Mélanges - Julie La Rouge (05)

MÉLANGES - Julie la Rouge (05)

Résumé - Hervé, directeur d’une société d’informatique est très pris par ses affaires, il s’occupe peu de sa jeune femme Armelle. Celle-ci apprend par une lettre anonyme et des photos jointes que son mari participe à des soirées dans des clubs échangistes. Elle est effondrée et veut divorcer. Se confiant à son amie d’enfance, Julie, celle-ci sert d’intermédiaire auprès du mari et héberge provisoirement Armelle pour la nuit.


Julie, profite du désarroi de son amie pour la faire se caresser devant elle, et, la pauvre femme ne sachant plus où elle en est, Julie l’embrasse et la masturbe habilement jusqu’à lui provoquer plusieurs orgasmes. Armelle se laisse à rendre la pareille à son amie, se déchainant pour la première fois de sa vie dans une lubricité étonnante.


Puis les deux femmes retournent au domicile d’Armelle pour attendre Hervé. Armelle, contrainte par son amie se masturbe, à sa plus grande honte, devant son mari ; puis, Julie entreprend alors de faire découvrir à Armelle le corps nu de son mari, l’obligeant à le masturber, pour enfin, lui faire une fellation, où les deux femmes participent allègrement. Après cette première initiation, Julie laisse le couple se retrouver dans leur intimité et gagne la chambre d’ami, n’ayant pas assouvi ses envies.


Alors que j’ai les sens en feu, on gratte à la porte. Je me lève et découvre Armelle qui se glissa dans ma chambre et s’assoit sur mon lit. Osant à peine me regarder, elle me demande si je veux bien qu’elle reste dormir avec moi. Elle ne peut se résoudre à rester seule avec son mari après tout ce qui s’est passé ce soir.


Frustrée justement par le manque d’homme dans mon lit, et très en colère contre ma godiche d’amie qui ne sait même pas profiter du mâle qu’elle a dans le sien, je prends Armelle par la main et l’oblige à me suivre jusqu’au lit marital. J’explique à Hervé l’attitude de son épouse et je lui demande la permission de me glisser dans leur lit afin de rassurer son épouse trop pudibonde et craintive.




Celui-ci acquiesce en souriant, ravi bien entendu de ma présence en si petite tenue. En effet j’ai gardé ma nuisette en satin de soie qui ne laisse rien ignorer de ma nudité. Je sais que mes seins charnus pointent sous la soie et que les bouts érigés par l’excitation des heures précédentes transpercent presque le tissu. Ma toison rousse est également visible sous le déshabillé qui m’arrive tout juste au-dessus des genoux. Hervé ne peut ignorer que je suis nue sous le léger vêtement que je porte, et je vois dans ses yeux un désir violent qui me trouble au plus haut point.


Armelle, qui porte une chemise de nuit en coton, me demande alors à de venir entre eux deux. Toute rosissante, elle sort de sous les draps et se tourne vers moi, se blottissant dans mes bras en cherchant mes lèvres. Derechef, je me débarrasse de ma nuisette et j’enlève celle d’Armelle qui proteste pour la forme, mais ne souffle plus mot, lorsque je l’attire sur moi en la serrant entre mes bras. Je réponds à son baiser tout en caressant son dos, depuis sa nuque jusqu’à ses fesses. Elle se laisse faire alors que nous sommes imbriquées l’une dans l’autre, pubis contre pubis, nous frottant tout d’abord avec douceur, puis avec frénésie, lorsque nos attouchements vulvaires déclenchent l’affolement de nos sens enflammés. Mes gros seins lourds se frottent à ceux qui sont menus de mon amie, les pointes érigées cherchant un contact qui les électrise. Nos langues se mêlent dans un émoi grandissant, ayant complètement oubliées qu’un homme assiste à nos ébats lesbiens.


Alors que je suis sur le dos et qu’Armelle se trouve sur moi, j’aperçois Hervé, qui se plaçant derrière la croupe de son épouse lui écarte les globes aux formes pleines de ses fesses et contemple, ravi, son petit derrière potelé. Il a également une vue imprenable sur nos moules entrouvertes sur lesquelles il lorgne sans vergogne. Nos vagins gonflés commencent d’ailleurs à laisser suinter leur mouille et malgré un léger sursaut de mon amie lorsque son mari a écarté ses fesses, elle se laisse aller contre moi, m’embrassant comme une folle.



Hervé commence alors à lécher la vulve gonflée de son épouse qui s’ouvre sous la caresse linguale tout en se frottant contre ma vulve qui baille amplement sous les yeux avides de l’homme qui hume mon parfum de rousse que dégagent mes poils et ma miction que je sais fort odorante. Hervé ne se prive pas pour donner des coups de langues supplémentaires dans mon vagin, si gentiment offert à sa bouche gourmande. Il étanche avec délices le suc de nos deux moules, alors que nous continuons à nous embrasser la bouche et les seins.


Armelle est dans un état second, ses sens sollicités de toute part par moi et son mari. Elle ne songe même pas à l’inconvenance de la situation où elle se trouve. C’est alors que son homme la détache de moi pour l’enlacer et lui prendre ses lèvres, introduisant sa langue dans sa bouche, faisant fondre de volupté la belle insoumise. Il l’allonge sur lui et, lui écartant les cuisses, il dresse son vit devant le pertuis élargi par sa langue, puis, sans coup férir, il l’enfile jusqu’au plus profond de la matrice. Armelle sous la poussée de la verge qui perfore sa fente, se laisse aller de tout son corps sur celui de son mari, lui susurrant à l’oreille des mots d’amour tout en accompagnant les coups de boutoir de son époux qui la baise profondément.


Me voyant abandonnée, je lèche la raie culière de mon amie, titillant de ma langue pointée l’œillet resserré de la rondelle rectale. Puis, enduisant mon majeur de salive, je fore le délicieux petit anneau de Vénus, perçant et raclant de mon ongle l’étroit conduit, l’enduisant de ma salive. Je répète plusieurs fois l’opération tout en admirant le va-et-vient ininterrompu du braquemart qui pilonne le vagin dégoulinant de mouille de ma tendre bécasse d’amie. J’en, profite pour laper le liquide visqueux au goût de noisette qui suinte sur les grandes lèvres. J’en profite également pour lécher le membre qui entre et sort du vagin à un rythme endiablé. Lorsqu’il sort entièrement par instants, j’en profite pour l’enfourner dans ma bouche, le pompant deux ou trois fois, puis de mes doigts serrés sur le membre, je l’introduis à nouveau dans la chatte impatiente de recevoir son dû.



Lorsque Hervé éjacule et qu’il se retire du vagin de son épouse, j’absorbe le vit, et presse de mes lèvres le gland pour aspirer les derniers jets de foutre. Je m’en barbouille les lèvres et, c’est à ce moment qu’Armelle vient me rejoindre pour m’aider à nettoyer la verge de son mari, mélangeant toutes deux le foutre dans nos bouches réunies.


Après avoir repris des forces en nous câlinant, nous nous apercevons qu’Hervé a lui aussi récupéré de la vigueur. Son vit est à moitié érigé et, à mon grand étonnement, Armelle s’enhardissant le prend entre ses lèvres pour le mettre en condition. Après l’avoir bien pompé et lui avoir fait reprendre toute sa raideur, elle propose toute rougissante à son époux de venir me faire l’amour. J’avoue que la surprise est grande de l’audace dont fait preuve ma camarade. Je la prends tendrement dans mes bras tout en lui susurrant dans l’oreille.


- Tu es sûre ma Chérie que c’est ce que tu veux vraiment ?

- Oui ! Je suis jalouse bien sûr, mais sans toi, je serais peut-être partie et j’aurais demandé le divorce. Alors que ce que tu viens de me faire découvrir, vaut bien que tu partages ma joie et celle d’Hervé. Mais attention ma Chérie. Je te le prête un peu seulement.


Nous nous embrassons toutes les deux en pouffant de rire, alors qu’Hervé, profitant de la permission de sa femme, nous enlace toutes les deux en se tenant derrière moi. C’est alors que je sens sa verge durcie qui se presse entre mes fesses, me laissant percevoir son désir impatient de me baiser au plus tôt. Me retournant, je m’étends sur le lit marital, ouvrant largement mes cuisses, offertes au vit qui va me transpercer. Hervé ne me fait pas attendre. D’un seul coup, il engage son pénis jusqu’au plus profond de mes entrailles.


J’attendais ce moment depuis des heures, car après tous les préliminaires que nous avions vécu tous les trois, j’attendais avec avidité qu’un membre viril vienne fouiller mon con dégoulinant de mouille.
Hervé me léchait en même temps les seins, agaçant les bouts entre ses lèvres serrées. Répondant à ses coups de boutoir, je me projette au-devant de la verge qui glisse en moi avec bonheur.


Soudain, je sens des petits doigts fureteurs qui glissent autour de ma vulve, un doigt vient même titiller mon clitoris, alors qu’un second se glisse le long de la verge qui s’enfonce dans ma chatte. Je suis très épatée de l’audace dont fait preuve mon amie Armelle, elle qui, il y a quelques heures à peine, était effarée de découvrir le sexe d’une femme, encore plus celui d’un homme, fut-il son mari. Mais là, il ne fait aucun doute que ses yeux ne sont qu’à quelques dizaines de centimètres de l’acte sexuel qui fait se mouvoir la verge de son époux, entrant et sortant alternativement du vagin de sa meilleure amie. De surcroît, elle ose toucher de ses doigts les deux sexes en action, car je sens la paume de son autre main qui accompagne les coups incessants du sexe d’Hervé. Sans aucun doute, elle tient entre ses doigts la verge de son mari, l’accompagnant dans le mouvement continu qui m’apporte tant de bonheur.


Mon étonnement n’en est qu’à ses débuts, car sentant une caresse humide sur mes grandes lèvres largement écartelées par la grosse queue qui pénètre mon fourreau vaginal, je prends conscience que ce ne peut être qu’une langue qui s’insinue en outre dans ma fente, léchant à la fois mes muqueuses et la grosse tige qui perfore délicieusement mon minou. Voulant offrir la plus grande perspective de mon anatomie au regard d’Armelle, je projette mes jambes autour du torse d’Hervé, l’enserrant fortement pour qu’il me pénètre encore plus profondément et dégageant ainsi mon bassin ce qui facilite les attouchements des doigts et de la langue de ma tendre Armelle.


J’avoue que bientôt, je ne peux plus me concentrer sur l’observation des agissements de mon amie. La jouissance devient trop intense et je me laisse emporter dans l’impétueux va-et-vient que l’épieu respectable me fait subir et par les mignardises des doigts fureteurs et de la langue agile qui lèche ma liqueur que je sens couler abondamment de mes chairs intimes. Je ne peux empêcher des gémissements jaillir de ma gorge, bientôt suivis de halètements ininterrompus, jusqu’au cri final qui me laisse anéantie de bonheur assouvi, épuisée par l’émotion et la cavale à laquelle je viens de m’adonner.


À suivre…

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