La Robe Rouge.

J’arrive à l’hôtel-restaurant bar de la gare où elle m’a donné rendez-vous. Elle m’attend au bar avec sa robe rouge.
Nous nous sommes parlé sur Internet dans un forum où des hommes mariés cherchent des femmes mariées.
Deux mois où je la tanne, pour me donner un rendez-vous physique lui certifiant que j’étais l’homme qui saurait lui apporter tout ce que son mari lui refuse ?
Chaque fois je subis son pas en avant et après ses deux pas en arrière.
Enfin, profitant du départ de son mari pour un congrès, Agathe, accepte de me voir dans le bar où je me présente.
Je dois reconnaître que je suis un queutard qui tire tout ce qui tombe devant ma queue même si c’est un laideron. Tout le monde a le droit au plaisir, je suis sûr de trouver une femme complètement différente du tableau qu’elle m’a fait d’elle.
Ces rendez-vous, je les pratique depuis la création d’Internet dans notre pays.
J’ai essayé une fois, cela a marché, j’ai recommencé.
J’adore le moment de la rencontre où elles savent jusqu’à ou elles ont triché et si constatant l’ambiguïté, je vais me dévoiler.
Ce soir, Agathe comme elle m’a dit s’appeler portera une robe rouge.
Moi quant à mon habitude, je porte une pochette bleue sur le revert de ma veste.
J’entre et au bar une seule femme porte une robe rouge.
J’ai une demi-heure d’avance comme à chaque fois cela me permet de la voir arriver et ainsi évaluer la qualité de la pouliche qui avec un peu de chance acceptera de venir dans ma voiture pour satisfaire sa chatte et ma queue.
Je sais, c’est peu confortable, mais cela coûte moins cher et cela va plus vite.
Je connais le parcours, je l’ai expérimenté et en donne un exemple.

• Bonjour madame, vous êtes d’accord pour une partie de jambe en l’air entre adultes constants.
Attendez, nous allons chercher un hôtel où je vous démonterais votre petit matériel et si vous le voulez bien, je pourrais toujours vous enfiler la rondelle.


Bonjour, monsieur l’hôtelier, dommage vos chambres sont toutes louées dont la moitié à des couples comme le nôtre qui si vous tendez l’oreille s’envoie en l’air alors que leurs épouses ou époux gardent les chiards.

Une demi-heure de perdu pour recommencer.

• Monsieur l’hôtelier, nous cherchons une chambre.
• Vous rigolez, le congrès des vendeuses de godemichets remplit les hôtels et il vous sera impossible de trouver une chambre en ville ce soir.

Alors, vous vous rabattrez sur votre voiture, car à force de transporter votre sexe de substitution que vous avez prévue de grimper avant de retourner voir madame votre femme qui, lorsque vous arriverez et que vous la rejoindrez au lit pour l’embrasser dans le cou vous, rembarrera en prétextant avoir mal à la tête où chérie, je me lève top demain.
Alors dès qu’elle est d’accord vous gagner du temps à la conduire sur votre banquette arrière pour lui retirer sa culotte si elle en a une et vous l’a pilonnée en prenant soin de la faire jouir avant de jouir vous-même.
Neuf fois sur dix elle vous proposera d’aller récupérer dans ce bar où vous aviez rendez-vous, mais vous prétexterez un rendez-vous le lendemain de bonne heure pour la reconduire à sa voiture et aller chercher la suivante le lendemain sur Internet.

Alors lorsque je rentre et que je me dirige vers la robe rouge qui attire tous les regards et qui est plus près de ressembler à Claudia Schiffer car la mère Denis.
J’attaque bille en tête.

• Tu as trouvé facilement.
• Oui, sans problème.
• On t’a dit que tu étais belle.
• De temps en temps.
• Je peux te poser une question.
• Pourquoi pas ?
• Tu es canon et tu cherches des rencontres d’un soir sur Internet.
• J’aime le sexe et je supporte mal les dragueurs.
• Je comprends.
• Tu viens, on monte dans ma chambre.

Je cherche mon air, elle a même pris une chambre d’avance pour qu’elle puisse passer un bon moment avec moi.

Lorsque je la suis vers le fond du bar, je bande à regarder sa chute de rein et surtout le regard de tous les hommes qui pleurent que ce soit moi qui gagne le gros lot.
Dans un couloir, nous prenons un ascenseur si petit que je respire son parfum presque dans son cou.
Je suis si prêt que je plonge dans le corsage de cette robe rouge.
À ce jour, jamais je n’ai vu une aussi jolie poitrine dans son corsage de manière aussi rapproché, surtout que ceux de ma femme sont plus près des œufs au plat que les obus qu’elle m’étale sous le nez.

• Entre. Je vais dans la salle de bain prépare-toi, j’arrive.

Chambre d’hôtel classique, je me dévêts et je me mets sur le lit en ayant gardé mon caleçon sans oublier d’enlever mes chaussettes.
Elle revient vers moi étincelante dans sa nudité. Je sens que je vais lui proposer de divorcer pour l’épouser et me promener à son bras en faisant bander tous les hommes.
Elle vient se lover près de moi et je cherche, comment l’attaquer.
Je suis comme un petit garçon devant son premier flirt qui hésite à l’embrasser.
J’ai flaché sur ses seins alors je les attaque avec les mains et avec ma bouche. Cette bouche que je fais remonter pour lui prendre la sienne.
Je veux réussir à la faire jouir pour qu’elle garde une bonne impression de celui qui l’a dragué sur Internet.
De son côté à part sa bouche, sa main se pose sur ma virilité, elle doit être satisfaite de ce qu’elle trouve, car je bande fort et sans me vanter, je suis bien fourni.
Elle se glisse vers le bas de mon ventre et après avoir sorti mon sexe par la fente de mon caleçon, je suis pompé divinement.
Encore une première pompée est un art que toutes les femmes feraient bien de maîtriser.
Agathe possède cet art, en pensant à son prénom, je pense que ses parents lui ont choisi un prénom loin de la hauteur de sa beauté.
Si je pense à cela, c’est pour que mon cerveau s’oxygène et que je réussisse à faire retomber la pression qui monte en moi afin d’éviter de lui arroser la glotte.

Je me suis déjà trouvé dans cette situation et je connais la parade. Je me glisse vers le bas de son corps et je l’attaque au clito.
Si j’ai la chance qu’elle soit clitoridienne la partie de jambe en l’air est en partie gagnée, alors je le prends sur le bord de mes lèvres le fait roulé facilement, car il est assez développé. Lorsqu’elle commence à m’appuyer sur la tête avec mes deux mains, je sens que je gagne la partie surtout lorsque de très petits jets de cyprine viennent arroser son clito et ma bouche.
Je bas le fer pendant qu’il est chaud et lorsque son orgasme se déverse du centre de son corps vers le haut du mien, je me suis repris au niveau de mon sexe et je peux la recevoir pour continuer nos joutes.
En plus d’être belle, Agathe est une chienne dominante, j’admets difficilement qu’elle drague sur la toile pour trouver des sexes en rut alors que sa simple présence dans un bar ou une salle, lui en apporterait des kyrielles.
Lorsqu’elle me fait basculer sur le dos pour s’empaler en me saisissant par la main et en me plantant en elle, la voir au-dessus de moi les seins arrogants de beauté manquent une fois de plus de me faire partir.
Partir m’est impossible le temps entre le moment où nous sommes entrés dans cette chambre et le moment présents est trop cour et je sens qu’Agathe fait partie de ces femmes qui sont des femmes à un seul coup avec l’homme séduit et je sais pour l’avoir constaté que dès que mon sexe aura déversé son liquide séminal dans sa vulve, je devrais quitter sa couche.
Ce jeu de la chatte et de la souris tourne à mon avantage lorsque ma verge est inondée une nouvelle fois par cette femme qui allie la beauté et le plaisir d’être une femme fontaine qui joint tellement profondément que ses glandes intimes se vident sur moi.
Elle s’écroule manquant de tomber du lit, je sais que je peux attaquer bille en tête que la partie de poker menteur entre elle et ses envies est gagnée et je me place derrière elle afin qu’elle soulève sa jambe de gazelle et que je lui pénètre la chatte en me plaçant avec ma main afin de bien la pénétrer.

Je lui suce le cou à ma portée et je place ma main sur son clito qui aime me retrouver.
Dans cette position la pénétration est maximale, mais la position pour la dame est rapidement fatigante.

• Attends.

Elle se dégage et se met en levrette.

• Vas-y fini moi, pardons finis nous !
Pilonne-moi comme tu sais si bien le faire, tu es un excellent amant, je suis satisfaite de t’avoir abordé dans le bar et jaugé en toi l’homme qui m’aiderait à passer cette longue soirée de solitude chaque fois que je passe ma soirée dans cette ville.
• Tu es bien Agathe d’Internet.
• Non, lorsque tu m’as appelé Agathe, j’ai pensé que ce prénom était un fantasme pour toi et je t’ai accompagné dans ton délire, tu me faisais tellement de bien que j’aie gardé pour moi que mon prénom était bien plus joli, car je m’appelle Magalie.

Au moment où elle me fait cette révélation, je retourne dans sa chatte torride me demandant tout de même comment j’avais pu avoir un tel coup de chance sans prendre une baffe pour mon outrecuidance lorsque je l’ai abordé persuadé de parler à Agathenet.
J’ai beau chercher des palliatifs, quand c’est l’heure, la nature reprend ses droits et après une ultime poussée de ma verge au fond de sa grotte, nous explosons simultanément dans son orgasme et dans ma jouissance qui me libère de cette grande tension subie toute la soirée. Même mes reins participent à la fête lorsque je jouis et qu’un frisson remonte le long de ma colonne vertébrale.
Nous nous retrouvons enlacés quelques minutes après cette grande décharge d’adrénaline sortie de nos corps jusqu’à ce que la phrase fatidique arrive.

• Tu me laisses trésor, j’aime dormir seule surtout que, demain j’ai une grosse journée de travail et avec toi je sens que tu vas me baiser toute la nuit.
Je vais te proposer une chose que je refuse de faire avec mes amants, je viens ici tous les premiers lundis de chaque mois pour mon travail, on peut ce revoir, au bar à neuf heures.

Comment dire non à une telle baiseuse ?
Je me lève, je m’habille, je me penche l’embrasse alors qu’elle s’endort.
• Dans un mois, neuf heures au bar.

Je quitte la chambre après avoir éteint la lumière et je reprends l’ascenseur.
Le bar est toujours au bar et mon exploit sexuel m’ayant donnée soif, je me dirige vers le comptoir ou je trouve une place entre un homme et une femme.

• Patron une bière.

La femme à côté de moi sérieusement éméché m’adresse la parole.

• Tu payes un verre beau gosse, tu seras un peu moins pourri que l’autre.
• Donnez un verre à madame.
• Toi tes biens comme mec, t’es pas comme l’autre pourrit d’Internet.
Un quart d’heure de retard, elle avait l’Agathe, un quart d’heure et il s’est tiré, je sais bien que je suis moche, pourtant j’avais mis ma belle robe rouge, toi qu’est gentil, tu viens avec moi dans ma voiture, je serais pas farouche, j’ai bien le droit au bonheur, merde.
Patron, servez-moi un whisky, j’ai soif.

Je paye, je m’éclipse comprenant à quoi l’initiative de Magalie m’a fait échapper…


Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!