Aux Sources De Ma Sexualité. Partie 1.

Bonjour, je m'appelle Michel, je suis divorcé et j'ai 4 fils et 13 petits fils. En découvrant ce site et les récits qui y sont relatés, j'ai eu envie de vous faire part, moi aussi, de souvenirs que j'ai pu accumuler au cours de ma vie. J'ai aussi envie de donner aux jeunes générations une autre image de ce qui se faisait "dans le temps" car j'ai conscience de ne pas avoir grandi dans les mêmes conditions que la plupart des hommes de ma génération. J'ai envie de vous compter mon éducation au plaisir, celle mes frères et moi ont reçu et que nous essayons de transmettre à notre tour à notre progéniture qui l'a ensuite transmis à la sienne. Je vais vous raconter ma vie sexuelle qui est, il faut le dire, un peu hors normes, dans l'ordre dans lequel je l'ai vécu.

J'ai grandi dans une sorte de culte de la virilité instauré par mon père. Un culte du corps, du sport, du dépassement et de la performance. Décédé depuis longtemps, il nous a transmis le goût de l'effort mais aussi le goût du plaisir. C'était quelqu'un de très vieux jeu et en même temps de complètement en avance sur son temps. Homme assez fortuné, il nous a laissé un patrimoine conséquent dont, à mon sens, la plus grande valeur ne peut se compter en argent. N'ayant jamais vraiment travaillé de sa vie, il passait tout son temps avec nous et était à la fois très tendre et très dur. Soulever des poids, courir, sauter, ramper, il nous faisait tout endurer dès le plus jeune âge. Nous nous exercions dans le jardin, les petits boxaient contre les petits, les grands contre les grands. Rien ne nous a été épargné mais en retour, il n'était pas avare de câlins, de baisers tendres sur le front et de surnoms affectueux mais toujours orientés comme "petit homme", "petit gladiateur", etc… Il mesurait nos muscles, prenait notre poids, notre taille et consignait tout comme s'il entraînait le futur corps d'élite de l'armée.
C'était un perfectionniste maladif et un esthète qui voyait dans les sculptures de l'Antiquité une sorte de but à atteindre alors une fois le corps formé, musclé et gainé, le pire pour lui aurait été de le cacher.

Il vivait donc nu, je ne sais pas si on pouvait appeler ça du naturisme à l'époque, mais c'était son habitude de vie. Nous, de notre côté, devions restés habillés, même pour dormir. Nous aurions aussi aimé nager nu dans la piscine ou dans la rivière car parfois la chaleur était accablante. Nous voulions nous sentir comme lui parce qu'il était un exemple que nous adulions comme aujourd'hui on adule les célébrités. A cette époque assez prude où les camps naturistes n'existaient pas, c'était aussi le seul exemple d'homme que nous avions alors pour nous ses muscles saillants, ses poils pubiens taillés au cordeau et son sexe percé de part en part par un bijoux argenté ne laissant dépasser qu'une boule métallique à droite et une à gauche ainsi que son anneau dépassant du méat et du frein étaient la norme. Pour nous tous les hommes, "les vrais" ressemblaient à ça.


Nos entrainement se faisaient en sous vêtements puis nous allions nous laver séparément, les s d'un côté et papa de l'autre. Pendant l'entrainement, il ne restait pas là à nous regarder, il faisait ses propres exercices et nous encourageait. Il nous réprimandait aussi quand nos performances stagnaient ou pire, baissaient. Ma mère essayait de le calmer mais n'y arrivait jamais, il fallait toujours faire mieux, toujours faire plus.
Eux deux, il s'étaient rencontrés bien loin d'ici, bien loin de la France, dans une ancienne colonie où il faisait son service militaire. Il avait profité de ce déplacement en Asie pour continuer son périple même après son service et avait visité de nombreux pays. Sur une ile, il avait fait la connaissance de ma mère qui ne parlait pas Français, ni aucune autre langue européenne mais dont il était tombé amoureux. Croisée sur le marché de la grande ville du coin, il l'avait suivit dans son village où il a été apparemment bien accueilli, en qualité d'hôte en quelque sorte. il essayait de se débrouiller comme il pouvait avec le langage des signes ou en imitant les actions quotidienne des habitants.
Il est resté en tout plus de deux ans là bas au grand désarroi de ses propres parents qui le croyaient mort. Il a trouvé là bas un échappatoire à l'atmosphère de bourgeoisie catholique dans laquelle il a grandi et à la France en général. Petit à petit, il se mettait au goût local et c'est ainsi qu'il a fini par prendre l'habitude de vivre nu.
Elle s'est aussi bien habitué à la Provence que lui à l'Asie, ensemble, ils auraient été heureux partout. Parfois, elle le faisait asseoir sur une chaise et lui peignait le corps comme si il allait se rendre à la chasse au pécari. Ca leur rappelait leur jeunesse.
C'était la version que nous connaissions depuis que nous étions en âge de nous la faire raconter. Cette version allait être enrichie, en ce qui me concerne, à l'âge de 16 ans quand, un beau jour, c'est moi qu'on fit asseoir sur la chaise et à qui ont peignit le corps.
J'avais 16 ans, j'étais un beau garçon bien bâti, très charpenté, très musclé et un peu bête. J'étais l'aîné de cette fratrie de garçons. Je mesurais environ 1m80, les cheveux très noirs et très raides, la peau très blanche et les yeux très bleus avec quelques tâches de rousseur sur les pommettes et les épaules. Je commençais à peine à avoir du poil, on me l'enleva au rasoir, ne me laissant qu'un petit buisson au niveau du pubis. Le corps glabre et peint, je fut conduit à l'extérieur où, sur une table, je fus percé par mon père avec pour seule anesthésie une serviette à mordre et un baiser sur le front à la fin. Entré dans l'âge d'homme, je pu commencer cette initiation au plaisir que peu de gens de ma génération ont reçu. A une époque sans internet, sans télé, la plupart des jeunes hommes n'étaient pas sensibilisés à ces choses.


Dès que j'eu cicatrisé, nous sommes allés tous les deux dans la forêt marcher pendant une journée entière. Il faisait chaud, il faisait beau, nous étions seuls, nous étions nus et couverts de transpiration. Le soir venu et malgré la marche, il me fit faire mon quota quotidien de pompes et de tractions puis nous nous sommes baignés dans une crique.

Au coin du feu, il me demanda, très naturellement:
- Qu'es ce que tu connais du plaisir?
Je ne savais pas de quoi il parlait, je lui demandait de préciser.
Il me raconta alors la vie qui avait été la sienne depuis ce voyage en Asie et la vie qui serait la mienne depuis le rituel de passage que j'avais expérimenté à mon tour.

Tout cela prenait sa source au moment où il a été enfin question d'avoir accès à la femme qu'il désirait. Il découvrit alors une autre de leurs traditions qui allait le marquer à tout jamais. Dors et déjà doté d'un prépuce très court, il n'eut pas à passer par la circoncision mais il du se faire percer le gland, sans anesthésie, pour pouvoir être considéré comme un homme dans cette tribu. Percé de part en part par un bijou ne laissant ressortir qu'une boule métallique à gauche du gland et une autre à droite, il était alors prêt pour épouser sa promise qu'il ramena en suite en France. Ce mariage n'enchanta pas ses parents mais ils donnèrent tout de même leur consentement, trop heureux que leur fils unique ne soit pas mort.
Ce bijoux ouvra tout un nouveau monde de sensations à cet homme habitué au strict minimum. Il avait fait rajouter l'anneau le jour de ma naissance et avait opté pour ce même bijou dans mon cas par manque d'outil nécessaire à l'installation plus délicate d'une barre aussi intrusive que la sienne.
Cette nouvelle culture l'avait aussi ouvert au plaisir en général, montré que le sexe n'était pas quelque chose de honteux et qu'il pouvait aussi se faire seul ou entre hommes. Son gros pénis lui avait fait acquérir une certaine notoriété dans cette jungle d'autant plus qu'il avait dû consommer son union devant un parterre de dignitaires indigènes médusés. Il avait ramené tout ça en France avec sa femme.


Il m'expliqua tout ce que j'avais à savoir et m'encouragea a tout essayer, y compris avec d'autres hommes ce qui ne me choqua pas tant je tenais son opinion en haute estime.

Pour lui, et pour moi aussi, coucher avec un membre du même sexe n'est pas un adultère car il y a certaines choses qu'une femme ne peut pas donner à un homme et qu'un homme ne peut pas donner à une femme.
Ma queue n'était pas totalement formée mais elle était belle. Elle l'est encore même si elle s'est un peu usée avec l'âge. J'étais un jeune homme plein de vie, plein de sève et en bonne santé, mon pénis était le miroir de cet état physique: il se dressait souvent, la plupart du temps sans raison, bien droit sur ses grosses boules pendantes. On m'a toujours dit que je ne devrais pas tirer de fierté du simple fait d'avoir une bonne bite mais je ne peux pas m'en empêcher. J'aime cette partie de moi parce qu'on m'a appris à l'aimer. J'aime son profil droit duquel ne dépassent que de grosses veines bleutées posées sur une peau blanche sans être livide sur les deux premiers tiers et rose sur le dernier. J'aime mon gland, gros et charnu, rose et généreux qui se détache franchement du reste par sa grosseur. Ce soir là, j'ai appris à aimer le bijoux argenté qui en sort, un anneau très ouvert dont les extrémités sont des boules. Un anneau fin avec un globe métallique sortant de mon méat un autre collé au début de mon frein. De 15cm de long au repos, mon appareil atteignait les 20 en érection et il a encore grandi après. Je ne comprenais pas pourquoi on m'avait privé de la possibilité de masser mon gland avec mon prépuce, mes nouvelles éjaculations étaient incomplètes mais elles étaient plus nombreuses. Elles procédaient de longues séances de masturbation dont la première eu lieu ce soir là.
Aujourd'hui habitué des camps naturistes, je ne comprends pas la honte qu'un homme peut ressentir s'il a une érection en public. Au contraire, c'est un motif de fierté selon moi. C'est tout du moins ce qu'on m'a inculqué. Biensur, l'érection peut être gênante pour accomplir certaines action mais il suffit alors de se masturber pour qu'elle s'en aille.
C'est un appel de notre corps à lui donner du plaisir. On ne m'a jamais crié dessus en me demandant de cacher mon sexe tendu, on m'a simplement conseillé vivement d'aller me branler un bon coup. Aujourd'hui, il m'arrive de prendre un moment pour me faire gicler, je m'assied sur un siège ou sur un lit, je saisis ma queue et lui administre les caresses propres à la durcir si elle ne l'est pas déjà. Je caresse mes boules, joue avec mon anneau, parfois j'agrémente cette séance d'une vidéo, parfois je préfère faire marcher mon imagination. Quand j'étais jeune, cela n'arrivais jamais. Je me branlais parce que j'étais déjà en érection ce qui arrivait en moyenne trois fois par jour. Avec l'entrée dans l'âge d'homme, j'ai eu le droit d'avoir ma propre chambre ce qui fut une réelle révélation. Je partageais la salle de bain de mon père qui était dotée d'un "branloir" qui fit la joie de mes érections matinales. C'était une sorte de lavabo placé au niveau où se situe la bite d'un homme. Deux personnes pouvaient s'y branler simultanément en dessous de deux jets d'eau très puissants sous lesquels il nous suffisait de placer notre gland pour ressentir un plaisir intense. C'était notre petit plaisir du matin.



Vers l'âge de 18-20 ans, il nous amenait au bordel une fois par semaine. Il payait pour une demie heure et nous devions la consommer en entier sous peine de ne plus y avoir droit la semaine suivante. Nous faisions ça dans la même pièce, il restait assis dans un coin, la montre en main, à lire son journal. Il voulait créer une émulation entre nous. Plus tard dans ma vie, j'ai abandonné ces relations tarifées pour celles, plus saines à mon avis, des clubs libertins où chacun vient pour donner du plaisir et non pas le vendre.
De son époque à l'autre bout du Monde, mon père avait gardé quelques amis, des gens avec qui il avait voyagé et qui avaient, un temps, partagé le mode de vie des indigènes. Il y en avait qui avaient même écrit sur eux. Deux de ses amis, en particulier, venaient souvent nous rendre visite avec leurs s. Ils partageaient la même philosophie de vie, nous faisions nos exercices ensembles pendant que les femmes discutaient en nous regardant. Habituées à la nudité masculine, leurs filles n'avaient pas ce regard pudibond qu'avaient les autres mis à part les premiers jours de notre nouvelle vie "d'homme" quand elle s'apercevait que nous n'étions plus des petits garçons. L'un des amis de mon père, en particulier, n'avait eu que des filles et enviait beaucoup papa avec ses quatre garçons, il s'appelait Philippe. Il venait jouer avec nous dès qu'il le pouvait, c'était comme un oncle. Le second ami à mon père avait eu une fille et un garçon. Ce jeune homme s'appelait Marius, c'était mon meilleur ami et mon père le traitait comme son fils tant et si bien qu'il demanda à subir le même traitement que moi peu après s'être aperçu de ce qui m'était arrivé. Il en obtint l'autorisation et son paternel qui l'était déjà et était aux anges de voir sa progéniture le suivre. A partir de ce moment là, nous formions tous une seule tribu.

A partir de ce moment là, quand ils étaient de visite, Marius et moi partagions ma chambre. Nous formions ensemble dans mon grand lit, nus mais sans ambiguïté car il était normal et naturel pour nous de nous donner du plaisir mutuellement. Les soirs sans femme, nous nous asseyions sur le lit, face à face, pour nous prodiguer des caresses en nous embrassant. Il avait une queue courte de 15cm mais très très large. Son corps était musclé, chaud et poilu. Elevé dans le culte de la performance tout comme moi, il ne me laissait pas respiré et en attendait de même de ma part. Tour à tour dominant et dominé, il voyait le sexe comme un sport et voulait qu'on se dépasse. J'aimais cette compétition entre nous. J'aimais ces pipes qu'il faisait durer parfois plus d'une heure, j'aimais ces levrettes passionnées où son cul serré m'arrachait presque mon bijou intime. J'aimais qu'il soit un vrai homme, dur et tendre à la fois qui n'avait pas peur de crier quand le plaisir se faisait trop intense.
Le sexe pour nous était presque comme une faveur, un service rendu. Si, pendant la journée, son membre se mettait au garde à vous, je lui proposais une fellation et nous nous éclipsions quelques instants. Il n'y avait pas de peur chez nous, pas de hantise d'être surpris ou montré du doigt car l'acte sexuel était un instant sacré et personne n'aurait osé entraver notre plaisir. Si quelqu'un devait entrer dans la pièce, il le faisait sur la pointe des pieds, faisait ce qu'il avait à faire, cherchait ce qu'il avait à chercher et repartais si nous ne l'invitions pas à nous rejoindre. Le bruit n'était pas gênant non plus, manifester sa reconnaissance envers celui ou celle qui vous donne du plaisir est le plus important. Lui indiquer ce qu'on aimerait est primordial. Nous ne faisions pas vraiment l'amour, nous chahutions entre garçons. Marius aimait que je lui pilonne le cul violemment. Au début du rapport, il tentait toujours de me piquer au vif en disant que j'allais trop lentement, que je me laissais aller. Après, il se contentait de me demander de continuer. Debout contre un mur, dans l'intimité d'une chambre ou à la sauvette dans le recoin d'un couloir, nous donnions libre court à nos pulsions ensemble. Sa grosse queue avait souvent du mal à passer, elle était si large. Si courte mais si large. La mienne fait actuellement 23 cm mais est loin d'être aussi épaisse. Son membre avait la forme d'une canette de coca (un peu plus long peut être), pas très esthétique mais très efficace alors que le mien était, aux dire de tous, très bien proportionné et très esthétique avec une hampe mesurée et un gland généreux.
J'aimais aussi savoir qu'il m'aimait avant tout comme un ami et qu'il n'avait pas pour but de me posséder. Nous partagions nos virées au bordel, nous partagions des partenaires, nous partagions tout sans jamais ressentir de jalousie.

Hétérosexuel, c'est pourtant avec Marius que j'ai connu le sexe pour la première fois. En théorie, on nous avait tout appris sur l'acte mais c'est avec lui que j'ai développé la pratique en premier, j'ai ainsi pu connaitre toutes les façons de me donner du plaisir. La branlette, pour nous, avait toujours un gout d'inachevé, c'est pour cela que nous nous branlions aussi souvent. Le plaisir n'était pas aussi intense que ce que nous attendions, pas aussi intense qu'avant. Bien sûr, quand l'excitation était grande, il s'en approchait beaucoup mais, très vite, nous comprîmes que seul l'acte sexuel à proprement dit serait apte à nous satisfaire entièrement. Ce fut d'abord la fellation car personne (ou presque) ne peut donner autant de plaisir à un homme qu'un autre homme, de ce point de vue là.
Je l'ai suçé, un matin, parce que je sentais son érection contre ma cuisse et que je voulais qu'il me suce aussi. J'ai mouillé son organe court et large avec de la salive et je l'ai massé de haut en bas, j'ai léché son bijoux et j'ai bu son sperme. Il avait bon goût. Une pipe valait deux branlettes et c'est toujours le cas, ce qui veut dire qu'en terme de satisfaction, d'achèvement de l'orgasme et de quantité de sperme giclé, une pipe me prodiguait le soulagement de deux branlettes. Les érections se font plus rares au cours de la journée, parfois inexistantes. Mon gland bien rougit témoigne d'une satisfaction obtenue et ma queue pend, complètement flasque, pendant des heures. Mais j'avais aussi appris qu'on a pas besoin de bander, du moins pas complètement, pour jouir.
Le gros pilon court et indescriptiblement épais de Marius ne se dressait pas ment à l'unisson avec le mien. La première fois, nous tentâme tout de même le 69 mais ma queue restait molle dans sa bouche car il m'avait déjà pompé plut tôt dans la journée. Ce fut notre première sodomie. Il était très excité, il voulait profiter de mon cul et je voulais expérimenter ce dont on m'avait tant parlé. On ne s'était pas vu depuis longtemps, il était mon seul partenaire sexuel à l'époque et je ne voulais pas le décevoir. Peut être encore plus que moi, Marius mettait du temps à jouir, beaucoup de temps et je savais que je devais m'armer de patience pour le satisfaire. Il lubrifia généreusement son sexe et ma rondelle, c'était aussi sa première fois. Les premières minutes furent douloureuses, je me jurais de ne jamais recommencer, puis il commença à me posséder avec sa bite, je prenais de l'assurance, son gros manche glissait plus naturellement je me détendais mais ne pouvait qu'être très serré pour une circonférence telle que la sienne. Son anneau raclait ma prostate et paraissait parfois comme bloqué dans la bosse qu'elle formait mais Marius forçait le passage avec la rage et l'insouciance d'un baiseur de 17 ans. C'était pendant l'après midi, toute la maisonnée nous a entendu baiser car nous n'avons jamais été des gens discrets de ce point de vue là. Je l'encourageais à y aller plus fort, il m'exhortait à serrer mon cul, comme si c'était possible ! J'étais à quatre patte sur le tapis de ma chambre, le torse posé sur le lit. Il était derrière moi, ses couilles claquaient contre les miennes, ma queue était toujours pendante et ballotait au gré de ses coup de butoir. Mon anneau tintait de temps à autre contre le bois du lit. Le plaisir venait par vagues qui faisait se contracter mon anus de façon automatique et puis les vagues s'accentuèrent et devinrent plus fréquentes. Je le sentais buter contre ma prostate qui paraissait grossir en moi de plus en plus. Mon anus distendu chauffait et tentait de se resserre autour de lui. Quelque chose venait en moi et dans une ultime et longue contraction j'ai expulsé de grosses goutes de semence par mon sexe pourtant à demi mou.

Ma première fois avec une femme intervint peu après... Les filles à mon époque et dans notre milieu n'étaient pas très enclines à laisser libre court à leurs pulsions. Si elles en avaient, elles les cachaient bien et très peu d'entre elles aurait osé consommer l'acte avant le mariage. Elles n'étaient pas pour autant satisfaites une fois le mariage célébré, loin de là. Une en particulière, aspirait à plus de plaisir. Elle avait épousé un homme qui la négligeait, peut être était-il impuissant, peut être était-il homosexuel, peut être travaillait-il constamment, je ne l'ai pas su tout de suite. Tout ce que je savais, c'était qu'elle avait besoin qu'on la baise. Veuve, elle avait fondé de gros espoirs sur ce remariage avec un homme plus jeune qu'elle, un de nos voisins, elle avait pensé qu'elle vivrait une vie de luxe et passerait à la casserole tous les soirs mais elle avait vite déchanté. S'ennuyant profondément, elle trouvait toujours un moyen de s'inviter chez nous et ma mère, polie, ne la repoussait jamais. S'absentant de la compagnie des autres femmes en prétextant un maquillage à refaire ou une chose à chercher, elle s'aventurait dans le jardin et passait la ligne de buissons qui séparait notre terrain de sport de la maison. Elle savait que derrière cette haie qui nous cachait des personnes présentes à l'intérieur du salon et de la salle à manger, nous serions là, nus, en train de faire du sport. Je ne sais pas comment elle l'a su mais elle était au courant qu'à l'heure du thé, par beau temps, nous serions là, ruisselants de transpiration. Nous faisions des pompes, des abdominaux, de la lutte, de la boxe française, des tractions. Des douches extérieures nous attendaient après l'effort au cas où la présence d'invités nous empêchait de passer à travers le salon dans nos tenues d'Adam. Les plus jeunes d'entre nous, ceux qui n'avaient pas atteint l'âge viril, s'entrainaient séparément et ces jours là, la voisine perverse n'était jamais là. Elle ne venait que pour voir les hommes et je pense être le seul à l'avoir remarquée en train de nous épier. Elle savait qu'à une certaine heure nos exercices seraient finis, qu'elle pourrait voir l'eau ruisseler sur nos corps musclés et bronzés. Elle savait que rares étaient les fois où l'effort n'était pas récompensé par une petite branlette sous la douche et elle aimait nos queues. Toutes différentes mais toutes appétissantes pour elle, nos queues la faisaient rêver. Il y avait la mienne, longue et racée, mais aussi d'autres plus fines, plus robustes, plus courtes ou plus longues. Un beau panel de glands menaçants qui s'offrait à ses yeux, toutes les couleurs étaient là, du rose le plus délicat au violacé de ceux qui ont déjà bien servi. Elle aimait ces hommes marqués comme du bétail qui portaient avec nonchalance ces bijoux intimes dont elle n'avait jamais entendu parlé avant. C'était impressionnant pour elle de voir celui des plus anciens qui passait de part en part de leur gland mais aussi celui des plus jeunes, cet anneaux énorme dont elle ne pouvait que supputer les effets sur l'intérieur de son vagin.
Notre naturel et notre complicité était un spectacle pour sa lubricité, peut être n'avait-elle jamais vu autant de sperme couler que ce jour d'été où nous étions tous réunis, tous fourbus mais content d'avoir entretenu notre corps, étendus ou assis au soleil après nos ablutions, la main sur le sexe et le regard vers le ciel, offrant à nos corps éprouvés une récompense bien méritée. Le foutre avait coulé sur l'herbe et sur nos mains dans un râle collectif qui, elle le confessa plus tard, avait masqué ses propre gémissements alors qu'elle se touchait dans sa cachette.
En hiver c'était dans la cave que nous avions notre gymnase et il y était beaucoup plus difficile pour elle de nous épier. Peut être est-ce pour cette raison que ce fut pendant cette saison qu'elle sauta le pas. Nous faisions nos exercices, les poids faisaient chauffer les muscles et les répétitions rythmaient un silence relatif quand sa voix a retenti:
- Vous avez de beau garçons monsieur X…
Nous levîmes les yeux et perçurent le regard de cette femme sur nous. J'étais couché sur un banc de musculation, les jambes écartées et l'intimité offerte aux oeillades flagrantes de cette Messaline.
- Je vous remercie, ils ne sont pas tous de moi par contre.
Il ne se laissait pas démonté, elle le toisait de haut en bas et il la laissait faire. Il avait l'habitude d'être désiré des femmes, pour moi c'était la première fois. Je savais qui elle était, je savais qu'elle était mariée mais je n'en connaissais pas plus sur elle.
- Votre femme ne tarit pas d'éloges sur vous, je la comprends…
Je bandais à présent comme un âne, nous bandions tous comme des ânes. Elle lui fit comprendre que son mari s'occupait mal d'elle et que c'était de sa queue dont elle avait envie mais elle devait faire des concessions. Si elle le voulait, elle devait aussi satisfaire les autres. D'abord les plus anciens puis les plus jeunes. Nous avons continué nos exercices pendant qu'ils la besognaient sur un banc près de nous. J'avoue que j'avais peur qu'elle soit rassasiée par eux. J'avais envie de connaître sa chatte.
Nos entraînements étaient assez codifiés, ils duraient un certain temps. Le poids à soulever et le nombre des répétitions évoluaient avec le temps mais en le débutant on savait très bien combien de temps il allait durer. J'ai eu le temps de finir tous mes exercices alors que j'avais à peine commencé quand elle est arrivé. Ils l'ont donc tringlée pendant une heure. Je n'ai pas réellement regardé ce qui se passait, je savais que cette démonstration était juste faite pour nous remettre à notre place et montrer que nous n'aurions qu'un trou de seconde main. Quand cessèrent les grognements et les gémissements de plaisir, ils s'essuyèrent vaguement et reprirent leurs exercices. Elle était là, couchée sur le banc, exténuée mais souriante. Je ne suis pas sûre qu'elle ait vraiment eu envie de ma bite à ce moment là mais elle l'a accueillie avec plaisir parce que sans cela, elle n'aurait plus jamais été servie par les hommes plus expérimentés.
Marius était là, il était puceau de femmes comme moi. Il y en avait d'autres aussi. Nous étions content de partager ce moment. Peut être la ressemblance entre ma bite et celle qu'elle venait de connaître a joué dans le fait qu'elle ait souhaité me voir en premier dans sa chatte. Dans son trou déjà bien écarté. Cette première pénétration fut un délice, j'en perdais presque mes moyens. C'était en levrette et je n'ai pas réussi à tout faire rentrer.
Les autres m'ont encouragé, j'ai entrepris de la pilonner, je crois qu'elle a aimé ça, en tout cas elle me demandait de continuer. Peut être simulait elle, pouvait-elle seulement ressentir mon membre après ce qu'elle avait reçu ? Elle m'appelait "petit" et m'encourageait. Le plaisir était intense pour moi, la chaleur de cet orifice certes plus écarté qu'un anus mais tellement plus humide, tellement plus chaud, arrachait à ma queue des spasmes qui faisaient comme autant de petites éjaculations. J'avais peur de l'engrosser et je serrait mon périnée au plus fort comme on me l'avait enseigné. Je ne devais pas gicler, pas tout de suite, pas là dedans. Mais j'avais tellement envie de la remplir. Pourtant on m'avait dit que les femmes comme elles n'étaient pas dignes de recevoir ma semence en leur sein. Lâcher mon liquide viril dans son con aurait été m'abaisser devant tout le monde. Elle devait se contenter du plaisir que je lui donnais, elle était mariée et pas avec moi. Pourtant ma queue était au comble de la stimulation, j'ai cru sentir qu'elle m'a serré un moment. Un de mes camarades juta dans sa bouche au bout de deux minutes. C'était aux limites de l'incorrect mais ça passait encore. Elle put en faire jouir un autre encore. Nous étions jeunes et on nous pardonna cette précocité.
Marius regarder sans prendre part, sans se toucher, il voulait aller en elle et ne la laisserait pas se débarrasser de lui aussi facilement. Plaisir feint ou réel, ses spasmes vaginaux et ses halètements de salope se firent plus nombreux et plus rapprochés et elle a jouit. J'ai entendu quelques applaudissement au fond de la salle auxquels je n'ai pas prêté attention et je me suis retiré in extremis de son orifice pour, d'un coup de main, tirer de mes couilles 10 gros jets de sperme blanc et liquide qui la maculèrent jusque dans les cheveux. J'avais duré en tout 5 minutes peut être et je restais sur ma faim car c'était finalement ma main qui avait connu l'extase de mon sexe. J'en acquis pendant longtemps la certitude qu'il fallait mieux profiter des fesses de Marius et des autres hommes de mon âge en qui il n'était pas dégradant pour moi de cracher ma semence. Ce point de vue allait changer...

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