Intiation 4Ème Partie

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

L’eau chaude coulait abondamment sur le corps meurtri de Daphnée. La douche salvatrice nettoyait toute trace de souillure, elle se sentait à nouveau femme. La douleur à son anus s’estompait peu à peu, laissant place à une douce quiétude. La poire de douche parcourait son corps, finissant de laver la semence séchée sur son visage. Un gaz s’échappa de son fondement, laissant couler le plaisir de son maître dans un « brooo » honteux. Elle était en train de se laver devant son maitre qui n’en perdait pas une miette. En effet, Thierry savait qu’elle tenterai de se toucher sous l’eau et sa présence dominante aurait l’effet de la discipliner. Ses instructions étaient claires : « tu te toucheras en pensant à moi dans ton lit, ce soir, pas avant chienne ! ».
Elle avait honte, sentant son amour-propre s’estomper doucement, elle perdait peu à peu toute fierté devant lui. Il la rassurait par ses paroles directes, son assurance et son autorité naturelle faisaient l’effet d’un puissant aimant. Sa voix, posée et grave s’accordaient bien avec son agressivité naturelle.
Séchée et rhabillée, elle était sur le point d’être congédiée par son maître quand celui-ci lui dit d’un ton ferme « rentre chez toi, masturbe toi en pensant à moi, maintenant tu es à moi, n’oublies pas à qui tu appartiens…- Oui Maître » dit-elle docilement.
Rentrée chez elle, Daphnée se toucha rapidement, pensant néanmoins à son maître mais également aux images hypnotiques qui avait défilées devant elle. S’écroulant de sommeil, ses rêves étaient peuplés de filles souillées de sperme, souriantes et à genou, et de flammes jaunes vives crépitants, d’acier forgé et de cris de douleurs.
La sonnerie du téléphone portable qui retenti avait un effet frustrant sur le sommeil de Daphnée. 07h00 du matin ! Qui pouvait l’appeler à cette heure-ci ? « M » s’affichait sur son écran. Son Maître la réveillant si tôt, pourquoi ? Répondant de sa petite voix fluette, elle entendit le ton grave et cérémonieux de son homme lui dire « vient à ton maître ».

Cette phrase, faisant l’effet d’une claque au visage, la fit s’arque bouter sur son lit, elle s’entendit dire « à vos ordres maître, j’arrive tout de suite ».
Thierry venait de raccrocher. Il savait qu’en amoindrissant le sommeil de cette fille, il accélérerai son asservissement. Les projets qu’il envisageait pour elle commençaient à prendre forme. D’abord dépucelée et fécondée, il la marquerait physiquement, brisant, par une dose massive de clip hypnotiques et de drogue, toute velléité de rébellion, puis la rendant docile naturellement, il pourrait probablement en tirer un bon prix auprès d’un prince arabe ou d’un oligarque d’Asie, voire d’Afrique.
Amoureuse…. c’est en pensant à cet amour naissant que Daphnée entra dans l’appartement de Thierry, toute tremblante des souvenirs de ce qu’elle avait subi la veille. Mais tellement reconnaissante de lui avoir fait découvrir la vie.
Elle se mit à genou sans qu’il ait eu à dire un mot, elle savait ce qu’elle avait à faire maintenant mais il lui dit « à poil, et mets ta laisse et ton collier, ensuite tu mets les vêtements que je t’ai préparé, ils sont sur la table basse, après tu me rejoins. Rappelle-toi la façon dont tu dois te déplacer chez moi esclave… - Oui maître. »
La petite jupe plissée à carreaux rouge et noirs ne cachaient rien du tout pour elle, les bas noirs et les portes jarretelles dépassaient honteusement, les talons hauts, rouge vifs, affichaient une certaine provocation. Le chemisier blanc, manches courtes et noué au-dessus de son nombril complétaient le tableau. Elle était lookée pute de collège ou écolière soumise, au choix. « Tiens salope » lui dit Thierry en lui tendant deux élastiques à cheveux. « Fais des couettes et tu seras parfaite trainée ».
Daphnée s’exécuta en s’appliquant, faisant tourner ses cheveux longs, blonds puis les lâcha.
« Allume la télé et vient près de moi ma petite chérie ». Le mot « chérie » avait fait son effet dans son ventre. Elle était sous le charme de cet homme dès leur rencontre, mais là Daphnée le regarda amoureusement, ne pouvant s’empêcher d’esquisser un sourire de contentement.
« A mes côtés cela veut dire à genou, tu restes par terre, comme la bonne chienne que tu es, compris ? –Oui Maître ».
Le clip hypnotique était différent de ce qu’elle avait déjà vu. Beaucoup plus agressif et foncièrement malsain, elle voyait des filles attachées, maîtrisées et fouettées, en levrette, anus toujours dilatés et recouvertes de sperme, mais ce qui était le plus troublant c’étaient leurs sourires… Elles avaient l’air tellement heureuses de subir cela. La musique techno forte, ajoutée aux flashes stroboscopiques et aux positions dégradantes et humiliantes qu’elle voyait troublaient la jeune fille.
Le visionnage de ces images faisait mouche, il la voyait se tortiller à ses côtés, il devinait qu’elle mouillait sous sa tenue d’écolière soumise. Quand il alluma la cigarette artisanale, l’odeur âcre se répandit dans le salon. Daphnée avait déjà senti cette odeur, lors de concerts notamment. Quand il lui tendit le joint elle n’hésita pas, elle avait déjà essayé et cela lui avait procuré des sensations rigolotes dans le cerveau. Thierry esquissait un sourire en la voyant tirer sur le pétard.
Les cris s’échappaient de l’écran plat d’une belle dimension, « suce, avale, obéis » revenaient sans cesse. Des images de gros sexes masculin, au repos ou jouissant occupaient l’écran, Daphnée commençait à saliver, sa bouche s’ouvrait naturellement, laissant entrevoir un filet de bave. Sa chatte n’était pas en reste car elle sentait une humidité certaine arriver dans son bas-ventre.
Les effets de la drogue combinés au clip finissaient de faire leur effet. Docile mais néanmoins excitée, elle attendait le moindre ordre de son maître, à l’affut d’un ordre qui n’arrivait pas, elle qui se sentait tellement prête à le servir. Elle tirait inconsciemment sur la laisse, tremblante de désir et d’envie de queue, le collier enserrait sa gorge délicatement.
« Quelque chose ne va pas Daphnée ? » lui dit triomphant Thierry. Tremblante, elle ne put s’empêcher de lui dire « s’il vous plait monsieur, j’ai tellement envie, j’ai la tête qui tourne et ces images me troubles ».
« Demande le moi poliment chienne, car c’est ce que tu es, une chienne…
- S’il vous plait maître, puis-je sucer votre membre ? – viens esclave, et appliques toi, salive bien surtout, et soit reconnaissante envers ton maître…- merci maitre, merci» dit-elle d’un ton suppliant tout en penchant sa tête vers l’entrejambe de son maitre.








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