Initiation À La Domination - 2Ème Partie -

Il était bien dur dans sa bouche et elle sentait que, même pour une débutante, elle allait réussir sa première pipe. Quelle ne fut pas sa surprise quand il lui ordonna de cesser et de le suivre dans sa chambre.
Le goût de sa queue toujours sur la langue, elle avait fini par cesser tous sucions sur le membre. Suivant son maître qui la précédait, elle se rendit compte que la bave qu’elle avait produite avait effacé son rouge à lèvre. Malheur ! elle comprit qu’elle n’était plus présentable pour son homme et tâcha de se nettoyer avec son avant-bras.
« A poil, grouille ! » lui dit Thierry. Hésitante un moment, elle s’exécuta docilement, lentement tout en écoutant avec attention les paroles de son mentor. « Bonne fille, c’est bien, tu es mignonnes, je vais faire de toi une femme heureuse, tu seras à ma botte et y prendra beaucoup de plaisir, je te dresserai et t’apprendrai à bien te comporter afin de me satisfaire en tous points ».
Buvant littéralement ces paroles, elle se retrouva nue, comme à la naissance, avec la honte en plus…
« Reste debout et soit fière du collier que je vais te poser en signe d’appartenance, tu es MA femelle maintenant ! » Thierry enserra le cou de Daphné d’un vulgaire collier de chien clouté supportant une boucle en fer blanc dans laquelle il accrocha une laisse en cuir noir. « Maintenant tu es complète » lui dit-il en tirant dessus afin de la faire se rapprocher de lui.
La sensation d’appartenance était à son paroxysme, fébrile, elle se sentait chienne et soumise à la fois, complètement à la merci de cet homme, elle lui était reconnaissante et elle sentait les mains lourdes lui parcourir le corps, le dos, les fesses, les seins, comme si cela ne lui appartenait plus.
Trempée et rouge de honte, elle ne put s’empêcher de murmurer un « merci » de soulagement. Triomphant, Thierry la serrait de près et, tirant sur la laisse, la fit se mettre à 4 pattes. « En bonne chienne soumise tu te déplaceras comme cela dorénavant, maintenant monte sur le lit afin de recevoir ta récompense ».



Il la plaça sur le dos, lui écarta les cuisses en lui tapotant les fesses doucement. La surmontant à califourchon, il promenait sa queue sur tout le corps de Daphnée, commençant par le visage qu’il maculait de bave et de liquide séminal, il n’hésita pas à lui cracher à la figure pour faire mieux glisser son sexe « tiens salope, c’est ce que tu mérites, je vais faire de toi une bonne pompe à sperme et en attendant, mon odeur imprègnera ton corps. »
Elle sentait les couilles de son homme glisser sur ses seins, sa bouche, docile et passive, elle voyait sa queue dure et large se promener partout sur elle.
Il avait laissé glisser ses doigts sur sa chatte brulante, et constatait qu’elle était réceptive. Ses paroles de plus en plus outrancières l’asservissaient encore plus. Crachant sur son minou, il présentait, sans aucun respect pour elle, sa queue à l’entrée de l’orifice vierge.

« Serre les dents salope, je vais te la mettre et tu ne m’oublieras jamais ». D’un coup de rein il enfonçait sa queue dure dans son con. Le membre lui déchira l’hymen et un filet de sang, ajouté à la mouille et la bave, coulait le long de ses cuisses, augmentant la température du corps à cet endroit.
La douleur fulgurante qu’elle ressenti dans le bas ventre l’avait presque fait s’évanouir, elle était pénétrée, ravagée, possédée, et cela lui faisait atrocement mal. Les cris qu’elle poussait étaient pour Thierry aussi doux à entendre qu’une musique lyrique. La perforant avec force et vigueur, sa brutalité envers elle n’avait d’autre but que de la briser, et il réussissait.

Une douleur immense faisait place à un plaisir jouissif. Pour Daphné, se sentir ramonée faisait augmenter, à présent, une douce sensation de chaleur qui s’étendait sur son corps. Elle était écartelée et entièrement possédée, elle se sentait déchirée.
Son homme la besognait sans aucune pitié mais c’était normal pour elle, elle était née pour le servir, il lui avait déjà dit à plusieurs reprises.
Voyant son homme prendre du plaisir dans sa douleur, elle ne pu que l’aimer encore plus. Plus il la besognait, l’agrippant par les hanches, la tenant fermement par les poignets, et plus elle l’aimait. Les insultes recommencèrent à fuser, « sale pute, trainée, sac à foutre, merdeuse » Thierry se défoulait, mais il savait que le point de non-retour aurait pour effet de calmer sa partenaire, elle ne devait pas jouir, surtout pas, la tenir sous contrôle….Il ralentissait le rythme en constatant maintenant que sa partenaire, jambes écartées, couinait comme une chienne.

Daphné n’en pouvait plus, elle sentait monter l’orgasme de plus en plus fort, mais elle fut immédiatement frustrée que son maître cesse cette pénétration et sorte sa queue de son intimité.
« Ca suffit salope, mets-toi à 4 pattes, allons obéis, et cambre toi bien. »
Docilement elle prit position, en attendant que son homme la pénètre de nouveau, dans cette position choyée qu’elle rêvait de vivre dans ses vagabondages fantasmagoriques.
A 4 pattes, offerte à son homme, elle se sentait bien. Malgré la douleur diffuse de son minou déchiré, elle savait qu’elle aurait droit à une seconde pénétration. Quelle ne fut pas sa surprise de sentir la langue de son amant fouiller son fondement, et quelle sensation divine, une langue fourrée, qui appui sur son anus et la chaleur de sa bave, puis un doigt titillant son cul, le pénétrant, allant et venant.
Elle pouvait se voir dans cette position humiliante dans les miroirs, une blonde, à 4 pattes avec un homme fouillant son intimité, le reflet lui plaisait, elle se sentait s’abandonner aux vagues de plaisir, couinant quand son homme lui administrait une petit tape sur les fesses. Elle était heureuse. Femme enfin, trainée et soumise surtout.

Thierry savait jusqu’où aller cette première fois, il devait rapidement lui faire accepter tout ce qu’il souhaitait lui faire subir, il devait la rendre accro, et vite.
Le doigtage dans son cul s’accélérait et elle gémissait de plaisir.
« Je ne vais pas t’enculer maintenant mais tu y auras droit, tu es à moi corps et âme maintenant ».
« Je vais m’allonger et tu vas me sucer doucement, je vais mettre un film et tu regarderas attentionnément ce qu’il passera sur l’écran, tout en me pompant docilement, tu comprends ? – Oui maître » répondit-elle.

Le DVD diffusé était issu de son ordinateur, il s’intitulait « mind break hypno ».
Suçant avec gourmandises son maître, elle voyait à l’écran des images tirées de films pornos et l’apparition brève mais réelle de mots comme « suce, avale, salive, vénère, bite, obéis, soumets-toi » était de plus en plus intense.
Elle ne pouvait retirer ses yeux de ce qu’elle voyait. Des éjaculations faciales, des filles souriantes, heureuses d’être enculée, fécondée, humiliée, portant colliers et dessous osés, le tout rythmé par une musique techno lancinante. Sentant la queue de son maître bien dure dans sa bouche, elle aimait en plus ce qu’elle voyait. Ces belles femmes heureuses et fières lui faisaient s’assimiler à elle et restait très troublée par les mots que son cerveau enregistrait malgré elle.
Thierry la fit se mettre de nouveau à 4 patte, toujours devant les clips vidéo il se positionna derrière son fondement et poussa sa queue doucement dans sa chatte archi-lubrifiée. Elle poussa un « han » de contentement. Regardant les vidéo, elle entendait son homme lui parler comme à une chienne et elle aimait cela. « Sort ta langue salope, montre-moi comment tu suce des bites », le tout en lui claquant les fesses fermement. Les images tournaient dans sa tête, la musique l’excitait et le sperme coulait à flot sur les bouches et fesses des filles. « Ça te plait ce que tu vois, hein trainée ? » Gémissant comme un petit animal, elle haletait en murmurant des « oui mon maître, j’aime ça ». Elle était sincère, elle vivait enfin ses rêves, un homme la possédant et lui apprenant comment se comporter au lit, enfin, après toute cette attente.
Thierry senti la jouissance monter en lui, tout comme Daphné qui encaissait maintenant les coups de boutoir sans difficulté.
Tourne toi salope et avale ce que je te donne, grouille ».
Il se retira de sa chatte bien ouverte par son membre épais et s’astiqua le manche devant la langue sortie de Daphnée, mmm, tient ma chérie, voilà ta récompense, n’oublie pas de me remercier car ce nectar est précieux, tu le sais…
Et aussi brutalement que cela, il déchargea son foutre blanc et épais sur la langue, dans la bouche et le visage de Daphnée, celle-ci lapa avec docilité le précieux liquide et l’avala non sans mal, en grimaçant de dégoût.

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