Vacances

Vacances
La nuit : je me réveille avec l’envie de pisser. Tout le monde dort dans le camp, je me lève, nu, je bande. J’ouvre la porte du camping car, tout est noir, seule une lumière permet de voir le bâtiment des toilettes, à cent mètres. J’hésite : passer un slip, pourquoi faire ? Il n’y a personne et peu de chance que je rencontre quelqu'un. Ma femme dort.
Nu et bandant je sors et marche vers les toilettes qui sont éclairées. Il fait bon, 25 degrés au moins. En marchant je caresse machinalement ma queue.
J’arrive, j’avise le premier urinoir et me soulage non sans mal tant ma bite est tendue : les urinoirs ne sont pas fait pour pisser avec la bite raide. Mais c’est bon de pisser quand on en a envie, après je me sens bien et je m’attarde en caressant ma queue. Vraiment il fait une température délicieuse et j’ai envie de me taper une queue.
J’astique ma queue debout quand un léger bruit me fait sursauter : il parait venir d’une cabine de WC, cela ressemble à un soupir. Je ne suis pas seul, il doit y avoir un mec là dedans, me dis-je. Et je m’approche de la cabine d'où paraissait venir le bruit. Elle n’est pas fermée : nu, assis sur la lunette, un très jeune homme se masturbe d’une main et de l’autre tient un magazine gay aux photos explicites qu’il regarde. Il ne m’a pas entendu venir et je le regarde un instant, il est blond, il est beau, il ne doit pas avoir plus de vingt ans.
Tu te branles ? Demandé-je, à haute voix.
Il sursaute et, abandonnant sa queue, il fait le geste de planquer son magazine derrière le siège.
Je pensai être seul, d’habitude à cette heure il n’y a personne.
Je suis venu pisser. Mais je me branlais aussi quand je t’ai entendu.
Moi je viens me branler, je ne peux pas le faire dans la caravane.
Pourquoi ? Vous êtes nombreux ?
Mes parents et deux frères plus jeunes
Je vois, ce n’est pas commode.
Et toi tu es seul ?
Non ma femme dort.


Tu veux ? Demandais-je, en m’approchant.
Pour toute réponse il tend la main et la pose sur ma tige tendue. Et son regard clair me dit qu’il est plus que partant.
Je lui dis : viens, on sera mieux dehors.
Et il se lève, et nous quittons ce lieu aux relents d’ammoniaque et d’urine, lui me tenant par la queue.
Nous roulons bientôt par terre sur un coin d’herbe dans l’obscurité. L’ami n’a pas lâché ma queue, je me retrouve sur le dos et lui, à quatre pattes au dessus de moi, commence à me lécher le gland et le pourtour de la bite. Ma main cherche et trouve sa queue à lui et se referme dessus, je me mets à le branler.
Bouge un peu que je puisse te sucer aussi !
Nous voici en position de 69, j’aime son gland dans ma bouche, j’aime sentir le mien dans la sienne. J’aime caresser la peu satinée de ses couilles. La nuit est belle, son corps est chaud et doux. Je sens le sperme monter dans ma tige, la jouissance devient imminente.
Je vais jouir, me dit-il.
Tu veux que je te branle ou jouir dans ma bouche ?
Branle-moi.
Sans changer de position nous nous branlons, pas longtemps, son sperme et le mien jaillissent presque en même temps et se répandent l’un et l’autre sur mon bas ventre qui en est inondé.
Il se relève.
Je reste sur le dos, étalant le sperme sur moi.
Tu seras là demain ?
Si tu veux, c’était bon.
Vers trois heures, mais je peux t’attendre.
Dors bien, moi je vais prendre une douche, dis-je.
Bonne fin de nuit, me dit-il, à demain.
A toi aussi, j’aime ta queue Dors bien.
Quand je rentre dans le camping car, ma femme qui a le sommeil léger ou, plutôt, qui ne dort jamais que d’un œil me dit :
Tu en as mis du temps à faire pipi ! Tu as rencontré une jolie nana ?
Elle n’était pas mal, dis-je
Ma femme ne sait pas, ou, du moins, je ne crois pas qu’elle sache que depuis quelque temps je préfère rencontrer un garçon aux yeux et aux couilles de velours plutôt que la plus pulpeuse des nanas.
Et ce n’est pas le mec de cette nuit qui va me faire changer d’avis !

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