Vacances Étonnantes

VACANCES ETONNANTES AVEC SEMINARISTE (1)

En cette période de confinement, j'ai plus de temps pour vous raconter cette histoire qui s'est déroulée il y a quelques années.
J'ai eu la chance d'hériter en indivision d'une grande propriété alentours de Bordeaux. En plus du jardin-parc une splendide immense bâtisse à la française d'une quinzaine de pièces.
Comme dans toutes ces circonstances, j'ai le droit d'en profiter plusieurs semaines dans l'année. Je devais y aller à la fin du printemps, mais je ne voyais pas comme l'année précédente y. rester une bonne quinzaine de jours seul dans cette si vaste maison.
J'ai eu l'idée de proposer à notre nouveau vicaire qui vient d'être installé dans notre paroisse. De plus il n'y a pas longtemps qu'Olivier a été ordonné.
C'est avec joie qu'il a accepté cette proposition-invitation, avec l'autorisation du Curé pour ces quelques jours d'évasion surtout qu'il devra rester seul ici à la paroisse pendant la période estivale de trois mois.
Olivier est un homme d'une trentaine d'années, de un mètre quatre-vingt cinq, châtain clair. Il a un joli regard accompagné d'un sourire plein de gentillesse. Il est très dynamique et plein d'initiatives. Depuis son arrivé il est très apprécié de tous. Il est tout à fait de son temps, sans vraiment de signe distinctif.
La veille de mon départ, il me demande si il pouvait venir avec un séminariste qui ne peut pas rentrer dans sa famille ces prochains mois. J'ai accepté, la maison est suffisamment grande pour accueillir une personne de plus.
Je pars donc quelques jours avant en voiture, Olivier et Tristan me rejoindront avec le train.
Après m'être installé quelques jours après je vais les chercher à la gare en fin d'après-midi. J'attends dans le hall et aperçois Olivier, malgré la saison pré-estivale toujours aussi souriant habillé de façon décontractée mais assez chic. Quant à Tristan (que je ne connaissais pas encore) nettement plus jeune, et là je crus rêver en soutane, oui en soutane.

Quelle idée me dis-je en moi-même.
Nous arrivons à Marzette (non de la propriété). Je les vois admirer la construction et les dirige vers le premier étage où ils peuvent choisir leur chambre respective.
Tristan est un jeune de vingt-six ans, blond foncé et d'apparence longiligne. Je ne peux pas en dire plus avec sa soutane qui cache tout, en souhaitant qu'il l'enlève durant le séjour. Autant Olivier est détendu blagueur, direct et nature, que Tristan est assez guindé, distant, beaucoup de retenue sans compter son langage très académique, presque vieille France.
Les premières journées se déroulent en visite ou moment calme dans le parc. Olivier en t'shirt et short font apparaître des bras et des cuisses très joliment dessinés avec des muscles bien entretenus. Quelques poils dépassent de l'ouverture de son polo. Il est vraiment beau et même attirant. Et notre Tristan pendant les visites toujours en soutane et dans le parc il est tout de même en pantalon Chino et une magnifique chemisette.
Son corps est très félin mais avec de jolies formes notamment son fessier bien dessiné dans son pantalon. Il a un regard assez profond et persant presque hypnotisant.
Un ou deux soirs j'entends de légers bruits venant d'une des chambres. Je ne voudrais pas penser à mal. En moi-même je me dis que je ferai plus attention les prochains soirs.
J'ai la chance d'avoir Roger et Bernadette le couple de gardien qui s'occupe de tout l'entretien intérieur et extérieur de cette belle et immense propriété ce qui me facilite la vie Un matin alors que j'étais en train de prendre mon petit-déjeuner, du couloir, Roger me fait signe, je me dérange et il me dit : monsieur Eudes, je voudrais vous dire quelque-chose car ma femme n'ose pas vous le dire. Depuis que vos amis sont arrivés, dans une des chambres elle est obligée tous les jours de changer les draps dans une d'elles. Je le regarde étonné. Il me développe un drap
Avec une immense tâche jaunâtre légèrement raidie.
Je me dis, ce n'est pas de l'urine car le lit serait mouillé, alors ? ? Serait-ce du sperme.
Je remercie gentiment Roger et qu'il m'excuse auprès de Bernadette de ce désagrément.
Voyant encore œuvrer Bernadette à l'étage, j'ai compris que ce drap devait du jeune Tristan et cela expliquait peut-être les bruits. Ne le connaissant pas, dans la matinée, je pris Olivier à part et lui demande d'informer son copain Tristan d'être plus discret dans son lit, c'est un manque de respect vis-à-vis de Bernadette.
Olivier se met immédiatement à rougir, ses joues deviennent cramoisies et me bredouilla qu'il informera Tristan.
J'avais vu lors de nos moments de repos sur les transats le beau paquet qui se dessinait dans le short d'Olivier. Depuis que nous nous connaissions aucune allusion n'avait été faite.
Le soir nous nous couchons comme tous les autres soirs vers vingt-trois heures, (toutes les chambres ont une télévision, chaîne de radio et les nouvelles technologies). Vers une heure du matin, j'entends les mêmes bruits et peut-être un peu plus forts dans une des chambres. Je me lève et du couloir, ceux-ci proviennent de la chambre de Tristan. Je trouvait que de se masturber aussi bruyamment m'étonnait. Je marche discrètement dans le couloir pour aller entendre. Dans l'enfilade de couloir, je passe devant la chambre d'Olivier, et celle-ci est ouverte, je jette un coup d'œil, le lit est ouvert et personne. Mon cœur se mit à battre. Je continue jusqu'à la porte d'en face qui n'était pas complètement fermée. Un filet de lumière dans l'entrebâillement. Et là j'aperçu le jeune félin couché sur le dos, et Olivier à genoux avec les jambes de Tristan sur ses épaules.
Oliver était en pleine activité, en appui sur ses bras il effectuait des va et vient assez violents dans l'anus de Tristan, tout en l'embrassant à pleine bouche, avec des baisers ventouses. Entre deux Tristan poussait par moment des gloussements. Olivier redoubla la cadence en poussant des onomatopées et à un moment il décule le jeune.
Là je vois son cylindre de chair d'au moins vingt-deux centimètres et pas moins de six centimètre de diamètre. Une queue digne des plus excitants films porno.
Tristan haletant enlève ses jambes des épaules et écarte largement ses jambes. Olivier se cale entre-elles et met en bouche la queue de Tristan en bouche pour lui faire une fellation. Beaucoup de salive coule tout au long de ce membre raide aux dimensions plus raisonnables Olivier l'engloutit assez profondément, ce qui fait gémir le Tristan qui agite sa tête de droite à gauche. Mes mains pétrissent les draps au moment où Olivier lui rentre un doigt pour branler et masser sa rosette. Je constate que Tristan a son pubis et couilles complètement rasés. Après un long moment de cette délicieuse caresse, Olivier s'arrête et s'allonge sur le corps de Tristan pour l'embrasser à pleine bouche. Nin l'un, ni l'autre n'avait éjaculé.
Tout cela m'excite, je me mets à bander progressivement pour arriver à une magnifique érection sous mon peignoir Peut-être Olivier m'avait demandé d'inviter son copain de séminaire, car il n'avait pas d'endroits tranquilles au presbytère pour effec ce genre d'exercice. Devais-je entrer ou continuer à les épier ? Dilemme !!
Olivier s'arrête de l'embrasser, lui lèche une oreille, ce qui fait rire Tristan puis lui dit quelque chose toujours à l'oreille j'entends un oui.
Les deux bougent et Tristan se met à quatre pattes sur le lit, présentant bien son petit cul, qui à l'air également glabre. Olivier enserre de ses mains les hanches de Tristan et lui donne quelques baisers sur sa colonne vertébrale. Il se met à genoux et lui lèche le cul pendant de longues minutes qui font pousser des petits cris à Tristan qui se trémousse un peu.
Olivier de sa main droite lâche la hanche et prend son énorme chibre pour le positionner correctement. Il remet sa main sur la taille du séminariste et ne ménage pas l'introduction en poussant un bon coup vers l'intérieur. Tristan relève la tête en émettant un cri, et là Olivier s'agite progressivement sur toute la longueur de sa queue.
Pendant ce temps Tristan à saisi sa longue flûte pour se l'astiquer tranquillement. Son geste devient plus ample et rapide. Il a l'air de plus serrer cette colonne. Sa masturbation devient très rapide et presque frénétique et violente et pousse des oui successifs. Un râle profond sort de sa gorge et pour cause, il éjacule des jets successifs intenses de son foutre, et m^me quelques longues secondes après de nouveau trois jets de sperme rejaillissent de son méat.
Olivier continue un petit instant à le buriner et enlève son sexe raide pour s'astiquer manuellement pour une éjaculation proche. Il a la tête en arrière la bouche ouverte et sa jute jaillit en un énorme flot qui finit sa course sur les draps au niveau des pieds de Tristan. (je comprends maintenant l'importance des tâches sur le drap)
Ma remarque n'a pas du être comprise, car Tristan essuie sa queue ramollie avec ce drap. Je suis toujours excité de ce spectacle et un peu furieux ainsi que surpris que ces deux hommes d'église se donnent autant de plaisir, et de l'état de la literie.
Alors j'ose entrer dans la chambre. Ils sont complètement tétanisés de me voir. Ils mettent une main devant leur sexe. Les deux ont les joues toutes rouges, par l'excitation ou par la honte??
Je ne fais aucune réflexion sur leur attitude ou leur mœurs, mais leur fait prendre conscience de la remarque de monsieur Roger.
Je m'adresse au plus jeune, celui qui joue au bon chic bon genre parfois même un peu précieux. Tristan vous allez m'enlever toute votre semence gâchée de ce drap. Interloqué et ébahi il me regarde interrogatif. Oui, vous allez lécher pour tout enlever et que ce drap ne soit pas raidi par tout ce foutre
Sans répliqué et honteux il se mit au travail en lapant le fruit de son orgasme. Vu sa position je m'adresse à Olivier, je croyais que vous aviez compris ma demande de ce matin. C'est aussi Tristan qui va nettoyer votre flaque de semence de votre honteuse masturbation d'homme d'église. Pendant ce temps vous allez encourager votre copain en titillant sa rondelle de votre langue, j'ai vu tout à l'heure qu'il appréciait. Olivier me regarda complètement démuni. Lui aussi se mit immédiatement au travail en faisant aller sa langue à l'endroit que je lui avais imposé, au grand plaisir de Tristan
Les draps au bout d'un quart d'heure étaient mouillés par la salive de Tristan, mais nettoyés du foutre perdu de chacun. Les draps sécheront sans se raidir.
Certains soirs du séjour, je me suis joint à eux, et j'ai pu constater que ces jeunes avaient de fortes envies et nombreuses pulsions. Et que ces hommes-séculiers d'église ont les mêmes pulsions que nous.
Le jeune Tristan est vraiment vicieux. C'est lui qui a corrompu Olivier
Vous le saurez bientôt
Eudes

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