Fin De Pose

Juste un « c'est bon », termine la séance de pose. La modèle nous regarde intéressée par je ne sais quoi. Je sais moi qu'elle me plaît. J'aimerai finir la journée avec elle. Je ne sais comment m'y prendre. Mon patron, celui qui a photographié la fille est totalement hermétique aux sex-appeal des filles. Lui regarde surtout les jeunes garçons, chacun sa drogue. J'aimerai bien le voir se faire enculer par un jeune gars. Ça doit en valoir la peine, lui les fesses bien ouvertes, l'autre bandant lui mettant sa sauce dans le fond du cul.
Ah, cette nana, que j'aimerai lui dire deux mots en particulier. Il paraît, mais les « il parait » qu'elle n'aime que les filles. Elle doit faire partie des mal baisées la première fois qui se tourne vers leurs semblables simplement pour ne pas recommencer avec une queue dans le bas ventre. Les salopes, méconnaître les plaisirs d'une belle queue...
Elle se rhabille lentement, cachant ce joli corps. Elle me regarde. Je fais un clin d'euil, manière de lui faire savoir que je la vois, qu'elle me plaît. Elle répond. Elle s'approche de moi, elle regarde la fermeture éclair de la braguette. Je commence à bander. Elle reste moitié nue, se caresse négligeaient la poitrine. Ses doigts cachent à peine un téton qu'elle fait gonfler lentement.
La voilà accoudée sur un meuble, son regard toujours sur le mien. Elle n'hésite pas à se toucher la chatte. Mon patron regarde ses mouvements sans qu'il s'en émeuve. Elle pourrait baiser un éléphant qu'il ne la regarderait pas ainsi.
Je ne peux pas la laisser seule dans ce plaisir. Je sors ma queue, fais lentement descendre la peau. Enfin elle regarde le gland violacé. La petite goutte de sperme est présente. Elle regarde la bite, elle avance sa main. Elle me prend en entier pour me masturber. Je ne vais pas lui laisser l'avantage de la position.
J'arrive à mettre ma main sur la chatte, à caresser à deux doigts le clitoris saillant. Je glisse pour mettre trois doigts dans le vagin déjà bien graissé par la cyprine.

Mes va-et-vient ont un effet rapide, elle jouit trop vite à mon gré.
Une bonne séance de photo ne peut se terminer aussi vite. Au fond de l'atelier est posé un tapis qui va servir à nos ébats. Mon patron nous fiche la paix en nous laissant seuls. Qu'il aille se faire mettre où il veut, mais loin. Si elle se déshabille complètement je reste encore avec le pantalon et la chemise. Elle enlève le tout en deux temps trois mouvements. Une ombre projette sur le sol mon profil :; une belle queue droite devance le bas ventre. Une main est sur elle. Elle recommence à me branler. Elle me fait du bien tellement que je voudrais jouir maintenant , là sur elle. Elle m'attire vers elle. Je pense la baiser, pas question. Elle me donne sa chatte sur la bouche. Son liquide coule dans ma gorge. C'est bon, parfumé. Et mon vit ? Il est vite prit dans sa bouche à elle. Elle me mordille à peine comme pour me dire qu'elle est là qu'elle va me lécher partout, de la tête de la pine aux couilles en passant par le cul.
Je sens bien sa langue quand elle passe sous les couilles, lèche entre les cuisses, remonte à peine pour venir juste sur l'anus.J'ai déjà connu des doigts de filles à cet endroit, même un fois un camarade, mais une langue féminine ?
Elle ne lèche plus elle entre carrément le bout puis presque le tout. Ma langue reste bloqué sur son vagin. Je n'ose pas entrer là d'où sort sa cyprine. Tant pis je lève un peu la tête pour être bien placé. Ma langue est pile là où il faut. Elle tourne dedans assez pour la faire gémir. J'ai le cul rempli de sa langue, ma queue encore libre. Elle me prend dans main qu'elle ferme. Mon dard se repait de cette caresse que j'aime tant.
C'est une salope de fille qui sait comment faire jour les hommes. Qui sait comment jouir elle aussi. Sa main est rapide sur la tige, elle fait descendre et remonter le prépuce. De plaisir elle transforme la masturbation en œuvre d'art. Elle doit avoir un 6° sens : elle arrête tout juste avant que je jouisse.
Par contre elle ne se gêne pas pour son plaisir. Ses organes s'ouvrent et se ferment quand elle jouit. C'est agréable de sentir un peu de cyprine en plus venir dans ma bouche.
Elle veut autre chose, elle veut me sentir dans son con. Elle sort de mon cul, sa langue vient dans ma bouche comme pour se débarrasser d'importuns.
Elle me chevauche. D'elle même elle s'est empalée sur la queue. Elle saute sur moi comme elle le ferait sur un cheval. Je suis son reproducteur. Un étalon ne ferait pas mieux que moi quand j'éjacule en elle. Ma queue sursaute dans son ventre.
Elle en veut encore, je ne peux pas lui en donner alors elle se couche écarte les cuisses : devant moi, sans honte elle prend son plaisir de ses doigts réunis. Je regarde intéressé sa main. Je bande nouveau. Elle relève une jambe pour me donner son cul. C'est encore plus excitant de l'enculer ainsi. Elle prend son pied, le montre en gémissant des « c'est bon » sans cesse. Ça y est, nous partons ensemble....

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