Cyrille, L'Exhibitionniste

Je l’ai rencontré dans une soirée entre potes de la fac. Nous avons parlé de tout, surtout, et c’est venu naturellement dans la conversation, de sexe. Disons que c’est elle en parlait le plus: elle me semblait très chaude, bouillante même: une fille à baiser d’urgence. En gros voici ce qu’elle me dit:

« - J’aime me faire mettre par une bonne bite. Je le sais et ne le dit pas, sinon j’aurai tous les gars de la fac sur mon dos. J’ai eu l’occasion de coucher une fois avec une fille. J’ai bien joui sans plus: j’en ai tiré la leçon qu’à l’extrême limite je pourrai recommencer. Je préfère me caresser moi-même, au moins je le fais quand je veux, presque où je le veux (j’aime me branler avec mon œuf vibrant) dans le grand amphi quand je trouve ma place préférée en haut, sans personnes à mes coté. Je connais pas mal de garçons qui donneraient cher pour passer une nuit avec moi: je crois que je suis belle, sexy, avec une belle poitrine pas très grosse, des fesses qui parait-il donnent envie aux hommes d’y mettre la main, et de longue jambes.
Je ne suis pas du tout attirée par mes condisciples. J’aimerai trouver n’importe où un homme vicieux, qui aime baiser en public, ou qui participe à des partouzes, qui aime baiser avec deux filles que nous partagerions ».

Entendre ce genre de propos dans la bouche d’une fille sexy a de quoi me faire bander, d’autant que je ne suis pas étudiant, que j’ai une bite un peu grosse et que j’aime bien baiser avec deux nanas. Je la rassure en espérant que je pourrai la lever. Je fais plus que la lever, elle s’offre directement:
- Si tu veux on peut aller baiser maintenant, je mouille.
- Chez toi ou chez moi ?
- Où tu veux, j’en meurt d’envie.
Une idée ma passe par la tête elle est peut être exhibitionniste ?
- Et si nous allons baiser dans un endroit où on peut nous voir ?
- Encore mieux qu’une chambre: j’aime !!
Je connais un jardin public où il y a des amoureux plus ou moins sages, plutôt moins que plus: j’en ai vu baiser sans complexe devant les autres.


En y allant je lui demande si elle porte son œuf vibrant: oui elle l’a en elle et ne le fait pas marcher. Elle me donne la télécommande. J’essaie: elle se cabre en marchant plus lentement. Elle murmure
- Tu vas me faire jouir, c’est bon.
- Tu veux que j’arrête ?
- Non c’est bon, continues.
Elle s’arrête brusquement: elle jouit. Je la laisse récupérer, ce ne doit pas être commode de marcher et de jouir en même temps. Je l’embrasse sur la bouche: il était temps: nous devons baiser ensemble et nous ne nous étions même pas encore embrassés. Nous nous arrêtons en route sous un porche pour lui permettre d’enlever cet œuf qui de utile pour ses plaisirs devient gênant pour le suite.

Nous trouvons un endroit assez exposé à la vue de tous. Mise à part à droite où un arbre nous cache un peu, nous sommes visibles de partout ailleurs. Une fois assis nous nous embrassons à nouveau. Nos langues se prêtent au jeu. Je lui caresse la poitrine pendant qu’elle pose une main directement sur ma bite en érection. Elle arrive à la sortir du pantalon rapidement, elle me branle un peu pendant qu’un jeune femme passe en nous regardant: j’examine cette fille qui sans rien dire passe sa main par-dessous sa jupe vers son sexe. Je commence à aimer me montrer ainsi.
Je ne me souviens même pas de son nom, si je le lui ais demandé seulement. Au fond je ne pense qu’à la seule activité que je veux pratiquer avec elle. Mes mains descendent vers son jardin secret. J’ai vite fait de lui remonter la jupe à hauteur de la ceinture: son string part dans ma poche de veste. Elle aussi est exposée. En écartant les jambes elle me dit qu’elle aimerai que plusieurs personnes passe pour lui voir la chatte. En attendant je pose mes doigts sur son bouton qu’elle a très développé et je la branle. Evidemment c’est juste au moment où elle jouit qu’une autre fille passe: elle s’arrête pile en face, pour nous voir, elle aussi soulève sa jupe et nous voyons qu’elle est nue dessous: c’est facile pour elle de se donner du plaisir.
Nous la regardons aussi, elle n’a pas l’air de s’en faire. Ma compagne lui demande si elle veut que je la lui mette: elle a oublié de me demander mon avis. Cette nouvelle fille, rousse aux yeux verts à la petite poitrine accepte. Elle vient s’assoir à coté de moi, prend ma bite qu’elle met un instant dans sa bouche avant d’en donner son appréciation. J’ai bon goût, je suis gros, je dois faire du bien en passant dans une chatte. Elle viens sur mes genoux: elle est tournée vers l’allée, les jambes et la chatte bien en vue; C’est elle aidée par ma compagne qui s’installe sur ma bite. Je m’avance un peu pour mieux la baiser: je n’ai rien à faire, sinon que de servir cette demoiselle. Je suis ou fond de son vagin quand l’autre fille vient chercher le clitoris libre. Celle que je baise se caresse les seins, j’aurais pu le faire, j’avoue avoir oublié. C’est elle qui fait le gros de la baise, aidée par l’autre fille qui maintenant est venue lui prendre le clitoris dans la bouche. A mon étonnement elle jouit assez vite. Je suis étonné de la voir se lever, mettre un peu d’ordre dans sa tenue avant de partir en disant merci, comme dans un magasin où on vient d’acheter quelque chose.
Heureusement que je n’ai pas jouit: je bande toujours. Ma compagne avec ses jambes ouvertes recommence une masturbation qui j’arrête. Je lui fait mettre ses genoux sur la banc, et par derrière je la baise. Je passe d’abord ma bite sur son petit trou sans rien y faire, je m’introduisent entre ses lèvres et quand je trouve le trou à baiser j’y entre d’un seul coup. Elle pousse un cri de surprise: elle s’attendait sans doute à ce que je la caresse avant. Là je l’ai presque violée, avec un large consentement préalable. J’entre dans cette endroit chaud, très chaud même. Je reste au fond un instant: elle me demande de la baiser: elle en meurt d’envie. Je suis en elle avec mes aller et venues quand elle me fait promettre le l’enculer après.
Je suis tombé sur une drôle de gonzesse. Je la lime et quand je sens qu’elle jouit, je sors de son con pour juste changer de trou: son cul est déjà mouillé: je ne me gêne pas non plus pour la sodomiser selon ses vœux.
J’entre dans un anus finalement assez étroit mais aisé à pénétrer. Mon gland passe relativement facilement. Une fois passé le sphincter, il me semble que son cul se ferme un peu. C’est encore plus agréable. D’autant plus qu’elle passe une main sous elle pour se chatouiller le bouton. Je la lime longtemps: c’est tant mieux: je me sens fort bien dans son anus. J’aime sentir ses crispations de jouissance autour de ma bite, surtout quand ça arrive quand je suis au fond de son cul, près de mes couilles. Je lui prends les cheveux que je tire vers l’arrière. Elle ne proteste pas: elle se fait mettre c’est le principal. Je vois que plusieurs personnes passent s’arrête pour se branler, dont unn homme qui doit avoir dans le 50 ans;
Je sors enfin de son cul après y avoir laissé une bonne partie de ma réserve de sperme.
C’est fini quand enfin elle me dit s’appeler Cyrille et me donne son numéro de portable. Ayant baiser comme elle a baisé je ne vais pas me gêner pour la baiser souvent, même en groupe.
La suite de l’histoire arrive, si vous le voulez.

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