Franck 04

FRANCK 04

Moi c'est Bob, en fait je m'appelle pas Bob mais j'ai un double prénom ridicule alors ... Moi c'est Bob ! En plus Bob, c'est le premier mot que j'ai prononcé quand j'étais tout petit, alors depuis tout le monde m'appelle Bob. J'ai 43 ans 1M70 , 72 kilo...

Le lundi soir suivant, je recevais un coup de téléphone, c'était Antoine

A : Salut c'est Antoine, euh, je te dérange pas ?
M : Non pas du tout, alors ça va depuis hier ?
A : Je me demandais, si on pourrait pas se voir ...
M : Ce soir ?
A : Oui ce soir ... Ou un autre jour ... Si ça ne te dérange pas ... Quand tu veux !
M : Ce soir alors, je suis seul et je prépare une choucroute ... Ça te tentes ?
A : OK, j'arrive alors !

Je lui expliquait le chemin exacte, puis continuait a préparer le repas. Trois quart d'heure plus tard Antoine frappait a la porte, il avait emporté une bouteille.

A : J'ai pas voulu venir les mains vides !
M : Ouah du pinard, cool, une bouteille rien qu'une, ce sera plus raisonnable que l'autre soir!

On se faisait la bise, il entrait, je lui faisais signe des s'installer.

M : Alors ça s'est bien terminé l'autre matin ?
A : Oui, j'ai dormi tout la journée.
M : Moi pareil .
...

Nous échangions des banalités, on prenait des nouvelles les uns des autres puis, il en arrivait à me parler de mon 'truc' ...

A : Je sais pas si j'ai tout bien compris. J'étais un peu perdu par moment. Mais ton truc, tu ne peux vraiment pas le retirer.
M : En fait, si je peux le retirer, mais pour cela, il faut le détruire, le découper. Avec du bon matos de bricolage, c'est très faisable...
A : Donc c'est bien ça, tu ne peux pas le retirer, te branler un coup ou baiser, puis le remettre.
M : Là ça non. Si je le retire, je le casse.
A : C'est une idée à la con ce truc. Pourquoi tu portes un truc que tu peux pas enlever ?
M : C'est à cause de Franck, c'est une blague qu'il m'a fait.

Je portais un dispositif en plastique, très efficace, avec un cadenas, que je pouvais facilement retirer et remettre. Mais Franck, ce farceur, m'a offert le système que je porte maintenant. Il ne m'a dit qu'on ne pouvait pas l'ouvrir seulement après, quand il était verrouillé.
A : Le farceur ! Et tu le gardes !
M : Oui, en fait, le dispositif que je portais avant, je ne l'avais retirer qu'une seule fois depuis que je connais Franck. Alors Franck ,ce farceur, m'en offre un sans l'option...
A : Je parlais de Franck !
M : Là c'est toi le farceur !

Antoine me regardait avec des yeux pétillants de curiosité.

A : Moi j'aimerais bien essayer, mais je dois dire que je suis un peu terrifié !
M : Tu veux voir ?
A : J'aimerais bien oui ... Si ça te dérange pas ...
M : Au contraire !

Je me levais baissait mon pantalon et finalement retirais tous mes vêtements.

M : On est aussi bien comme ça.

Antoine ne savait plus quoi dire, j'étais assis en face de lui, j’écartais bien les cuisses, il semblait apprécier.

M : Tu veux essayer ...
A : J'aimerais bien oui , mais , ...

Je me levais, allais dans ma chambre, en revenais quelques instants plus tard, je posait devant lui une petite boite en carton sur la table. Il me regardait

A : C'est ... ?
M : Oui c'est ...

...

M : Vas y ouvres.

Il ouvrait la boite, prenait l'objet dans ses mains, l'examinait sous tous les angles. Je lui expliquais, tu passes d'abord une couille puis l'autre, ensuite tu passes ta bite. Mais par contre là, il ne faut pas bander, ensuite du introduit ta bite dans le petit tubes là, ou il y a plein d'ouvertures, c'est pour aérer et pour la douche, tu enclenches le petit bidule sur le machin, et tu referme avec le cadenas.

En même temps je lui montrait les étapes directement sur l'objet. Il me regardais , il semblait hésiter.
..

M : Vas y ... Tu en as envie.

Finalement , il se relevait, baissait son pantalon, mais on allait avoir un problème, il bandait dur, bien dur.

M : Je l'ai porté pendant plusieurs années en ne le retirant que très rarement. En fait si c'est la bonne taille, on peut le porter en permanence,c'est pas un problème.

Comme je disait cela, Antoine avait passé ses deux couilles dans l'anneau, il serrait sa bite dans sa main pour essayer de débander, et petit à petit ça marchait, au bout d'un long moment, il arrivait à un résultat, il pouvait enfin passer son pénis dans l'anneau a son tour. Sans plus attendre, il l'introduisait dans le tube à pénis qu'il enclenchait sur l'anneau. C'était fait, je n’en revenais pas. Je lui tendais le cadenas, il le posait puis le refermait. Il relevait la tête, il me regardait, il était presque essoufflé.

Moi : Alors, tes premières impressions ?
Antoine : Je sais pas ... C'est bizarre ... Ça semble confortable, et en même temps ... La première impression ... Ça fait pas mal...C'est même agréable, une sensation de pression ferme et douce, sur toute la longueur de la bite ... Ferme, ouais, ferme !
Moi : Tu veux le garder plus longtemps ?
A : Plus longtemps ?
M : Oui, plusieurs jours, tu sais, le garder quelques minutes c'est rien ! Pour se faire une véritable impression, il faut le porter plusieurs jours ...
A : Plus longtemps ?
M : Oui, plusieurs jours, tu sais, le porter plusieurs jours c'est rien ! Pour bien comprendre il faut le porter plusieurs semaines ...
A : Plus longtemps !
M : Tu radotes !
A : Oui je sais, mais, ... , plus longtemps ...

Il regardait, l'air un peu bête son entre jambe .

M : Plus longtemps ?
A : Christophe est absent tout la semaine, il ne rentrera pas avant cinq jours ...
M : Cinq jours alors, c'est un bon début ...
A : Ouais ! J'ai bien envie, mais en même temps, j'ai les boules !

On se regardait, tout les deux avec un sourire probablement un peu idiot, puis .
..

A : OK, je le garde cinq jours !
M : Bravo, c'est bien dit, je garde les clefs !

Il me regardait surpris et hésitant, puis faisait oui de la tète. Je remplissait les deux verres.
On continuait à discuter un bon moment avant de passer table . La soirée se terminait tranquillement , il n'était pas dix heures du soir quand Antoine rentrait se coucher...

A : Il se fait tard, et le dernier week-end a été dur, reposes toi bien, je t'appelle.
M : Tu as raison, je pense que je ne vais tarder à dormir, moi aussi.

On se faisait la bise, puis il me laissait dormir. A peine dans mon lit, je m'endormais profondément et dormais d'un trait toute la nuit . Il me fallait cette seconde nuit de repos pour récupérer de ce week-end difficile, je me levais prêt pour une journée de travail.
Vers la fin de l'après midi, Franck me téléphonait .

Franck : C'est la cata, on à un boulot de dingue à l'atelier, je pourrais pas passer te voir ce soir.
Moi : Tu me manques déjà …
Franck : Te fout pas de ma gueule, moi c'est ton cul qui me manque …
Moi : Mais c'est que tu es de plus en plus romantique toi dis donc…
Franck : Tu comprendras quand tu me reverras …
Moi : Je comprendrai ?
Franck : Ouai, parfaitement tu me manques et ton cul tout particulièrement, tu sais que je t'aime toi !
Moi : Peu … ! C'est mon cul que tu aimes, bon ça me dérange pas moi c'est ta bite que j'aime . Le reste tu pourrais le laisser à la maison ça me dérangerait même pas .
Franck : Ce qu'il ne faut pas entendre ! Bon sérieux, j'aurais bien aimer passer la nuit avec toi, te tenir dans mes bras, te caresser, sentir tes caresses …
Moi : Et m'enculer …
Franck : … Aussi … Tu penseras à moi ?
Moi : Ça c'est sûr, je pense toujours à toi !
Franck : Moi aussi, je t'embrasse, je t'aime !
Moi : Moi aussi je t'aime, travaille bien à demain !

Bon je vais donc passer une nuit en célibataire, je me douchais, préparais un repas rapide et m'installais devant la télé quand le téléphone sonnait à nouveau ! C'était Antoine !

Moi : Salut Antoine, ça va toi ?
Antoine : Ça va, ça va, mais c'est dur ton truc, c'est du délire, on ne pense qu'à ça.

M : Je suis sûr que tu es le genre de garçon qui ne pense qu'à ça …
A : Ne te moques pas, tu sais de quoi je parle... C'est vraiment la folie ce truc, tu le sens vraiment en permanence, vraiment pas facile, ça fait pas vraiment mal, mais …
M : VRAIMENT !
A : Tu te moque encore ! Tu es de mauvais poil, je te dérange ?
M : Non mais Franck a téléphoné, et je le verrais pas ce soir, il a trop de boulot .
A : T'auras pas droit à sa quéquette ! Oua Oua Oua là c'est moi qui ma moque, ça t'apprendras. Mais bon c'est pas simple à supporter ton truc …
M : Douloureux ?
A : Non pas douloureux, mais ça gène, je me réveille deux ou trois fois pas nuit …
M : Mais aucune douleur ?
A : Non au niveau douleur, aucune …
M : Alors le dispositif est parfaitement adapté, il est à ta taille, c'est cool tu peux le porter en permanence maintenant !
A : On avait dit cinq jours !
M : Oui cinq jours, pour commencer …
A : Tu ne dis rien à Christophe …
M : Pourquoi ? Tu ne lui diras pas ?
A : Pas pour le moment !
M : A long terme, tu envisage de le porter en permanence, comme moi ?
A : C'est un peu tôt, je sais pas, j'ai envie mais je sais pas … ça fait peur ...mais c'est une idée excitante , tu vois ce que je veux dire ?
M : Alors là oui, tu peux me croire, je sais de quoi tu parles !
A : Surtout tu dis rien à Christophe !
M : Tu penses que ça ne lui plaira pas ?
A : Au contraire je pense que ça va lui plaire, peut être un peu trop même !
M : ''Que ça va lui plaire '' … tu as donc l'intention de lui dire ! Bienvenu au club bonhomme !
A : Mais quand tu craques, tu fais comment toi ?
M : Il y a les gadgets …
A : Les gadgets ! Les godes ?
M : Ouai, tout seul, ça soulage, évidemment si tu n'as rien de mieux, sinon … Dans mon cas j'ai mieux à la maison, mais quand il n'est pas là …
A : Moi j'en ai pas .
M : Tu n'as pas mieux à la maison … Si Christophe t'entendait, il serait content !
A : Non c'est pas de Christophe que je parle, c'est du gode, j'en ai pas !
M : C'est une proposition, une soirée gode, ce soir, chez moi, entre nous …
A : Alors là tu me tentes !
M : Bon d'accord, je t'attends !
A : J'arrive !

Je préparais les différents godes que je présentais bien en vue sur la table de salon . Un peu plus tard Antoine sonnait à la porte. On se faisait la bise, et, alors que je le tenais toujours dans bras, je le regardais puis …

M : Tu sais, ton '' truc '', pas question que tu l'enlève avant la fin de la semaine !

Pour seule réponse il m'embrassait. Nous nous embrassions longuement tout en se caressant et en se déshabillant l'un l'autre. On se retrouvait complètement à poil dans l'entrée, nos vêtements éparpillés sur le sol autour de nous, nous n'avions gardé sur nous que le dernier petit détail … Antoine regardais mon dispositif tout en me caressant les testicules, je lui caressais le bas du ventre et laissait mes mains s'attarder également sur ses testicules. Il bandait dur à l'intérieur de son dispositif on pouvait voire que son pénis était bien gonflé et était sous pressions, son souffle était fort il était complètement sous pression, et j'étais dans le même état.

Je l'attirais dans le salon, pour lui montrer ma collection. Le plus petit gode faisait quatre centimètre de diamètre sur quinze de long, le plus gros … sept sur vingt cinq … Antoine l'air amusé prenait le plus petit dans les mains, en disant '' ça c'est amusant … '' et en voyant le plus gros … '' là ça ne rigole plus, oua ! Tu arrives vraiment à t'enfiler ça dans le cul ? ''

M : Oui mais pas tout les jours, ça c'est du lourd, il faut respirer bien à fond !
A : Pas pour moi, c'est trop gros, mais celui-ci , il me semble juste à ma taille et devrait donner quelques sensations fortes …
M : Très bon choix, c'est le moulage de ma bite avant que je …
A : Tu es rudement bien monté, de quoi satisfaire un passif difficile, et je suis passif. Quand je vois ça je me dis que tout même dommage d'enfermer un jouet aussi sympathique...
M : Moi aussi je suis passif, et de toutes façons, Franck, lui il est actif , et même très actif ! ( en lui montrant un gode de 22 cm de long) là c'est le moulage de Franck, il me l'a donné pour que je puisses me faire plaisir en pensant à lui quand il n'est pas là.
A : C'est un beau morceau !
M : Tu veux ..
A : Non je préfère le tien !

Je le prenais dans mes bras, lui caressais le dos en l'embrassant dans le coup. Je le retournais doucement toujours en lui caressant le torce et le ventre avec la main droite, la main gauche descendait vers ses fesses, je crachais dans ma main gauche et continuais l'exploration , j'introduisais mon majeur dans son anus. Je sentais Antoine se crisper, mais il se laissait faire.
Antoine se penchait en avant, je le dirigeais en appuyant sur son dos, j'introduisais ou deuxième doigt et commençais à lui masser la prostate, je l'entendais gémir, mais il me laissait toujours faire. Je versais une bonne dose de lubrifiant puis continuais , j'entrais puis ressortis mes deux doigts de plus en plus vite. Antoine gémissait plus fort !
Je prenais le gode (le mien) et le présentais à son anus, l'enduisait de gel et l'introduisait bien à fond en un seul mouvement !Antoine hurlait, se crispait, se cramponnait au canapé, son visage faisait des grimace, son souffle était fort, il gémissait de plus en plus fort, il était tout rouge et semblait proche des larmes mais il me laissait toujours faire ...

Moi : Ça va ?
Antoine : Oui, non, je sais pas ( il était essoufflé ). Putain ça fait mal ton truc, tu sais que t'es bien monté. Je t'ai senti passer ... enfoiré !
M : Tu veux que j’arrête ?
A : Non vas y fais moi mal. Putain ça fait mal mais c'est bon .

Je commençais alors a faire des mouvements de vas et viens de plus en plus rapide, Antoine râlait ! Je changeais de rythme plus ample mais plus lent, bien a fond d'un coup violent puis je ressortais le gode pour le rentrer entièrement d'un coup rapide et violent, ou tout en douceur, lentement mais fermement.

Antoine sanglotait '' Putain on le sent passer ton gros machin , AAAhhhhh, non ,oui, vas y, ça fait mal mais c'est bon ! '' Il était rouge, il tremblait ses mains crispées sur les coussins, il était en larme, en larme mais ravis, Je maintenais le gode bien à fond sans faire le moindre mouvement puis retournais Antoine sur le dos , il se laissait faire. Il se retrouvait allongé sur le dos , les jambes jointes et le gode toujours dans le cul jusqu'à la garde. Il me regardait et me souriait. Je l'installais confortablement avec deux gros coussins sous la tête puis revenant à la table je lui présentais le gode ''Franck'' , avec un grand sourire ...

Antoine : Ça c'est du lourd ... même pas peur !

Je lui présentais la taille du dessus ... 24 cm sur 6 cm ... Là Antoine ne souriait plus ...

Antoine : Je te garantis pas que je vais me le prendre dans le cul, ça c'est vraiment gros ! Mais, je suis chaud ... Je te laisse faire ... Vas y doucement ... La vache , on doit le sentir passer celui là et c'est même pas le plus gros de ta collection !

Je posais le gode sur un tabouret, bien collé avec sa ventouse, l'enduisais abondement avec du gel, à chaque étape je jetais un regard vers Antoine qui semblait se dire '' c'est énorme , ça passera pas ''. Je me plaçais alors entre Antoine et le tabouret, les jambes écartée, il me regardait, je lui faisais un grand sourire, il baissait les yeux et regardait mon dispositif de chasteté puis le gode qu'il pouvait voire derrière moi entre mes jambes. D'un mouvement lent , je repliais les jambes m'asseyant doucement sur le gode, je me positionnais, le cul juste au dessus puis m’empalais doucement , Antoine avait les yeux ronds il semblait fasciné , je m'enfonçait de plus en plus sur ce gros pal en un seul mouvement lent , à voire ma tête Antoine rigolait, au bout de quelques minutes j'étais assis sur le tabouret avec ce gros gode dans le cul .

Antoine : J'y crois pas , Ouah ! Là tu m'impressionnes ,
Moi : Et je te confirme qu'on le sent passer celui là !

D'une main j'approchais un second tabouret que je plaçais juste devant moi, j'y posais fermement le gode ''Franck'', et d'un geste, invitais Antoine à s'installer.

Antoine : Même pas peur !

Antoine se levait, il respirait lentement, il retirait le gode qu'il avait dans le cul depuis un moment en faisant quelques grimaces, et quelques sourires à mon intention, puis tout comme je venais de lui montrer, se positionnait au dessus du tabouret et doucement s'empalait , doucement il enfonçait les 22 cm jusqu'à la garde.

Je me penchais vers Antoine, l'embrassais en le prenant dans les bras et lui glissais à l'oreille .'' Va y , fait comme moi !''

Je me relevais alors doucement pour faire ressortir le gode de mon cul, puis me ré-asseyais dessus, je recommençais, le gode entrait , sortait ... C'était bon, Antoine faisait comme moi. On se tenait enlacés, on se relevait puis on s'empalait pendant de longues minutes.

On finissait par se relever, toujours accrochés l'un à l'autre. Antoine tremblait dans mes bras ou alors c'est moi qui tremblais dans ses bras.

Antoine : Quand je me fais enculer, je peux me branler, là, c'est un peu ... spécial ...

Il respirait fort, semblait essoufflé, je le poussais en arrière, il se laissait tomber sur le canapé. Je lui présentais le gros gode que j'avais dans le cul quelques instants plus tôt et qui était resté collé au tabouret. Antoine ne répondait rien mais poussait un gros soupir. Sans plus attendre, je lui relevait les jambes et commençait a le lui rentrer dans le cul. Antoine poussait un hurlement mais ne résistait pas, il respirait vite, très vite, comme une femme qui accouche. Il hurlait : '' Ça passera pas ! '' . Je poussais un peu plus et finalement ... Ça passait ! Je poussais le gode bien à fond avec douceur, Antoine avait la bouche ouverte comme s'il hurlait mais aucun son ne sortait.

Je laissais Antoine dans cette position. Je prenais le dernier gode, le plus gros , le posais sur le tabouret et m’empalais dessus en un seul mouvement. Antoine n'en perdait pas une miette ! Il me regardait totalement fasciné ! Je m'allongeais sur lui, l'embrassais, on se caressait, chacun appuyait sur le gode l'autre, le ressortait puis l’enfonçait de nouveau. Ce jeux durait un long moment pour nous laisser finalement amorphe, vidés, comblés.

Antoine : Délire ton truc, j'ai pas éjaculé, mais j'ai pris mon pied !Je suis mort. Je peux dormir ici ?

Je me relevais et lui tournant le dos.

Moi ! Alors tu me le retire ?

Je le laissais faire, je sentais le gode sortir doucement, ultime sensation de plaisirs. La je me senti vraiment vidé , Je lui faisais la même chose. Il restait là, à me sourire, il avait l'air heureux.

Moi : Ça va ?
Antoine : C'est le pied. J'adhère, ...

On rangeait tout on prenait un douche puis ... dodo. On se regardait l'air complice sans rien dire. Nous n'avions pas éjaculé mais on avait tout de même prix notre pied. on se couchait, on échangeait un dernier baiser puis très vite on s'endormait !

Le lendemain,on se réveillait en pleine forme. Antoine avait un large sourire.

Antoine : Je ne me suis pas réveillé de toute la nuit. Ouah, j'ai vraiment bien dormi, tu as bien dormi toi aussi ? Finalement c'est super ton truc ! En fait je te comprends mieux maintenant. Tu sais prendre du plaisir, pas de problème. J'aurais presque envie de recommencer. Ça fait plusieurs jours que je me suis pas branle , et je me sens super bien. ..
Moi : Thé ou café ?
Antoine : Chocolat ! D'habitude je me branle tous les jours et même plusieurs fois par jour, et là ça fait plus de deux jours, pourtant je me sens super bien ! Sans problème ton truc je le garde à vie, ouais je ne l'enlève plus!
Moi : Pain grillé ou biscottes ?
Antoine : Gâteaux ! Remarque, j'ai pas de gode moi, il faut que je m’achète un gode. Ou tu as trouvé tes godes toi, il y a un marchand dans le coin, tu sais peut être ça toi. Ça te tentes de venir avec moi pour m'aider à choisir, on pourrait se faire un resto au passage ...
Moi : Deux ou trois sucres ?
Antoine : Quatre ! C'est Christophe qui va délirer, tu lui dit rien, c'est moi qui vais faire ...

Là, j'ecclatais de rire .. Il ne disait plus rien, me regardait l'air bête, puis éclatait de rire à son tour !

Antoine : Je parle trop ! ... Trop vite .. ? Trop fort ... ?
Moi : On verra ça dans deux ou trois jours ...

On terminait notre petit déjeuner presque en silence.

Antoine : Tu ne me crois pas quand je te dis que , ton truc, je l'adopte, je le garde ? ...
Moi : Non c'est pas ça ...
A : C'est quoi ?
M : Tu es enthousiaste aujourd'hui, mais demain...
A: Demain, pareil !
M : Peut être, c'est pas toujours aussi facile, il y a des jours ... Surtout au début ...

Au moment ou il me laissait je me disais que finalement il avait l'air vraiment décidé …
Dans la journée Franck m'appelait, je lui racontais la soirée …

F : Tu t'amuse bien quand je suis pas là à ce que j'entends ! Et bien tu va pouvoir continuer encore quelques jours … J'ai un collègue malade et un appareil à livrer à l'autre bout du pays, pas le choix, C'est moi qui m'y colle, il n'y a personne d'autre, je serais absent au mon une semaine... On ne se verra pas ce week-end je ne rentrerais pas avant le milieu de la semaine prochaine ! Là ça va devenir dur , dur dur !
M : Galère, qu' est ce que je vais faire de week-end moi !
F : Je suis sûr que tu vas trouver ! Christophe m'a téléphoné au sujet de ton petit dispositif .
M : Et qu'est-ce qu'il a dit ?
F : En fait, Antoine à raison, il m'a dit qu'il aimerait bien le voir sous clée somme toi !
M : J'ai l'impression que je vais avoir un nouveau collègue dans mon club !
F : Je te rappelle plus tard, il faut que je me prépare, nous partons dans moins d'une heure.
M : Je t'embrasse, je t'attendrai, le regard fixé sur la ligne d'horizon, je ne mangerai pas ne me laverai pas ne boirai pas avant ton retour !
F : Ça va vraiment pas mieux toi ! N'en fait pas trop tout de même ! Je t'embrasse, à plus !

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