te demander encore 5 minutes de ton temps. Mets à 4 pattes sur le lit et écartes tes fesses.

L : Hein ? Tu vas pas m'enculer hein ?

N : Mais non, je veux te voir une fois de plus.

Léa obéit. Sa chatte eu un dernier traitement de la part de mes doigts (3) et ma langue s'activa sur son anus. Léa était surprise de se faire lécher le cul et me traita de "dégueu", ce à quoi je répondis "oui mais moi j'adore".

Je finis cette séance en lui embrassant le cul et en lui mettant une petite claque dessus.
Je la laissai enfin dormir.
Je vous raconterai la suite dans une prochaine histoire.

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