Hôtel : Des Barrières Qui Sautent - Partie 2
Après la collation, notre invité sassit sur le rebord du lit désormais en bataille.
- « Approchez chers amis et venez de vos lèvres, relever le défi de vos envies sensuelles. Venez, recommencez le ballet de vos langues, qui contente ma bite. Faites tout pour que je bande !»
Tous deux hypnotisés, impatients et tendus, nous approchons du lit encore un peu timides.
- « Sans les mains cette fois, mettez les dans le dos. »
Nous nous agenouillâmes tous les deux, en même temps, en couvant de nos yeux, ce priape au repos. Nosant pas trop bouger, nosant pas commencer
Coupant nos réflexions, nos tergiversations, il attira nos têtes vers son sexe endormit qui attendait tranquille nos premières attentions.
Curieuse chorégraphie de deux langues sur un vit. Deux têtes qui sagitent et qui montent et descendent le long de cette tige qui doucment se déplie.
Sous le regard heureux de cet homme qui nous toise, nous suçons tendrement ce sexe qui grandit. Il prend des proportions grandioses, frémissantes sous nos langues nos bouches
Et nos délicatesses.
Ses deux mains nous orientent et nous guident à sa guise. Posées sur nos deux têtes elles dirigent tantôt, une bouche qui le suce quand lautre lèche ses couilles.
- « HUMMMMMM voilà, cest très bien, allez suce ma belle et toi mouilles mes boules et prends les dans ta bouche. Parfait et maintenant, mets tes lèvres sur mon gland ! »
Attrapant les cheveux de la femme qui le lèche il lattire vers lui et lui donne un baiser.
Leurs langues dansent et sagitent tandis que sur son gland, je fais jouer la mienne pour encore lexciter.
- « Regardes moi dans les yeux »
dit-il à mon adresse puis, sadressant à elle il lui dit doucement :
- « vois comme il est docile et bien obéissant il va prendre ma bite loin au fond de sa bouche
Sans nous quitter des yeux et les mains dans le dos
La parfaite attitude attentive et soumise.
- « Oui, cest vrai, je voulais un peu le voir comme ça. »
Il pressa doucement sur ma nuque, mobligeant à avaler sa bite tout en le regardant.
Ma douce me regardait les yeux hallucinés un air détonnement, dexcitation mêlée.
Il me guidait des mains, mimposait son tempo.
- « Et je sais que tu veux en voir même un peu plus
Nous allons tous les deux nous occuper de lui et toi tu vas maider pour son initiation. »
- « Quest-ce que vous entendez par son « initiation ? » »
- « Tu ne désires plus le voir devenir BI ? »
- «
Si, bien sur et javoues que jen ai très envie » Elle avait prononcé ses mots en rougissant.
- « Va chercher la mallette et apportes la moi »
Et moi pendant ce temps je le suçais toujours ne quittant pas ses yeux et son visage fermé.
Jouant parfaitement le rôle de mes fantasmes, je mappliquais toujours à bien le contenter.
Découvrant la douceur dun gland sur mon palais, je gourmandais sa tige, longue, dur, généreus et je me surprenais à apprécier de faire ce que lui « prétendais » vouloir « mimposer ».
Au delà des aveux que javais pu lui faire, il avait deviné quil fallait me « forcer ». Il savait bien quainsi jaccepterais doffrir le spectacle à MA belle de ma « transformation ». Elle désirait tellement me voir devenir BI. Lamour avec un homme
en couple et sans façon. Lobstacle à ce désir était mes convictions. Hétéro convaincu javais encore du mal à accepter demblée une conduit différente.
Je ne me voyais pas dans la peau dun amant partageant un autre homme avec sa bien aimée.
Pour cela il fallait être persuasif et ne pas me laisser beaucoup de latitude.
« Mobliger » tendrement à assumer la part de cette « féminité » qui sommeillait en moi,
Mouvrir à des pratiques multiples et inconnues, différentes, Ô combien ! de toutes mes habitudes.
Lorsque mon tendre amour amena la mallette, javais toujours la bite de lhôte dans la bouche.
De ce quils chuchotèrent, je nai rien deviné. Jentendis dans mon dos que ma belle remuait, sans pouvoir discerner ce quelle pouvait bien faire.
Lui me tenait toujours la tête avec ses mains et guidait fermement le flux des va-et-vient.
Peu après je sentis la froideur dun gel, quon posait sur mon cul dans le but avoué, de préparer la place, assouplir ma rondelle pour une intromission quon allait minfliger.
Ma belle minstalla dans une position, qui allait lui permettre de bien me travailler.
Nous avions déjà joué à inverser les rôles. Parfois, en tête à tête, jadmettais quelle me prit,
et là, il me semblait reconnaître ses gestes emprunts dune douceur toute remplie damour.
Ne pouvant méchapper, tant ma tête était prise, dans létau de ces mains qui guidaient ma besogne, jattendais frémissant la suite de lépreuve.
Je frémis lorsquenfin je sentis se poser entre mes globes fessiers le bout dun olisbos.
La pression exercée pesait sur mon illet et le faisait souvrir irrépressiblement.
Deux mains vinrent se poser sur chacune de mes hanches et le corps étranger savançât doucement. La chambre se remplit de mes plaints étouffées par le sexe fiché toujours entre mes lèvrs. Mais lengin progressait quand même, sans que je pu arrêter son trajet ou même méchapper.
- « HUUUUUUUUUUU »
- « Laisses toi faire, laisse venir et ne résistes pas. Au contraire ouvres toi si tu veux que « ça » passe. Allez pousses ma belle, enfile ce joli cul, perces le, défonces le puisque ten as envie. »
Immédiatement vînt laccélération que ma tendre harnachée poussait toujours plus loin.
M empalant sans pitié pour mes cris continus, elle semblait possédée par lenvie de me prendre.
Il sortit de ma bouche, sen vînt près de ma belle, toujours très occupée à besogner mon cul.
Moi, je levais les yeux et vis dans le miroir quil passait derrière elle en caressant ses seins.
Il agaçait les pointes gorgées de la jouissance quelle savourais toujours ses deux mains sur mes hanches.
Il la fit se pencher lui murmurant tout bas, des mots que dans laction, je ne percevais pas.
Mais je sentis ses seins sécraser sur mon dos et tout de suite après son soupir de plaisir
Il venait derechef de senfoncer en elle et cest lui, désormais qui rythmait notre houle.
Il allait puissamment dans le sexe de ma belle qui soufflait, gémissait, toujours plantée en moi et je sentais lécho des coups de reins solides qui répliquaient les ondes en chahutant mon cul.
Elle se mit à griffer mes hanches de ses ongles, en signe avant-coureur dun orgasme qui monte. Les miaulements familiers montèrent entre les murs, se mêlant à mes plaintes en un concert bizarre, où les graves, les aigus sharmonisent et résonnent en une polyphonie qui meure en unisson.
Il la laissât jouir sans arrêter sa course mais en prenant bien soin daller un peu moins vite,
Nous offrant à tous trois le répit attendu pour quil sorte de sa chatte
quelle sorte de mon cul.
Il semblait maîtriser ses envies de jouissance, comme pour mieux profiter de ces instants intenses.
Pendant quelle enlevait lensemble des accessoires, je métais écroulé sur le ventre, perclus.
La tête bourdonnante des images aperçues le corps exténué, fourbu et surmené.
En relevant la tête, je les vis dans la glace : lui, debout, souriant et observant ma belle,
Qui lui suçait la bite pour effacer les traces de sa concupiscence
Bref, elle le nettoyait.
Lorsquil fut satisfait, il vînt me relever et moffrit même un verre pour me désaltérer.
Puis, jugeant quon avait assez tergiversé, il me mit en levrette tout près du bord du lit.
- « Approches toi la belle, viens écarter son cul, je vais maintnant le prendre et le changer en « BI » »
Elle dirigeât sa bite au centre de mon cul et regardât le gland disparaître en entier, dans mon boyau offert, déjà bien préparé par ses propres assauts et ceux de notre amant.
- « HAAAAAAA !!! DOUCMENT pas si fort » me suis-je mis à crier !
Mais ils nécoutaient pas
Comme sils nentendaient pas.
A nouveau arrimé, par la bite et les mains, qui posées sur mes hanches me tenaient fermement, je ne pus échapper à létape finale de mon initiation.
Ma tendre, fascinée, ne perdait pas une goutte de mon apprentissage, ma nouvelle condition.
La tige coulissait déjà entre mes fesses quelle tenait écartée pour laider à me prendre.
Quand il fut tout au fond, il marqua une pause pour que je macclimate à son installation.
Avant quil ne sactive, je vis ma belle amante, qui venait membrasser et me féliciter :
- « Mon cur, cest génial, tu te fais enculer. Ca y est tu es Bi et je suis fière de toi. »
Je ne pouvais répondre, javais la bouche ouverte et le souffle coupé par cette pénétration.
Mon esprit bousculé par la situation, narrivait plus du tout à penser simplement.
La bite profondément ancrée et coulissante, mempêchait daligner les idées les plus simples.
La prise de mon cul altérait mon jugment. JETAIS BI CA Y ETAIT et ma belle savourait,
La vision de son mec, en levrette, pris aux hanches et qui sabandonnait à cet amant puissant.
Un hôte, un invité qui me prenait en « maître » et qui me labourait, menculait dimportance.
Chaloupé de tout bord, touts mes barrières tombaient. Et le sourire heureux de la femme que jaimais me renvoyait limage de son bonheur complet et de mon sacrifice en gage de preuvs damour.
Elle membrassât, comblée, passionnée, bienheureuse, en disant des « Je taime » aux creux de mes oreilles. Puis, avançant la main me caressât les boules et prit entre ses doigts mon sexe devenu flasque.
Elle fit quelques mouvments et coula doucement sa bouche sur mon gland en sallongeant sous moi. Elle voyait cet amant qui me prenait toujours et le balancement des couilles qui claquaient. A chaque coup de rein sur mes fesses, un bruit sec qui berçait les caresses que me donnait sa langue. Au fur et à mesure, je gonflais dans sa bouche. A mon grand étonnement
JE BANDAIS
JE BANDAIS !!??!!
- «Suces le, cest très bien il faut quil apprécie. »
- « Il bande »
- « Jte lavais dit. Il commence à aimer. »
- « Cest vrai alors ? tu aimes ? »
Moi, je baissais la tête et je répondis
- « Oui
»
Etait-ce le contexte, la langue sur ma bite, lébranlement soudain de toutes mes convictions ?
Cette bite qui « forçait » ma bisexualité à éclater ainsi, surgissant au grand jour ?
Incapable de penser, je me laissais aller à sentir cet amant qui soufflait dans mon dos.
Qui mavait « amener » à tous les abandons, démontrant, par la même, ce que je voyais poindre
Un plaisir différent, puissant, dévastateur qui fauchât ma méfiance, balayant mes croyances
Je ne pus retenir mon éjaculation dans la bouche ventousée à ma virilité que ma tendre avala sans même y réfléchir jusquà mon dernier spasme
à ma dernière goutte.
Je plongeais aussitôt une langue fiévreuse dedans la chatte offerte de celle qui mépongeait
Pour constater radieux, quelle était excitée et quelle était trempée, frénétique, déchainée.
Elle coulait franchement, sans aucune retenue. Une fontaine abondante à laquelle jétanchais ma soif de son désir, de son contentement quelle exprimait gloussante, gémissant tendrement.
Lorsquil se retira, je ressentis le vide et la douleur aigue de la séparation. Je meffondrais, meurtris complètment épuisé les pensées en désordre, et le corps dévasté.
Linfatigable amant, transpirait des efforts quil avait consenti dans ces assauts musclés.
Il vînt sagenouiller pour embrasser ma belle qui branlait doucement presque machinalment mon sexe fatigué, épuisé et sans vie.
Il la fit relever, linstallât sur le lit, dans la même position que moi précédemment.
Je la voyais groggy et qui se laissait faire, adoptant la levrette quil voulait imposer.
- « Allez, viens » me dit-il. Je me levais, sonné.
Titubant jusquau lit, je métais laissé faire lorsquil me dirigeât vers ce beau cul offert.
- « Lèches lui bien lanneau, allez, prépares la moi. Jai vraiment très envie de lui faire comme à toi.»
Je nétais pas très sur de vouloir lui laisser linsigne privilège nappartenant quà moi, prendre la fleur annale de celle qui soffrait de guerre lasse, de fatigue et qui ne luttait plus.
Je voulus résister, je voulus lui dire « Non », mais déjà il poussait ma tête contre ce cul quil voulait visiter.
Je navais plus la force de résister vraiment et devant linsistance de cet hôte exigeant, ainsi que labandon lascif de mon aimée, javançais lentement une langue accablée.
Alors que je léchais ce cul, somptueusement offert, Il retourna devant sa bouche qui souvrit, pour laisser le passage à ce gland désireux de retrouver enfin la chaleur de sa langue.
Elle était magnifique, dodelinant des fesses, sous ma langue attentive, concentrée, circonspecte, suçant magistralment cet homme qui regardait ma tendre sactiver sur ce vit éclatant.
Jugeant, de son point dvue, quelle était préparée, il vînt me déloger pour inverser les rôles.
Il appliqua ma main sur son sexe tout raide et je compris alors quil attendait de moi, que je pose son gland sur la corolle offerte et que je lui concède ce cul si convoité.
Il pesa doucement sur lanus qui souvrit, faisant naître un grand HOOOOOOOOO ! Sur la bouche arrondie de la femme en levrette qui criait sa surpris sentant confusément que ce nétait pas moi.
Je métais déplacé pour lire sur son visage tout la stupéfaction de cette nouveauté. Voir ses grands yeux ouverts et sa bouche arrondie sur ce chambardement étrange, inopiné, forçant sa décision de changer dcavalier et condescendre ainsi à LUI offrir son cul.
- « Tu es belle mon amour, tu es bien ? Pas trop mal ? »
- « Non
ça va mais je HUUU ne savais pas quil allait HUUUUUU menculer
»
- « Il a voulu sans doute te faire comme avec moi. Te rends tu compte, amour, un autre homme que moi est entré dans ton cul, là et devant mes yeux, tu lui donnes ce que tu navais donné quà moi. Tu aimes dis moi
tu aimes ?»
- « HUUUU !! Oui cest bon, mais je
HOOOO !... Pensais pas
HAAAA
quil le ferait. Je taimeEEEEUUUUU mon c
cur et je le faiiiiiiiiiis pour
TOIHAAAAAAA»
- « merci ma douce, ma belle. Merci pour ce cadeau. Tu es belle désirable excitante à tomber !! »
Jembrassais son visage, ses yeux, son nez, sa bouche. Lui répétant sans cesse que jaimais ce cadeau, ce don, cet abandon cette faveur ultime, quelle nous accordait à LUI tout comme à MOI !
Jobservais attentif, la gamme des sentiments quelle exposait ainsi à mes yeux fascinés.
Grimaçant tour à tour et souriant parfois, elle savourait de même cette longue chevauchée.
Elle goûtait le plaisir de ces longs coups de reins quil prodiguait sans faille, sans fatigue apparente, la laissant fatiguée, heureuse et extatique jouissant en longues plaintes, en petits cris stridents.
Il sarrêta trop tôt, il ny eût pas dorgasme, ou du moins pas genre quon vit un peu plus tôt.
Je pense que cétait quand même prémédité et que notre homme avait dla suite dans les idées.
Tous trois étions heureux et pleinement comblés. Nous reprîmes nos caresses, nous reprîmes nos baisers pendant un long moment comme pour récupérer. Il se faisait sucer et même il me suça ce qui bien entendu étonna fort ma tendre.
Lui aussi était BI, il aimait tout autant, les femmes que les hommes et ne sétait montré sous un jour exigeant, que sur notre demande implicite, silencieuse. Il jouait avec nous pour mieux nous initier en imitant le jeu du maître et des soumis. Il laissait peu de marge à nos esprits volages et il nous dirigeait pour briser les barrières. Toutes nos réticences étaient autant dobstacles qui pouvaient empêcher de nouvelle découvertes.
Avec toutes les caresses, les baisers mélangés, nous nous sommes retrouvés tous, très vite excités.
Il arrangea les choses et fit venir sur moi, la belle émoustillée afin de lempaler. Sur ma bite dressée, elle se laissa glisser membrassant amoureuse, passionnée, affamée.
Pendant quelle coulissait, rebondissait sur moi, lui, il la caressait et embrassait son corps.
Il glissait même parfois, un doigts inquisiteur sur cet anneau visible qui offrait ses faveurs.
Elle gloussait, nopposait aucune résistance tant les ondes de plaisir se succédaient sans fin.
Elle fit bien peu de cas du mouvement furtif qui amenait notre hôte dans son dos, silencieux.
Lorsquelle sentit son gland taquiner sa corolle, elle releva la tête et son étonnement lui fit ouvrir les yeux, affola ses mirettes quelle ouvrait en soucoupe devant cette imminence.
- « HOOO non, il ne va pas ...» me dit-elle paniquée.
- « laisses toi faire mon amour et surtout détends toi. Si vraiment tas trop mal on arrête tout promis ! Alors tu te laisses faire ? »
- « Ok. Vraiment jespère quil ira doucement. »
Elle neût pas à sen faire, il avait lexpérience. Il avançait prudent avec circonspection.
Attentif à la moindre de ses protestations au moindr mouvment suspect pouvant donner lalarm
Commandant limmédiat arrêt de cet essaies.
Dalarme il ny eût pas, mais à la place un souffle. Une plaint longu et sourd quelle poussait immobile, fichée sur mon priape que je sentais contraint de partager lespace avec la nouvelle bite qui perforait ma belle ainsi des deux côtés.
- « Ho non, cest pas possible il mencule en même temps !!!»
dit-elle, sentant son corps qui accueillait pourtant ces deux sexes bandés et qui bandaient pour elle, lamenant lentement vers des plaisirs nouveaux qui éclataient en elle comme lannée nouvelle, comme un feu dartifice au final merveilleux.
- « Laisses toi faire mon amour, ouvres toi, accueille le. Je sens contre ma bite des sensations nouvelles. Cest bon, tu sais, cest doux, cest vraiment fabuleux MON AMOUR, JE VAIS JOUIR HO PUTAIN QUE CEST BON !!! »
- « Oui mon cur je te sens, tu gonfles encore un peu. Je vais jouir moi aussi
Mon amour
mon amour ! »
Les cris que nous poussâmes saccordèrent harmonieux et résonnèrent longtemps sur les murs de la chambre.
Derrière elle, linvité continuait encore ce qui faisait durer cet orgasme inédit. Nous étions épuisé par ce voyage unique où les plus beaux orgasms se partagent à trois.
Il nous berçait toujours de son roulis flâneur cependant que nos sens sapaisaient peu à peu.
Il nous lassa ainsi savourer indolents, les vagues impérieuses qui nous avaient portés en des lieux clandestins alors inaccessibles ou nos corps séchouaient, repus et accomplis.
Je le sentis glisser hors du fourreau serré, humide et caressant où il navait pas jouis. Il voulait réserver une ultime surprise et nous laissa aussi nous désincarcérer
Roulant, ivres et chargés démotions inouïes nous nous embrassions goulument, ardemment.
Il se remit alors entre nous comme avant et nous, reconnaissant, nous cajolions sa bite.
Nous voulions le faire jouir, voir couler sa liqueur pour le remercier de tous ces grands bonheurs.
Lui se laissait sucer par les deux bouches avids de lui donner enfin la suprême récompense.
Nous parcourions sa tige, ses couilles de nos baisers et nous lengloutissions gourmands et effrénés, jusquau frisson final, qui parcouru son corps, libérant brusquement sa liqueur séminale.
Il jouit bruyamment, arrosant nos visages et nous, admiratifs et fiers de nos travaux, nous nous perdions saoulés en longs baisers mielleux. Le bonheur était plein et nous étions heureux.
Au milieu de lautomne doux, orange et poivré, nous sommes rentrés chez nous le corps rassasié. Lesprit emmitouflé dans un coton soyeux, plein dimage et denvie de vite recommencer.
Jétais devenu BI sans presque le vouloir, en me laissant guider par cet homme délicieux qui avait si bien su sentir tous nos désirs se montrant délicats perspicace
licencieux.
Ma tendre était radieuse davoir pu essayer ce fantasme de « double » si surprenant et fort.
Elle avait, de surcroît, en spectatrice émue, assisté bienheureuse à mon initiation.
La journée fut prolixe et nous nous promettions de bientôt explorer ensemble dautres rives, où les amours saphiques promettaient dautres lieux, dautres enchantements propres à nous faire rêver
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