Le Problème Lina

Lindsay restait muette.
"Quoi Lindsay ? Qu'est-ce que tu as encore fait ??"
"Depuis cet été mes pulsions sont de plus en plus incontrôlables et j'ai... je... à chaque situation... j'ai fait des choses tu vois..."
"Oui je m'en suis bien rendu compte et je ne vois pas comment tu pourrais être excusable !"
"Je souffre mon amour... Je culpabilise énormément et j'ai l'impression que tu n'essaies pas de me comprendre..."
Lindsay pleura à nouveau.
"Je crois au contraire que je suis plutôt à l'écoute mais j'ai l'impression que je ne te connais pas vraiment. Qu'es-tu donc d'autre qui te morfond à ce point ?"
"Il y a quelques semaines, chez M. Pierson, un de mes patients les choses ont dérapé. Et maintenant je dois y retourner chaque semaine voir plus pour le contenter."
"Comment ça ? Le contenter ? Explique moi ça Lindsay, tu me dois la vérité !"
"M. Pierson est un patient régulier, il a 74 ans et avec ses problèmes de circulation sanguine on y passe tous les matins pour lui mettre des bas de contention et lui donner son traitement.
Et dernièrement il avait été opéré d'une hernie discale, nous devions en plus l'aider à se lever et l'installer dans son fauteuil pour qu'il fasse sa toilette et ensuite l'aider à s'habiller.
"Et donc bien sûr une fois de plus tu l'as..."
"Arrête de me couper ! tu crois que ce n'est pas assez dur pour moi ?"
Lindsay me coupa d'un ton sec et énervé, je restai sans voix.
"Donc un matin, comme tous les matins, avant qu'il se lève je lui mettais ses bas de contention puis ensuite je le manipulais pour le tourner sur le ventre et refaire son pansement. Lorsque je l'ai retourné sa main a sans le faire exprès frôler mon entrejambe. Cela a duré une seconde mais ça a déclenché une pulsion en moi. J'ai immédiatement senti ma culotte s'humidifiait. J'ai senti mon bas ventre me chatouiller et je commençais à perdre le contrôle de mes envies.
Je lui ai refait son pansement et quand j'ai eu fini, il était toujours sur le ventre et sa main était au bord du lit.

j'ai fait tombé ma boite de compresse sur le lit de l'autre côté et je me suis penché pour la récupérer. J'ai profité de ce moment pour coller mon entrejambe complètement trempé sur sa main. Après quelques secondes sans réaction mais sans retirer sa main qui était sous ma robe directement au contact de ma fente détrempée, il a commencé à bouger ses doigts et jouer avec mes lèvres et ma fente. Je suis montée sur le lit et me suis agenouillée sur sa main en collant ma vulve sur sa main et je me suis frottée de plus en plus frénétiquement. Il a rentré sa main dans ma culotte et a commencé à me doigter. J'étais tellement mouillée qu'il a facilement rentré un doigt puis deux puis trois. Je sentais ses gros doigts rêches aller et venir au grès de mes déhanchements.
Au bout de plusieurs minutes j'ai commencé à gémir et j'ai joui avec une intensité que je n'aurais pas imaginé quelques minutes avant.
Une fois la jouissance passée, la honte s'est emparée de moi et j'angoissais de le retourner et de croiser son regard.
Je suis descendu du lit et j'ai repris la manipulation pour l'aider à se tourner sur le dos puis à se lever.
Il m'a regardé avec un sourire narquois et m'a dit "merci". J'ai senti que je devenais rouge de honte.
Je l'ai amené jusqu'à son fauteuil et lui ai donné un gant et une bassine pour qu'il fasse sa petite toilette.
Quand il a eu fini j'ai attrapé un slip propre et me suis mise devant lui pour l'aider à l'enfiler...
Alors que j'essayais de lui enfiler son slip, j'ai vu qu'il bandait un peu. Mon cœur s'est mis à battre plus fort.
Puis il m'a dit "Lindsay, je crois que vous me devez quelque chose..."
J'ai bien compris qu'il voulait que je lui rende la pareille après l'orgasme qu'il m'avait procuré.
Je suis resté quelques secondes sans rien faire. Il a écarté un peu les jambes et a rapidement saisi ma tête quand j'ai commencé à m'approcher.
J'ai pris son sexe en bouche et j'ai vite vu qu'il avait du mal à bander.
J'alternais en le branlant pour essayer d'améliorer son érection. J'étais très génée. Il me fixait et puis mon excitation était totalement retombée et j'avais vraiment honte de ce que j'étais en train de faire.
Je l'ai sucé et branlé pendant au moins 15 minutes avant qu'il n'éjacule. Il a mis le temps mais quand il a s'est mis à jouir j'ai eu l'impression que ça ne s'arrêtait jamais. Je me suis dit "ça fait 10 ans qu'il est veuf et on dirait qu'il a stocké tout ça depuis !"
Enfin bref, j'étais un peu écœurée de toute cette quantité de sperme qu'il avait déversé dans ma bouche mais au moins c'était terminé et je me jurais de ne plus jamais me retrouver dans cette situation.
"Oui bien sûr tu t'es jurée d'arrêter mais à la moindre occasion tu recommences !"
"Stop ! arrête de me couper ou je ne te dis plus rien !"
J'hallucinais, elle se comportait comme si c'est moi qui était fautif.
"J'ai pas terminé. Quand il a eu fini je l'ai donc aidé à s'habiller. Puis il m'a demandé de lui donner sa sacoche. Quand je lui ai donné, il a sorti un billet de 50 euros et me l'a tendu.
J'étais rouge de honte, il me tendait un billet comme à une vulgaire prostituée. Je suis restée sans voix, j'ai balbutié "non mais qu'est-ce que..."
Il a rigolé et m'a dit "Ne le prenez pas mal Lindsay, vous avez embelli ma journée, vous savez à mon âge il ya bien longtemps que je n'avais plus gouté à ce genre de plaisir et donc je tiens à vous dédommager. Ne le prenais pas mal et acceptez s'il vous plait.
J'avais honte et je voulais que cette situation cesse au plus vite, j'ai pris le billet et me suis surprise à répondre bêtement "merci". En fait j'étais tellement perturbée et honteuse que c'est la seule chose qui est sorti de ma bouche.
J'ai pris mes affaires et suis sortie en me jurant de ne plus recommencer.
Sauf que tout ne s'est pas passé comme prévu.
Sur le pas de la porte j'ai croisé sa femme de ménage. Mon cœur s'est à nouveau mis à battre très fort.

Et je crois que j'ai failli m'évanouir quand elle m'a dit "Alors on est rassasiée ?" Son ton n'avait rien d'humoristique, il était presque menaçant. Mon impression allait vite être conforté.
Elle continua "Je vois qu'on est très impliquée avec le bien être des patients..."
"Quoi ? Qu'est-ce que vous insinuez ?"
"J'insinue rien du tout" En même temps qu'elle me disait ça, elle a retourné son portable et à lancer une vidéo qu'elle a prise par la fenêtre du salon et où l'on me voit nettement de profil agenouillée tantôt en train de branler M. Pierson puis en train de le sucer. "
Je ne parlais plus, j'avais les jambes en coton. Je ne comprenais pas où elle voulait en venir.
"J'imagine que tu n'as pas envie que cette vidéo finisse sur internet ??"
"Effacez tout de suite cette vidéo, vous n'avez pas le droit"
Elle se mit à rigoler et me dit :
"Oh oh oh du calme c'est pas toi qui donne les ordres, t'es mal placée pour ça !
Je crois que le vieux t'a tendu un billet à la fin alors donne moi le et cette vidéo restera privée"
Elle riait et semblait presque trouver cela amusant.
Je sortis le billet de mon sac et je lui ai tendu en fulminant.
"Du calme tout va bien" me dit-elle "Et surtout n'oublie pas que je garde précieusement cette vidéo. Chaque mardi, je viendrai à cette heure là et tu vas donner au vieu ce qu'il veut c'est compris et à moi les 50 euros !" Elle éclata de rire. Je suis partie en pleurant de rage et de honte. J'étais piégée.
Je n'en croyais pas mes oreilles, à chaque fois que je pensais que ça allait s'arrêter, Lindsay me révélait une autre frasque et cette fois-ci à force de jouer avec le feu, elle semblait s'être brulée... J'étais partagé entre le sentiment de me dire que c'était bien fait pour elle et d'une compassion dont je ne parvenais pas à me départir.
Lindsay reprit son récit.
"Le mardi suivant, je me suis donc rendue chez M. Pierson en sachant pertinemment ce que sa femme de ménage attendrait à la sortie.
Je me suis dit que je n'aurais qu'à lui donner 50 euros et comme ça j'achèterai son silence. Sauf que M. Pierson lui n'était pas au courant de tout ça et avait pris goût à ces petits plaisirs sexuels. Et cette fois-ci il n'a pas perdu de temps. Dès que je me suis approchée du lit pour mettre ses bas de contention, je lui tournais donc le dos, il a passé sa main sous ma robe et il est remonté entre mes cuisses pour carresser sans vergogne ma vulve. Et à mon grand désespoir je me suis mis à mouiller presque immédiatement. Ce qui l'a encouragé à continuer son petit manège. Il a écarté ma culotte et commencé à me pénétrer avec ses doigts. J'ai commencé à gémir et je me suis cambrée pour bien qu'il puisse rentrer se doigts et stimuler mon clito. il a relevé ma robe et baissé ma culotte. Et bien que je m'étais promis de ne plus céder à mes pulsions j'étais à nouveau hors de contrôle. Je passais ma main dans son slip pour attr sa queue. J'ai été surprise car cette fois-ci son érection était bien dure. J'ai commencé à la sucer pendant qu'il continuait à explorer avec une grande efficacité ma chatte complètement ouverte par l'excitation totale que je ressentais.
Pendant que je le suçais j'ai aperçu une boite de pillule bleue sur sa table de chevet et j'ai compris qu'il s'était fait prescrire un "stimulant".
M. Pierson attrapa mes hanches et me guida au-dessus de lui. Je me suis retrouvée à califourchon sur lui. Mais je ne voulais pas qu'il me pénètre avec sa queue. Je me suis frottée sur queue frénétiquement. Il malaxait mes seins sous ma robe complètement relevée. Au bout de quelques minutes j'ai senti son sperme jaillir et se répendre entre nous. J'ai joui au même moment. Ma vulve était recouverte de son sperme. Je suis descendue du lit, j'ai ajusté ma robe puis j'ai rammasé ma culotte et l'ai vite remise. Elle était encore trempée et maintenant souillée de sperme.
J'ai aidé M. Pierson à se lever et à s'habiller après sa toilette. Il m'a tendu 50 euros que j'ai pris toujours aussi honteusement.
Quand je suis sortie, Lina sa femme de ménage était là et m'attendait la main tendue. Je lui ai donné les 50 euros et j'ai tourné la tête. Elle m'a attrapé le bras et m'a dit : "à la semaine prochaine !"
J'étais furieuse de m'être mise dans cet engrenage.
Je ne pouvais pas dire à M. Pierson ce qui se passait et lui croyais que ce petit manège me plaisait puisque j'y retournais tous les mardis en robe. C'était pour lui en quelques sortes "le signal".
Le mardi d'après, M. Pierson ne souffrait plus beaucoup des suites de son opérations de son hernie discale. il s'est levé sans aide et j'ai bien vu son érection. Il avait certainement pris une pilule avant que j'arrive.
M. Pierson s'est assis sur son fauteuil au salon quand j'ai été à côté de lui il a passé ses mains sous ma robe et m'a approchée de lui. Il a baissé ma culotte. Je m'attendais à ce qu'il commence à explorer mon entrejambe. Mais au lieu de ça il a appuyé sur mon dos pour que je me courbe et me retrouve avec mon ventre sur ses jambes, ma tête d'un côté et mes jambes de l'autre. Il a relevé ma robe et mes fesses se sont retrouvées complètement à sa vue. Il a commencé à malaxer mes seins de son autre main. Puis il s'est mis à me donner des claques sur les fesses. J'ai protesté mais il m'a de suite dit "Détendez-vous laissez-vous allez, vous allez voir vous allez aimer ça".
Ses tapes sur mes fesses gagnaient en intensité à chaque fois. Je sentais mes fesses me piquer et chauffer. Tout en faisant cela il jouait avec mes tétons qui durcissaient et le conforter sur le fait que j'aimais ça.
Et j'ai honte de le dire mais je commençais à ne plus sentir les picotements sur mes fesses mais une excitation qui montait en moi. Ma fente ne tarda pas à se gorger de mouille et à trahir le palisir que j'essais de cacher. M. Pierson alterna fessée et pénétration digitale. Quand il perçut ma respiration de plus en plus saccadée et haletante, il me fit glisser à genou et sortit son sexe bandant. J'étais tellement surexcitée que je ne me suis pas faite priée pour le prendre en bouche et le sucer sans aucune retenue tout en me caressant sans pudeur tant j'avais une nouvelle fois perdu le contrôle.
J'ai joui et M. Pierson a joui quelques secondes plus tard. J'ai remis ma culotte, pris mon billet et suis partie.
Lina attendait discrètement la main tendue. Je lui ai donné encore une fois avec rage le billet de 50 euros en lui disant "Cette fois-ci c'était la dernière !"
Elle ria et me dit "Ah ah ah tu crois que c'est toi qui décide ? Moi j'adore cette nouvelle vidéo ou tu prends une bonne fessée ! Je suis sûre que tu pourrais avoir beaucoup de fans !
Et puisque tu le prends comme ça la semaine prochaine ce sera 100 euros. "
"Mais... Je... Enfin je ne lui ai rien demandé c'est lui qui a décidé de me donner 50 euros à chaque fois... c'est..."
"Et bien, tu vas lui en donner pour 100 euros. Je suis sûre qu'il adorerait te sauter à 4 pattes comme la chienne que tu es !"
"Ah non ça c'est réservé à mon..."
"Quoi ? tu as des principes ? Laisse moi rire ! La semaine prochaine je veux te voir à 4 pattes dans le salon en train de te faire baiser par le vieux. C'est compris sinon..."
Lindsay marqua une pause dans son récit, les larmes lui montait à nouveau aux yeux.
J'étais complètement sidéré par ce que j'entendais.
"Et alors tu t'es faite sautée ? Tu as oublié ton principe de pseudo femme modèle qui réserve ça à son mari ?"
J'étais sarcastique, énervé par ces nouvelles révélations.
Lindsay releva la tête, les yeux rougis.
"Non... c'est mardi prochain que je... enfin tu vois..."
"Ah c'est mardi prochain que tu vas faire ta pute et t'offrir en levrette pour franchir encore une étape dans tes tromperies ??"
"Non, tu sais très bien que je ne veux pas ça mais je suis piégée... Je ne sais plus comment faire... Je..."
Lindsay éclata en sanglot en essayant de m'enlacer. Je l'ai repoussé.
Elle me dit en pleurant "J'ai besoin de ton aide mon coeur..."
"Tu as besoin de mon aide ? Tu te fous de ma gueule ? tu entends ce que tu oses me dire ? Tu t'es mise toute seule dans ton merdier alors tu te démerdes !"
Lindsay pleurait sans rien dire.
Je la regardais avec colère et bizarrement avec pitié aussi. Je ne sais pas pourquoi je sentais au fond de moi que je l'aimais profondément. J'avais beau me dire qu'elle était impardonable et que je ne devrais plus perdre une minute pour engager un avocat pour divorcer, je n'arrivais pas à la haïr.
Et puis si ces vidéos sortaient, j'en subirais aussi la honte. Alors il fallait que je la quitte et qu'elle se débrouille avec le merdier dans lequel elle s'était mise toute seule.
Oui... probablement la seule solution... Sauf si Lindsay reprenait comme avant, si elle arrêtait, si elle se faisait soigner comme un se fait désintoxiquer...
"Ecoute, je n'ai pas plus envie que toi que ces vidéos fassent le tour du net. Même si ça t'apprendrait qu'on ne peut pas faire n'importe quoi sans jamais en subir les conséquences. Et si mardi tu te fais sauter par ce vieux, je demande le divorce direct. "
"Mais je n'ai pas le choix sinon elle va..."
"On va réfléchir à une solution. Elle n'a pas le droit de faire cela, ça s'appelle du chantage. Donc mardi tu diras à ton vieux que tu es désolée mais que tu n'aurais jamais dû te comporter comme ça, que ton comportement était déplacé et que tu vas lui trouver un autre cabinet pour ses soins. Tu inventeras ce que tu veux à tes collègues, c'est pas mon problème. "
"Oui mais Lina, elle va..."
"Elle tu lui diras, qu'elle supprime immédiatement ces vidéos et que si elle continue tu iras porter plainte pour harcèlement et chantage. Est-ce que c'est bien compris Lindsay ?"
Lindsay baissa les yeux et ne répondit pas.
"Quand tu auras mis fin à cela je veux que tu prennes RDV avec un théute et que tu te fasses soignée, c'est compris ? Sinon je te quitte et crois moi je n'hésiterai pas une seconde, j'ai assez entendu tes excuses et ta victimisation. Tu souffres ? alors soigne toi !"
Lindsay acquiesça sans rien dire.
Il ne restait plus qu'à attendre mardi. Je décidai que je le suivrai en cachette ce mardi pour surveiller ce qui allait se passer.




Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!